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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du deux janvier

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«Au deux de l’an, les jours croissent d’un vol de faisan.»

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«Le temps du deux janvier présage celui de septembre.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est vendredi et déjà un jour de passé... On se remet les idées en place, pour certains la tête des lendemains de fête est remplacée par une meilleure mine, les estomacs et les foies sont soulagés et vont être soumis au bouillon, voire au régime pour quelques jours... Les belles et bonnes résolutions commencent ou parfois sont déjà terminées... Les vacanciers profitent des derniers jours de neige pour s'éclater avant la transhumance le plus tard possible, en rentrant à l'allure d'un troupeau de mouton, en espérant qu'il ne neige pas...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec -5° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce vendredi, quelques bancs de brouillards sur le Plateau en début de journée sinon encore de belles éclaircies dans un ciel de plus en plus voilé. Ciel se couvrant entre la fin de matinée et la mi-journée. Retour de quelques pluies avant la fin d'après-midi sur le nord du Jura, arrivant en fin de journée et de façon plus atténuée en Valais. Limite pluie/neige comprise entre 1500 et 1800m d'altitude, plus basse mais précipitations plus éparses en Valais. Bise tombant durant la nuit. Vent faible de sud-ouest vendredi sur le Plateau et le Léman. Vent de nord-ouest modéré en montagne. Températures prévues pour vendredi: -8 à -2 degrés à l'aube du Valais au Léman, 2 à 5 degrés l'après-midi du Valais central à la vallée de Delémont. -8 puis 5 degrés vers 1000m dans le Jura, 1 puis 2 degrés vers 2000m d'altitude...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de saison, perturbée à foison, c'est l'hiver... Avec pour ce jour: en matinée, une perturbation apporte nuages et faibles pluies au nord de la Loire. De petites pluies verglaçantes ou quelques flocons peuvent se produire en début de matinée des Ardennes à la Lorraine. Sur une large moitié sud, le beau temps froid se maintient avec des gelées et quelques bancs de brouillards. Dans l’après-midi, on retrouve la zone perturbée des Charentes et des Pays-de-la-Loire à l'Alsace au nord-est avec des faibles pluies éparses. Retour d'éclaircies sur les régions du nord-ouest. Sur une petite moitié sud, temps calme avec un ciel plus ou moins voilé. Températures en hausse. En soirée, petites pluies éparses sous la perturbation sur les régions centrales. De part et d'autre de cette zone faiblement perturbée, des éclaircies se développent et le temps reste sec. Dans la nuit, la perturbation se désagrège sur place avec tout au plus quelques gouttes sur les régions centrales tandis qu'une nouvelle fait son apparition du côté de la pointe bretonne… 

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, variable et pluvieux avec des températures de l'ordre de 31°; à l'île de la Réunion ce sera pluvieux avec des températures de l'ordre de 30°; à la Martinique ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31°; ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31° en Guadeloupe; ensoleillé et pluvieux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 31°; Polynésie française ciel couvert avec des températures de 31°; ciel couvert aux Marquises avec des températures de 27°; averses de neige isolées et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 2°...

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil à Lausanne est à 08:20 et le coucher du Soleil se fera à 16:52 et le jour est plus long de 1 minute...

 

Valeurs remarquables de janvier en France

T Max.: 25.5°C (Solenzara le 02/01/1962)
T Min.: -27.1°C (Grenoble-St Geoirs le 03/01/1971)
Précip.: 185.4 mm (Mont Aigoual le 03/01/2008)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu en 2015 les...: 

Mardi. 20 janvier à 06h42, coefficient 93, à 19h08 coefficient 98
Mercredi 21 janvier à 07h30, coefficient103, à 19h56 coefficient 106
Jeudi 22 janvier à 08h16, coefficient 109, à 20h42 coefficient 109
Vendredi 23 janvier à 09h01, coefficient 109, à 21h26 coefficient 107
Samedi 24 janvier à 09h45, coefficient 104, à 22h08 coefficient 99
Dimanche 25 janvier à 10h28, coefficient 93, à 22h50 coefficient 87

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1997: Il faisait -21.4°à Elsenborn
En 1988: Les températures maximale grimpaient jusqu'à 13,5° en province du Limbourg et 13,8°à Zaventem
En 1979: La température minimale était de -19,1°à Kleine-Brogel en province du Limbourg

 

La France pittoresque

Boulangers d’Auch condamnés en 1776 pour refuser des gâteaux des rois à leurs clients
D’après «Bulletin de la Société archéologique du Gers», paru en 1915

