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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du huit mai

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«À la Saint-Désiré, tu peux découvrir ton nez.

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«À la Saint-Didier, soleil orgueilleux nous annonce un été joyeux.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est vendredi, le soleil et le beau temps font de brèves apparitions par endroit et ça fait plaisir de voir qu'il existe encore, mais le temps sera perturbé, pour changer... Anniversaire des 70 ans de la capitulation de l'Allemagne lors du deuxième Conflit mondial, la France à congé aujourd'hui pour commémorer ce jour, alors que pour les travailleurs des autres pays c'est le dernier jour de travail de la semaine... Alors amis de l'Hexagones pour ce long week-end, faites gaffes aux bouchons et aux conditions de circulation...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 9° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour vendredi, temps encore assez ensoleillé en début de matinée puis passages nuageux de moyenne et haute altitude réduisant de plus en plus l'ensoleillement à partir du sud-ouest.
Ciel devenant plus menaçant dans l'après-midi et quelques averses localement orageuses attendues d'ici la fin de journée et en soirée, surtout dans les Alpes, les Préalpes et en Valais mais débordant également en plaine.
Températures douces en plaine comme en moyenne montagne. Températures prévues pour vendredi: minimales 8 à 11°à basse altitude, maximales 19 à 20°, jusqu'à 22° en Valais. Dans le Jura à 1000 m: 3 à 6°à l'aube puis 16 à 17° l'après-midi. En montagne: 7 puis 10°à 2000 m, -1 puis 1°à 3000 m.
Vent du sud-ouest faible sur le Plateau et le bassin lémanique, modéré en montagne, modéréà fort en haute montagne. Brises de vallées faibles à modérées en journée. Rafales possibles en cas d'orages...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de printemps, un temps qui se dégrade par endroits...  eh oui c'est souvent comme ça en mai, surtout au début...  avec pour ce jour: dès le matin, des averses localement orageuses affecteront les régions océaniques.
Ce temps instable se propagera rapidement vers l'intérieur du pays avec une activité temporairement plus marquée du Massif central, aux Alpes, à la Bourgogne et à la Franche-Comté. Ailleurs, les averses orageuses seront plus localisées.
Sur la façade ouest du pays, le risque de pluie sera plus faible l'après-midi mais les nuages resteront encore nombreux avec un vent d'ouest modéré.
Sur le pourtour méditerranéen, le ciel sera lumineux avec de rares ondées. La tramontane se lèvera vers le Roussillon.
Le matin, les températures minimales iront de 6 à 14 degrés du nord au sud avec localement 4 à 5 degrés dans les vallées de l'Est. L'après-midi, il fera 16 à 20 degrés du Nord au Nord-Ouest et au Centre, 18 à 23 degrés ailleurs, jusqu'à 24 à 25 près de la Méditerranée...

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, nuageux et variable avec des températures de l'ordre de 28°à 32°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, nuageux et pluvieux avec des températures de l'ordre de 28°à 30°; à la Martinique, ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31°à 36°; ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 34°à 38° en Guadeloupe; brumeux, et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°à 33°; Polynésie française, peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 30°; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 29° aux Marquises; généralement ensoleillé et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 7°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:09 et le coucher du soleil se fera à 20:51 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables de mai en France 

TMax: 41.0°C (Montauban le 26/05/1888)
TMin: -8.6°C (Mont Aigoual le 02/05/1909)
Précip: 276.2 mm (Mont Aigoual le 19/05/1917)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les: 

Samedi 16 mai à 06h21, coefficient 88, à 18h48, coefficient 93
dimanche 17 mai à 07h13, coefficient 97, à 19h36, coefficient 100
lundi 18 mai à 08h01, coefficient 101, à 20h20, coefficient 102
mardi 19 mai à 08h45, coefficient 101, à 21h01, coefficient 99
mercredi 20 mai à 09h27, coefficient 97, à 21h40, coefficient 93

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1976: Il faisait chaud sur tout le pays et au Mont Rigi, on relevait 26°.
En 1957: A l'aube, on relevait une température minimale de -2.8°à Bourg-Léopold, -5° au Mont-Rigi et -4,8°à Saint-Hubert.
En 1928: Il tombait de la neige en grain en Ardenne.

