«À la Saint-Clarence, l'espérance fait la différence.»
«À la Saint-Marcellin, les félins cherchent les câlins.»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est dimanche et la période de beau temps s'en est allée avec l'arrivée du week-end, quelle poisse, ben faut faire avec quoi! Grasse matinée, journée télé ou pour les plus courageux sortie sous la pluie ou visite de musée... et pourquoi pas faire des jeux de société en famille, comme il y a une quarantaine d'année... De toute façon c'est une journée de repos et demain on sera en pleine forme...
Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 8° et un temps pluvieux dans la nuit, ce sera pour ce dimanche, ciel assez clément et lumineux en matinée.
Davantage laiteux voire couvert l'après-midi, quelques gouttes ou ondées éparses pas exclues. Risque de pluie plus généralisé dans la soirée. Le long du Jura, ciel changeant, averses possibles déjà en matinée et localement plus actives l'après-midi. Températures douces.
Températures prévues pour ce dimanche: minimales 9 à 13°à basse altitude, maximales 17 à 19°. Dans le Jura à 1000 m: 7 à 9°à l'aube puis 14 à 15° l'après-midi. En montagne: 7°à 2000 m, -1°à 3000 m.
Peu de vent en plaine dimanche. En montagne, vent de sud/sud-ouest sensible. Quelques bouffées de foehn dans les vallées alpines...
Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview
Pour l'Hexagone, une météo de printemps... le temps instable et se dégrade... eh oui c'est souvent comme ça en avril... avec pour ce jour: après une nuit un peu plus calme, le temps se dégrade à nouveau en journée.
Poussées par un bon vent de sud-est, des entrées maritimes apporteront des pluies sur le Languedoc-Roussillon. Ces pluies, faibles le matin, se renforceront en journée et deviendront soutenues et orageuses en soirée.
Sur la région PACA et la Corse, les précipitations seront plus localisées sous un ciel variable mais parfois menaçant en journée sur le relief.
Partout ailleurs, le temps deviendra rapidement instable. Un temps pluvio-orageux intéressera dès le début de journée les régions atlantiques. Ces fréquentes averses orageuses s'intensifieront en journée lors de leur progression vers l'intérieur du pays. Entre les Pyrénées, le Massif-central, jusqu'au sud du bassin parisien et jusqu'en Lorraine, les orages seront localement très forts avec des cumuls de pluies parfois importants, de la grêle possibles et des brusques rafales de vent. A l'est, les averses orageuses seront nombreuses, en particulier sur le relief du Jura et des Vosges.
De la Bretagne aux frontières du nord, le temps sera plus calme mais plus frais. Et l'on ne sera pas à l'abri d'une averse.
Le vent de sud à sud-est avoisinera les 70 km/h en rafales sur les rivages méditerranéens, dans le domaine de l'autan et sur la région lyonnaise.
Températures en baisse avec des minimales de 8 à 11 degrés en général, localement 12 à 14 dans le Sud-ouest et en bordure de Méditerranée. Maximales en journée de 15 à 18 degrés sur un quart nord-ouest du pays, 17 à 21 ailleurs...
Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé voilé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 28°à 32°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 28°à 31°; à la Martinique ensoleillé, voilé et variable avec des températures de l'ordre de 36°à 37°; ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 36°à 38° en Guadeloupe; ensoleillé, brumeux, nuageux et pluvieux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 31°à 33°; Polynésie française, peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 31°; ciel clair, très beau temps avec des températures de 29° aux Marquises; nuageux avec averses et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 7°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:27 et le coucher du soleil se fera à 20:35 et le jour est plus long de 3 minutes...
Valeurs remarquables d'avril en France
TMax: 33.2°C (Cazaux le 30/04/2005)
TMin: -14.0°C (Mont Aigoual le 06/04/1911)
Précip: 182.2 mm (Mont Aigoual le 29/04/2004)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:
Samedi 16 mai à 06h21, coefficient 88, à 18h48, coefficient 93
dimanche 17 mai à 07h13, coefficient 97, à 19h36, coefficient 100
lundi 18 mai à 08h01, coefficient 101, à 20h20, coefficient 102
mardi 19 mai à 08h45, coefficient 101, à 21h01, coefficient 99
mercredi 20 mai à 09h27, coefficient 97, à 21h40, coefficient 93
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1919: Une tornade causait des dégâts dans la région d'Ath.
En 2007: Le mercure grimpait jusqu'à 27,9°à Uccle.
En 1971: La température maximale sous abri ne dépassait pas 6,4°à Middelkerke.
En 1985: On observait de faibles chutes de neige en nombreux endroits.
Les journées mondiales et internationales
Le vingt-six avril c’est la Journée Mondiale de la propriété intellectuelle
http://www.journee-mondiale.com/134/journee-mondiale-de-la-propriete-intellectuelle.htm
Les Fêtes nationales du Jour
Fête Nationale de la République Unie de Tanzanie.