Suite à la décision prise par les boulangers d’Auch de cesser de donner des gâteaux de rois à leurs clients, la municipalité s’émut de cette coalition et les condamna sévèrement, le texte de cette condamnation étant publié sans doute pour servir d’exemple
Un extrait des registres de l’Hôtel de ville d’Auch des 25, 26, 27 et 31 décembre 1776, ainsi que du 4 janvier 1777 stipule que: «Sur ce qui a été remontré par le procureur du Roi de l’Hôtel de ville, que si les boulangers de la ville avaient cherchéà s’affranchir par les voies légales de l’obligation de donner des gâteaux des Rois, il se bornerait à veiller à l’exécution de l’ordonnance du 21 décembre dernier, qui les condamne à suivre à cet égard l’ancien usage; mais qu’il ne peut s’empêcher de dévoiler les circonstances d’un complot qui n’a été proscrit avec quelque indulgence, que parce que nous n’en connaissions pas toute la témérité.

«Craignant l’aspect de ces lieux témoins de notre vigilance et de notre sévérité, ce n’est que dans une juridiction étrangère qu’ils ont osé le former: là illicitement assemblés le quatorze décembre devant un notaire qui eût dû leur refuser son ministère, ils se sont fièrement promis, à peine de cent cinquante livres d’amende contre chaque contrevenant, payables entre les mains de Campan leur syndic, de ne faire avant ni après les Rois, ni pour présent, ni pour argent, ni pour leurs pratiques, ni pour eux-mêmes, aucune espèce de gâteaux des Rois.

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Le Gâteau des Rois. Peinture de Jean-Baptiste Greuze, 1774

«Là, croyant pouvoir s’élever au-dessus de l’Autorité même, ils ont protesté que c’est à leur tribunal qu’ils appelaient de toute ordonnance, de tout arrêt même qui voudraient les contraindre; et s’abrogeant le pouvoir législatif d’infliger des peines et amendes, dont les seuls juges sont dépositaires, ils ont d’avance condamné le boulanger à une somme de cent cinquante livres s’il s’avisait d’obéir à justice, sans avoir requis et obtenu leur approbation; c’est là enfin que prévoyant le cas où des pratiques mécontentes du refus du gâteau voudraient changer de boulanger, ils ont unanimement voté que pas un d’eux ne la recevrait, et ne lui fournirait du pain à la taille ni à crédit; projet d’autant plus séditieux, que dans cette ville où les habitants ne trouvant pas régulièrement du pain de vente chez le boulanger, sont obligés de s’en assurer à la taille, il tiendrait à les mettre dans l’incertitude de leur subsistance.

«En vain certains d’entre eux, instruits sans doute de ces recherches sur leur conduite, se sont hâtés par actes du 24 et 25 décembre de revenir de leur délire; ce repentir tardif, n’ayant pas été imité, n’annonce que trop que l’intention actuelle des autres est de soumettre l’exécution de notre ordonnance au droit d’improbation qu’ils se sont despotiquement abrogés, et de nous faire éprouver dans cette exécution la résistance la plus soutenue.

«Si nous avions refusé quelquefois de prendre leurs moindres représentations en considération, si par une sévérité excessive nous avions rendu l’exactitude dans leur métier trop difficile, ils seraient moins blâmables sans doute dans leur égaiement; mais dans un temps où nous leur avions manifesté que nous devions connaître par des nouvelles épreuves les plus exactes, si leurs murmures sur le tarif de 1713 étaient mieux fondés que ceux du public, mis sous nos yeux dans son réquisitoire du 17 décembre 1772, devaient-ils par une ligue aussi contraire à la subordination à laquelle ils sont plus spécialement que tous les autres artisans soumis, braver les usages et les magistrats qui en sont les défenseurs?

«Que cet esprit de révolte ne fût pas arrêté dans son principe, il se porterait bientôt sur des objets plus intéressants, l’approvisionnement de la ville serait incertain, et le public, victime des intrigues du boulanger, verrait bientôt la gangrène se glisser dans les autres métiers. Il est trop instant de sévir contre un complot aussi amendable, et d’en connaître plus particulièrement les auteurs; c’est pourquoi requiert, après avoir laissé sur le bureau l’acte du 14 décembre courant, que tous ceux qui ont été parties dans ledit acte, soient mandés et interrogés sur les circonstances dudit acte, antérieures et postérieures, pour ensuite sur leurs réponses être sur le tout pris par lui telles conclusions que de droit. Signé: SOUBIRAN-LAMAGUÈRE.

