«À la Saint-Ambroise, les nuages se croisent et se recroisent.»
«Quand saint Ambroise voit neiger, de dix-huit jours de froid sommes en danger.»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est dimanche et c'est le jour du repos... Les enfants sages ont reçu bonbons et biscômes de saint Nicolas, et les autres aussi... Noël approche et c'est déjà la chasse aux sapins, tout le monde veut le plus beau, le plus haut, sapin qui sera garni ces prochains jours; certains ont le même sapin depuis plusieurs années, en pot qu'ils vont chercher d'année en année dans la pépinière...
Pour la météo d'aujourd'hui, il est prévu que pour la Suisse romande avec 1° et un ciel nuageux dans la nuit, ce sera pour ce jour: temps le plus souvent très nuageux accompagné d'un faible risque de quelques gouttes ou quelques bruines. Dans les Alpes et en Valais au-dessus de 2200 mètres, temps assez ensoleillé en journée, puis voiles nuageux en augmentation en soirée depuis le nord-ouest. Température en plaine: minima 3°à 5°, maxima 5°à 7°. Température à 2000 m: -5°. Dans les Alpes, vent du nord faible à modéré. Sur le Jura et le Plateau, bise encore modérée en matinée, faiblissante l'après-midi...
Pour l'Hexagone, une météo de saison, assez perturbée... Avec pour ce jour: en matinée, le ciel se couvre près de la Manche, avec l'arrivée d'une perturbation pluvieuse. En Corse, des pluies localement orageuses persistent. Temps calme du sud-ouest au nord-est et si les brouillards sont absents les gelées sont au rendez-vous. Vents violents en Méditerranée. Dans l’après-midi, les pluies de la perturbation s'installent de la Bretagne aux Ardennes. Dans le sud-est, seule la Corse reste concernée par un temps instable avec des averses orageuses. Plus ou moins nuageux sur les autres régions. En soirée, le front pluvieux s'étend de l'Atlantique au nord avec du vent et de la neige de la Bourgogne à l'Alsace à très basse altitude. Temps sec mais fortement venté en Méditerranée. Dans la nuit, la perturbation s'enfonce dans le sud-ouest et le centre-est avec de la neige à basse altitude. Retour des averses parfois fortes en Manche. Vents forts mais en atténuation en Méditerranée…
Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, voilé et variable avec des températures de l'ordre de 27°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 30°; à la Martinique ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 32°; ensoleillé, variable et pluvieux avec des températures de l'ordre de 33° en Guadeloupe; ensoleillé et variable en Guyane française avec des températures de l'ordre de 33°; Polynésie française peu nuageux à nuageux, larges éclaircies; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies aux Marquises avec des températures de 29°; faibles pluies et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 5°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil est à 07:54 et le coucher du Soleil se fera à 16:50 et le jour est plus court de 1 minute...
Valeurs remarquables de décembre en France
TMax: 27.2°C (Pau-Uzein le 04/12/1985)
TMin: -25.8°C (Clermont-Fd le 18/12/1933)
Précip: 184.4 mm (Perpignan le 14/12/1932)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées auront lieu les...: Horaire des marées à Saint-Malo
Lundi 22 décembre à 06h56 coefficient 91, à 19h20 coefficient 95
Mardi 23 décembre à 07h40 coefficient 97, à 20h05 coefficient 99
Mercredi 24 décembre à 08h25 coefficient 99, à 20h50 coefficient 99
Jeudi 25 décembre à 09h09 coefficient 97, à 21h35 coefficient 95
Vendredi 26 décembre à 09h55 coefficient 91, à 22h21 coefficient 91
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1979: la température maximale grimpait jusqu'à 11,1°à Saint-Hubert
En 1969: la température minimale sous abri descendait jusqu'à -5°à Saint-Hubert
Les journées mondiales et internationales
Le sept décembre c’est la Journée Internationale de l'aviation civile
http://www.journee-mondiale.com/181/journee-internationale-de-l-aviation-civile.htm
La France pittoresque
Origine des arbres fruitiers cultivés en France
Récit de 1853 inspiré du «Cours élémentaire théorique et pratique d’arboriculture» de M. du Breuil
ARBRES FRUITIERS A FRUITS PROPRES AUX BOISSONS FERMENTÉES
Les espèces principales qui appartiennent à ce groupe sont, en France, la vigne, le pommier et le poirier.