La Tanzanie actuelle est née de l'union du Tanganyika et de Zanzibar le 26 avril 1964, peu de temps après leur indépendance respective vis-à-vis du Royaume-Uni.
Les expressions françaises décortiquées
Entrer comme dans un moulin
1. Entrer sans politesse, sans se gêner.
2. Entrer très facilement
Origine
Vous savez ce qu'est un âne. Peut-être même en avez-vous vu un vrai de près. Mais pensez-vous qu'un âne frappe avant d'entrer dans un lieu? Si vous êtes comme moi, vous vous doutez bien que ce n'est pas le cas, sauf, peut-être, si c'est le compagnon de Shrek; mais celui-là est un peu spécial et fort peu représentatif de la réalité de notre univers.
Là, vous vous demandez probablement où je veux vous emmener avec mon âne. Dans un moulin, certainement, mais que vient faire un bourricot dans cette histoire? Rassurez-vous, vous n'aurez pas à donner votre âne au diable en échange de l'explication.
En effet, c'est très simple à comprendre une fois qu'on sait que la version initiale de l'expression, telle qu'elle est apparue au début du XIXe siècle, était «entrer comme un âne dans un moulin».
Car il ne faut pas oublier que nos têtus équidés, autrefois, avaient de bonnes raisons de s'approcher d'un moulin, et même d'y entrer. En effet, non seulement il y avait ceux qui transportaient le grain à moudre, mais il y avait aussi ceux qui, dans certains types de moulins, servaient à entraîner le mécanisme de la meule. Et ces ânes, donc, lorsqu'ils entraient dans le moulin, le faisaient bien évidemment sans frapper à l'entrée, sans dire bonjour et sans se préoccuper de savoir s'ils dérangeaient ou pas. Ils étaient incontestablement sans gêne et impolis.
Voilà qui suffit à expliquer à la fois le fait qu'une telle expression ait pu naître et, surtout, son premier sens.
Puis, inexorablement, le temps a passé, l'âne si doux marchant le long des houx a quitté l'expression dont l'origine s'est du coup un peu perdue, ce qui a entraîné une déformation de son sens où la notion d'impolitesse a disparu pour être remplacée par celle de facilité.
Exemple
«On dit, en France: "Entrer quelque part comme un âne dans un moulin". Ce n'est, certes, pas ainsi qu'on peut entrer chez un Chinois. Quels préliminaires! Quelle étiquette pour faire une simple visite à un ami!»
«En premier, les postes de police du coin, pour vérifier la façon dont on exécutait les consignes des ministres; dans l'un, on entrait comme dans un moulin, toutes les armes pendues à la porte, les flics alanguis sur une belote (...)»
Poème Erotique: La Fesse Cachée de Nos Plus Grands Auteurs
Parmi les grands poètes français dont on apprit par cœur les octosyllabes et autres alexandrins alors que nous n’étions encore que des marmots naïfs et innocents, certains d’entre eux nous ont été présentés comme étant globalement des louangeurs de la nature, de l’amour, de la mort ou du temps qui passe. Une poésie sage et belle narrant avec verve au mieux quelques morales, sinon d’élégantes esquisses du monde…
Mais nos professeurs ont omis une petite catégorie plus discrète, moins vantée, et qui pourtant fut loin d’être délaissée par nos plus grands auteurs : la poésie érotique, libertine, scabreuse…
Alors pour combler ce vide culturel, réparer cette absence de nos manuels scolaires, et pour le plaisir surtout, voici quelques poètes parmi les plus célèbres et leurs poèmes parmi les plus licencieux…
Plusieurs fantasmes mêlés dans ce poème: la femme bien élevée et prude en société qui se laisse aller aux plaisirs de la chair, avec un être mystérieux, fantasme de l’inconnu, et dans un lieu public où n’importe qui peut les surprendre, car ils ne semblent pas faire d’effort particulier pour dissimuler leurs étreintes au milieu de quelques arbres… On remarque dans cet extrait le style épuré et la mise en page aiguisée qui offrent une lecture rapide et vive pour un effet saccadé.
«Femme du monde» de Théophile Gauthier
Cette femme du monde,
Pâle et blonde,
Qu’on voit d’un pas pressé,
L’œil baissé,
Filer sous les grands arbres
Loin des marbres,
Héros, Amours, Bergers,
Trop légers,
S’en va vers un coin sombre
Voilé d’ombre,
Derrière les massifs
De vieux ifs.
Sans manteau qui la drape
Un Priape
Lascif dresse en ce lieu
Son long pieu,
Que couronne d’acanthe
La bacchante.
Par-delà le nombril
Son outil
Lui monte jusqu’au buste,
Gros, robuste,
Par le chaud, par le froid,
Toujours droit.