«Ayant ordonné que lesdits boulangers seraient mandés à l’Hôtel de ville, et Dominique Campan, Augustin Loubens, Jean-Baptiste l’Abbadie, Joseph Raouilh, Estienne Castex, Jean Maurosi, Jean Darré, Raymond Lacome, Joseph Deneis, Guilhaume Maurosi, Augustin Campan et Joseph Estebenet, boulangers, parties audit acte du 14 décembre, ayant été ouis:

«Nous conseillers du Roi, Maire, Lieutenant de Maire, Consuls et Assesseurs susdits:
«Vu l’acte du quatorze décembre mil sept cent soixante-seize, retenu par Segrestan, notaire-royal à Pavie, notre ordonnance de police du vingt-un, les actes de désistement du 24 et 25, notre verbal desdits jours 25 et 26, les conclusions définitives du procureur du Roi du trente-un dudit mois de décembre dernier: Euë délibérarion, ordonnons que tous les boulangers compris dans ledit acte du quatorze, seront mandés pour être admonestés, l’audience tenant, que le four de Dominique Campan, syndic des boulangers, sera démoli à la diligence du procureur du Roi, à laquelle démolition il sera néanmoins sursis pendant deux mois à cause des pratiques qui prennent le pain à la taille, avec défenses audit Campan de le relever que par une permission de notre part; l’avons condamnéà aumôner l’hôpital de cette ville de là somme de cent cinquante livres pour être employée à acheter des lits qui manquent dans la salle des soldats malades; avons aussi condamné Augustin Loubens, Jean Maurosi et Jean-Baptiste l’Abbadie, chacun à aumôner au profit du même hôpital la somme de cinquante livres pour être employée à l’achat desdits lits; comme aussi avons condamné Etienne Castex, Joseph Daries, Raymond Lacome, Joseph Deneis, Jean Darré, Joseph Campan, Augustin Campan, Joseph Estebenet, Guillaume Maurosi et Joseph Raouilh, boulangers, à aumôner chacun la somme de cent sous applicable comme dessus.

«Faisons défenses ausdits boulangers de tenir aucunes assemblées qu’elles ne soient présidées par un officier municipal, préalablement averti du sujet de ladite assemblée par un des syndics desdits boulangers, auxquels nous enjoignons de s’assembler incessamment dans l’Hôtel de ville pour procéder en la forme susdite à la nomination de deux nouveaux syndics. Ordonnons que la présente ordonnance sera imprimée, lue et affichée aux lieux accoutumés, et avons condamné lesdits Campan, Loubens, Maurosi, l’Abbadie, Castex, Daries, Lacome, Deneis, Darré, Joseph et Augustin Campan, Guillaume Maurosi, Estebenet et Raouilh, solidairement aux frais de la présente. Donnéà Auch en l’Hôtel de ville ledit jour quatrième janvier mil sept cent soixante-dix-sept. LACROIX-DE-SALENAYE, maire; DORGUEILH, lieutenant de maire; MOLLIÈRES, DE REY, DUFFAUT, PARDIAC, consuls; RAFFY, SAINT-PIERRE, assesseurs, signés à l’original. Expédié par Nous, conseiller du Roi, secrétaire-greffier de l’Hôtel de ville, à la requête du procureur du Roi, en foi de quoi, POMMÉ, secrétaire-greffier.» 

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Injection de sang de chèvre contre la tuberculose?
Extrait du «Figaro» du 26 janvier 1891

En 1891, trente ans avant l’enregistrement des premiers succès du vaccin BCG (vaccin Bilié de Calmette et Guérin) contre la tuberculose, Le Figaro se fait l’écho de l’expérience de deux savants venant de pratiquer l’inoculation de sang de chèvre sur deux patients, et voyant un gage de réussite en le caractère réfractaire, selon eux, de l’animal à cette affection

C’est hier matin que, pour la première fois à Paris, a été mis à l’essai ce singulier traitement de la tuberculose par le sang de chèvre dont j’ai déjà parlé, écrit Emile Gautier. Les deux savants praticiens de Nantes, à qui revient l’honneur de la découverte, MM. Bertin et Picq, avaient fait tout exprès le voyage, sur l’invitation formelle de quelques-uns de leurs collègues de la Ville-Lumière.

Une première expérience a été faite par eux en présence des docteurs Hérard, Rousseau et Albert Filleau, et de M. Laquerrière, vétérinaire, sur un jeune phtisique, auquel on a inoculé 15 grammes de sang de chèvre dans la masse des tissus musculaires de la cuisse. Une seconde expérience semblable a été faite, en présence du seul docteur Filleau, sur l’un de ses clients, qui s’était délibérément prêtéà cette tentative - parfaitement inoffensive, au surplus - d’un si haut intérêt scientifique.