Vigne. Cet arbre paraît originaire de l’Asie comme la plupart de nos végétaux alimentaires les plus utiles. Dès la plus haute antiquité, on le trouvait à l’état sauvage en Sicile et en Italie; mais ce furent les Phéniciens qui en introduisirent la culture, d’abord dans les îles de l’Archipel, dans la Grèce, puis en Sicile et en Italie. Nous voyons dans la Bible que la Palestine renfermait d’excellents vignobles, entre autres ceux de Sorec, de Sébama, de Jazer, d’Abel et de Chelbon. A l’époque de la guerre de Troie, les Grecs tiraient déjà un profit considérable de leurs vins, et particulièrement de ceux de Maronée, de Cos, de Candie, de Lesbos, de Smyrne et de Chio. En se rapprochant des contrées moins brûlantes, les produits de la vigne se sont progressivement améliorés. Le climat tempéré la France est assurément le plus favorable à la production des bons vins: aussi cette culture y a-t-elle pris un développement tel qu’elle occupe aujourd’hui une surface de 2 000 000 d’hectares, produit près de 40 000 000 d’hectolitres de vin, et occupe le second rang dans l’échelle des richesses territoriales de notre pays.
Il est probable que la vigne était assez anciennement cultivée chez les Gaulois, puisque Domitien en fit arracher tous les pieds, dans la crainte, dit-on, que la passion du vin n’attirât les Barbares. Probus et Julien réparèrent cet acte sauvage en faisant replanter la vigne dans les Gaules.
Quant au raisin de table, lorsqu’on le cultive en plein air dans le centre, et à plus forte raison dans le nord de la France, il n’acquiert souvent qu’une maturité imparfaite et une qualité médiocre, faute d’une chaleur suffisante et assez prolongée pendant l’été. Pour remédier aux circonstances défavorables résultant du climat, on cultive la vigne en treille, et on lui applique une série d’opérations qui ont pour résultat de rapprocher le terme de sa végétation annuelle.
C’est à Thomery, village situéà 8 kilomètres de Fontainebleau, que furent établies les premières treilles, il y a environ cent vingt ans, par un cultivateur appelé Charmeux. Les habitants du pays trouvèrent tant d’avantage à cette culture qu’ils l’étendirent peu à peu jusqu’au point où nous la voyons aujourd’hui. Elle occupe maintenant plus de 120 hectares, et produit, en moyenne, un millier de kilogrammes de raisin. Ce sont les excellents produits de ces treilles que l’on vend à Paris sous le nom de chasselas de Fontainebleau. Du reste, il existe, au château même de Fontainebleau, une treille de près de 1400 mètres de longueur, qui fut créée il y a environ un siècle, et restaurée en 1804, sous la direction de M. Lelieur.
Le pommier commun et le poirier commun ont une importance presque aussi grande que celle de la vigne; un grand nombre de nos départements trouvent dans leurs abondantes récoltes des produits alimentaires bien précieux, tant pour la table que pour les boissons (cidre, poiré) que l’on en extrait. Ils donnent un bois très recherché, soit pour le chauffage, soit pour la gravure en relief, la menuiserie et l’ébénisterie. On peut affirmer, d’après les divers auteurs qui se sont occupés de ces recherches, que ces deux arbres ont été trouvés à l’état sauvage, tant dans les parties tempérées de l’Asie que dans celles de l’Afrique et de l’Europe.
Quant à la préparation d’une boisson fermentée avec lesdits pommier et du poirier, elle parait remonter à la plus haute antiquité dans l’Asie mineure et en Afrique. Les Hébreux l’appelaient sichar, nom que la Vulgate a traduit par celui de sicera, qui a une certaine ressemblance avec celui de cidre. Il paraît que les Grecs et les Romains ont aussi fait du vin de pomme. Dès 587 on voit, d’après Fortunat de Poitiers, le jus fermenté de la pomme et de la poire apparaître sur la table d’une reine de France, sainte Radégonde. Il est probable que l’on en fabriquait depuis longtemps en Gaule. Suivant le savant Huet, évêque d’Avranches, les Normands ont appris cet art des Basques, avec lesquels la grande pêche côtière les mettait en relation. Ce qui est certain, c’est que, dans les provinces du nord de l’Espagne, la culture des arbres à cidre est encore très développée aujourd’hui. Les Capitulaires de Charlemagne mettent au nombre des métiers ordinaires celui de cicerator, ou faiseur de cidre.
La culture des fruits à cidre a presque entièrement atteint, en France, le développement dont elle était susceptible. Arrêtée vers le sud par la culture de la vigne, et vers le nord par la rigueur de la température, elle s’est établie sur une zone du centre de la France et celui de l’extrême nord, où l’orge et le houblon fournissent aux habitants les éléments d’une autre boisson fermentée, la bière.
D’après M. Odolant-Desnos, 36 départements s’occupent de la fabrication du cidre et du poiré. Ils en produisent plus de 8 millions et demi d’hectolitres, qui ont une valeur réelle de plus de 64 millions de francs.
