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Éphéméride du cinq avril

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«À la Sainte-Irène, le soleil se réfrène.»

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«À Saint-Martial, point de charcuterie à l'ail.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est dimanche de Pâques, c'est le grand jour des festivités autant religieuses que gustatives... après un carême plus ou moins respecté... la météo est encore maussade et perturbée par endroits et ce jour de Pâques se passe pour beaucoup au coin du feu avec la chaleur de l'âtre, pour la chasse aux œufs, doudounes et mitaines sont de mises pour ne pas attraper froid...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 1° et  un ciel nuageux dans la nuit, ce sera pour ce dimanche de Pâques, forte bise et fraîcheur. Nombreux nuages résiduels en matinée en Gruyère et le long des Préalpes, tendance aux éclaircies ailleurs, notamment sur l'ouest du Plateau et l'ouest du Léman.
En journée, belles plages de soleil du Léman au Valais central, ciel restant plus partagé en allant du Plateau à l'Ajoie. Par instabilité, développement pas exclu d'une ondée sur le nord du Jura et les Franches-Montagnes l'après-midi. Flocons dès 700 à 800m.
Températures prévues pour dimanche: minimales 2 à 3°à basse altitude, maximales 7 à 8°, jusqu'à 10° en Valais central. Dans le Jura à 1000 m: -2 à -1° puis 3 à 4°. En montagne: -7 puis -5°à 2000 m, -14 puis -12°à 3000 m.
Rafales de bise proches de 70 km/h sur le Léman dimanche après-midi, 60 km/h sur le Plateau et près de 100 km/h sur les crêtes sud du Jura. Dans les Alpes, vent de nord-est également sensible à haute altitude...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de  printemps... amélioration générale dans le pays... eh oui c'est souvent comme ça au début du mois d'avril... avec pour ce jour: le matin, le ciel sera encore couvert du Massif central aux Alpes, avec quelques rares chutes de neige à basse altitude. Des éclaircies reviendront par l'ouest, le ciel très nuageux se limitera à l'Isère et la Savoie en fin de journée. Sur l'est de la Provence et la Corse, le ciel sera chargé avec des averses, en atténuation l'après-midi.
Sur le reste du pays le temps sera sec. Le ciel sera partagé entre nuages et éclaircies près de la Manche et sur le quart nord-est, avec quelques grisailles en début de journée. Les nuages seront également nombreux au pied des Pyrénées le matin, avec quelques gouttes possibles. 
Ailleurs sur la moitié ouest et autour du golfe du Lion, le ciel sera clair à peu nuageux. La tramontane faiblira en matinée mais le Mistral se maintiendra à 80 km/h en vallée du Rhône l'après-midi, tout comme le vent de nord-est en Corse.
Il fera froid le matin pour un début de mois d'avril. Les petites gelées seront fréquentes sur la moitié nord et le Massif central, il fera 2 à 9 degrés de la Bretagne au Sud-Ouest et près de la Méditerranée. L'après-midi, les maximales plafonneront entre 9 et 11 degrés sur le Nord et l'Est, ailleurs elles varieront entre 12 degrés à Brest, 13 à Nantes, 15 à Bordeaux, 16 à Toulouse et Marseille, jusqu'à 18 à Montpellier...


Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 28°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 29°à 31°; à la Martinique ensoleillé, nuageux et variable avec des températures de l'ordre de 30°à 31°; ensoleillé et variable avec des températures de l'ordre de 31°à 35° en Guadeloupe; ensoleillé et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 31°à 33°; Polynésie française, ciel couvert avec des températures de 31°; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 29° aux Marquises; bancs de brouillard et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -2°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 07:06 et le coucher du soleil se fera à 20:07 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables d'avril en France 

TMax: 33.2°C (Cazaux le 30/04/2005)
TMin: -14.0°C (Mont Aigoual le 06/04/1911)
Précip: 182.2 mm (Mont Aigoual le 29/04/2004)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les: 

Vendredi 17 avril à 06h46, coefficient 95, à 19h13, coefficient 101
Samedi 18 avril à 07h36, coefficient 106, à 20h00, coefficient 110
Dimanche 19 avril à 8h23, coefficient 112, à 20h44, coefficient 113
Lundi 20 avril à 09h06, coefficient 112, à 21h24, coefficient 109
Mardi 21 avril à 09h47, coefficient 105, à 22h02, coefficient 100

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1989: Au meilleur moment de la journée, la température sous abri ne dépassait pas 3,8°à Zaventem.
En 1957: Sur les hauteurs du pays, la température se hissait jusqu'à 20,2° aux heures les plus douces de la journée.