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Une expérience d’injection de sang de chèvre

Cette double opération s’est accomplie sans accident. Ainsi que je l’avais prévu, elle n’a été douloureuse ni pour les patients ni même pour la chèvre, qui, après la saignée, tendait encore la patte, gentiment et sans rancune, à ceux qui venaient ainsi de l’égorgiller en détail. Aucune coagulation ne s’est produite aux environs de la piqûre: les spécialistes présents ont pu immédiatement s’en convaincre par la palpation digitale. La méthode ne présente donc ni les inconvénients ni les périls inhérents à la transfusion du sang. Le fait est qu’il ne s’agit pas d’une transfusion intraveineuse ordinaire, mais plutôt d’une injection sous-cutanée de sang vivant, non plus de veine à veine, mais de veine à muscle.

Elle n’en exige pas moins une grande habileté, une légèreté de touche exquise et infiniment de savoir-faire. Il faut, en effet, que le sang s’écoule de la jugulaire de l’animal et entre immédiatement «dans la peau du bonhomme» avec une abondance mesurée et une vitesse régulière, sans repos, sans variation de température, sans perte de sa tension ni de ses gaz, sans diminution du chiffre de ses globules ou de leur fragile vitalité, sans altération de ses instables éléments, sans contamination par le ferment de la fibrine, sans avoir été touché par l’air et sans entraîner d’air avec lui, et cela dans un espace de temps qui ne doit pas dépasser douze ou quinze secondes. Il y a là tout un manuel opératoire délicat, subtil et compliqué.

C’est ce qu’ont expliquéà leurs collègues MM. Bertin et Picq, après leur avoir obligeamment donné tous les éclaircissements souhaitables sur la genèse de leur microbicide et capricante méthode, laquelle n’a rien de commun avec les essais de laboratoire antérieurement tentés sur des «lymphes» ou des «sérums». Partis de cette hypothèse – expérimentalement vérifiée - que le vaccin de chèvre (animal réfractaire à la tuberculose [en réalité seulement peu fréquente]) devait être préféré au vaccin de génisse, MM. Bertin et Picq en sont logiquement arrivés à conclure que le sang de chèvre inoculéà un tuberculeux produirait peut-être les bienfaisants effets d’un vaccin spécial. Et les résultats obtenus à Nantes semblent de nature à faire croire qu’ils avaient conclu juste!

Espérons que les résultats des expériences de Paris - résultats qu’il est difficile d’escompter, puisque, pour être efficaces, les injections paraissent devoir être renouvelées tous les dix jours - confirmeront ces espérances. Nos lecteurs, au surplus, seront tenus au courant. La vieille légende d’après laquelle il suffirait, pour écarter l’épidémie d’une étable, d’y faire coucher un bouc, et, pour guérir un poitrinaire, de l’abreuver de lait de chèvre salé, aurait-elle donc, comme tant d’autres légendes nées des instinctives observations des foules profanes, un fonds de vérité? Si oui, ce sera le cas ou jamais d’immoler, en signe de réjouissance, un Koch [médecin allemand qui découvrit la bactérie responsable de la tuberculose] à Esculape.

N.B.: Depuis 2007, la vaccination B.C.G. n’est plus obligatoire en France, après que, d’une part la rareté de la maladie ait été constatée dans les pays à haut niveau d’hygiène, d’autre part l’inefficacité du vaccin à empêcher la transmission de cette affection ait étéétablie 

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Origine du carnaval, saturnales, masques, fête de l’âne, du renard, du bœuf gras, Arlequin.
D’après «Histoire anecdotique des fêtes et jeux populaires au Moyen Age» paru en 1870

Sans doute est-ce pour oublier les tristesses de la saison, pour tromper l’ennui des jours de pluie et de brouillard, qu’on a inventé les divertissements du carnaval, qui dérivent des saturnales antiques, et il n’y a peut-être rien de si vieux dans les coutumes des peuples que la procession du bœuf gras
Les bacchanales des païens, les panathénées des Grecs, le phurium des Juifs, fête instituée par la vertueuse Esther et par son oncle Mardochée, parmi ceux de leur nation, pour célébrer leur délivrance de ce fameux péril conjuré par la reine, sont l’antique image, quelques-uns disent le principe même des saturnales moins scandaleuses que nous célébrons maintenant sous le nom de carnaval. Au Moyen Age, il faut le dire, les fêtes du carnaval étaient le plus souvent de vraies orgies. Les déguisements d’un sexe en un autre, et même les travestissements de l’homme en bête, donnaient lieu à des scènes et à des épisodes déplorables pour la morale, ce qui explique que l’Eglise tonna pendant plusieurs siècles contre ces désordres.