La culture du poirier comme arbre à fruits de table paraît être presque aussi ancienne que celle du poirier à cidre, On sait, en effet, que les Romains cultivaient trente-six variétés de poires dont plusieurs font encore partie de nos collections, mais sous d’autres noms. Une partie notable des noms que portent les diverses variétés de poires sont ceux des localités d’où elles proviennent, ou des individus qui les ont fait connaître. Ainsi la poire de Saint-Germain aurait été trouvée dans la forêt de ce nom; la virgouleuse vient du village de Virgoulée, près de Limoges; le bon-chrétien nous a été donné par François de Paule:
L’humble François de Paule était, par excellence
Chez nous nommé le bon chrétien;
Et le fruit dont le saint fit part à notre France
De ce nom emprunta le sien.
Quant au pommier, il est souvent question de son fruit dans l’histoire sacrée et dans l’histoire profane. Les hommes les plus célèbres de l’ancienne Rome ne dédaignèrent pas sa culture, et, parmi les vingt variétés que l’on y cultivait, les noms de manliennes, de claudiennes, d’appiennes, indiquaient les personnages qui les avaient fait connaître. La pomme d’api a, sans doute, perpétué jusque chez nous le nom d’un de ces patriciens.
LES FRUITS A PÉPINS
(poiriers, cognassiers, pommiers, orangers, citronniers, grenadiers)
Le cognassier est encore un des arbres fruitiers dont la culture est la plus ancienne. Son nom, chez les anciens (Cydonia) est tiré de celui de la ville de Cydonie, en Crète, près de laquelle il croissait spontanément. Les Grecs avaient dédié son fruit à Vénus, et en décoraient les temples de Chypre et de Paphos. Pline et Virgile font l’éloge de cet arbre, dont les Romains paraissent avoir possédé des variétés moins âpres que celles que nous connaissons. Aujourd’hui on cultive le cognassier surtout pour en obtenir de jeunes sujets destinés à recevoir la greffe d’autres espèces, et notamment du poirier. Toutefois on le cultive encore comme arbre fruitier dans quelques localités du centre et du midi de la France. Dans ces contrées, les fruits sont confits, ou bien on en forme diverses sortes de conserves connues sous les noms de cotignac ou codognac, de pâte de coing, de gelée de coing, etc., et qui sont aussi saines qu’agréables. Les pépins de coing sont également employés à divers usages, à cause du mucilage abondant qui recouvre leur surface.
La célébrité des orangers comme arbres fruitiers remonte aux siècles héroïques et fabuleux. Si l’on se reporte aux temps historiques, on voit, d’après M. de Sacy, que l’oranger à fruit amer, ou bigaradier, a été apporté de l’Inde postérieurement à l’an 300 de l’hégire; qu’il se répandit d’abord en Syrie, en Palestine, puis en Egypte. Suivant Ebn-el-Awam, cet arbre était cultivéà Séville vers la fin du douzième siècle. Nicolaüs Specialis assure que, dans l’année 1150, il embellissait les jardins de la Sicile. Enfin on sait qu’en 1336 le bigaradier était un objet de commerce dans la ville de Nice.
L’oranger à fruit doux croît spontanément dans les provinces méridienales de la Chine, à Amboine, aux îles Marianes et dans toutes celles de l’océan Pacifique. On attribue généralement son introduction en Europe aux Portugais. Gallesio affirme, toutefois, que cet arbre a été introduit de l’Arabie dans la Grèce et dans les îles de l’Archipel, d’où il a été transporté dans toute l’Italie.
D’après Théophraste, le citronnier ou cédratier existait en Perse et dans la Médie dès la plus haute antiquité, il est passé de là dans les jardins de Babylone, dans ceux de la Palestine; puis en Grèce, en Sardaigne, en Corse, et sur tout le littoral de la Méditerranée. Il formait, dès la fin du deuxième siècle de l’ère vulgaire, un objet d’agrément et d’utilité dans l’Europe méridionale. Son introduction dans les Gaules paraît devoir être attribuée aux Phocéens, lors de la fondation de Marseille.
Le limonier croît spontanément dans la partie de l’Inde située au-delà du Gange, d’où il a été successivement répandu par les Arabes dans toutes les contrées qu’ils soumirent à leur domination. Les croisés le trouvèrent en Syrie et en Palestine vers la fin du onzième siècle, et le rapportèrent en Sicile et en Italie.
Les diverses espèces d’orangers sont des arbres qui, dans le midi de l’Europe, peuvent atteindre une hauteur de huit à neuf mètres. Naguère encore ils étaient l’objet d’une culture assez importante, soit pour leurs feuilles employées sous forme d’infusion, soit pour leurs fleurs dont on fait l’eau de fleurs d’oranger, soit enfin pour leurs fruits qui sont servis sur nos tables, et dont on extrait aussi des huiles essentielles et de l’acide citrique.
