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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du vingt avril

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«À la Sainte-Odette, la pâquerette occupe la vedette.» 

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«À la Saint Marcellin, les félins cherchent les câlins.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est lundi et, comme c'est souvent le cas, le beau temps est revenu après la grisaille du week-end... C'est comme ça, les gosses et les vacanciers sont contents et les travailleurs un peu moins ce qui ne les empêche pas d'aller d'un pas alerte et l'œil vif au travail pour gagner leur pitance et celle de leur famille...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 5° et  ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce lundi, temps bien ensoleillé sur l'ensemble de la région. Rares nuages résiduels en début de journée des Préalpes au bassin lémanique et quelques fins voiles d'altitude l'après-midi. Températures fraîches à l'aube avec un risque de gel au sol sur le Plateau puis ambiance agréable en journée.
Températures prévues pour lundi: minimales 1 à 5°à basse altitude selon les régions, maximales 14 à 17° sur le Plateau, jusqu'à 20° en Valais central. Dans le Jura à 1000 m: -2 à 1°à l'aube puis 13° l'après-midi. En montagne: 1 puis 5°à 2000 m, -4 puis -2°à 3000 m.
Faible bise sur le Plateau, le bassin lémanique et le Jura. Vent de nord-est faible en moyenne montagne, faible à modéré en haute montagne...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de printemps... le temps qui s'améliore  ou qui se perturbe... eh oui c'est souvent comme ça en avril... avec pour ce jour: au sud de la Loire et sur le Sud-Est, le temps se calmera mais le ciel sera le plus souvent très chargé, au moins le matin, avec encore quelques petites pluies résiduelles. Des éclaircies se développeront en journée, mais aussi quelques averses essentiellement sur le Massif central, l'est des Pyrénées et en Corse. Le vent se calmera près de la Méditerranée, les éclaircies s'élargiront l'après-midi.
Sur le Nord et l'Est du pays, le soleil dominera largement malgré des bancs de nuages d'altitude.
Un petit vent de nord-est persistera, en particulier près de la Manche, mais l'impression restera au beau temps, sensation renforcée par une hausse des températures.

Les minimales iront de 4 à 10 degrés du nord au sud, les maximales de 17 à 21 en général, jusqu'à 22 à Paris...

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 28°à 32°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, voilé et bruineux avec des températures de l'ordre de 26°à 31°; à la Martinique ensoleillé, voilé et variable avec des températures de l'ordre de 32°à 34°; ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 32°à 38° en Guadeloupe; brumeux et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°à 32°; Polynésie française, peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 31°; beau temps peu nuageux, avec des températures de 33° aux Marquises; ensoleilléà Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 4°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:38 et le coucher du soleil se fera à 20:25 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables d'avril en France 

TMax: 33.2°C (Cazaux le 30/04/2005)
TMin: -14.0°C (Mont Aigoual le 06/04/1911)
Précip: 182.2 mm (Mont Aigoual le 29/04/2004)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les: 

Lundi 20 avril à 09h06, coefficient 112, à 21h24, coefficient 109
Mardi 21 avril à 09h47, coefficient 105, à 22h02, coefficient 100
Mercredi 22 avril à 10h25, coefficient 94, à 22h39, coefficient 87

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Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1991: La couche de neige atteignait 3 cm à Coxyde et le mercure indiquait -6,2°à Rochefort
En 1968: Les maxima sous abri se hissaient jusqu'à 24° en Ardenne, 28° en Gaume et 28,8° dans la Capitale
En 1954: La température minimale sous abri dégringolait jusqu'à -4,6°à Virton 

  

Les expressions françaises décortiquées

Dans les clous
Dans le respect ou les limites de ce qui est attendu, demandé, édicté, imposé