 

Les journées mondiales et internationales

Le huit mai c’est la Journée Mondiale de La Croix Rouge
http://www.journee-mondiale.com/191/journee-mondiale-de-la-croix-rouge.htm

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Les expressions françaises décortiquées

 

La caque sent toujours le hareng

  1. Lorsqu'on a de basses origines, on en conserve toujours la vulgarité, malgré une éventuelle réussite

Origine
Le hareng, comme vous le savez certainement, est un poisson des mers froides et peu profondes. Il a, comme beaucoup d'autres, une odeur très forte lorsqu'il est fumé, bien qu'aucune sorcière ne lui ait jeté de mauvais saur.
Du coup, lorsque dans une caque, on entasse des harengs pendant un certain temps, elle en garde définitivement l'odeur quoi qu'on puisse faire pour tenter de l'en enlever.
Mais qu'est donc une caque, me direz-vous?
Eh bien le mot est apparu sous cette forme au XIVe siècle, probablement dérivé de l'ancien nordique kaggi ou kakki qui voulait dire «tonneau».
Il désigne une barrique destinée, avant d'autres usages ultérieurs, à contenir des harengs conservés dans du sel. Autant dire que, vu l'odeur des poissons ainsi stockés, le bois ne peut que s'en imprégner définitivement et que plus rien ne peut l'éliminer.
Cette caque a autrefois donné l'expression serrés comme harengs en caque aujourd'hui remplacée par serrés comme des sardines, vu qu'il est plus facile actuellement de rencontrer des boîtes de sardines que des caques de harengs dans les rayons des supermarchés.
Cette expression est donc une métaphore désespérante pour celui qui n'est pas né dans le grand monde. Elle prétend que celui qui vient de la France d'en bas n'arrivera jamais à dissimuler complètement ses origines, même s'il arrive à se hisser dans les hautes sphères de la société.
Tout comme la caque est perdue pour un usage autre que le stockage de harengs, une fois qu'elle a servi àça, le mal né gardera toujours en lui la prétendue vulgarité liée au monde dans lequel il a étéélevé.
Mais on a eu aussi le mortier sent toujours les aulx, pour ceux qui pilaient de l'ail dans un mortier.
Notez que cette expression est presque toujours employée avec un sens négatif: elle n'est pas utilisée pour quelqu'un qui serait né avec une cuillère d'argent dans la bouche et qui aurait malheureusement plongé dans la pauvreté mais qui aurait gardé des traces de sa bonne éducation.
Une des raisons de cette mauvaise appréciation vient de ce que le hareng, principalement le saur, était surtout consommé par les populations pauvres.
Exemple
Comme pour le dentifrice. Qu'est-ce que ça lui coûte de presser d'abord à partir du fond? Rien. Mais rien que pour me contrarier, elle pressait le tube par le milieu. Si je ne lui dis pas de nettoyer la poubelle, elle n'en a rien à branler. Toute une croûte peut se former là, elle s'en fout. La caque sent toujours le hareng, comme on dit justement.

 

Poème Erotique: La Fesse Cachée de nos plus grands auteurs

Poèmes érotiques (Verlaine et Rimbaud) - Pour Petite Anna

A madame

Quand tu m'enserres de tes cuisses
La tête ou les cuisses, gorgeant
Ma gueule de bathes délices
De ton jeune foutre astringent,
Où mordant d'un con à la taille
Juste de tel passe-partout
Mon vit point, très gros, mais canaille
Depuis les couilles jusqu'au bout.
Dans la pinette et la minette
Tu tords ton cul d'une façon
Qui n'est pas d'une femme honnête ;
Et nom de Dieu, t'as bien raison!
Tu me fais des langues fourrées,
Quand nous baisons, d'une longueur,
Et d'une ardeur démesurées
Qui me vont, merde ! au droit du cœur,
Et ton con exprime ma pine
Comme un ours téterait un pis,
Ours bien léché, toison rupine,
Que la mienne a pour fier tapis
Ours bien léché, gourmande et saoule
Ma langue ici peut l'attester
Qui fit à ton clitoris boule de gomme
A ne plus le compter
Bien léché, oui, mais âpre en diable,
Ton con joli, taquin, coquin,
Qui rit rouge sur fond de sable;
Telles les lèvres d'Arlequin.