Sous l’acier qui paillette
Sa voilette,
Le cachemire long
Au talon,
Cette sainte Nitouche
Qu’effarouche
Le moindre mot plaisant
Non décent,
Chaque soir rend hommage
À l’image
Que le gamin impur
Trace au mur.
Sur le dieu de Lampsaque
Elle braque
Son lorgnon et ses yeux
Curieux,
Et d’un regard de chatte
Délicate
Croque comme un oiseau
Ce morceau.
Foin de ces dieux superbes,
Mais imberbes,
Qui vous montrent un nu
Si menu.
La plus chaste matrone,
Dit Pétrone,
Toujours volontiers vit
Un gros vit !
Théophile Gautier
La France pittoresque
Duel de 19 ans entre un capitaine de hussards et l’aide de camp du général Moreau
D’après «Histoire anecdotique du duel», paru en 1861
Si les duels furent fréquents sous le Premier empire, il n’en est cependant guère qui soient dignes d’être rapportés, à l’exception d’un des plus curieux, qui avait commencéà Strasbourg, se termina en 1813 et durait depuis 19 ans, opposant un capitaine de hussards à un certain Dupont, aide de camp du général Victor Moreau. Devenus amis, ils s’estimaient et s’entendaient le plus cordialement du monde, tout en tirant l’épée chaque fois qu’ils se croisaient, observant ainsi scrupuleusement les conventions qu’ils s’étaient fixées.
Disons un mot de la cause première de ce duel. Un capitaine de hussards, nommé François Fournier-Sarlovèze, bretteur forcené et d’une redoutable habileté, avait, pour le plus futile des motifs, provoqué et tué un brave jeune homme, appelé Blumm, seul appui d’une nombreuse famille. Il n’y avait eu qu’un cri par toute la ville, un cri de malédiction. Une foule considérable suivit le convoi.
Le soir on dansait chez le général Moreau; ce bal était donnéà la bourgeoisie. Le général, craignant que la présence de Fournier n’occasionnât du scandale, chargea le capitaine Pierre Dupont de l’Étang, son aide de camp, de lui barrer le passage. Celui-ci se plaça près de l’entrée, et lorsque Fournier se présenta:
- Oses-tu bien, lui dit-il, te montrer ici?
- Hein! Qu’est-ce que cela signifie?
- Cela signifie que tu aurais dû comprendre que, le jour de l’enterrement du pauvre Blumm, il eût été décent de rester chez toi et surtout de ne pas paraître dans une réunion où tu es exposéà rencontrer des amis de ta victime.
- C’est-à-dire des ennemis. Tu devrais savoir, toi, que je ne crains personne et que je suis d’humeur à défier tout le monde.
- Tu ne te passeras pas cette fantaisie ce soir, car tu vas aller le coucher par ordre du général.
- Tu te trompes, Dupont; je ne puis m’attaquer au général qui m’insulte en me faisant fermer sa porte, mais je m’en prends à toi et à eux, et veux le payer généreusement la commission que tu as acceptée.
- Nous nous battrons quand bon le semblera. Il y a longtemps que tes manières fanfaronnes me déplaisent et que la main me démange de te corriger.
- Nous verrons lequel des deux corrigera l’autre.
Ce fut Fournier qui reçut le châtiment.- Première manche! s’écria-t-il, renversé par un vigoureux coup d’épée.
- Tu entends donc renouveler l’expérience? demanda Dupont.
- Oui, mon vieux, et j’espère que ce sera bientôt...
Un mois après Fournier était guéri, et Dupont, grièvement blesséà son tour, s’écriait en tombant: «Seconde manche! Au premier jour, la belle!»
François Fournier-Sarlovèze (1773-1827)
Les deux adversaires étaient à peu près de même force à l’épée; mais les chances auraient été très inégales au pistolet; Fournier était un tireur d’une supériorité effrayante. «Souvent, raconte M. de Pontécoulant dans les excellents articles qu’a publiés l’Audience de 1858, lorsque des hussards de son régiment passaient au galop en fumant, Fournier s’amusait à leur casser leur brûle-gueule entre les lèvres.» Il proposa son arme favorite pour la reprise des hostilités; Dupont repoussa l’offre, et ils se battirent comme devant. La belle ne termina rien: touchés légèrement tous deux, ils résolurent de poursuivre l’affaire jusqu’à ce que l’une des parties se confessât battue et satisfaite, Ils formulèrent ainsi leurs conventions:
«1° Chaque fois que MM. Dupont et Fournier se trouveront à trente lieues de distance l’un de l’autre, ils franchiront chacun la moitié du chemin pour se rencontrer l’épée à la main;
«2° Si l’un des deux contractants se trouve empêché par son service, celui qui sera libre devra parcourir la distance entière, afin de concilier les devoirs du service et les exigences du présent traité;
«3° Aucune excuse autre que celles résultant des obligations militaires ne sera admise;
«4° Le présent traitéétant fait de bonne foi, il ne pourra être dérogé aux conditions arrêtées du consentement des parties.»