 

Aujourd'hui, c'est Pâques

L'année des chrétiens est marquée par un grand nombre de fêtes. Elles rappellent l'essentiel des événements vécus par Jésus. La fête de Pâques est au cœur de la foi chrétienne. Pâques dans la Bible
Dans la nuit du samedi au dimanche de Pâques, les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ. C'est l'occasion pour eux de renouveler leur profession de foi baptismale. C'est la raison pour laquelle les adultes demandant le baptême (les catéchumènes) sont baptisés dans leurs paroisses pendant la veillée pascale.
Pâques un événement grave et joyeux, une histoire bouleversante et incroyable, qui nous bouscule et nous interpelle au plus profond de notre vie (de notre humanité) et au plus profond de notre foi.
Pâques célèbre la résurrection du Christ le troisième jour après sa mort sur la croix. Cet événement est le cœur même de la foi chrétienne. C’est pourquoi les chrétiens se préparent à la fête de Pâques depuis le début du Carême, et en particulier tout au long de la Semaine Sainte.
La fête de Pâques est la fête chrétienne la plus ancienne et la fête centrale de l'année liturgique. Elle célèbre la résurrection du Christ, sa victoire sur la mort qui est l'élément central de la foi chrétienne. En même temps elle nous fait participer à sa résurrection en célébrant notre passage de la mort à la vie. C'est la bonne nouvelle de la victoire de la vie. Pâques est une fête que l'on célèbre dans une joie communicative. "Ce jour que fit le Seigneur est un jour de joie, Alléluia". 

RESSURREIÇÂO

 

Le conte de Pâques

L'Île de Pâques est une île enchantée. Le printemps y règne en permanence. L'Île est couverte de fleurs qui embaument l'air. Et sur cette île demeure le Lapin de Pâques. Oui, ce grand lapin blanc au ventre rose qui parle tout comme nous! Il y possède une maison toute fleurie égayée par les chants de ses amis les oiseaux.
Toute l'année le Lapin de Pâques et ses amis les oiseaux sont absorbés par un travail qui les comble: préparer des surprises qu'ils distribuent à Pâques!
Toutefois, le Lapin de Pâques est songeur. Ses messagers, les goélands Gontran et Gustave, rapportent de mauvaises nouvelles des pays tropicaux. Depuis des mois il y sévit une chaleur torride. Il ne pleut pas assez. La sécheresse met en péril les récoltes. Les plants de cacao et de caroube se meurent. Le Lapin de Pâques se demande comment il va faire pour fabriquer les succulentes friandises en chocolat que les enfants aiment tant.

Le temps presse! Il faut absolument trouver une solution, sinon les enfants passeront une bien triste fête de Pâques!
Que faire? Le Lapin de Pâques ne trouve aucune réponse. Il tourne en rond dans sa belle maison fleurie; il se promène dans son jardin aux coloris chatoyants; il se repose sous un immense tilleul au parfum enivrant, rien n'y fait.
Il décide alors de prendre les grands moyens! Il convoque ses assistants afin de leur faire part de la gravité de la situation. C'est d'une voix émue qu'il prononce ces paroles:
-"Mes biens chers amis, l'heure est grave! Nous ne pourrons pas fabriquer de friandises pour les enfants. Les récoltes ont échoué. Nous devons absolument trouver un moyen d'égayer la fête de Pâques. Mais comment?"

Cotcot la poule, Tirloui l'hirondelle, Mimi la mésange, Jim le geai bleu, et Tiwit le canari se regardent, incrédules! Quelle nouvelle inattendue! Bien sûr, Gontran et Gustave étaient au courant, mais ils s'étaient bien gardés d'en souffler mot aux autres afin de ne pas les inquiéter. Maintenant, revenus de leur stupeur, tout le monde se met à parler en même temps.
-"Pas de chocolat!" fit Tirloui
-"Quelle horreur!" répondit Mimi
-"Pauvres enfants!" lança Jim
-"Que faire?" demanda Cotcot

Tiwit, qui avait pris le temps de réfléchir avant de parler, suggéra:
-"Pourquoi vous en faire avec la récolte de chocolat? Bien sûr que les enfants aiment les friandises! Mais ce qui est important pour eux, c'est de savoir que vous ne les avez pas oubliés. Alors je vous propose de leur donner quelque chose de différent! Nous avons ici beaucoup de matériaux: du papier, du bois, des roseaux, de la gouache, des perles, des coquillages, des plumes, du plâtre et des moules, bref nous pourrions leur fabriquer des jouets!"
-"Ah! Ça alors! s'écria le Lapin de Pâques ravi, mon cher Tiwit, quelle idée géniale! Oh! La La! je me sens délivré d'un poids énorme!"
Le Lapin de Pâques frappa dans les mains:
-"Mes chers amis Tiwit a trouvé la solution! Mettons-nous à l'ouvrage immédiatement et les enfants auront chacun leur cadeau à temps pour Pâques. Comme je suis content!" Aussitôt dit, aussitôt fait. Tout notre monde se retrouve à l'atelier.