Mais depuis peu de temps une maladie spéciale, dont la cause est complètement ignorée, a envahi les orangers de la plaine d’Hyères, et en a fait succomber plus des trois quarts. La plupart de ceux qui survivent sont atteints de la maladie et périront avant un an ou deux. Dans toute cette plaine, qui a une étendue d’environ 68 hectares, et qui, régulièrement plantée à 4 mètres en tous sens, comprend 42 800 pieds d’orangers de tout âge, on en compterait à peine un dixième tout à fait sains. L’opinion générale des agriculteurs est que ce faible reste aura le sort des autres. Depuis deux ans, ces arbres leur servent de bois de chauffage.
La culture de l’oranger disparaîtra bientôt de la plaine d’Hyères, si le mal continue ses ravages le remède à lui opposer ne saurait être immédiat. Il est impossible de replanter maintenant; quelques propriétaires l’ont tenté, et déjà leurs jeunes arbres périssent attaqués de la maladie. Il est nécessaire qu’un certain laps de temps s’écoule avant que l’on songe à mettre de nouveaux orangers à la place des anciens. M.-V. Rendu, inspecteur général de l’agriculture, auquel nous empruntons ces détails, a décrit avec soin les deux maladies distinctes dont les orangers d’Hyères lui paraissent atteints. Il pense que les germes pestilentiels de ces maladies doivent être détournés au moyen d’un changement radical de culture. «Transformer en prairies arrosables les jardins d’oranger, ou les convertir en jardins fruitier ou maraîchers, dont les produits s’élèveraient à plus de 600 000 francs par an à Hyères, serait, dit-il, une bonne opération.»
Originaire de l’ancienne Carthage, d’où il fut importé en Italie par les Romains, lors des guerres puniques, le grenadier s’est répandu dans tout le midi de l’Europe, où il est aujourd’hui cultivé comme arbre d’ornement, pour faire des haies d’une grande solidité, on comme arbre fruitier, à cause de la saveur douce, légèrement acidule, de la pulpe qui entoure chacune des semences.
Le grenadier supporte difficilement les hivers du nord de la France. Il peut fleurir et fructifier dans le centre, s’il est placé en espalier, aux expositions les plus chaudes; mais ses fruits ne mûrissent complètement que dans le midi.
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Pas de Roland dans le pays basque: ancien repaire du dragon de la Nive?
D’après «Le Journal de la jeunesse», paru en 1883
Après avoir passé Itxassou, village typique du pays basque, le défilé rocheux où coule la Nive est aride, serti seulement, à de certaines époques, par les petites bruyères vertes à clochettes rouges. Au milieu de la gorge le chemin passe à travers un rocher qui la barre comme une porte de pierre, le Pas de Roland: si la légende qui l’entoure est célèbre - le paladin l’aurait ouverte d’un coup de pied pour continuer sa route -, on connaît moins le dragon qui aurait élu domicile au creux de la rivière...
Si vous avez vécu quelques mois d’hiver sur la falaise de Biarritz, au-dessus des flots changeants de la baie de Biscaye, ou passé quelques semaines seulement, à la saison des bains de mer, sur le sable fin de ses plages, vous avez certainement fait ou tout au moins projeté de faire une promenade en voiture dans la vallée de la Nive, à Cambo et au Pas de Roland.
Vous aviez exploré déjà cette merveilleuse côte du pays basque, que longe de si près le chemin de fer de France en Espagne; visité Saint-Jean-de-Luz, son palais de l’Infante et sa baie circulaire, où la vague déferle d’un choc intermittent; salué en passant Ciboure et ses maisons peintes; lu l’inscription fameuse sur le cadran de l’horloge de l’église d’Urrugne: Vulnerant omnes, Ultima necat (Toutes blessent, la dernière tue); poussé jusqu’à la Bidassoa, jusqu’à Hendaye et Fontarabie plantée comme un décor de féerie sur la rive espagnole, comme une apparition fantastique au seuil du pays des rêves; sur la côte landaise vous aviez admiré la barre de l’Adour, le flot de mer dressant ses lames heurtées à la rencontre du courant du fleuve, et cette mêlée éperdue des vagues emplissant la bouche fluviale d’écume blanche, de sourdes rumeurs et de hoquets sonores.