Origine
Si vous êtes jeune, vous vous êtes peut-être bien déjà demandé pourquoi, dans la rue, on appelle également les passages pour piétons des passages cloutés. Si, par contre, vous avez de nombreuses années à votre compteur personnel, vous avez forcément la réponse.
Alors je m'adresse d'abord aux jeunes:
Sachez qu'autrefois, entre la période du jurassique et la deuxième moitié du XXe siècle, les rues, qu'elles soient pavées (oui, ça a existé, même que les pavés ont pu servir de munitions anti-CRS en mai 68) ou goudronnées, étaient à certains endroits également traversées de passages pour piétons. Sauf que ces passages n'étaient pas matérialisés par des bandes blanches peintes sur la route, comme de nos jours, mais bordés par des gros clous fichés dans le sol et dont la partie visible était bombée [1].
Le piéton voyait donc deux lignes de clous, perpendiculaires aux trottoirs et délimitant la zone dans laquelle il fallait traverser lorsque le feu passait au rouge pour les voitures.
Passer ou être dans les clous, c'était donc respecter le code de la route, traverser là où le piéton en avait le droit.
Et voilà comment peut naître une métaphore! Il suffit d'étendre ce respect d'une règle bien spécifique à tous les autres domaines en conservant le vocabulaire initial, pour se retrouver avec une locution dont l'origine peut paraître bizarre lorsque ce qui l'a fait naître n'existe quasiment plus.
Cette expression semble n'apparaître qu'au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, au moment où, justement, ces clous-làétaient en voie de disparition.
[1] Mais ces clous ne venaient pas forcément d'Inde.
Exemple
«Sur quasiment tous les points évoqués, Hulot et Joly ont plus souvent marqué leurs accords que leurs différences. "Sur le fond, et Eva et Nicolas sont restés totalement dans les clous du programme d'Europe Ecologie", note une cadre du mouvement, soutien d'Eva Joly.»

 

La France pittoresque

Maisons construites en une nuit et singulier droit de propriété
D’après « Revue de folklore français», paru en 1939

Héritée du droit romain, une coutume particulièrement connue en Bresse, mais également en Cornouailles, voulait que tout individu construisant en une seule nuit sa maison sur un terrain communal devenait de fait propriétaire du terrain, le feu devant être allumé avant le jour et la fumée devant sortir par la mitre de la cheminée au-dessus du toit lorsque le soleil se levait, et cependant que l’heureux bénéficiaire se voyait simplement contraint de s’acquitter d’un cens auprès de la commune, redevance emphytéotique perpétuelle
Dans le tome IV du Mâconnais traditionaliste et populaire, G. Jeanton, écrivait en 1923: «Dans la Bresse mâconnaise, notamment du côté de Romenay, on voit encore dans les clairières ou sur les teppes communales, de petites maisons en forme de huttes, souvent recouvertes de chaume; ce sont, dit-on dans le pays, des maisons construites en une nuit. Il est de croyance générale en Bresse louhannaise que tout individu a le droit de s’approprier une portion d’un communal, en y construisant une maison entre le coucher et le lever du soleil; si le faîtage est terminé avant l’aube le constructeur est reconnu par la coutume locale, pour en être le légitime propriétaire et les communes ne semblent pas avoir jusqu’à présent contesté ce droit.

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«Il y a peu d’années les cadets des familles pauvres préparaient, quelquefois pendant tout un hiver, avec leurs parents et amis, la charpente de leur maison, puis un beau soir, quand tout était prêt, la famille se mobilisait avec une incroyable agilité, sur une friche communale et élevait en quelques heures une maison rustique sans doute mais complète, depuis le seuil de bois jusqu’au toit de chaume; quand le soleil se levait il dorait de ses rayons le bouquet que ces architectes paysans avaient placé au sommet du toit.»
Reprenant la question dans Habitation paysanne en Bresse, le même auteur écrivait en 1935: «Une vieille coutume voulait qu’en Bresse quiconque bâtissait une maison sur une lande communale devenait propriétaire de la maison et du terrain d’alentour, à la condition toutefois qu’elle fût achevée en une nuit.

«Un camp volant voulait-il se fixer, un enfant pauvre et malheureux voulait-il quitter la communauté familiale, il avait cette suprême ressource de devenir propriétaire. J’ai encore connu de vieux bressans de la région de Montpont et de Varennes-Saint-Sauveur qui avaient vu construire, dans les communaux, des maisons en une nuit et qui avaient même participéà cette construction. A l’aide d’amis, le candidat propriétaire préparait à la veillée et par les jours de chômage forcé de l’hiver, les éléments de la charpente de la future maison. Tout était prêt, les chevrons, les tirants et les sablières; les chevilles de bois étaient sous la main; on profitait d’une longue nuit d’hiver où il y avait de la lune, et quand le coq chantait, un bouquet de gui ou des premières fleurs champêtres, lorsqu’on était en février ou en mars, ornait le faîtage en chaume du nouvel hutau.