Tiwit et Mimi s'installent à la table à dessin, Gontran Gustave et Cotcot manient outils, colle et ficelle, pendant que Tirloui et Jim s'occupent de la peinture et de la finition. Le Lapin de Pâques supervise le tout.
Finalement tout est prêt. Le Lapin de Pâques est heureux. Les enfants auront de belles surprises pour Pâques.

Le Lapin de Pâques remplit son immense panier avec les jouets fraîchement sortis de son atelier. Puis, portant joyeusement son panier sur le dos, il va livrer ses cadeaux. Il fait d'immenses bonds magiques. Il doit faire vite car il faut que tout soit livré avant l'aube.
Ces chers enfants! Le Lapin de Pâques est attendri à la pensée de leurs petits paniers sagement déposés au salon sous un arbre fleuri décoré avec amour! Les enfants comptent sur lui et ils ne seront pas déçus!
À chaque demeure il répète les mêmes gestes. Avec son bouquet de fleurs enchantées, il frôle la fenêtre du salon et murmure une phrase secrète. La fenêtre s'ouvre et le Lapin de Pâques va déposer un cadeau dans chacun des petits paniers. Inlassablement, des centaines de fois, non, des milliers de fois, il pose ces mêmes gestes. Oui, vraiment, Pâques sera une journée merveilleuse remplie de rires, de chants et de bonheur!

Texte trouvé sur le net   

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La France pittoresque

Pâques: fête chargée de symboles et pétrie de légendes
D’après «Les fêtes légendaires», paru en 1866. et «Le Petit Journal illustré», paru en 1932

Fête célèbre entre toutes, Pâques marque la résurrection du Christ, et s’accompagne d’une renaissance de la nature elle-même, longtemps engourdie sous son immense linceul de neige. Comme toute fête, elle est caractérisée par des symboles, que ce soit l’agneau, les oeufs - rouges à l’origine -, mais encore de nombreuses légendes parmi lesquelles celle de ces cloches qui arrachées de leur église sous la Révolution y revinrent miraculeusement, ou encore celle de ces possédés du diable venant chaque année à la Sainte-Chapelle pour s’en délivrer
D’où vient son nom?... Demandons-le aux savants... Ils nous répondront que le mot hébreu paschah signifie «passage», et que la Pâque fut créée par Moïse pour rappeler la sortie d’Egypte et le passage de la mer Rouge. Pâques fut donc une fête juive avant de devenir une fête chrétienne. Ce jour-là, dans les familles juives, on tuait le mouton gras et on le mangeait en famille. Les traditions de bonne chère sont celles qui se transmettent le plus sûrement d’âge en âge. Celle du mouton passa d’une religion à l’autre. Jusqu’au XVIe siècle, on apportait dans les églises des agneaux tout rôtis que le prêtre bénissait et qui servaient de plat de résistance le jour de Pâques.

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Œufs de Pâques

Plus tard, l’usage se répand, parmi la noblesse, d’échanger des oeufs qui sont de véritables joyaux. Le roi en distribue de pleines corbeilles à ses courtisans. Boucher adorna de compositions libertines des œufs de Pâques destinés à Mme Victoire, fille de Louis XV. Pourquoi les oeufs de Pâques sont-ils traditionnellement rouges?... Voici ce que conte, à ce propos, un ancien membre de l’Ecole d’Athènes, savant avisé et grand voyageur. Ce savant, au cours d’un voyage de recherches archéologiques en Epire, s’arrêta un jour au couvent grec des Saints-Pères. Conduit par un moine, il vit, dans l’église dit monastère, toute une série de-tableaux dont les sujets étaient empruntés à l’Ancien et au Nouveau Testament.
«Afin de ne pas scandaliser le bon Père, racontait-il, je m’efforçais de lui montrer que tous les sujets que représentaient ces peintures m’étaient familiers; et l’excellent religieux qui d’abord avait pris un air soupçonneux, commençait à me considérer avec sympathie, lorsqu’un dernier tableau me fit hésiter. J’apercevais bien un personnage présentant le type traditionnel de saint Pierre. En face de lui, une femme tenait à deux mains un tablier relevé et l’ouvrait pour montrer au prince des apôtres un objet que je ne distinguais pas dans la demi-obscurité de l’église.