Vous vous étiez retourné du côté de la montagne, et, décidéà changer pour un jour les horizons illimités de l’Océan, votre plage de sable et votre falaise d’argile pour les versants adoucis et les horizons prochains des collines, vos tamaris et vos platanes pour les chênes et les châtaigniers sauvages, le miroitement éblouissant de la baie pour le courant limpide, de la rivière et la verdure apaisante de la vallée, vous vous étiez donné ce but de voir le Pas de Roland.
A peine au sortir de Rayonne, par la roule d’Espelette et de Pampelune, on découvre les mamelons et les collines qui animent tout le pays jusqu’aux montagnes de la frontière et, dans le fond, la Rhune française et les Trois-Couronnes espagnoles, fières citadelles de l’horizon. La route remonte la rive gauche de la Nive, en coupant d’abord à travers taillis sur les versants boisés de chênes, puis descend au bord de la rivière, sur le joli bourg d’Ustaritz, ancienne capitale du vicomté de Labourd.
On atteint bientôt le séminaire de Larressore, et le village du haut Cambo qui groupe ses maisons sur une terrasse escarpée à une quarantaine de mètres au-dessus de la Nive et d’une plaine coupée de prairies et de cultures, étendue au ras de la rive droite. Au lieu de descendre à l’établissement thermal, caché sous de beaux ombrages, qui sert de station hivernale à une colonie anglaise chaque année plus importante, captivée par le calme, le charme intime et champêtre des bains de Cambo, on prend, au sortir du village, le chemin d’Itxassou, «le Montmorency de Bayonne», au dire d’un Parisien qui aime les similitudes et sans doute aussi les cerises.
Quelques minutes après avoir dépassé les cerisiers d’Itxassou, au pied du cône régulier du Mondarrain (750 mètres) couronné de ruines, on entre dans le défilé rocheux où coule la Nive. De belles châtaigneraies en ombragent les abords; mais bientôt toute végétation arborescente disparaît; le roc aride et triste se montre à nu. Au milieu de la gorge le chemin passe à travers un rocher qui la barre comme une porte de pierre: cette porte s’appelle le Pas de Roland.
Tout auprès, les eaux vertes de la rivière roulent bruyamment sur un lit de roches noirâtres. Comme l’imagination des anciens Hellènes avait personnifié les brouillards d’hiver que dissipent les rayons printaniers dans le Python delphien auquel Phébus Apollon décoche des flèches brûlantes, de même le peuple de Soule et de Navarre a personnifié en un dragon la vive rivière pyrénéenne dans une légende que l’on raconte encore au pays basque. Que cette légende s’applique, suivant les variantes, à la Nive ou bien au gave de Mauléon, la voici telle qu’elle a été transcrite par Bordachar, de Sauguis, dans le canton de Tardets:
«Sur le versant d’Açaléguy est creusée une caverne où les bergers de Soule abritent leurs troupeaux pendant les orages. Les touristes la connaissent bien. Dans les temps anciens, un dragon monstrueux en avait fait son repaire, et de là répandait ses ravages sur les environs. Il faut savoir que toute la montagne, du sommet à la base, est tapissée d’un gazon toujours vert, où les vaches, les juments et les brebis trouvent une nourriture abondante.
«Le dragon épiait les imprudents animaux. Tout autant qu’il en arrivait à sa portée, il les attirait par sa seule aspiration et les engloutissait d’une bouchée. Quand il avait besoin de boire, il descendait au ruisseau d’Aphoua qui coule au tond de la vallée, à quatre jets de pierre, et sa taille était telle que, pendant que la tête était à l’eau, le corps et la queue restaient enroulés au fond de la caverne. Les habitants du voisinage venaient souvent l’épier du haut de la montagne opposée et restaient stupéfaits de sa grosseur et de sa voracité.
«Les dégâts qu’il renouvelait tons les jours parmi les troupeaux devenaient intolérables, et les hommes les plus résolus et les plus téméraires du voisinage se consultèrent sur les moyens d’en débarrasser la contrée. Mais comment approcher d’un monstre qui, à deux cents pas de distance, attire et engloutit bêtes et gens?
Le Pas de Roland et la Nive au XVIIIe siècle
«Or en ce moment le chevalier de Caro venait de terminer son temps de service à la guerre et était rentré dans ses foyers. Les paysans se rendirent chez lui et le prièrent de les aider de ses conseils. Le chevalier le leur promit de grand cœur: Vous êtes de braves gens, leur dit-il, mais vos jambes agiles et vos makhilas (bâton basque) sont de faibles armes contre le dragon. Depuis peu on a inventé une certaine poudre qui prend feu tout à coup et qui tue à grande distance. C’est l’arme qu’il faut ici.
«Le chevalier de Caro ne fut pas long à prendre ses dispositions. Il bourra de poudre une outre de veau, y adapta une mèche d’une certaine longueur, mit l’engin sur son cheval, derrière lui, comme une valise, et le posta devant l’entrée de la caverne. Il avait appris que le dragon, bien repu, dormait à cette heure et restait inoffensif.