 

La France pittoresque

L’histoire de France revisitée en poupées
Source : France 3 Centre-Val de Loire

Pendant cinq mois, le château de Meung-sur-Loire (Loiret) expose une centaine de poupées mettant en scène de nombreux personnages historiques
Cela fait dix ans que Claude Brabant, passionnée de mode et de costumes, habille des poupées à l’effigie de personnages historiques : Napoléon, Marie de Médicis ou encore les Gaulois...
Un travail particulièrement minutieux qui demande un souci du détail. Ainsi, sur la robe d’Elisabeth Ière, l’artiste a cousu plus de 800 perles ! Au total, 150 poupées Ken et Barbie sont ainsi exposées dans l’ancienne cuisine du château de Meung-sur-Loire (Loiret). 

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Objectif de cette exposition : faire venir les plus jeunes générations et redécouvrir l’histoire de France. « Cela nous permet de nous rapprocher à la fois du monde de notre enfance et de pouvoir parler de notre histoire de manière ludique », explique Xavier Lelevé, le propriétaire des lieux.

Renseignements pratiques :
L’exposition Barbie et Ken refont l’histoire de France — dont France 3 Centre-Val de Loire est partenaire — se visite au château de Meung-sur-Loire (Loiret) jusqu’au 31 août 2015.
Ouverture : tous les jours (sauf le lundi) de 14h à 18h en mai et de 10h à 19h de juin à août.

France 3 Centre-Val de Loire

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Une Bible rarissime de 900 ans accessible grâce à la numérisation du patrimoine
Source: France 3 Limousin

La Bible de Saint-Yrieix, célèbre manuscrit limousin daté du XIIe siècle, vient d’être mise en ligne. Grâce à la numérisation, cette oeuvre majeure est désormais accessible à tous.
C’est un véritable trésor médiéval que la Bibliothèque de Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne) détient derrière ses portes. Une Bible de plus de 900 ans ornée de 60 lettrines et réalisée en cuir de mouton.
Le plus ancien manuscrit visible de la région
Cet ouvrage de 23 kilos a été réalisé au début du XIIe siècle, puis restauré en 1948 par l’atelier de la Bibliothèque Nationale; il est depuis visible par tous. Probablement conçu à Limoges, ce manuscrit exceptionnel est une traduction latine du texte sacré, une version attribuée à Jérôme de Stridon, illustre traducteur du 4e siècle.

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La numérisation de la Bible de Saint-Yrieix

Ce joyau a d’abord été numériséà Bordeaux en 2014 puis mis en ligne sur le site Limousin Médieval. L’internaute peut désormais feuilleter ce manuscrit et découvrir les témoignages de plusieurs époques comme l’explique Nicole Dexet-Normand, directrice de la Bibliothèque: « Je trouve que c’est très émouvant parce qu’on voit l’évolution de cette bible au cours des âges ».
La Bible de Saint-Yrieix reste un monument incontournable du patrimoine limousin, il n’a jamais quitté la région et «fait le lien avec les peintures et fresques romanes que [le limousin] conserve» souligne Alain Petit, coordinateur du site www.limousin-medieval.com

Alexia Colone, France 3 Limousin

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Stendhal enterré par lui-même ou quand Henri Beyle rédige sa propre notice nécrologique.
D’après «Le Figaro: supplément littéraire du dimanche», paru en 1908