- Et celui-ci, demandai-je, que représente-t-il?
- Comment! tu ne le connais-pas?
- Non!
- Tu ne vois pas que c’est sainte Madeleine montrant à saint Pierre ses œufs rouges?
- Quels œufs rouges?
- Tu ne sais donc pas que saint Pierre, allant en hâte au tombeau, se croisa avec sainte Madeleine qui en revenait?
- Certes si, je sais cela... Mais les œufs?
- Alors, tu sais que sainte Madeleine dit à saint Pierre que le Christ était ressuscité?... Mais que répondit-il?... Il répondit - car tu sais qu’il était incrédule - il répondit qu’il croirait cela quand les œufs de poule seraient rouges. Or, la sainte femme portait des œufs dans son tablier. (Le bon moine n’expliquait pas pourquoi elle s’était chargée de ces objets fragiles pour courir au tombeau... Mais n’importe!... il n’y aurait plus de légende possible s’il fallait tout expliquer). Madeleine ouvrit donc son tablier: les œufs étaient devenus rouges, et saint Pierre fut forcé de croire à la résurrection. Voilà, conclut le révérend Père, pourquoi, à Pâques, on fait des œufs rouges.»

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Cloches de Pâques

Mais Pâques n’est pas seulement le jour des œufs, c’est aussi le jour des cloches, le jour où, après un long silence, elles recommencent à frapper l’air de leurs chants harmonieux. Les habitants des grandes villes ne s’aperçoivent guère que les cloches se sont tues. A Paris, même au voisinage des églises, c’est à peine si l’on entend les plus gros bourdons. Mais, dans les campagnes, la voix des cloches est une voix familière, et leur silence, non plus que leur réveil, ne passent inaperçus.
La cloche est d’invention très ancienne: il est probable qu’elle est de provenance orientale et qu’elle ne fit son apparition en Occident que vers l’an 400 de notre ère. L’Italie, ou plutôt la Campanie, province de l’Italie méridionale, lui donna d’abord asile, et de là vint que les cloches prirent le nom de cette province, et que le clocheton où on les suspendait s’appelait «campanile».

L’usage des cloches se généralisa en Europe vers le VIIIe siècle, dans les églises et les monastères; mais c’est seulement à partir des XIIe et XIIIe siècles qu’on leur donna de grandes dimensions et un poids considérable pour obtenir des sons graves et puissants.
Pâques est donc, depuis au moins huit ou neuf siècles, la fête des cloches et le jour solennel où les sonneurs, de toute la force de leurs bras, mettent en branle campanes et bourdons. Le sonneur, ce jour-là, est le maître des régions éthérées; il les emplit de la voix sonore de son carillon. En dépit d’un vieux dicton qui le représente comme un fervent ami de la dive bouteille, c’est surtout de musique aérienne que le sonneur se grise ce jour-là.

Légendes autour de Pâques
Au temps jadis, quand on fondait les cloches au pied même du clocher où elles devaient être logées, c’est l’époque qui précédait la fête de Pâques qu’on choisissait pour ce travail, et c’est le jour de Pâques qu’on baptisait la cloche et qu’on l’inaugurait. Le fondeur besognait dans le mystère; la nuit, on voyait rougeoyer les lueurs de son fourneau gigantesque; et maintes histoires miraculeuses couraient sur sou compte. Les légendes sont nombreuses sur la fabrication des cloches autrefois. Citons-en une entre cent.

C’est l’histoire étrange et tragique de la cloche de Breslau. En 1386, le plus vieux fondeur de cette ville avait cru trouver la formule d’un alliage merveilleux. Le métal avait été versé dans le moule et le vieillard, voulant se reposer quelques instants, avait laissé son jeune apprenti auprès du moule, en lui recommandant de ne pas toucher au métal.

Mais le jeune garçon, désirant faire jaillir de belles gerbes d’étincelles, plongea dans l’alliage liquide une grosse barre de fer. Aussitôt, le métal, au contact de cet objet froid, se mit fit bouillonner, et l’enfant poussa des cris de terreur. Le fondeur, éveillé en sursaut, accourut; et, croyant son chef-d’œuvre perdu, il entra dans une si violente colère qu’il empoigna son apprenti et le jeta dans le métal fondu. Or, les habitants de Breslau assuraient que le son de cette cloche avait quelque chose de pénétrant, de douloureux. Quand elle sonnait, on eut dit que l’espace s’emplissait de sanglots.