«Il mit donc le feu à la mèche, sauta sur son cheval et, le lançant à toute vitesse, remonta le versant opposé. Alors, d’un coup de mousqueton, il réveilla le monstre. Le dragon, réveillé, mit la tête à l’entrée de la caverne et, apercevant l’outre, l’aspira et l’engloutit. Une minute après, une formidable détonation retentit et le dragon, s’élançant hors de sa caverne, déploya ses ailes et s’éleva dans les airs en vomissant du feu.
«Sa longue queue, battant furieusement le sol, renversait les hêtres. Il dirigea son vol du côté de Bayonne et se jeta dans la mer pour y éteindre le feu qui le dévorait; mais il y creva. Le chevalier de Caro, à la vue du dragon gigantesque, fut pris d’un tel saisissement, qu’il se mit au lit en rentrant chez lui et mourut. Mais il avait délivré les Basques du maudit dragon.»
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L’absinthe: entre boisson «Ordinaire» et poison vert
D’après «Le Nouvelliste des Vosges illustré», paru en 1904
L’absinthe, la funeste absinthe contre laquelle se liguent tous les antialcoolistes de l’univers n’était à l’origine que le plus innocent des remèdes, peut-on lire en 1904 sous la plume d’un chroniqueur du Nouvelliste des Vosges illustré
C’est un médecin français qui en fut l’inventeur. Il se nommait Ordinaire, et s’était réfugiéà Louvet, en Suisse, à la fin du XVIIIe siècle. A l’exemple de la plupart des médecins de campagne, il était quelque peu pharmacien. Un de ses remèdes de prédilection était un élixir préparé avec un certain nombre de plantes aromatiques parmi lesquelles dominait l’absinthe.
Calendrier promotionnel 1894 pour l’absinthe Terminus
Le praticien gardait avec un soin jaloux le secret de cette préparation à l’aide de laquelle il prétendait guérir à peu près tous les maux. A sa mort, il légua sa recette à sa gouvernante, une demoiselle Grandpierre. Celle-ci la vendit aux filles de M. le lieutenant Henriod. Cultivant elles-mêmes dans leur jardin les herbages nécessaires, elles les distillaient au foyer paternel.
Le produit de cette petite industrie se limitait à quelques dizaines de fioles, assez péniblement vendues par les colporteurs. Ce fut au commencement du XIXe siècle que, pour le malheur de l’humanité, écrit notre chroniqueur, un distillateur acheta la recette. Il s’associa avec un de ses parents pour donner une grande extension à la préparation de l’élixir.
Au début, l’association n’avait d’autres ressources, pour l’alimentation de ses alambics, que les plantations de ses propres jardins. Mais peu à peu, les demandes devenant plus fortes, la culture des herbages fut étendue et ne tarda pas à devenir une source d’importants revenus pour les communes environnantes.
La dernière moitié du XIXe siècle a été marquée par une prodigieuse extension de la consommation de l’absinthe. Mais le produit actuel n’a plus guère que le nom de commun avec la recette jadis préconisée par le médecin Ordinaire. Ni la formule, ni les procédés de fabrication ne sont restés les mêmes.
L’alcool amylique qui en constitue la base suffit à lui seul pour modifier les propriétés de la liqueur; puis la ration d’absinthe servie aux consommateurs est à peu près dix fois plus forte que la dose médicale recommandée par l’inventeur à ses patients du XVIIle siècle.
En dépit de toutes les objurgations et de tous les efforts, le poison vert continue à se répandre sur le monde. Il cause aujourd’hui plus de ruines, plus de folies et plus de trépas que l’humble remède dont il est sorti n’eût jamais pu faire de guérisons, conclut le journaliste du Nouvelliste des Vosges.
Note: en France, l’absinthe fut interdite du 16 mars 1915 au 18 mai 2011.
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7 décembre – 43: Cicéron est assassiné sur ordre de Marc Antoine et sa tête exposée au forum de Rome. L'auteur latin, qui avait pris le parti d'Octave, avait eu le tort de fustiger Marc-Antoine dans plusieurs discours.
Cicéron, c'est l'intello égaré au milieu des caïds de la politique. Il croit que le verbe peut moraliser ce monde de brutes. Il le paie cash! Lorsque Marc Antoine et Octave enterrent la hache de guerre. Le premier, qu'il a loyalement soutenu, le livre au second qui réclame sa tête. Même à l'UMP, on n'a pas ces manières. Marc Antoine fait égorger Cicéron le 7 décembre 43 av. J.-C. et expose sa tête et ses deux mains au forum de Rome, à titre d'avertissement à tous ceux qui voudraient, à leur tour, prendre la plume contre lui.