Stendhal eut, parmi beaucoup de génie, bien des singularités. C’est ainsi qu’il se complut, à deux reprises, àécrire lui-même sa Notice nécrologique, la seconde étant particulièrement singulière, où Beyle-Stendhal énumère ses maîtresses et oublie son plus beau livre, le Rouge et le Noir, paru l’année précédente.
La première fois, ce fut en 1822; il traversait une crise de spleen et songeait au suicide. Avant de disparaître, il prit la plume et écrivit: «Henri Beyle, néà Grenoble en 1783, vient de mourir à... le... octobre 1822.» Suit une notice presque entièrement consacrée à sa carrière militaire. La seconde, datée de 1837, est la plus longue, et la plus curieuse. La voici telle que nous la trouvons dans le volume des Plus belles pages de Stendhal:
Il pleut à verse. Je me souviens que Jules Janin me disait: «Ah! Quel bel article nous ferions sur vous si vous étiez mort!» Afin d’échapper aux phrases, j’ai la fantaisie de faire moi-même cet article.
Ne lisez ceci qu’après la mort de Beyle (Henri), néà Grenoble le 23 janvier 1783, mort à Paris le... Ses parents avaient de l’aisance et appartenaient à la haute bourgeoisie. Son père, avocat au parlement du Dauphiné prenait le titre de noble dans les actes. Son grand-père était un médecin, homme d’esprit, ami ou du moins adorateur de Voltaire. M. Gagnon, c’était son nom, était le plus galant homme du monde, fort considéréà Grenoble, et à la tête de tous les projets d’amélioration.

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Henri Beyle dit Stendhal

Le jeune Beyle vit couler le premier sang versé dans la Révolution, lors de la fameuse journée des Tuiles. Le peuple se révoltait contre le gouvernement, et du haut des toits lançait des tuiles sur les soldats. Les parents du jeune B. étaient dévots et devinrent d’ardents aristocrates, et lui patriote exagéré. Sa mère, femme d’esprit qui lisait le Dante, mourut fort jeune. Les Gagnon, inconsolables de la perte de cette fille chérie, se chargèrent de l’éducation de son seul fils. La famille avait des sentiments d’honneur et de fierté exagérée, elle communiqua cette façon de sentir au jeune homme. Parler d’argent, nommer même ce métal passait pour une bassesse, chez M. Gagnon, qui pouvait avoir 8 à mille livres de rente, ce qui constituait un homme riche à Grenoble en 1789.
Le jeune Beyle prit cette ville dans une horreur qui dura jusqu’à sa mort; c’est là qu’il apprit à connaître les hommes et leurs bassesses. Il désirait passionnément aller à Paris et à vivre en faisant des livres et des comédies. Son père lui déclara qu’il ne voulait pas la perte de ses mœurs et qu’il ne verrait Paris qu’à 30 ans. De 1796 à 1799, le jeune Beyle ne s’occupa que de mathématiques; il espérait entrer à l’Ecole polytechnique, et voir Paris. En 1799 il remporta le premier prix de mathématiques à l’Ecole centrale (M. Dupuy, professeur); les 8 élèves qui remportèrent le second prix furent admis à l’Ecole polytechnique deux mois après. Le parti aristocrate attendait les Russes à Grenoble, ils s’écriaient: O Rus, quando ego te aspiciam!