«On voit encore de ces maisons, avec leur mince jardinet clos de piquets et de brondes, sur certaines teppes bressanes notamment sur les clairières des bois de la Genête et de la Chapelle Thècle. Il s’en trouve quelquefois trois ou quatre à côté les unes des autres, au bout d’un communal et à proximité d’une charrière...»
La même coutume était mentionnée à Viriat, près de Bourg, où Prosper Convert la signalait, avant sa mort, à M. Duraffour, professeur à l’Université de Grenoble, mais elle y paraissait si lointaine, si archaïque qu’on la jugeait quelque peu légendaire. Dans un article publié en 1939 au sein de la Revue du folklore français, Jeanton toujours, ancien président de l’Académie de Mâcon, rapporte avoir eu la bonne fortune de trouver un document d’archives confirmant la tradition orale, telle qu’elle lui fut rapportée par son vieux métayer Ferdinand Danjean, de Varennes-Saint-Sauveur, qui avait participéà une de ces constructions dans sa jeunesse.

C’est un procès jugé en l’An VI par le Tribunal départemental de Chalon-sur-Saône, procès entre Arsène Godefroy, bourgeois de Louhans, et un pauvre vieillard de Savigny-sur-Seille, Joseph Moine, au sujet d’une maison ou cabane habitée par ce dernier et qu’il avait édifiée vers 1775 sur une friche qu’il croyait communale de la paroisse de Savigny-sur-Seille. Arsène Godefroy, qui eut gain de cause devant le Tribunal de Chalon, prouva que la friche n’était pas communale car elle lui appartenait en vertu d’un titre de 1623, mais la commune était intervenue au profit du sieur Moine qui, d’après elle, avait construit un bâtiment et défriché un journal de terrain communal autour de sa maison «de l’assentiment des autres habitants», autrement dit suivant l’usage (jugement du 22 floréal, an VI).
Jeanton confie n’avoir pas vu mentionner ailleurs pareille coutume lorsque Duraffour, déjà cité, recueillit, au cours d’une villégiature en Cornouailles, un document d’une analogie frappante avec notre usage bressan; il a été extrait d’une Histoire de Cornouailles par A.-K. Hamilton Jenkin, auteur de divers travaux sur la Cornouailles, notamment Le mineur de la Cornouailles, Navigateurs cornouaillais, La Cornouailles et les Cornouaillais, Maisons et coutumes de Cornouailles.

Type de cottage de Cornouailles au commencement du XIXe siècle.
«A cette époque, spécialement dans les districts miniers, la plupart des cottages étaient bâtis par les gens eux-mêmes. Les murs étaient généralement faits de bauche (cob), c’est-à-dire d’un mélange d’argile et de paille hachée fortement battue; les toits d’autre part étaient en paille. Il va de soi qu’on employait partout de la pierre, mais seulement quand on pouvait l’avoir sans frais. Dans la Cornouailles du Nord, les toits étaient généralement en ardoise qu’on tirait de Delabole ou d’autres carrières locales. Ces cottages étaient installés partout où de n’importe quelle manière on pouvait obtenir un morceau de terrain. II en subsiste quelques-uns.

«On dit que, dans certains cas, des cottages de cette espèce ont été effectivement construits en une nuit. Ceci avait pour but d’acquérir l’avantage d’un vieux droit coutumier qui, à ce qu’on suppose donnait qualité aux propriétaires de ces constructions de réclamer la libre tenure (freehold) du fonds sur lequel ils étaient établis désormais pour toujours. Voici de quelle façon la chose se pratiquait.
«Après avoir fait choix d’un morceau de terrain les bâtisseurs rassemblaient tous les matériaux nécessaires, l’argile pour faire les murs de bauche, les pieux et le chaume pour le toit, et une porte et une fenêtre toutes prêtes. Ces matériaux étaient soigneusement cachés à proximité de l’endroit. Ensuite dans la nuit désignée l’homme réunissait tous ses amis. Debout les quatre murs en presque quatre heures, et en route pour y installer le toit. On laisse provisoirement près du fond, un trou pour servir de cheminée, mais plus tard on en fera une fenêtre. Une fois qu’il était établi dans sa bicoque, le propriétaire pouvait faire toutes les améliorations que le temps et que sa fortune lui permettaient. Il y ajoutait naturellement un foyer ouvert pour la cuisine et le chauffage et quelques objets de mobilier pour rendre la pièce habitable.»

L’appropriation par le premier venu des terres vagues était contraire à la Coutume de Bourgogne. Mais notons ici que nous ne sommes pas sous le régime de ladite coutume, étant en Pays de Droit Ecrit, la Bresse où nous avons constaté le singulier usage plus haut rapportéétant entièrement dans le domaine du Droit Romain, privilège qui avait été reconnu formellement à ce pays par le duc Philippe le Bon dans des lettres patentes fameuses, expédiées à Bruxelles, le 26 août 1459, lors de la rédaction de la Coutume de Bourgogne.