Cicéron? Voyons, le nom dit quelque chose... Un philosophe-politicien romain qui naît dans une famille plébéienne. Il étudie le droit pour devenir avocat, ce qui ne l'empêche pas d'étudier tous les philosophes grecs. À 17 ans, comme tous les jeunes Romains, il accomplit son service militaire. Il se bat dans les Abruzzes contre les ennemis de Rome et devient pote avec Pompée. Huit ans plus tard, il retourne à la vie civile en tant qu'avocat. Se prenant pour Jacques Vergès, le spécialiste des causes tordues, il n'hésite pas à défendre un esclave affranchi du dictateur Sylla. Le présomptueux. Le voilà obligé de se mettre au vert loin de Rome pour se faire oublier. En fait, il choisit de partir étudier la philo en Grèce, très loin de cet anar ronchon de Michel Onfray...
Dialectique imparable… Lorsqu'il revient à Rome, il se fait avocat d'affaires pour se faire du pognon et se lance simultanément dans la politique. Aussi bon tribun que Mélenchon et doué d'une plume qu'il trempe dans le vitriol, il devient questeur, puis sénateur. C'est alors qu'un héroïque procès contre le gouverneur de Sicile, trafiquant notoire, lui apporte la gloire. Il devient un espoir de la République. Une sorte de Bayrou, incarnant une troisième voie, celles des boni viri (hommes de bien). Mais il comprend vite que cela ne mène à rien, alors il se rapproche des conservateurs. Le voilàélu consul. Son heure de gloire, il la connaît à 43 ans en faisant échouer le coup d'État de Catilina. Il démolit sa réputation en dénonçant ses turpitudes dans quatre discours connus sous le nom de Catilinaires. Sa dialectique est imparable. "Jusqu'à quand, Catilina, abuseras-tu de notre patience?"
Depuis qu'il a dégommé Catilina, Cicéron se prend pour un caïd de la politique. C'est le Fillon du Capitole. Mais il ne fait pas le poids face aux véritables tueurs, les César et Crassus. Bientôt, l'empire romain est plongé dans un maelström politique débouchant sur une guerre civile. Cicéron joue à"je t'aime, moi non plus" avec César, le soutenant un jour, le trahissant le lendemain. Quand celui-ci meurt assassiné par un groupe de sénateurs, il mise sur Octave, le fils adoptif de César, contre le consul Marc Antoine. Déjàà cette époque, le pouvoir rend fou. Usant de la force de son verbe, Cicéron noircit Marc Antoine dans plusieurs discours retentissants. Mais, cette fois-ci, cela ne suffit pas à l'abattre. Au contraire, Marc Antoine et Octave passent un pacte de non-agression, choisissant de partager le pouvoir avec Lépide.
"Portant la main gauche à son menton..."… Mais l'ex-consul Marc Antoine n'a toujours pas digéré les attaques de Cicéron contre lui et son épouse Fulvia. En guise de cadeau de réconciliation, il demande sa tête à Octave, qui la lui accorde. Aussitôt, il envoie une paire d'assassins au domicile de Cicéron. Normalement, un Romain digne de ce nom doit affronter la mort avec panache, sans chercher à fuir. Mais Cicéron n'est qu'un homme. Il saute dans sa litière pour tenter d'atteindre la côte et embarquer dans un navire qui le mettrait à l'abri de ses assassins. Trop tard! Il n'a pas encore quitté le jardin de sa villa que les deux brutes sont là. Plutarque raconte la scène: "Ils étaient à peine sortis que les meurtriers arrivèrent: c'était un centurion nommé Herennius et Popilius, tribun des soldats, celui que Cicéron avait autrefois défendu dans une accusation de parricide..." Ils interrogent la maisonnée sur l'endroit où se trouve leur maître. Personne ne moufte. Seul "un jeune homme, nommé Philologus, que Cicéron avait lui-même instruit dans les lettres et les sciences et qui était affranchi de son frère Quintus, dit au tribun qu'on portait la litière vers la mer, par des allées couvertes".
Les deux assassins rattrapent la litière, la font déposer à terre. Cicéron, comprenant que c'est la fin, tente de faire bonne figure: "Portant la main gauche à son menton, geste qui lui était ordinaire, il regarda les meurtriers d'un œil fixe. Ses cheveux hérissés et poudreux, son visage pâle et défait par une suite de ses chagrins firent peine à la plupart des soldats mêmes, qui se couvrirent le visage pendant qu'Herennius l'égorgeait: il avait mis la tête hors de la litière et présenté la gorge au meurtrier; il était âgé de soixante-quatre ans." Avant de mourir, Cicéron déclare à son meurtrier: "Il n'y a rien de propre dans ce que tu accomplis, soldat, mais essaie au moins de me tuer proprement." Alors, Herrenius lui enfonce l'épée dans la poitrine avant de lui couper la tête, et les mains, avec lesquelles il avait écrit les Philippiques, ces quatorze discours écrits par Cicéron contre Marc Antoine.