L’examinateur Louis Monge ne vint pas cette année. Tout allait à la diable à Paris. Tous ces jeunes gens partirent pour Paris afin de subir leur examen à l’Ecole même; Beyle arriva à Paris le 10 novembre 1799, le lendemain du 18 Brumaire. Napoléon venait de s’emparer du pouvoir. Beyle était recommandéà M. Daru, ancien secrétaire général de l’Intendance du Languedoc, homme grave et très ferme. Beyle lui déclara, avec une force de caractère singulière pour son âge, qu’il ne voulait pas entrer à l’Ecole polytechnique.
On fit l’expédition de Marengo, Beyle y fut, et M. Daru (depuis ministre de l’empereur) le fit nommer sous-lieutenant au 6e régiment de dragons, en mai 1800. Il servit quelque temps comme simple dragon. Il devint amoureux de Mme A. (Angela Pietragrua).
Il passait son temps à Milan. Ce fut le plus beau temps de sa vie; il adorait la musique, la gloire littéraire, et estimait fort l’art de donner un bon coup de sabre. Il fut blessé au pied d’un coup de pointe dans un duel. Il fut aide de camp du lieutenant-général Michaud; il se distingua, il a un beau certificat de ce général (entre les mains de M. Colomb, ami intime dudit). Il était le plus heureux et probablement le plus fou des hommes, lorsque, à la paix, le ministre de la guerre ordonna que tous les aides de camp sous-lieutenants rentreraient à leur corps.
Beyle rejoignit le 6e régiment à Savigliano en Piémont. Il fut malade d’ennui, puis blessé, obtint un congé, vint à Grenoble, fut amoureux, et, sans rien dire au ministre, suivit à Paris Mlle V., qu’il aimait. Le ministre se fâcha; B. donna sa démission, ce qui le brouilla avec M.nbsp;Daru. Son père voulut le prendre par la famine.
B., plus fou que jamais, se mit àétudier pour devenir un grand homme. Il voyait une fois tous les quinze jours Mme A.; le reste du temps, il vivait seul. Sa vie se passa ainsi de 1803 à 1806, ne faisant confidence à personne de ses projets, et détestant la tyrannie de l’empereur qui volait la libertéà la France. M. Mante, ancien élève de l’Ecole polytechnique, ami de Beyle, l’engagea dans une sorte de conspiration en faveur de Moreau (1804).
Beyle travaillait douze heures par jour, il lisait Montaigne, Shakespeare, Montesquieu, et écrivait le jugement qu’il en portait. Je ne sais pourquoi il détestait et méprisait les littérateurs célèbres en 1804, qu il entrevoyait chez M. Daru. Beyle fut présentéà M. l’abbé Delille. Beyle méprisait Voltaire qu’il trouvait puéril, Mme de Staël qui lui semblait emphatique, Bossuet qui lui semblait de la blague sérieuse; il adorait les fables de La Fontaine, Corneille et Montesquieu.