Ce pacte fut religieusement exécuté dans toute sa teneur. Du reste, les contractants n’avaient pas de peine à tenir leurs engagements; cet état de guerre continuel était devenu pour eux un état normal. Ils mettaient à se joindre un empressement qui jouait l’amitié la plus chaude. Ils ne croisaient pas le fer sans avoir échangé d’abord une formidable poignée de mains.
Rien de burlesque comme leur correspondance. Tantôt c’était ceci: «Je suis engagéà déjeuner par le corps d’officiers du régiment des chasseurs de Lunéville; je compte faire le voyage pour répondre à cette aimable invitation. Puisque tu es en congé dans celte ville, nous en profiterons, si tu le veux, pour nous donner un coup d’épée.»
Tantôt c’était ce billet, moins familier mais non moins tendre: «Mon cher ami, je passerai à Strasbourg le 5 novembre prochain, vers midi. Vous m’attendrez à l’hôtel des Postes. Nous nous donnerons un coup d’épée.» Toujours le même refrain. Entre temps, l’avancement de l’un des deux empêchait provisoirement toute rencontre: c’était un des cas prévus par l’art. 3 du traité. Quand ils se retrouvaient sur le pied d’égalité, le dernier élevé en grade ne manquait jamais de recevoir une épître de ce style. C’est Fournier qui tient la plume:
«Mon cher Dupont, j’apprends que l’empereur, rendant justice à ton mérite, vient de t’accorder le grade de général de brigade. Reçois mes sincères félicitations au sujet d’un avancement que ton avenir et ton courage rendent naturel. Il y a pour moi un double motif de joie dans ta nomination. D’abord, la satisfaction d’une circonstance heureuse pour ton avenir; ensuite, la faculté qui nous est rendue de nous donner un coup d’épée à la première occasion.»
Ils sont devenus généraux. Sur ces entrefaites, l’ordre est donnéà Dupont de joindre l’armée des Grisons. Il arrive, sans être attendu, dans le village qu’occupe l’état-major et qui est absolument dénué d’auberge. Il fait nuit noire; on n’aperçoit aucune lumière, si ce n’est aux fenêtres d’un petit chalet. Dupont se dirige de ce côté, pénètre résolument dans l’habitation et se trouve en face de Fournier.
- Comment, c’est toi? dit celui-ci joyeusement. En avant le coup d’épée!
- En avant le coup d’épée!
Et ils continuent de dialoguer tout en ferraillant:
- Je te croyais promu à quelque haute fonction administrative.
- Tu croyais mal; je suis toujours du métier. Le ministre m’a envoyé au quatrième corps et me voilà.
- Et ta première visite est pour moi... On n’est pas plus gracieux... Sacrebleu!
L’épée de Dupont a atteint Fournier au cou et le tient cloué contre le mur.
- Avoue que tu ne pensais pas à celte botte-là. Dupont ne lâche pas prise.
- Je te garde un coup qui vaudra bien celui-ci.
- Quel coup?
- Lorsque ton bras s’abaissera et sans que tu puisses le parer, je t’allongerai dans le ventre un coup qui fera prendre l’air à tes boyaux.
- Merci de l’avis. Nous passerons la nuit dans cette position.
- Voilà une agréable perspective! Sais-tu que je ne suis guère à mon aise?
- Lâche ton épée, je te lâcherai.
- Non, je veux te crever la panse.
Le bruit qu’ils font finit par attirer des officiers qui séparent les deux généraux.
Pierre Dupont de l’Étang (1765-1840)
Dupont se fatigue le premier de cette lutte sans issue. Il songe à prendre femme. Mais,
- Ah! Ah! Nous allons en découdre, dit l’autre.
- Prête-moi d’abord une oreille attentive. Je suis, tel que tu me vois, sur le point de me marier. Il faut terminer cette querelle qui commence à sentir le rance. Je viens me débarrasser de toi. Pour obtenir un résultat définitif, je t’offre de substituer le pistolet à l’épée.
- Tu as perdu la tête, dit Fournier stupéfait.
- Oh! Je connais ton adresse... Mais j’ai songéà un moyen d’égaliser le combat, le voici: il y a, près de Neuilly, un clos planté d’un petit bois, dont je puis disposer. Nous nous y rendrons munis de pistolets d’arçon, puis, après nous être perdus de vue, nous nous traquerons avec la faculté de tirer à notre convenance.
- Tope-là, c’est entendu. Mais laisse-moi le donner un conseil.
- Donne.
- Ne pousse pas trop loin tes projets de mariage: ce serait peine perdue, car je te certifie que tu mourras garçon.
- Rira bien qui rira le dernier.