L’amour que les gens d’autrefois avaient pour leurs cloches s’exprimait ainsi par toutes sortes de légendes. Contons-en une haute, celle des cloches d’une vieille abbaye de Flandre, que les sans-culottes enlevèrent, en 1792, pour en faire des canons. On les avait descendues à grand peine du clocher où, depuis des siècles, elles chantaient de matines jusqu’à vêpres, et on les avait déposées sur un lourd chariot garni d’un épais lit de paille. Il s’agissait de les conduire à la fonderie de Douai. En route, le charretier jurait, sacrait sans relâche, et les cloches frémissaient d’entendre de tels blasphèmes.

Et voilà qu’un beau soir - c’était justement le samedi saint, veille de Pâques - comme le mécréant sacrait plus fort que de coutume, les cloches, tout à coup, s’ébranlèrent, s’entrechoquèrent dans un déchaînement de sonorités furibondes, s’enlevèrent d’elles-mêmes et disparurent dans la nuit. L’homme fut retrouvé, inanimé, auprès de son attelage. Quant aux cloches, elles s’en étaient revenues au clocher abbatial; et, le lendemain, dimanche de Pâques, dès l’aube, les gens du pays ne furent pas peu surpris de les entendre sonner à- toute volée.
C’étaient là de belles histoires qui, jadis, faisaient frissonner les paysans à la veillée, et que seuls se rappellent aujourd’hui les fervents des traditions populaires et aussi les poètes qui aiment la voix des cloches et le pittoresque dès clochers.

Une vieille chronique nous raconte un fait curieux qui se passa le jour de Pâques. Burchard, dit le Barbu, tige de la maison de Montmorency, possédait un fort dans l’île de Seine (devenue l’île Saint-Denis). Il partait de ce fort pour faire des incursions sur l’abbaye de Saint-Denis, qu’il pillait et dévastait fréquemment. Si Vivien, abbé de ce monastère, s’en plaignit au roi qui ordonna au noble baron de mettre fin à ses brigandages, Burchard n’obéit pas et se vengea sur les propriétés de l’abbaye et sur les pauvres habitants qui les cultivaient. Le roi, impuissant à contenir ce redouble brigand, imagina de lui faire consentir un accord avec l’abbé de Saint-Denis, accord qui eut lieu en 1008.
Il fut convenu que Burchard serait autoriséà construire un château dans un lieu appelé Montmorency, près de la fontaine de Saint-Valery, à trois milles de Saint-Denis; qu’il ferait hommage à l’abbé pour le fief qu’il possédait dans l’île Saint-Denis; que ses chevaliers habitant son château de Montmorency seraient tenus de se rendre, deux fois par an, le jour de Pâques et le jour de saint Denis, dans l’abbaye de ce nom, et d’y rester en otages jusqu’à ce que les objets volés par ledit Burchard, les dommages faits par lui aux biens de l’abbaye, fussent restitués ou réparés; après quoi, on se donnait le baiser de paix et les chevaliers retournaient à Montmorency.

La fête de Pâques était donc choisie comme terme de restitution, de réparation et d’oubli des injures. Dans beaucoup d’actes de ce genre on voit ce jour figurer comme date de paix et de pardon. Voici ce qui advint dans le palais de la Cité, le jour de Pâques de l’an 995, cependant que régnait Robert le pieux, ce roi célèbre dans les légendes. Tout le monde sait qu’un jour, voyant un voleur qui coupait le gland d’or de sa robe, pendant qu’il était en prières, il se retourna et pria le larron de n’en voler que la moitié, afin d’en laisser un morceau pour un autre malheureux.
Par son ordre, disent les vieilles chroniques, un palais fut construit: c’est le palais de la Cité. Robert voulant l’inaugurer le jour de Pâques, des tables furent dressées pour un festin, où les pauvres de Paris étaient invités; et avant de commencer le repas, Robert se lava les mains. Alors, de la foule des mendiants qui le suivaient s’avança un aveugle qui lui demanda l’aumône; le roi en badinant, lui jeta de l’eau au visage; aussitôt, à la grande admiration des assistants, l’aveugle recouvra la vue. Ce miracle, accompli le jour de Pâques de 995, attira un grand concours de peuple dans le palais de la Cité.

Dans la Sainte-Chapelle, que saint Louis fit bâtir pour loger les reliques qu’il amassait de toutes parts, on célébrait, pendant la nuit du vendredi au samedi-saint, une cérémonie assez bizarre pour être racontée. Tous les possédés du diable y venaient régulièrement chaque année pour être délivrés de l’obsession de cet esprit maudit. C’était un affreux charivari, mêlé de contorsions, de cris et de hurlements qui ébranlaient le Châtelet jusque dans sa base. Quand ce vacarme était à son comble, le grand chantre apparaissait armé du bois de la vraie croix. A son aspect tout rentrait dans l’ordre, les convulsions cessaient, et aux cris de rage succédait le calme le plus parfait. Le lendemain, jour de Pâques, tous ceux qui avaient eu le diable au corps et qui avaient éprouvé la vertu de la précieuse relique, allaient en troupe à Notre-Dame; ils se tenaient dans une chapelle latérale, et l’officiant venait les asperger d’eau bénite pour compléter la guérison. Cette coutume subsista jusque sous Louis XV.