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Angela Pietragrua

En 1804, Beyle devint amoureux de Mlle Mélanie Guilbert (Mme de Baskoff) et la suivit à Marseille, après s’être brouillé avec... qu’il a tant aimée depuis. Ce fut une vraie passion. Mlle M. G. ayant quitté le théâtre de Marseille, Beyle revint à Paris, son père commençait à se ruiner et lui envoyait fort peu d’argent. Martial Daru, sous-inspecteur aux Revues, engagea Beyle à le suivre à l’armée; Beyle fut extrêmement contrarié et quitta les études.
Le 14 ou 15 octobre 1806, Beyle vit la bataille d’Iéna; le 26 il vit Napoléon entrer à Berlin. Beyle alla à Brunswick, en qualité d’élève commissaire des guerres. En 1808 il commença au petit palais de Richemont (à 10 minutes de Brunswick), qu’il habitait en sa qualité d’intendant, une histoire de la Guerre de la succession d’Espagne. En 1809, il fit la campagne de Vienne, toujours comme élève commissaire des guerres. Il y eut une maladie et il devint amoureux d’une femme aimable et bonne, ou plutôt excellente, avec laquelle il avait eu des relations autrefois.
B. fut nommé auditeur au Conseil d’Etat et inspecteur du mobilier de la couronne par la faveur du comte Daru. Le jour où les Bourbons rentrèrent à Paris, B. eut l’esprit de comprendre qu’il n’y avait plus en France que de l’humiliation pour qui avait étéà Moscou. Il alla s’établir à Milan. Il crut entrevoir de la hauteur à son égard dans Mme A... Il serait ridicule de raconter toutes les péripéties, comme disent les Italiens, qu’il dut à cette passion. Il fit imprimer la Vie de Haydn; Rome, Naples et Florence en 1817; enfin l’Histoire de la Peinture (en Italie). En 1817 il revint à Paris, qui lui fit horreur; il alla voir Londres et revint à Milan.
En 1821, il perdit monsieur son père, qui avait négligé ses affaires (à Claix) pour faire celles des Bourbons (en qualité d’adjoint au maire de Grenoble), et s’était entièrement ruiné. En 1819, M. B. avait fait dire à son fils (par M. Félix Faure) qu’il lui laisserait 10000 francs de rente, il lui laissa 3000 francs de capital. Par bonheur, B. avait 1000 francs de rente, provenant de la dot de sa mère (Mlle Henriette Gagnon, morte à Grenoble vers 1790, et qu’il a beaucoup adorée et regrettée). A Milan, B. avait écrit au crayon l’Amour.
B., malheureux de toute façon, revint à Paris en juillet 1821, il songea sérieusement à en finir lorsqu’il crut voir que Mme C... avait des yeux pour lui. Il ne voulait pas se rembarquer sur cette mer orageuse, il se jeta à corps perdu dans la querelle des romantiques, fit imprimer Racine et Shakespeare, la Vie de Rossini, les Promenades dans Rome, etc. Il fit deux voyages en Italie, alla un peu en Espagne jusqu’à Barcelone. La campagne d’Espagne ne permettait pas de passer plus loin.
Pendant qu’il était en Angleterre (en septembre 1826) il fut abandonné de cette dernière maîtresse, C...; elle aimait pendant six mois, elle l’avait aimé pendant deux ans. Il fut fort malheureux et retourna en Italie. En 1829, il aima G... et passa la nuit chez elle, pour la garder, le 29 juillet. Il vit la révolution de 1830 du dehors des colonnes du Théâtre-Français. Les Suisses étaient au-dessous du chapelier Moiran. En septembre 1830, il fut nommé consul à Trieste; M. de Metternich était en colère à cause de Rome, Naples et Florence, il refusa l’exequatur. B. fut nommé consul à Civita-Vecchia. Il passait la moitié de l’année à Rome, il y perdait son temps, littérairement parlant, il y fit le Chasseur vert et rassembla des nouvelles telles que Vittoria Accoramboni, Beatrix Cenci, etc. 8 ou 10 volumes in-folio.
En mai 1836, il revint à Paris par un congé de M. Thiers qui imite les boutades de Napoléon... B. arrangea la Vie de Napoléon, du 9 novembre 1836 à juin 1837...
(Je n’ai pas relu les pages qui précèdent, écrites de quatre à six le dimanche 30 avril, pluie abominable, à l’hôtel Favart, place des Italiens, à Paris.)

B. a fait son épitaphe en 1821:
Qui giace
Arrigo Beyle Milanese,
Visse, scrisse, amo.
Il aima Cimarosa, Shakespeare, Mozart, Le Corrège. II aima passionnément V..., M..., A.., Ange, M..., et, quoiqu’il ne fût rien moins que beau, il fut aimé beaucoup de quatre ou cinq de ces lettres initiales. Il respecta un seul homme: Napoléon. Fin de cette notice non relue (afin de ne pas mentir).

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Huit mai 1898: Un journaliste satirique présente un âne aux législatives à Paris. Promené dans tout Paris sur une carriole par l'anarchiste Zo d'Axa, l'âne est finalement embarqué par les flics.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Le dimanche 8 mai 1898, jour des élections législatives, les Parisiens ont la surprise de croiser dans la rue un âne blanc transporté sur une carriole tirée par une bande d'olibrius qui appellent les Parisiens à voter Nul. C'est le nom de l'âne! Cette idée de candidature loufoque, voire surréaliste, est née dans l'imagination fertile du journaliste satirique anarchiste Zo d'Axa. Derrière ce curieux pseudonyme se cache un descendant du célèbre navigateur Lapérouse. Dans son journal, La Feuille, Alphonse Galaup de Lapérouse, dit Zo, écrit: "Chers électeurs, finissons-en. Votez pour eux. L'âne Nul, dont les ruades sont plus françaises que les braiments patriotards." Ce provocateur veut ainsi réconcilier les abstentionnistes avec les urnes. Enfin l'occasion de "voter blanc, de voter Nul, tout en se faisant entendre".