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Le bœuf gras à Paris

On fut obligé de défendre le masque au XVIe siècle sous les peines les plus sévères, et la monarchie se prêta très bien en ceci aux vues de l’Eglise, qui réprimait et condamnait hautement ces scandales. Les Valois sont ceux de nos rois qui se sont montrés les plus sévères à cet endroit des mœurs publiques. Jusqu’en 1509, le masque avait passéà travers les époques les plus rigides. Là s’arrêtèrent ses débordements. On avait vu jusqu’alors des troupes de masques arpenter les rues, armés de bâtons entourés de paille, frappant à tours de bras tous les passants qui se rencontraient sur leur chemin. Ce fut une ordonnance de François Ier qui leur défendit ces libertés, et peu après, l’usage des masques et momons fut absolument défendu en public sous les conditions les plus rigoureuses.

L’époque des anciennes saturnales correspondant à merveille avec l’époque des réjouissances de Noël, nos naïfs aïeux, qui mêlaient sans remords, dans leur dévotion quelquefois très bigarrée, les images du paganisme aux pratiques chrétiennes, finirent par fondre ensemble dans leurs fêtes de famille le souvenir des saturnales romaines, des calendes de janvier, de l’Epiphanie et même de Noël. Leur carnaval commençait le 25 décembre, et se poursuivait jusqu’à l’entrée du carême. C’était dans les premiers siècles le premier jour de l’an que se faisaient les principales mascarades en l’honneur de Janus, et on pourrait bien trouver peut-être l’origine du masque dans la tête de ce dieu à deux visages. C’est à cause de ces mascarades bruyantes et désordonnées que l’Eglise imagina d’avancer l’année de huit jours. Auparavant l’année française commençait le 1er mars, jour qui, sous les Mérovingiens, était la fête de la revue générale des troupes. Sous les Capétiens, l’année s’ouvrit à Pâques. Ce ne fut que sous Charles IX, par un édit royal de 1564, que l’année fut enfin fixée, suivant l’ancien usage, au 1er janvier.

De ces origines toutes païennes, sont dérivées la fête des fous, la fête des calendes de janvier, la fête de l’âne, et enfin la procession du renard, imitée sous un autre titre et quelquefois d’antres attributs suivant les localités. Lors de cette fête-ci, on voyait figurer, au milieu du clergé, un renard couvert d’un surplis fait à sa taille, avec la mitre et la tiare sur la tête. On avait mis de la volaille à sa portée. Le renard, naturellement vorace, n’attendait pas, comme on pense bien, la fin de la cérémonie pour se jeter sur cette facile proie. Le plus souvent, il oubliait ses pieuses fonctions, et s’emparait des poules qu’il se mettait à dévorer en présence de l’assistance, si noble qu’elle fût. Plus d’un prince s’en amusa, entre autres Philippe le Bel, que la procession du renard divertissait beaucoup. Il est vrai que ce monarque avait eu maille à partir avec le pape, et qu’il voyait une allégorie qui lui plaisait dans cette singulière procession. Ce type de divertissements sacrilèges n’effarouchait point la dévotion superstitieuse des populations du XIIIe et du XIVe siècle.

Quant à la fête du bœuf gras, on peut en voir l’origine dans cette sorte de promenade des bœufs destinés aux sacrifices païens auxquels nos tapisseries anciennes font allusion. On promenait le bœuf gras, qui rappelle tout simplement l’âne de Silène, dans quelques-unes de nos villes les plus anciennes, à savoir surtout Marseille. La victime était choisie parmi les plus beaux bœufs, parée de fleurs, entourée de ses sacrificateurs qui la gardaient à vue, et de musiciens qui avaient l’air de prétendre charmer ses derniers moments. Près d’entrer dans la sainte abstinence du carême, on voulait montrer au peuple le dernier bœuf dont il lui serait permis de manger. On l’appelait bœuf gras, comme on appelle encore jours gras les jours d’allégresse qui précèdent le carême. Excepté son entourage mythologique, qui ne date en réalité que de la Révolution, le bœuf gras d’autrefois a toujours ressembléà notre bœuf moderne. On l’a toujours paré comme il est aujourd’hui et comme l’étaient les victimes antiques. On a toujours entouré sa marche de la même pompe, à peu de chose près. Les garçons bouchers, chargés de la marche, étaient jadis, comme aujourd’hui, vêtus à l’instar des esclaves des sacrificateurs, et avaient des instruments comme des anciens en partaient aux sacrifices. On mettait aussi sur le dos du bœuf, à Paris seulement, l’enfant traditionnel, aujourd’hui transforme en amour, jadis appelé par les bouchers leur roi. Peut-être la légende de saint Nicolas entre-t-elle là pour quelque chose.