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Et à ce propos il est bon de noter que cette appropriation des terres communes puise sa justification dans le Droit Romain, si on s’en rapporte au Commentaire donné dans son édition de la Coutume publiée à Dijon, en 1788, par le savant président Bouhier.
«Ces dernières (terres vagues) dit-il, qui en quelques coutumes sont appelées terres hermes ou brehaines ou charmes ou gallois appartiennent sans difficultés au seigneur haut justicier à moins que la coutume des lieux n’y soit contraire. L’article 331 de la Coutume du Bourbonnais y est exprès et c’est notre usage en cette province (de Bourgogne) quoique celui des Romains fut de les donner au premier qui voudrait se les approprier pour les mettre en culture.»

L’usage consolidant l’appropriation des terres vagues par la construction d’un bâtiment peut donc invoquer un principe du Droit Romain, et le pays où nous l’avons trouvé est bien dans le domaine de ce droit, mais le formalisme de l’édification en une nuit est une intéressante particularité de folklore remontant sans doute à un vieux fonds indo-européen, ce qui explique d’autre part l’existence de cette même coutume en Cornouailles anglaise où le Droit Romain ne saurait être mis en cause.
Notre ancien président de l’Académie de Mâcon explique avoir voulu contrôler les dires de son indicateur Ferdinand Danjean, décédé présentement, et s’être rendu à Varennes-Saint-Sauveur et plus spécialement au hameau de Tageat d’où il tirait son origine. «Or, j’y ai appris ceci, confie-t-il: la dernière maison construite en une nuit l’a été vers 1370, dans le communal de Tageat! Mon indicateur avait alors plus de 4 ans et moins de 10 ans, il a donc parfaitement pu retenir toutes les particularités de l’événement qui marquait tout de même dans l’histoire d’un hameau.

«Cette maison qui existe encore fut construite en une nuit par un nommé Genetet. Elle a payé un cens ou redevance à la commune jusqu’à il y a trois ou quatre ans, époque où elle a été vendue à un tiers. A ce propos l’usage était ainsi fixé: Le constructeur devenait propriétaire de la maison ainsi que d’un assez mince pour prix ou enclos autour et cela au préjudice de la lande (teppe) communale. En revanche il devait un cens, redevance emphytéotique perpétuelle à la Commune. Celle-ci n’avait aucun droit de reprise vis à vis du constructeur, de sa famille vivant avec lui ou de ses descendants. Mais si la maison construite en une nuit était vendue, la commune devait être dédommagée de la valeur du sol, c’est ce qui s’est produit il y a trois ou quatre ans pour la maison Genetet, construite sur le communal de Tageat vers 1870.

«La maison construite en une nuit ne faisait acquérir la propriété que si le constructeur n’était pas propriétaire d’une autre maison. J’ai glanéà cette occasion quelques détails pittoresques. Le feu devait être allumé avant le jour et la fumée devait sortir par la mitre de la cheminée au-dessus du toit lorsque le soleil se levait. D’autre part, depuis la communication que j’ai faite à la Société de Folklore, à l’Ecole du Louvre à Paris en janvier 1938, j’ai entrepris une enquête personnelle en Bresse avec M. Violet. J’y ai été grandement aidé par M. Sagnes, instituteur à Montpont. La coutume était universellement admise, jusque vers 1880, à Varennes-Saint-Sauveur, Montpont, la Chapelle-Naude, Sornay, la Chapelle-Thècle, la Genête, etc.
«A Montpont, lorsque vers 1870-1880 on rectifia le chemin de Cuisery à Montpont, de nombreux délaissés furent utilisés pour la construction de maisons construites en une nuit. Toutes ont été détruites ou reconstruites un peu plus amplement, ce qui fait que nous n’avons pas pu en photographier une dans son état primitif. L’augmentation de la population et son paupérisme avaient très fortement favorisé, à cette époque, la construction de maisons construites en une nuit. Un nommé Guyon, dit Méline, était devenu une sorte de spécialiste pour fournir aux aspirants propriétaires les éléments complets d’une maison à construire en une nuit. Il les fabriquait; les plus petites valaient 15 francs, clef en main; les plus grandes 30 francs. Les matériaux étaient pris gratuitement dans la forêt.