"Lentement, l'âne parcourait les rues"… Zo explique sa démarche dans une série d'articles: "Nous sommes allés, dans sa retraite, trouver un maître auquel personne n'avait songé, un modeste dont personne pourtant ne niera la signification précise. Aujourd'hui, l'honneur m'échoit de présenter ce maître au peuple. On l'appelle maître Aliboron. Ceci soit pris en bonne part. L'âne pour lequel je sollicite le suffrage de mes concitoyens est un compère des plus charmants, un âne loyal et bien ferré. Poil soyeux et fin jarret, belle voix."
Le jour du scrutin, vers 10 heures du matin, voilà donc Zo et Nul qui dévalent la colline de Montmartre, accompagnés par une poignée de supporteurs. L'âne blanc est porté sur "un char de triomphe et traîné par des électeurs". L'animal n'est pas moins fier que Marine Le Pen s'élançant à l'assaut des européennes. Imaginons la stupeur des Parisiens qui croisent ce curieux équipage électoral. Dans sa revue, le journaliste anar fait un compte rendu détaillé et lyrique de cette traversée de Paris.
"Lentement, l'âne parcourait les rues. Sur son passage, les murailles se couvraient d'affiches que placardaient des membres de son comité, tandis que d'autres distribuaient ses proclamations à la foule: Réfléchissez, chers citoyens. Vous savez que vos élus vous trompent, vous ont trompés, vous tromperont - et pourtant vous allez voter... Votez donc pour moi! Nommez l'Âne!... On n'est pas plus bête que vous. Cette franchise, un peu brutale, n'était pas du goût de tout le monde."

Joyeux chahut… Effectivement, la plupart des passants ne goûtent pas le canular. Ils crient: "On nous insulte!", "On ridiculise le suffrage universel", "Sale Juif!" Mais d'autres se tordent de rire et acclament Aliboron. Des femmes lui jettent des fleurs, des hommes agitent leur chapeau. Le cortège poursuit son chemin vers le Quartier latin. Il arrive, enfin, devant le Sénat, longe le jardin du Luxembourg. La foule s'amasse autour du candidat pour l'acclamer dans un joyeux chahut. À la terrasse des cafés, les étudiants applaudissent à tout rompre. On s'arrache les tracts distribués par les militants. De jeunes gens se bousculent pour pousser le char.
Vers 15 heures, la police décide d'intervenir. En bas du boulevard Saint-Michel, les sergents de ville font barrage. Leur chef somme Zo et sa troupe de conduire Nul au plus proche commissariat. Mais on n'arrête pas la révolution en marche. Le cortège, poussé par une foule en délire, brise le barrage et traverse la Seine. Il fait une halte devant le palais de justice d'où, note Zo d'Axa, "les députés, les chéquards, tous les grands voleurs sortent libres". Rien n'a changé... C'est le moment choisi par les agents pour passer à l'attaque. Ils s'emparent des brancards, enfilent le licol et se mettent à remorquer le char. Le comité de soutien les laisse faire.
"Tel un vulgaire politicien, l'animal avait mal tourné. La police le remorquait, l'Autorité guidait sa route... Dès cet instant, Nul n'était qu'un candidat officiel! Ses amis ne le connaissaient plus. La porte de la préfecture ouvrait ses larges battants - et l'âne entra comme chez lui", conclut le journaliste. Ainsi s'achève la campagne électorale de l'âne blanc Nul.