Au jour dit, Fournier et Dupont se mirent en chasse. Ils avançaient à pas de loup, se guettant à travers le fourré, lorsque leurs yeux se rencontrèrent par une échappée de feuillage. D’un commun mouvement, ils s’effacèrent en toute hâte derrière un arbre. Ils restèrent cois quelques minutes. La situation était délicate. Dupont s’aventura, ou plutôt eut l’air de s’aventurer le premier. Il releva le pan de sa redingote et en fit dépasser un bout. Une balle siffla aussitôt, déchirant le drap. «Et d’une! se dit-il.» Après un court intervalle, il revint à la charge, mais de l’autre côté; tenant son pistolet de la main gauche, il en présenta le canon, comme s’il allait tirer, et, en même temps, tendit son chapeau de la main droite. «Et de deux! Ajouta-t-il.» Le chapeau était lancé dans les broussailles. Alors Dupont, marchant droit à Fournier:
- Ta vie m’appartient, lui dit-il, mais je ne la prends pas.
- Comme il te plaira, répondit Fournier.
- Seulement, souviens-toi de ceci, c’est que je n’abandonne pas mon droit de propriété. Garde-toi donc de te jeter jamais en travers de mon chemin, car je pourrais t’envoyer, à bout portant, mes deux balles dans la tête, comme il m’est permis de le faire à cette heure.
Ainsi finit cette longue querelle.
Article copié sur "La France pittoresque"
À table au Moyen Age : exposition à la Tour Jean sans Peur du 15 avril au 15 novembre 2015
Source: Tour Jean sans Peur
Nouvelle exposition médiévale à la Tour Jean sans Peur: présentation des «bonnes manières» de la table au Moyen Age. Ce sont les deux commissaires de cette exposition, Danièle Alexandre-Bidon et Perrine Mane, respectivement ingénieur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales et directrice de recherches au CNRS, qui ont conçu toutes les bannières explicatives avec des textes clairs et plein d’anecdotes.
Au Moyen Âge, on «dresse» la table, un plateau posé sur tréteaux. Dans les milieux aisés, chaque convive, placé suivant une hiérarchie stricte, dispose d’un tranchoir servant d’assiette, d’une coupe, d’un couteau.
Partager le pain rend les dîneurs «co-pains». Richesse de la vaisselle du vin, esthétique des mets et «entremets» contribuent à marquer l’opulence du maître des lieux. Les invités sont tenus de participer au repas avec retenue, afin notamment de ne pas sombrer dans la gourmandise, premier des péchés capitaux, ce qui n’empêche pas les plaisanteries.
Conférences autour de l’exposition
Réservation indispensable: tjsp@wanadoo.fr / 01 40 26 20 28
Mercredi 6 mai à 19h
Rire à table au Moyen Âge par Danièle Alexandre-Bidon, commissaire de l’exposition (E.H.E.S.S.)
Jeudi 28 mai à 19h (COMPLET)
Le roi des poules: jalons pour une histoire du coq médiéval par Michel Pastoureau, directeur d’études à l’E.P.H.E. Conférence organisée dans le cadre de la journée d’études «La poule. Pratiques d’élevage et histoire culturelle» en partenariat avec le Groupe d’archéologie médiévale de l’E.H.E.S.S.
Mercredi 10 juin à 19h
L’alimentation ordinaire au Moyen Âge par Mickaël Wilmart, ingénieur d’études à l’E.H.E.S.S.
Mercredi 24 juin à 19h
Manger des pâtes au Moyen Âge en Occident et en Orient par Françoise Sabban, directrice d’études à l’E.H.E.S.S.
Mercredi 16 septembre à 19h
Un Moyen Âge fantasmé ? Les repas aux châteaux au cinéma par Yohann Chanoir, agrégé d’histoire, doctorant à l’E.H.E.S.S.
Mercredi 14 octobre à 19h
Les entremets : entre pièces montées et spectacles par Perrine Mane, commissaire de l’exposition (CNRS - E.H.E.S.S.)
Concert - dégustation
Réservation indispensable : tjsp@wanadoo.fr / 01 40 26 20 28
Mercredi 7 octobre à 19h
Apéritif «néo-médiéval» suivi de chansons à boire du Moyen Âge au XVIIe siècle, par l’Ensemble vocal Montorgueil, sous la direction de Béatrice Gaussorgues
Renseignements pratiques:
Tour Jean sans Peur, 20 rue Étienne Marcel, 75002 PARIS
Ouverte au public du mercredi au dimanche de 13h30 à 18h
Tél. 01 40 26 20 28 / Courriel tjsp@wanadoo.fr / Web www.tourjeansanspeur.com
Article copié sur "La France pittoresque"
Opinel: un nouveau couteau historique pour les 125 ans, objet d’un concours
Source : La Montagne
Outil indispensable à tout bon cuisinier amateur qui se respecte, le couteau Opinel souffle ses 125 bougies en 2015. À cette occasion, un concours vient tout juste de démarrer, la compétition consistant à imaginer un graphisme contemporain et distinctif qui habillera le fameux manche en bois du plus savoyard des couteaux de référence.