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Fête du bœuf gras

Mais par la suite, l’un des personnages du cortège du bœuf le plus important fut sans contredit Arlequin, empruntéà la scène italienne. On ne le connaissait guère en France avant la Renaissance. Il y fit fortune. Arlequin, avec sa spirituelle et souple badine, avec son masque qui lui permit toutes les finesses de la plus audacieuse raillerie, son habit étriqué, court, bigarré de morceaux triangulaires de drap, avec des souliers sans talons, avec son menton narquois et ses noires prunelles foudroyantes de malice sous son masque de velours, était un type qui devait se nationaliser en France. Aussi Arlequin devint-il le héros de toutes nos folies et mascarades, en compagnie de Colombine et de Polichinelle, Pulcinello, un type italien aussi. Moins spirituel que le nôtre, l’Arlequin des Italiens avait aussi sa grâce et sa finesse. Il tenait à la fois du singe et du chat, gracieux et souple, rusé et perfide à l’occasion. C’était un grand enfant, quelquefois naïf, quelquefois pétillant de saillies, toujours fécond en ressources, et n’échappant à une situation comique que pour tomber dans une autre encore plus comique. Comme le nôtre, il avait un masque noir, et l’on croit que c’est parce qu’un esclave africain en fut le premier modèle.

La première langue d’Arlequin fut le patois de Bergame; ce fut sans doute, dit-on, pour ridiculiser les habitants de Bergame, passant généralement pour sots et fripons. Depuis son apparition parmi nous, Arlequin ne nous a plus quittés. Il éclipsa la célébrité des Scapin, des Sganarelle, des Crispin, des Pierrot, des Gilles, des Jeannot, des Cadet Roussel et des Jocrisse. Il fut un des personnages essentiels de nos scènes comiques. De nos jours, banni à peu près des théâtres, nous le retrouvons, encore presque partout dans nos mascarades populaires, et il restera éternellement le souvenir et le symbole des plus belles époques du carnaval. A Londres, en Espagne, en Italie, même dans tout le Nord, en Allemagne et en Russie, le carnaval s’est soutenu beaucoup mieux qu’en France. Il est fort agréable à Barcelone, et à Londres, où dit-on, la meilleure compagnie oublie les lois de stricte étiquette et de hautaine réserve qui la régissent ordinairement, pour partager, sous le commode incognito du masque, les divertissements populaires.

Mais cela n’est rien à côté de ce carnaval de Venise tant vanté et avec raison. C’est à Venise que le carnaval semblait avoir élu son privilège exclusif. L’Europe retentissait au Moyen Age de la somptuosité et de l’élégance de son fameux carnaval. C’était la plus brillante fête de la folie due l’on pût voir. Quel temps que celui-là! Sur les canaux serpentaient les riches gondoles pavoisées et illuminées, portant leurs masques aristocratiques. Au sommet des mâts de triomphe s’agitaient au vent les bannières éclatantes des nations étrangères que Venise comptait comme autant d’alliées. Chaque clocher déployait l’image du lion ailé, le lion de Saint-Marc. Des tapisseries précieuses, de soyeuses banderoles flottaient sur les murailles noircies et aux balcons dorés des palais. Dans de riches équipages marins s’avançaient les ambassadeurs des puissances que la fière Venise tenait sous son joug, et c’est au milieu de ces pompeuses fêtes qu’avait lieu cet acte étrange de mysticisme politique, le mariage du doge avec l’Adriatique. 

Article copié sur "La France pittoresque"

 

2 janvier 1872: Le mormon Brigham Young, 71 ans, est arrêté pour polygamie. Il possède 25 femmes. Tout au long de sa vie, le chef de l'Église mormone accumule 55 compagnes et 57 enfants. Quelle santé!
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Après avoir réussi à imposer la polygynie au sein de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours (les mormons), Brigham Young se constitue un sacré harem: on lui connaît officiellement 55 compagnes. Pas toutes simultanément, heureusement pour sa santé. Il y a Louisa, Eliza, Clarissa, Rebecca, Diana, Suzanne, Olive, Ellen, Rhoda ou encore Zina... Seize d'entre elles lui donnent 57 enfants. Maître Capello nous interrompt pour une précision de la plus haute importance: il s'agit bien de polygynie, et pas de polygamie. Dans le premier cas, le mâle s'accouple avec deux ou plusieurs femelles; dans le second cas, l'homme noue des liens officiels (le mariage, par exemple) avec ses femmes. Les mormons préfèrent parler de mariages pluraux.
Le 2 janvier 1872, Brigham Young est arrêté pour complicité de meurtre. Un apôtre mormon l'aurait accusé d'avoir fait empoisonner un rival. C'est en fait le seul motif trouvé par les autorités américaines pour le mettre hors d'état de nuire, ce serial fucker. Comme il a 71 ans, il est simplement gardéà vue à son domicile.