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Cérémonie de la Gargouille à Rouen

Si c’était l’usage à la Pentecôte de donner la liberté aux colombes dans les églises en mémoire de l’Esprit-Saint qui descendit sur les apôtres sous forme de colombe, il y avait à Pâques une tradition plus généreuse. On délivrait des prisonniers, on les ressuscitait à la vie; ils sortaient de la prison comme du tombeau. La joie était tellement grande qu’elle devait pénétrer partout, même dans les cachots. Cette délivrance se rattache à plusieurs légendes, dont la plus célèbre est celle de saint Romain, au VIIe siècle. Un dragon qu’on nommait Gargouille tempêtait en rivière de Seine et faisait naufrager les bateaux; sur les rives, il mangeait les chevaux et les bœufs des pauvres laboureurs. Déjà plusieurs chevaliers sans paour avaient essayé de le tuer, mais ils avaient trouvé la mort.

Saint Romain, alors archevêque de Rouen, se crut assez bien avec Dieu pour tenter l’entreprise. Il se rendit d’abord dans les prisons de l’officialité et emmena avec lui deux prisonniers, condamnés à mort. Suivi d’une grande foule de peuple, il se rend au repaire du monstre qui, à sa voix, devient docile. Il lui met son étole et une corde au cou, et les deux prisonniers le conduisirent ainsi, comme un chien tenu en laisse, sur la place publique, où il fut brûlé incontinent. La Gargouille, sentant le feu, essaya de l’éteindre en vomissant beaucoup d’eau sur le bûcher, mais elle ne put y parvenir, saint Romain était là. Le monstre fut réduit en cendres. Disons en passant que c’est depuis cet événement qu’on donna le nom de gargouilles aux animaux chimériques, sculptés autour des basiliques, qui rejettent loin d’elles les eaux sales, comme pour empêcher les souillures de pénétrer dans la maison de Dieu.
En mémoire de cette délivrance miraculeuse, on octroya aux archevêques de Rouen le droit de descendre tous les ans à l’officialité et, sur le rapport du geôlier, de donner la libertéà deux prisonniers. Cette délivrance se faisait à Pâques. A Paris, c’était à Notre-Dame que s’accomplissait celte cérémonie: l’archidiacre brisait un anneau de la chaîne, et le prisonnier, après promesse de meilleure vie, était mis en liberté.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Cinq avril 1606. Femme cougar, la reine Margot, 52 ans, assiste au meurtre de son gigolo de 18 ans. De retour d'exil, l'ex-épouse d'Henri IV voit son amoureux abattu par un rival jaloux devant l'hôtel de Sens.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Sous les yeux effarés de la grosse Margot qui s'apprête à descendre de son carrosse, son jeune amant de 18 ans s'effondre, une balle dans la tête. Gabriel Dat de Saint-Julien, qu'elle aime passionnément, meurt sur le coup. Engoncée dans sa graisse, l'ex-reine de France ne peut que voir l'assassin s'enfuir à toutes jambes. Mais non, elle ne rêve pas, il s'agit du comte de Vermont, son précédent... gigolo. À 52 ans, l'épouse répudiée d'Henri IV déchaîne encore les passions...

Margot aime les hommes jeunes, les poèmes d'amour et le sexe. À Nérac, elle entretient une cour consacrée à l'amour et à la littérature. Elle change d'amant comme Julien Dray de montre. Ces intrigues inspirèrent à Shakespeare sa pièce Peines d'amour perdues. Et après? Ce n'est pas son ex, le roi Henri IV, surnomméà juste titre le Vert Galant, qui va lui donner des leçons de morale! Du reste, il s'en garde, conservant d'excellents rapports avec sa première épouse. Après un long exil, il vient de l'autoriser à revenir dans la capitale. Marguerite de Valois s'est installée provisoirement à l'hôtel de Sens, en face de l'îlot aux Vaches (la future île Saint-Louis), en attendant la livraison du palais qu'elle se fait construire sur la rive gauche, face au Louvre.

Perruques et plaques de fer blanc… Le 5 avril 1606, de retour à l'hôtel de Sens après une virée shopping chez Tati, la reine Margot s'apprête à descendre de son carrosse. Son jeune amant Dat se précipite pour l'aider. C'est un galant jeune homme qui lui manifeste des signes d'amour, même si elle n'est plus la bombe sexuelle de sa jeunesse. N'avait-elle pas séduit alors toute l'aristocratie du royaume? On lui prête des aventures avec le duc de Guise, Dominique de Villepin et même, disent les méchantes langues, avec son grand frère.