«Du reste, vers cette époque, dans cette région Montpont-la Genête, la coutume se transforma et prit l’aspect suivant. Particuliers, communes, notaires et géomètres ruraux étaient dans l’incertitude après près de cent ans de Code Civil de la valeur légale de la coutume et on aboutit dans certaines communes comme la Genête au modus vivendi suivant. Les communes décidèrent d’accorder gratuitement l’emplacement au constructeur moyennant un léger canon. Le constructeur devenait libre de construire sans se presser, à condition de demander l’autorisation préalable. Dans certains cas, on vit même des communes faire construire des maisons de ce genre pour des veuves expulsées de leur ferme par des propriétaires après la mort de leur mari. La coutume s’humanisait mais perdait de son pittoresque et de sa verve.
«On nous a rapporté la légende concernant la construction du pont du Collège de l’Arc à Dôle, qui est dans une région voisine de la Bresse. Les Pères Jésuites au XVIIe ou XVIIIe siècle voulurent réunir les deux immeubles composant leur collège et que séparait une rue. Ils demandèrent à la ville de Dôle, l’autorisation de réunir les deux parties de leur collège par une arche chevauchant la rue. La tradition veut que le conseil de ville ait refusé l’autorisation estimant ne pas pouvoir amoindrir le patrimoine communal, mais il aurait ajouté que les Pères Jésuites avaient toujours le droit s’ils le pouvaient de construire leur «arche en une nuit», ce qui fut fait. Cette légende qui avait été considérée jusqu’à présent comme une tradition humoristique prend une singulière vraisemblance légale à la lumière de la coutume bressane.»

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Pour sauver son abbaye, un prêtre lance un ultime appel
Source : Le Figaro

Dans le département du Lot, le curé de Marcilhac-sur-Célé a posté une vidéo sur Facebook. Il en appelle au bénévolat pour venir restaurer cet été un « joyau inestimable et très peu connu. »
L’abbaye millénaire de Marcilhac-sur-Célé, un village de 200 habitants. Construite au IXe siècle, cette abbaye classée monument historique fait partie intégrante des trésors religieux et architecturaux de notre pays... Mais ce trésor - comme beaucoup d’autres — n’est pas épargné par le temps, et aurait besoin d’être rafraîchi. Situé dans le Lot, il (sur)vit dans l’ombre de monuments plus connus comme les sites de Rocamadour ou encore de Saint-Cirq-Lapopie.

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Abbaye de Marcilhac-sur-Célé

C’est pour cette raison que le père Guillaume Soury-Lavergne a décidé d’agir, et de se servir du web - et du réseau social Facebook - pour plaider la cause et vanter les mérites de l’édifice. Le 12 mars dernier, le religieux a posté une vidéo sur Facebook, que France 3 Midi-Pyrénées a relayée. Un mois après, plus de 14.000 internautes ont déjà vu son appel. « Je vous demande de venir m’aider cet été pour devenir bénévole de l’abbaye, un joyau inestimable et très peu connu », lance le père Soury-Lavergne, en s’adressant « aux jeunes de plus de 16 ans », et aux adultes.
Au programme, trois axes auxquels seront confrontés les potentiels bénévoles : la restauration de l’édifice, l’accueil des pèlerins et touristes qui se comptent par milliers durant les vacances d’été... mais aussi devenir « l’âme de l’abbaye » (selon les mots du père Guillaume Soury Lavergne), qui a été désertée depuis des siècles par les moines. Des souscriptions ont également été lancées pour financer le chantier ainsi que l’installation d’un orgue dans l’édifice. Chaque donateur pourra devenir le parrain de l’un des 808 tuyaux de l’instrument.

Quentin Périnel, Le Figaro

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Château médiéval cherche mécènes, à Ambérieu-en-Bugey dans l’Ain
Source : France 3 Rhône-Alpes

Dans l’Ain, la ville d’Ambérieu-en-Bugey et la Fondation du patrimoine lancent une souscription pour trouver des mécènes afin de restaurer le château des Allymes
Il faut 260 000 euros pour sauver les murs du donjon, dont les pierres se déchaussent. Construit au XIVe siècle, c’est le seul château-fort encore « debout » dans le département de l’Ain. Il servait initialement à protéger le royaume de France contre la Savoie, alors en terres piémontaises, rattachées au futur royaume de Sardaigne.
L’an passé, 10 000 visiteurs sont venus découvrir ce poste de surveillance avancée, un rempart dans la guerre que se sont livrés les seigneurs dauphinois et savoyards.

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Le château des Allymes

Dans ce château municipalisé devenu musée, la sécurité des visiteurs passe en premier. Mais pour rejointer les murs du donjon, il faut des moyens. Or, ces 260 000 euros, elle ne les a pas. La ville d’Ambérieu et la fondation du patrimoine lancent un appel aux mécènes. Au-delà du donjon, les remparts et la tour de guet devront aussi à terme être restaurés. Au total, il y en a pour plus de 2 millions d’euros.