Lecture de la Bible… Young naît le 1er juin 1801 dans une famille pauvre et protestante du Vermont. À 16 ans, il devient charpentier, peintre et vitrier. Il se marie à 23 ans, fait deux enfants à son épouse unique. Après avoir longuement hésité, Young se convertit au mormonisme en 1832 juste avant que son épouse ne meure de tuberculose. Il rejoint Joseph Smith, le créateur de l'Église mormon. Il se remarie, a six autres enfants, mais reste toujours l'homme d'une seule femme. Enfin, à 46 ans, il succède à Smith comme président de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours.
Jusque-là, le mariage plural est pratiqué très confidentiellement par les mormons qui s'en réfèrent à leur lecture de la Bible selon laquelle Dieu accepterait qu'un homme puisse avoir plusieurs épouses. Pas le contraire, bien entendu! Young institutionnalise cette pratique et montre l'exemple. Comme il n'est pas du genre à faire les choses à moitié, le voilà bientôt à la tête d'une tribu à donner des cauchemars aux allocations familiales. Ne pouvant plus se contenter d'un mobile home comme logement, Young se fait bâtir en 1856 une vaste demeure - Lion House - à Salt Lake City. Un de ses contemporains note: "Chaque femme possède son propre intérieur, consistant en un parloir, une chambre à coucher et une porte d'entrée dont elle conservait la clef dans sa poche." La maison comptait une vingtaine de chambres à coucher.

Traitement cruel… La polygynie affichée des mormons finit par inquiéter les autorités du pays qui décident de réagir. Le 2 octobre 1871, le procureur des États-Unis entame les hostilités en accusant officiellement Brigham Young de polygamie. La contre-attaque est vite organisée: le 26 octobre 1871, 2 500 femmes mormones adressent une pétition au président des États-Unis Grant pour dire qu'elles sont parfaitement heureuses d'appartenir à un harem. "Plus on est, plus on rit", écrivent-elles. Sans doute est-ce un rire intérieur, car sur les photos de l'époque elles semblent plutôt faire la tronche. L'une d'elles osa briser la loi de l'omerta, il s'agit d'Ann Eliza Young, qui, en 1868, avait épouséà 24 ans Brigham alors qu'il avait 67 ans. Après le divorce, qu'elle demanda pour traitement cruel, elle multiplia les conférences pour dénoncer la polygynie des mormons.
Brigham Young finit donc par être arrêté une première fois pour polygamie, puis une deuxième fois, le 2 janvier 1872, sous prétexte d'avoir commandité un meurtre. Il n'est cependant jamais envoyé en prison. Il meurt d'une péritonite, chez lui, à Salt Lake City, cinq ans plus tard. Quant au mariage plural, les mormons y renoncent le 7 avril 1889.

2 janvier 1872. Le mormon Brigham Young, 71 ans, est arrêté pour polygamie. Il possède 25 femmes.
© Le Point - Publié le 02/01/2012 à 00:00 - Modifié le 02/01/2015 à 00:02

 

Pour l’éphéméride du deux janvier c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/01/02/28827563.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo du deuxième jour de l'an, le Charlie de service a pris de bonnes résolutions qui dureront ce qu'elles dureront; tout comme certains dont je tairais le nom, il part en exil, mais on ne sait pas où; vu qu'il est fada peut-être à l'asile...

 

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Ben pour la zique de ce deuxième jour de l’an, on va s’écouter un concert avec des grosses pointures…que sont Eric Clapton, Jeff Beck, Jimmy Page, Ron Wood, Bill Wyman, Jan Hammer, Charlie Watts… Allez les amis, faites-vous plaisir, car c’est du bon, c’est même du tout bon… avec les fourmis qui vous démangent les guibolles et envie de taper du pied même avec la gueule de bois… je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=lcEW2dj6Dfk

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Les petits trucs qui prouvent que tu es saoul!

Vous vous concentrez mieux en fermant un œil.
Vous n'avez pas le dessus en vous disputant avec des objets inanimés.
Vous vous accrochez à l'herbe pour ne pas tomber sur le sol.
Une analyse sanguine a montré que votre alcool contient des traces de sang.
Le siège des toilettes s'obstine à tomber sur l'arrière de votre tête.
Vous pensez sincèrement que l'alcool est un type d'aliment comme les lipides, glucides et protides...
Comme c'est bizarre: il y a 24h dans une journée et il vous faut une caisse de 24 canettes...
Le parking n'est pas au même endroit que lorsque vous êtes arrivé.
Vous demandez à votre femme: "où sont les enfants?"... mais vous n'avez pas d'enfants et encore moins de femme, vous êtes en train de parler à votre oreiller.
Votre lit vous fait penser à un bateau sur une mer démontée.
Votre verre s'obstine à rater l'entrée de votre bouche.
Vous commencez à comprendre ce que dit Sylvester Stalone.
Ils ne veulent plus de vous au "Don du Sang".
Chaque femme que vous rencontrez se promène avec sa sœur jumelle.