Devenue énorme, Marguerite élargit sa carrure avec des plaques de fer blanc disposées sous ses habits pour faire paraître sa taille plus fine. Le petit souci, c'est qu'ainsi harnachée elle a du mal à passer par les portes trop étroites. Elle utilise des vertugadins (bourrelets disposés sous sa jupe) dans lesquels, écrit cette langue de p... de Tallemant des Réaux, "elle mettoit une boîte oùétait le cœur d'un de ses amants trépassés, car elle était soigneuse, à mesure qu'ils mouroient, d'en faire embaumer le cœur". Chaque soir, dit-il, elle attache ce vertugadin à son lit avec un cadenas! Mais faut-il croire ces accusations malveillantes? Chauve, elle se coiffe parfois d'une perruque blonde faite avec les cheveux de ses valets de pied. Et pour dissimuler son teint couperosé, elle lance l'usage de la poudre.

Au moment où Dat de Saint-Julien ouvre la porte du carrosse, le comte de Vermont, 20 ans, qui l'avait précédé dans le cœur de Margot, lui expédie une balle dans la tête. Après son crime, l'assassin se carapate, mais il est vite rattrapé par les valets de la reine. On le ramène, on le reconnaît. Il avoue la jalousie! Mais la grosse Margot n'est pas vraiment sensible à cet explosif témoignage d'amour. Elle s'époumone: "Qu'on le tue, ce meschant, tenez, tenez, voilà mes jarretières, qu'on l'étrangle!" Il est jeté dans un cul-de-basse-fosse du Châtelet. À l'époque, la justice est expéditive. Trois jours plus tard, le 8 avril, le jeune noble a la tête tranchée par le bourreau sur le lieu de son forfait, en face de l'hôtel de Sens. Postée derrière une fenêtre, la reine Margot se délecte du spectacle. Ce ne sont pas les jeunes amants qui manquent.

5 avril 1606. À 18 ans, le gigolo de la reine Margot, 52 ans, est assassiné sous ses yeux.
© Le Point.fr - Publié le 04/04/2012 à 23:59 - Modifié le 05/04/2014 à 00:00

 

Pour l’éphéméride du cinq avril c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/04/05/29593969.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

 

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service n'étant pas à jour avec les fêtes de l'année en cours, la citation du jour est nulle et non avenue... Sacré Charlie! 

 

dicton0405

 

Ben pour la zique de ce jour de Pâques… on va s’écouter à nouveau les Rolling Stones dans leur album Some Girls… Il y a encore et toujours du mouvement et des rythmes qu’on a encore en tête; nous en avons bien besoin pour ces fêtes de Pâques… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=5b75oZX6pLI

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Et quelques histoires sur Pâques, qui sont sûrement connues 

La réputation de grand connaisseur des vins du curé du village était bien connue et le soir des fêtes de Pâques, les habitants du village avaient organisé un grand banquet.
Comme l'humeur était joviale le restaurateur proposa au curé de démontrer ses talents de sommelier en reconnaissant quelques-uns uns des crûs de sa cave.
Le curé accepta devant l'insistance des convives et on lui attacha un bandeau sur les yeux. On lui présenta un premier verre de vin. Il le sentit de longues secondes et, sans même le goûter, dit:
- C'est un Bordeaux rouge, je dirais un St-Émillion 1976...
Le restaurateur confirma et tout le monde applaudit l'authentique exploit.
On présenta au prêtre un second verre de vin. Celui-ci le renifla, réfléchit quelques secondes et déclara, devant l'assistance médusée:
- C'est un Côte du Rhône, je dirais un Châteauneuf-du-Pape 1985...
Le restaurateur acquiesça de nouveau et le curé renouvela la performance une troisième puis une quatrième fois...
Alors que tout le monde commençait à tituber, un petit malin décida alors de jouer un tour au sympathique curé. Il demanda à sa femme de lui donner sa petite culotte qu'il plia soigneusement pour qu'elle tienne dans un verre.
Il le présenta alors au curé et dit en rigolant grassement:
- Hé Monsieur le curé, dites nous voir si vous reconnaissez ce crû-là...
Le curé prit le verre, le sentit et déclara:
- Une rousse, 31 ans d’âge, pas de la paroisse...