Daniel Pajonk France 3 Rhône-Alpes

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Vingt avril 1828: Déguisé en musulman, l'explorateur René Caillié pénètre dans Tombouctou. Ayant appris l'arabe et étudié le Coran, il est le premier Européen a revenir vivant de la visite de la ville mythique.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Quand, le 20 avril 1828, le jeune René Caillié, 28 ans, découvre enfin Tombouctou, on peut dire que rarement un explorateur aura autant souffert pour atteindre son but. Il en a bouffé du sable, des injures et du Coran. Sans parler du scorbut, de la faim et des blessures. Même un chameau n'aurait pas résisté. Caillié, si! Jamais il ne renonce à atteindre la ville mythique nichée au cœur du continent noir, même mourant sur sa couche. Il est animé par une énergie indomptable. Il veut être le premier Européen à visiter Tombouctou et à en revenir vivant. La ville aux 333 saints de l'islam! La cité recluse! En comparaison, l'obsession de François Bayrou à visiter l'Élysée s'efface.

Aussi, devant la cité interdite, il ressent une immense satisfaction: "Je n'avais jamais éprouvé une sensation pareille, et ma joie était extrême. [...] Avec quelle ardeur je le [Dieu] remerciai de l'heureux succès dont il avait couronné mon entreprise! Que d'actions de grâce j'avais à lui rendre pour la protection éclatante qu'il m'avait accordée..."

Après quelques minutes d'exaltation, Caillié revient à la réalité des choses. Ce qu'il a sous les yeux, ce n'est qu'une bourgade misérable. "Je trouvai que le spectacle que j'avais sous les yeux ne répondait pas à mon attente; je m'étais fait de la grandeur et de la richesse de cette ville une tout autre idée; elle n'offre, au premier aspect, qu'un amas de maisons en terre, mal construites; dans toutes les directions, on ne voit que des plaines immenses de sable mouvant, d'un blanc tirant sur le jaune, et de la plus grande aridité." Terrible désillusion. Après tout ce qu'il a souffert! Le pingouin est bien d'accord...

Malaria… La grandeur de Caillié ne vient-elle pas de ce terrible parcours du combattant qu'il accomplit seul, sans argent, sans porteurs, sans protection armée, comme ces Livingstone, Mungo Park ou autres Brazza? Des explorateurs devenus célèbres, alors que lui reste dans l'ombre. Injustice. Rien ne prédestinait cet apprenti cordonnier à courir le monde, sinon les chaussures. Et encore n'en porte-t-il pas lors de sa balade africaine... Déjà, gamin, il dévore Robinson Crusoé et tous les autres romans d'aventures qu'il trouve. Ils lui permettent d'oublier un père boulanger (dans les Deux-Sèvres) condamné au bagne. Une fois que le poison de l'aventure a commencéà couler dans ses veines, il ne s'est plus arrêté.

À 17 ans, il entre au service d'un officier de marine d'une flûte - La Loire - qui s'apprête à lever l'ancre pour le Sénégal. Elle appartient à une escadre de quatre navires envoyée par Louis XVIII pour récupérer cette nation africaine rétrocédée par les Britanniques. C'est au cours de ce voyage que la frégate La Méduse fait naufrage sur le banc d'Arguin, obligeant l'équipage à embarquer à bord du fameux radeau... de La Méduse.
La Loire, elle, arrive sans encombre à Saint-Louis du Sénégal, où le jeune Caillié, après quelques mois, est libéré de son service. Il se met alors en tête d'aller secourir le major Gray retenu au royaume du Boundou. Accompagné de seulement "deux nègres", il s'enfonce dans la forêt, mais la marche forcée lui provoque de telles souffrances qu'il doit abandonner son projet. Un ami officier qui le prend sous son aile lui offre un passage gratuit pour la Guadeloupe afin d'y chercher des aventures plus à sa portée.

Au bout de six mois, le voilà de retour à Bordeaux, puis à Saint-Louis en 1818. Il se joint alors à une caravane partant approvisionner en marchandises, toujours le même major Gray. Un calvaire! Le jeune homme, obligé de suivre à pied les membres de l'expédition perchés sur des chameaux, privé d'eau, est vite à bout de forces. Ses compagnons boivent de l'urine en désespoir de cause. Le major Gray est retrouvé. Le retour à la civilisation est un autre enfer. Épuisé par la malaria, Caillié rallie Saint-Louis dans un tel état qu'il doit rentrer en France.