Toutes les idées sont à transmettre via le site anniversaire
Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 31 mai prochain. Ensuite, un jury composé de personnalités du monde de la cuisine et des arts graphiques prendra le relais. Sa mission : éplucher tous les projets pour n’en proposer qu’une sélection.
À partir du 10 juin, les idées des finalistes seront publiées sur le site web. Les internautes seront seuls juges pour élire le nouveau look du manche en bois Opinel. Le projet qui aura rencontré le plus de succès sera révélé le 30 juin. Il deviendra réalité dès le mois d’octobre lors de la production d’une série anniversaire limitée à 12 500 exemplaires. Le créateur remportera 1000 euros, 125 couteaux ainsi qu’un abonnement au magazine Fricote.
Opinel, une référence mondiale en coutellerie
Des plus grandes tables étoilées aux petits bistrots canailles, bon nombre d’adresses gourmandes confient à leurs clients le tranchant Opinel. Le couteau a été inventé par Joseph Opinel en 1890, dans un atelier près de Saint-Jean-de-Maurienne, en Savoie.
A l’origine, le fameux accessoire est destiné aux paysans de la région. Pratique, fonctionnel, il se glisse dans la poche et sa lame robuste est efficace. Au cours des 125 années qui vont suivre, la marque savoyarde va décliner son succès à travers une ribambelle de couteaux, des outils de cuisine jusqu’aux accessoires de jardinage. Le couteau au manche de bois dont la lame se replie reste bien sûr le plus célèbre. Le manche n’a d’ailleurs pas changé depuis sa création en 1890.
La Montagne
Article copié sur "La France pittoresque"
Vingt-six avril 1248. Saint Louis dépose la couronne d'épines du Christ dans la Sainte-Chapelle. Avant de partir en croisade, met son royaume sous la protection des 22 reliques de Jésus achetées une fortune à Constantinople.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
En l'an de grâce 1248, Louis IX, le futur Saint Louis, entre dans sa vingt-deuxième année de règne alors qu'il n'a que 34 ans. Il s'apprête à partir pour sa première croisade pour remercier Dieu de l'avoir sauvé lors d'une sévère crise de dysenterie, quatre ans auparavant. Reste à savoir pourquoi Dieu le laissera mourir de la même dysenterie lors de sa deuxième croisade. Les voies du Seigneur sont impénétrables, il faudrait interroger Christine Boutin là-dessus... Mais c'est une autre histoire. Avant d'entamer son circuit en Terre sainte, le souverain inaugure le 26 avril 1248 la Sainte-Chapelle qu'il vient de faire ériger au coeur de sa capitale, sur l'île de la Cité. C'est un écrin qu'il destine à son extraordinaire ensemble de reliques de la Passion. L'homme est un collectionneur enragé qui achète coûte que coûte tout ce que le Christ et sa parenté auraient pu utiliser, porter, toucher ou émettre. C'est obsessionnel.
Cette passion des vieilleries le prend vers 1237, quand il apprend que Baudouin II de Courtenay, empereur latin de Constantinople, a emprunté une somme considérable à un marchand vénitien en lui confiant, en guise de gage, la Sainte Couronne d'épines. Comme Baudouin, raide comme un passe-lacet, est incapable de rembourser la somme due, Saint-Louis se propose de le faire à sa place. Mais, auparavant, il fait mener une enquête sur l'authenticité de l'objet. Pas question de se faire refiler une copie chinoise. Rassuré sur ce point, il acquiert la couronne en août 1238 pour la somme énorme de 40 000 livres tournois. Trois ans plus tard, Saint Louis se procure auprès du même fournisseur plusieurs autres reliques de la Passion, dont un fragment de la Sainte Croix et sept autres babioles, dont le Saint Sang, un fragment de la pierre du sépulcre et le fameux Mandylion, un carré de tissu sur lequel la face du Christ s'est mystérieusement imprimée en sa présence.
Le mystérieux architecte… Un an après, le roi rajoute à la sainte collection le fer de la Sainte Lance et un morceau de la Sainte Éponge. UPS n'existant pas encore, la Sainte Couronne est rapportée à pied jusqu'à Paris après un périple de plusieurs mois. Tout au long de son parcours, elle soulève l'enthousiasme des foules sur son passage. Christine Boutin, qui la voit à Lyon, tombe évanouie... Finalement, la châsse arrive au château de Vincennes par bateau. Le 19 août, le roi, son frère et ses deux fils viennent l'y chercher. Pieds nus et habillés en pénitents, les quatre hommes la portent jusqu'à la chapelle Saint-Nicolas du palais royal, dans l'île de la Cité.