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Trois blondes meurent dans un accident et se trouvent devant saint Pierre. Il leur dit qu’avant de pouvoir entrer au Paradis, elles doivent lui expliquer la signification de Pâques.
La première blonde, une Américaine dit:
- Pâques est un congé quand nous portons des masques, allons chercher de la nourriture de porte en porte, puis avons un gros repas et mangeons de la dinde.
- Non, dit saint Pierre, ça c’est l'Halloween confondu avec l’Action de Grâce. Et il l’envoie en enfer.
La deuxième blonde, une Anglaise dit:
- Pâques est une fête quand nous célébrons la naissance de Jésus et échangeons des cadeaux, pis y’a un ange habillé en rouge qui lance des flèches dans le cœur des amoureux.
- Non, dit Saint Pierre, ça c’est Noël confondu avec la Saint-Valentin. Et il l’envoie en enfer.
La troisième blonde, une Québécoise pure laine dit:
- Pâques est une fête chrétienne. C’te pauvre crisse de Jésus a été trahi par l’enfant de chienne de Judas pendant qu’il avait un party avec les boys. Pis là, les bâtards de soldats l’ont fouetté pis martyrisé en saint sacrement, pis après ils te l’ont clouéà une grosse croix, pis y’est mort, calvaire!
Saint Pierre est un peu éberlué par le langage de la blonde, mais il lui dit de continuer.
- Pis là, Jésus y’était fatigué de toutes ces folies-là, saffèque y’est allé dormir dans un trou oussé que les maudits soldats l’avait câlissé, avec une crisse de grosse roche en avant de la porte.
Saint Pierre, scandalisé mais encouragé, lui dit de finir son explication.
- Asteure, chaque année, les osties de juifs vont ôter la grosse roche le matin de Pâques. Jésus sort, pis s’il voit son ombrage, on va avoir encore six semaines du tabarnac de hockey!
Saint Pierre a perdu connaissance.

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Un curé de village prêche pendant la semaine de Pâques. Il brandit un gros crucifix et, tout en le frappant sur la tribune, il accuse ses fidèles d'être responsables des troubles de Jésus.
- C'est vous qui l'avez couronné d'épines!
Et vlan! Un coup de crucifix sur la tribune!
- C'est vous qui l'avez flagellé!
Et vlan, avec le crucifix!
- C'est vous qui l'avez cloué sur la croix!
Et revlan avec le crucifix...
Un gars bourré d'alcool en a assez...
- C'est ça, casses-lui la gueule, et tu diras que c'est notre faute!

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- Je suis crevé, raconte un employéà un collègue. Pour profiter du week-end de pâques, je suis parti de Paris le samedi à 5 heures du matin. J'ai roulé comme un dingue jusqu'à l'Alpe d'Huez.
Le premier soir, j'ai dansé, en boîte, jusqu'au petit matin. Tout le dimanche et le lundi, j'ai fait du ski. Et j'ai roulé toute la nuit pour être au bureau ce matin.
Je ne peux plus garder les yeux ouverts.
- Mais, s'étonne l'autre, pourquoi, aussi, as-tu fait un cirque pareil?
- C'est que j'avais absolument besoin de ces trois jours de repos.

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Ce mercredi matin, c'est le catéchisme. Nous sommes début Avril, et à l'approche de Pâques, le catho de service qui fait le catéchisme a décidé de faire réfléchir tout son petit monde sur Jésus. Alors la question posée est: Puisque le Bon Dieu a ressuscité d'entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant? Le petit Kévin lève la main et dit:
- Le Bon Dieu est au Paradis. La petite Dorothée dit:
- Le Bon Dieu est dans mon cœur. Le petit Toto tout énervé (comme d'habitude) lève la main, se lève et crie presque
- Je sais! Je sais! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains!!!
Toute la petite assemblée se tait, regarde le catéchèse-man pour savoir si c'est la bonne réponse... Mais le catéchèse-man est complètement halluciné par la réponse de Toto. Après quelques secondes, il reprend ses esprits et demande à Toto pourquoi il pense que le Bon Dieu est dans sa salle de bains. Toto répond:
- Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant: "BON DIEU, T'ES ENCORE LÀ?!!!"

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C'est dimanche... le réveille-matin est en pause jusqu'à mardi prochain; donc d'ici ce jour-là, repos et pas de stress du réveil matinal... Des uns sont partis chercher le soleil pour quelques jours vers le sud, les autres se contentant de ses brèves apparitions entre deux averses de pluie ou de neige... Par endroits la chasse aux œufs de Pâques se fera dans la neige, avec mille astuces pour les cacher sans laisser de trace... En ces jours de début de printemps pluvieux et neigeux, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid nocturne et de la pluie; à ceux qui dès aujourd'hui sont expulsables de leur appartement car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure... 

 

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