Caillié perd la raison… Durant quatre ans, il travaille pour un négociant en vins de Bordeaux, mais garde l'Afrique en tête. Il devient littéralement obsédé par Tombouctou, d'autant que la Société de géographie promet 10 000 francs à l'explorateur qui atteindra la ville et, surtout, qui en reviendra vivant. En 1824, Caillié débarque une fois de plus à Saint-Louis avec un plan parfaitement au point dans sa tête. Puisqu'il n'a pas un sou et que personne ne veut l'aider, le prenant pour un illuminé, il voyagera seul, en se mêlant aux innombrables caravanes de marchands qui sillonnent le continent.

Pour passer inaperçu, il décide de se faire passer pour un musulman d'Égypte qui regagne sa patrie après avoir été capturé, enfant, par l'armée de Bonaparte. Pour peaufiner sa couverture de musulman, il effectue un stage de formation de huit mois chez les Maures Brakna de l'actuelle Mauritanie. Caillié y apprend des rudiments d'arabe, étudie le Coran et les principales coutumes locales. Il en sait bientôt davantage que Merah... Le voilà fin prêt à entreprendre son expédition, mais le gouverneur du Sénégal, qui lui avait promis 6000 francs, lui fait faux bond. Commence alors pour lui une longue période d'attente durant laquelle il devient la risée des Occidentaux avec son déguisement d'Arabe qu'il ne quitte pas.

Ne voulant pas attendre plus longtemps, Caillié utilise ses maigres économies pour acheter la verroterie nécessaire, un parapluie et une petite pharmacie. Le 19 avril 1827, sous le nom d'Abdallahi, il se joint à une caravane qui part de Boké (actuelle Guinée). À Tiemé (aujourd'hui en Côte d'Ivoire), il doit faire une pause à cause de blessures au pied qui ne veulent pas cicatriser. Puis le scorbut le réduit à l'état de squelette. Il souffre au point d'en perdre la raison. Le prenant finalement en pitié, une vieille femme le nourrit d'un peu de riz. Une deuxième parvient à le guérir en lui faisant avaler une étrange décoction.

Voyage épique… Le 9 janvier, au bout de cinq mois d'immobilisation, le jeune homme reprend enfin la route. Après un voyage épique en bateau sur le fleuve Niger, persécuté par des bateliers noirs, il arrive à Cabra, le port de Tombouctou. Il est alors le deuxième Européen à atteindre la ville mythique. Deux ans plus tôt, le major Alexander Gordon Laing a déjà visité la ville, sa nationalité clairement affichée, ce qui lui a valu d'être assassiné sur ordre d'un cheik fanatique.

René Caillié passe treize jours dans la grosse bourgade, aimablement accueilli par un commerçant arabe. Il parcourt la ville de fond en comble, accumule les notes. Finalement, il est temps de partir pour ne pas se faire découvrir, et il se joint à une caravane pour traverser le Sahara jusqu'au Maroc. Il traverse un nouveau calvaire qui dure cette fois soixante-dix-huit jours. Une fois de plus, la soif le torture, il se blesse en tombant, éprouve une faim cruelle. Tout cela sous l'oeil des chameliers qui se moquent de cet "Égyptien" si fragile. Il doit mendier sa nourriture. Il finit par rejoindre Tanger, où, après trois semaines de repos, il embarque sur une goélette à destination de la France. Le commandant écrit dans une lettre adressée au préfet maritime de Toulon: "La santé de mon passager est tout à fait délabrée. [...]. L'odeur qu'il exhale ne me permet pas d'habiter ma chambre depuis qu'il y est."

Finalement, Caillié rejoint Paris où il reçoit les 10 000 francs promis par la Société de géographie, ainsi que la Légion d'honneur. Sa santé reste précaire, ce qui ne l'empêche pas de se marier et de faire quatre enfants. À 38 ans, il meurt, probablement de tuberculose pulmonaire. Un autre, mieux né que lui et plus instruit, aurait probablement tiré honneur et fortune de son incroyable odyssée. 

René Caillié en Arabe, à gauche, René Cailié en Européen, à droite. Et Tombouctou au milieu.
René Caillié en Arabe, à gauche, René Cailié en Européen, à droite. Et Tombouctou au milieu. © DR
© Le Point.fr - Publié le 19/04/2012 à 23:59 - Modifié le 20/04/2014 à 00:00

 

Pour l’éphéméride du vingt avril c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/04/20/29698586.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie nous montre ce qu'il faudrait faire avec la majorité des patrons qui se fichent pas mal des conditions de travail de leurs ouvriers et employés et qui prennent leurs salariés comme des esclaves...