Bientôt, les autres reliques suivent. Mais où les déposer? Pour de tels trésors, il faut un écrin exceptionnel, un reliquaire géant en dentelle de pierre! Le roi fait donc ériger la Sainte-Chapelle, le joyau de l'art gothique. Qui en est l'architecte? On ne le sait pas vraiment. Certains penchent pour Pierre de Montreuil, maçon de Saint-Denis et futur maître d'œuvre de Notre-Dame, sans en apporter franchement la preuve. L'architecte, quel qu'il soit, imagine la Sainte-Chapelle comme une châsse composée de deux chapelles superposées. L'inférieure destinée à accueillir les gens du commun, la supérieure réservée au roi et à son proche entourage. Sans vouloir faire un cours d'architecture, précisons tout de même que c'est le premier bâtiment au monde à utiliser le chaînage métallique, une technique redécouverte seulement au XXe siècle. À noter que Saint Louis dépense 135 000 livres pour acquérir l'ensemble des reliques, 100 000 livres pour faire fabriquer la grande châsse en argent qui les abritera toutes, et "seulement" 40 000 pour ériger la Sainte-Chapelle.
Consécration… Après un chantier de sept ans, l'édifice est achevé, prêt à recevoir les précieuses reliques. La consécration solennelle se déroule le 26 avril 1248. Saint Louis met les petits plats dans les grands. Toute la noblesse de France est présente, tous les ambassadeurs, tous les ordres. Comme il y a deux chapelles, il y a deux consécrations. Au premier étage, le cardinal Eudes de Châteauroux, légat du pape, entouré des grands prélats du royaume et de quelques-uns venus de l'étranger, comme l'archevêque de Tolède, dédie la chapelle aux reliques. Il profite de son sermon pour inciter le roi à poursuivre son projet de croisade. Au-dessous, c'est Pierre Berruyer, archevêque de Bourges, qui œuvre. La chapelle inférieure est dédiée à la Vierge.
Si aujourd'hui, presque huit siècles après sa construction, la Sainte-Chapelle s'élève toujours sur l'île de la Cité, ce n'est plus qu'une coquille creuse. Au fil des siècles, les descendants de Saint Louis ont tapé dans la collection des objets saints pour assurer leurs fins de mois difficiles. Ainsi Philippe VI a-t-il vendu une épine de la Sainte Couronne à Rodolphe II de Saxe. Quand survient la Révolution française, il ne reste plus que quelques babioles qui sont alors planquées par les prêtres. Plus tard, ces ultimes reliques seront remises à l'archevêché de Paris qui les joindra au trésor de la cathédrale Notre-Dame: les reliquaires de la Sainte Couronne d'épines, un fragment et un clou de la Croix. Et si on les mettait au clou, pour combler une partie de l'endettement actuel de la France?
Liste des 22 reliques cédées à Saint Louis par Baudouin de Constantinople:
1 - La couronne d'épines. 2 - Un morceau de la Croix. 3 - Le sang du Christ. 4 - Un morceau de couche de l'enfant Jésus. 5 - Un autre morceau de la Croix. 6 - Du sang issu d'une image du Christ. 7 - La chaîne. 8 - Le Mandylion. 9 - Une pierre de la tombe. 10 - Du lait de la Vierge Marie. 11 - La lance. 12 - Une croix victorieuse. 13 - Le manteau pourpre. 14 - Le roseau. 15 - L'éponge. 16 - Un morceau du suaire. 17 - La serviette qui a séché les pieds du Christ. 18 - Le bâton de Moïse. 19 - Un fragment de la tête de saint Jean le Baptiste. 20 - La tête de saint Blas. 21 - La tête de saint Clément. 22 - La tête de saint Siméon.
À gauche, le vitrail montre saint Louis apportant les reliques à la Sainte-Chapelle. À droite, la couronne du Christ. © DR
© Le Point.fr - Publié le 26/04/2012 à 00:00 - Modifié le 26/04/2014 à 00:01
DÉCOUVREZ L'INTÉRIEUR DE LA SAINTE-CHAPELLE:
http://fromparis.com/panoramas_quicktime_vr/sainte_chapelle_01/
http://fromparis.com/panoramas_quicktime_vr/sainte_chapelle_02/
Pour l’éphéméride du vingt-six avril c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/04/26/29737446.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service, en parfait philosophe, prend la vie du bon côté et ne se prend pas la tête pour bien vivre...
Ben pour la zique de ce dimanche… avec le temps qu’il fait on va s’écouter des airs des Antilles avec Best Reggae Music Songs 2013… c’est du tout bon avec du rythme et peut-être quelques souvenirs pour certains… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=T4spZ1vVG7Y
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Je suis allé au restaurant avec quelques amis il y a quelques jours, et j’ai remarqué une petite cuillère dépassant de la poche de notre serveur lorsqu’il nous a tendu les menus.
Cela m’a paru un petit peu bizarre, mais je n’y ai plus prêté attention, jusqu’à ce que le sommelier arrive, et lui aussi avait une petite cuillère qui dépassait de la poche de sa chemise.