La tête et les deux mains sont clouées sur la tribune du forum romain. Fulvia, l'épouse de Marc Antoine, elle aussi égratignée par les attaques de Cicéron, se venge en piquant avec son épingle à cheveux la langue du malheureux, qu'elle lui sort de la bouche. Ainsi périt Cicéron qui a cru pouvoir diriger Rome avec des discours.
© Le Point - Publié le 07/12/2012 à 00:00 - Modifié le 07/12/2014 à 00:00
Pour l’éphéméride du sept décembre c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2013/12/07/28603523.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, pour le Charlie de service cette coiffure lui sied bien car c'est un drôle d'indien, comme Louis Nicollin, président du club de foot de Montpellier ...
Ben pour la zique de ce dimanche, on va s’écouter du Chuck Berry en concert… Des souvenirs d’airs et de mélodies d’un autre temps hélas… Allez les amis, faites-vous plaisir et je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=C4c8nw9e2cE
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Le grand père a enfin acheté une tablette informatique et se débrouille avec les mails.
Alors il reçoit un mail de Tim, son petit-fils de 12 ans:
Bonjour Pépé, tu vas bien? C'est Top qu’on puisse échanger par mail maintenant!
Je n’aurai plus besoin de venir chez toi pour avoir de tes nouvelles!
Pour mon argent de poche, tu sais, tu peux me virer à mon compte «jeune» BE77 1002791 38. Facile non?
Tim qui t’aime »
Pépé répond
Cher Tim, Tout va bien. Je ne sais pas utiliser le homebank, mais j’ai acheté le vieux scanner de Michel.
Alors je scannerai un billet de 50 € que je t’enverrai.
signé: "le Pépé virtuel"
Marius fait la sieste.
Olive l'appelle et lui demande:
Marius, peux-tu regarder si ma braguette est ouverte?
Marius ne répond pas.
Olive crie alors:
Tant pis, je pisse!
Dans une épicerie, un play-boy examine soigneusement les bouteilles de vin:
- Parfait, s'écrie-t-il, ce petit bordeaux à 19,60 F.
est exactement ce qu'il me faut:
Enveloppez-le moi en laissant l'étiquette avec le prix bien en évidence.
Je veux le servir à une de mes nouvelles conquêtes.
Je vais lui faire croire que j'ai fait une folie en achetant pour elle un grand vin millésimé de 1960.
Un vieux paysan conseille au propriétaire d'une résidence secondaire, affligé d'une grippe épouvantable:
- Tenez, avant de vous coucher, ce soir, buvez donc un bon verre de cette gnôle de ma fabrication.
- Vous croyez que cela guérira mon rhume?
- En tout cas, je peux vous assurer d'une chose: après cela vos microbes seront joyeux.
Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés...
- Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition...
- Et quelle est-elle? demande le notaire
- Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort!
Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande:
- C'est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela?
- Oh oui! C'est parce que de cette façon, je suis sûr qu'au moins une personne regrettera ma mort.
Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte...
Et puis le mourant l'interrompt pour lui faire une recommandation de plus:
- Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu'ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.
Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond:
- C'est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu'elle a toujours dit qu'elle ferait à ma mort... danser sur ma tombe.
3 bonnes sœurs meurent dans un accident et arrivent au paradis.
Dieu leur accorde une dernière faveur.
La 1ère dit "je veux un mec avec une grosse bite" dieu repond ok j'en connais un.
La 2eme dit j'en veux un avec une bite très longue et un gros gland.
Dieu répond ok j'en connais un.
La 3eme dit, j'en veux un avec une petite bite et des petites couilles.
Dieu répond ok j'en connais un mais là il faut attendre, il est en train de lire une blague...
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C'est dimanche... dès le réveil assez tardif, après une bonne grasse matinée, avec un temps pareil que voulez-vous faire d'autre que de flâner au plumard? on se lève, on petit-déjeune copieusement pour faire le repas principal vers les 14 heures... Pourtant, en cette saison il y a des férus de course à pied qui courent un peu partout et il y a des localités qui organisent quelques manifestations ou encore des marchée de Noël ou de saison de fête pour ne pas choquer certains culs-pincés de libres penseurs fouteurs de merde... Une pensée pour celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée en vous disant à la revoyure...