 

dicton0420

 

Ben pour la zique de ce début de semaine… on va s’écouter pour ne pas les oublier The Bee Gees dans le meilleur de leurs œuvres, c’est du tout bon avec peut-être des souvenirs lointains pour certains… De la bonne musique, histoire de bien passer cette matinée avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=NrWpbK020YU

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Une enseignante dit à un de ses collègues à la magnifique barbe noire:
- Le jeune Alphonse Leblanc, de Seconde A, a un problème. Il m'a confié qu'il était tombé amoureux fou d'un de ses professeurs.
- Et, demande, en riant, le barbu, c'est vous, l'heureuse élue?
- Non.
- Et voilà justement où est le problème:
- C'est vous.

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Un monsieur évoque ses souvenirs d'enfance:
- Je me rappelle, quand j'étais dans la classe du certificat d'études, le mal que nous donnions à notre pauvre maîtresse.
Et s'il n'y avait eu que les élèves!
Tenez, un jour, l'institutrice avait dû convoquer mon père pour se plaindre de ma conduite.
Eh bien, le lendemain, elle devait faire venir ma mère pour se plaindre de la conduite de mon père.

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C'est un marocain qui entre dans une pharmacie et demande:
- Bonjour missi, j'y li voudri di la vasiline. Le pharmacien lui demande:
- Quel genre de vaseline désirez-vous?
- Nous avons de la vaseline neutre, de la vaseline camphrée, de la vaseline boriquée. Oui, c'est ça missi, répond le Marocain, c'est por niquer!

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Un vieil explorateur est conviéà une soirée chez la comtesse de Mormoilneux. Après le dîner, celle-ci lui demande de raconter une de ses expéditions. Le vieux commence (voix chevrotante):
- Je marchais au milieu de la jungle avec mes dix porteurs depuis plusieurs jours. Tout à coup, les oiseaux et les singes se sont tus, il s'est fait un grand silence, et nous avons entendu un rugissement tout près de nous!
L'assistance, captivée:
- Oooh!" et alors?
- Alors, nous nous sommes arrêtés. Nous avons alors vu les buissons s'écarter, dix mètres devant, et un ÉNORRME lion en surgir, l'air affamé…
- Oooh! Et alors?
- Alors il nous a regardés, et s'est léché les babines! A ce moment, tous mes porteurs se sont enfuis en courant, me laissant sans aide et sans guide, seul face au fauve!
- Aaah! Et alors?
- Alors, j'avais heureusement gardé mon fusil avec moi. Je l'ai épaulé, j'ai visé le lion... et mon fusil s'est enrayé!
- Aaah! Et alors?
- Alors, j'ai dégainé mon revolver, et j'ai tiré en direction du lion! Mais ce putain de revolver s'est lui aussi enrayé!
- Oooh! Et alors?
- Alors, je n'ai plus eu d'autre choix que de sortir mon Opinel, et de me préparer à un corps à corps avec le lion! Celui-ci s'est alors avancé vers moi en grondant, et il s'est arrêtéà deux mètres, et il a poussé un énorme rugissement, comme ça (et le vieux imite le rugissement): RRRAAAAAOOOOOUHUMMMMMMMFFFF!!!!!
- HOOOO! ET ALORS?
- Ben, fait le vieux, penaud, je crois que j'ai chié dans mon froc!

Un silence gêné s'établit. Fort civile, la maîtresse de maison tente de rattraper le coup:
- Hum, eh bien, après tout, compte tenu des circonstances extrêmes, n'est-ce pas, c'était peut-être compréhensible que vous vous laissiez aller, non?

- Non, non, explique le vieux, c'est maintenant, là, en faisant RRRAAAAAOOOOOUHUMMMMMMMFFFF, que j'ai chié dans mon froc.

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Un homo tombe en panne avec sa Lada sur l'autoroute.
Il se range sur la bande d'arrêt d'urgence et soulève le capot.
Un routier passe et lui demande:
- Eh, tu veux que je t'aide à pousser ta merde?
- D'accord, mais qu'est-ce qu'on fait de la voiture?

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99631305

 

C'est lundi... le réveille-matin a repris du service dès ce jour; et c'est à nouveau la grogne dès la sonnerie entendue alors qu'on était si bien au plumard... la routine journalière pour se rendre au travail, sauf que maintenant le jour pointe et qu'il fait clair quand on arrive sur les lieux de torture pour certains ou de plaisir pour d'autre... Car c'est vrai, il y en a pas mal qui aiment travailler... En ces jours de printemps, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leur appartement car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure... 

 

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