J’ai regardé autour de moi, et tous les employés étaient équipés de la sorte.
Quand le serveur est revenu pour prendre la commande, je lui ai demandé:
- À quoi sert la petite cuillère?
- Et bien, notre patron a récemment fait appel aux experts en productivité d’Albert Andersen afin de passer en revue toutes nos procédures de travail et après des mois d’analyses statistiques, ils en ont conclu que nos clients font tomber par terre leur petite cuillère 73 % plus souvent que les autres couverts, selon une fréquence de trois cuillères par heure et par poste de travail. En préparant tous nos employés à cette éventualitéà l’avance, nous pouvons diminuer le nombre de trajets vers la cuisine et ainsi gagner du temps… presque une heure et demi de travail par personne et par service.
Au moment où il finissait, un «chhhling» parvint de la table située derrière nous, et il remplaça prestement la petite cuillère tombée à terre.
- Je prendrai une nouvelle petite cuillère à la cuisine la prochaine fois que j’irai y chercher un plat, plutôt que de faire un voyage spécial.
Je fus très impressionné, et lui très fier de son explication. Après quoi, il continua son service. Pendant que mes amis commandaient, je ne pus m’empêcher de remarquer une petite corde noire qui dépassait de toutes les braguettes du personnel. Ma curiosité l’emporta et je ne résistais pas très longtemps.
Je posais la question:
- Excusez-moi, mais pouvez-vous m’expliquer la raison de cette cordelette qui pend?
- Oh oui, reprit il plus bas, peu de gens ont votre sens de l’observation.
Le même consultant s’est rendu compte qu’on pouvait gagner du temps dans les toilettes pour hommes aussi.
- Ah oui, comment cela?
- Vous voyez, en attachant une cordelette au bout de votre, euh, sexe, on peut le sortir dans l’urinoir sans se servir des mains, et par làéliminer le besoin d’aller se laver les mains, ce qui diminue de 93% le temps passé aux toilettes.
- Eh oui, cela a du sens, mais après avoir mieux réfléchi, je ne pus m’empêcher de lui demander:
- Comment faites-vous pour le rentrer dans votre pantalon?
Il me murmura alors:
- Je ne sais pas comment font les autres, mais moi, je me sers de ma petite cuillère.
Une vieille pute suce
un clochard qui n’arrive
pas à bander…
Elle suce, elle suce,
elle suce, elle suce encore…
puis finit par dire:
- C’est mou !!!
Et le clochard lui répond:
- Oui mais maintenant
c’est propre…
Un ministre épouse une femme qui a déjàété mariée dix fois.
Pendant leur nuit de noce, elle lui glisse à l’oreille:
- Sois doux avec moi, je suis toujours vierge…
Le ministre demande:
- Comment c’est possible, tu as déjàété mariée dix fois?
Elle lui répond:
- Eh bien, mon premier mari était responsable des ventes, il passait son temps à me dire à quel point ça allait être super.
- Le second s’occupait d’un SAV. Il me disait toujours qu’il ne savait pas bien comment ça fonctionnait mais qu’il allait jeter un coup d’œil et qu’il me tiendrait au courant.
- Le troisième était informaticien. Il faisait des diagnostics mais ne pouvait pas traiter le problème.
- Le quatrième faisait de la vente par correspondance et même en ayant la commande il ne pouvait pas me donner de date de livraison.
- Le cinquième était ingénieur. Il comprenait bien le processus mais demandait trois ans de recherches supplémentaires et voulait revoir le design avant de se lancer.
- Le sixième était dans l’administration. Il connaissait bien le problème mais se demandait toujours si c’était son boulot ou pas.
- Le septième était dans le marketing. Bien qu’il trouve qu’il avait un super produit, il ne savait jamais comment le positionner.
- Le huitième était psy. Tout ce qu’il faisait c’était d’en parler, d’en parler, d’en parler…
- Le neuvième était gynéco. Il passait son temps à regarder, jamais plus.
- Le dixième collectionnait les timbres. Il ne se servait que de sa langue.
Enfin, maintenant que je suis mariée à un ministre je suis vraiment excitée!
Le ministre dit:
- Mince... mais pourquoi tu es excitée?
Elle lui dit:
- Tu es un homme politique, je suis sure que tu vas vraiment bien me baiser!!!
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C'est dimanche... le réveille-matin nous fout la paix pour ce jour, alors autant en profiter... avec le temps qu'il fait, rien de tel qu'une bonne grasse matinée car ce n'est pas aujourd'hui qu'on va faire un barbecue ou un pique-nique... Bon, c'est une journée cinéma ou télévision ou pour les plus courageux une balade au bord des rivières pour taquiner la tachetée ou pour aller fouiller dans les coins à morilles... En ces jours de printemps perturbés, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leurs appartements car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...