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Petite comparaison prison/travail...

La prison: On passe tout son temps dans une cellule de 8 mètres par 10
Le travail: On passe tout son temps dans un espace de 6 mètres par 8

La prison: On bénéficie de trois repas par jour.
Le travail: On a un repas par jour et il faut le payer.

La prison: Quelqu'un ouvre et ferme la porte pour vous.
Le travail: Il faut le faire soi-même.

La prison: On regarde la télé et on joue aux cartes.
Le travail: On se fait virer pour avoir regardé la télé ou joué aux cartes.

La prison: Vous bénéficiez de WC prives.
Le travail: Il faut partager.

La prison: On vous autorise à recevoir des visites de votre famille et de vos amis.
Le travail: On vous refuse le droit de recevoir des visites de votre famille et de vos amis.

La prison: Le séjour est intégralement finance par ceux qui paient des impôts.
Le travail: C'est justement là qu'on trouve ceux qui paient des impôts.

La prison: On passe l'essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.
Le travail: On passe l'essentiel de son temps à regarder par la fenêtre en attendant de sortir.

La prison: On a le temps de lire des blagues idiotes.
Le travail: On se fait virer si on est pris.

La prison: On est entouré de surveillants sadiques.
Le travail: On les appelle des chefs de service.

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C'est l'histoire d'un jeune étudiant qui a un job d'été chez WalMart.
Au premier jour de sa formation on le met avec un vieux routier qui connait tous les trucs.
Le vieux dit au jeune regarde-moi faire et apprend. Le premier client se présente:
- Puis-je vous aider monsieur?
- Oui, j'aimerais avoir de l'engrais à pelouse.
- Bien-sûr monsieur, nous avons des sacs de 5kg, 20kg et 40kg.
Je vous conseille le 40kg il est seulement 2$ de plus que le 20kg.
- C'est bien je le prends.
- Mais, il va falloir une tondeuse avec ça!
- Comment ça?
- L'engrais est excellent, la pelouse va pousser et va vous falloir tondre d'ici 2 semaines.
- C'est bien, je la prends.
Le jeune tout ébranlé se dit que ce vendeur-là est super, il réussit à vendre une tondeuse à un gars qui ne voulait que de l'engrais.
Il continue de l'observer et un second client se présente:
- Bonjour, où pourrais-je trouver les boyaux d'arrosage?
- Par ici monsieur. Nous avons des 5m, 10m et 30m.
Je vous conseille le 30m car il est seulement 5$ de plus que le 10m.
- C'est bien, je le prends.
- Il va vous falloir une tondeuse avec ça!
- Comment ça?
- Avec votre boyau vous allez arroser votre pelouse, la pelouse va pousser et il va vous falloir la couper.
- C'est bien vrai, je la prends.
Le jeune partage son admiration à l'ancien vendeur et lui dit qu'il ne saura jamais faire du pareil.
L'ancien lui répond que c'est facile et que tout le monde peut y arriver.
Justement voici un client, occupe-toi de lui.
- Bonjour jeune homme peux-tu m'indiquer où trouver les serviettes sanitaires.
- Bien sûr monsieur. C'est ici, nous avons des boîtes de 20, 50 et 100 serviettes mais je vous conseille la boîte de 100 elle est seulement 3$ de plus que la boîte de 50.
- C'est bien, je la prends.
- Il va vous falloir une tondeuse avec ça!
- Une tondeuse???
- Bien sûr, de toute façon votre fin de semaine est ruinée, vous pourrez tondre la pelouse...

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C'est vendredi... et les gens qui ont congé profitent de se reposer encore ces derniers jours pour soigner le manque de sommeil et les organismes mis à rude épreuve avec les agapes des fêtes du nouvel an... C'est que pour la reprise lundi prochain il faudra être en pleine forme bon sang... pour recommencer la routine quotidienne: supplice du réveille-matin, petit déjeuner vite fait sur le pouce, la course pour aller au travail avec ses encombrements, ses huit heures de surveillance de l'horloge avec le temps qui n'avance pas et le retour dans les pénates le soir... En ces jours de froidure, une pensée particulière va aux sans-abris qui viennent de perdre plusieurs des leurs à cause du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, de bonnes vacances, et surtout une bonne nouvelle année en vous disant à la revoyure... 

 

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