8 mai 1898. Le journaliste satirique Zo d'Axa présente un âne aux législatives, à Paris.
© Le Point.fr - Publié le 07/05/2012 à 23:59 - Modifié le 08/05/2014 à 09:57 

 

Huit mai 1769. La déroute militaire de Paoli à Ponte Novu livre la Corse à la France. Fuyant comme ils peuvent les tirs français, les miliciens corses sont massacrés par leurs propres alliés, des mercenaires prussiens.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

On connaît le Corse poseur de bombes, le Corse incendiaire, le Corse gabelou, le Corse fatigué, le Corse chanteur a cappella, le Corse truand, le Corse "si tu touches à ma soeur, t'es mort!". Mais peu le Corse "sauve-qui-peut". Pour cela, il faut remonter au 8 mai 1769, le jour de la bataille de Ponte Novu qui vit le massacre de centaines de Corses par l'armée de Louis XV. Ces nationalistes de la première heure ne combattent pas encore la tête dans une cagoule, mais l'arme au poing à visage découvert. Remarquez, cela ne leur réussit pas tant que ça: ce jour-là, non seulement le fier Corse prend ses jambes à son cou devant la mitraille ennemie, mais il se fait massacrer par ses alliés prussiens ayant reçu l'ordre de Paoli d'empêcher quiconque d'emprunter le pont de Ponte Novu. Cette terrible défaite livre la Corse à la France.
Voici les faits: l'immense héros corse Pasquale Paoli donne l'ordre à sa troupe d'attaquer l'armée royale sur la rive gauche du Golo. En deuxième rideau, il dispose un millier de mercenaires prussiens avec à leur tête le maréchal de camp Antoine Gentili, sur le Ponte Novu commandant l'accès à sa capitale de Corte. La troupe prussienne a reçu pour consigne d'empêcher les patriotes de refluer par le pont en cas de retraite. Effectivement, les régiments corses ne font pas le poids devant l'artillerie française qui a su intelligemment occuper plusieurs éminences. Hachés par la mitraille, les miliciens de l'île de Beauté se disent qu'il est temps d'aller taper une belote sur l'autre rive. Ils se précipitent donc sur le pont. Mais pour un Prussien, la consigne, c'est la consigne. Ils refusent le passage, baïonnette au fusil

Tragédie… Des centaines de Corses se pressent sur le pont, la bousculade étouffe nombre d'entre eux. Soudain un coup de feu claque depuis les rangs prussiens, puis c'est un tir nourri. Les patriotes tombent par dizaines, par centaines. De leur côté, les Français ne chôment pas non plus. Le préfet Érignac est déchaîné... C'est un horrible massacre. Le sang coule à flots dans le Golo en crue. Bientôt, le pont, long d'une centaine de mètres, n'est plus qu'un immense charnier. Par dizaines, les Corses tentent de franchir le fleuve à la nage, mais la plupart se noient dans les flots tumultueux.
Pasquale Paoli, qui observe de loin la tragédie, est incapable d'apporter le moindre secours à ses hommes. La nuit tombe sur la déroute, sonnant la fin des espoirs corses. À l'aube, le sous-lieutenant Luccarotti d'Ortiporio se réveille parmi les morts, grièvement blessé. Voilà ce qu'il écrira plus tard: "Aux premières heures du matin, je me réveillai, l'âme et le cœur oppressés, et me trouvai avec le bras gauche pendant, ensanglanté et criblé de blessures au milieu d'un amoncellement de cadavres et de tant d'autres moribonds qui demandaient du secours. Je me traînai jusqu'au sommet d'un rocher et, regardant dans la direction du pont, je vis un spectacle horrible: par centaines, les morts étaient entassés dans l'étroit passage... Et, regardant plus loin, j'en aperçus un grand nombre encore étendus et privés de vie, entre les margelles du fossé et baignant, pour ainsi dire, dans le sang. Je fermai les yeux et me sentis défaillir... Partout régnait le silence de la tombe..."
Pasquale Paoli comprend alors que son rêve d'indépendance est fini. Les Français, à qui Gênes a cédé ses droits sur l'île un an avant, le 15 mai 1768, peuvent maintenant marcher sur Corte. Le Babbu di a Patria s'exile en Grande-Bretagne avec cinq à six cents de ses partisans. Il ne reviendra dans sa patrie que vingt ans plus tard, en 1790, acclamé par les Jacobins dont Robespierre. Louis XVI le fait lieutenant-général et commandant de l'île. C'est le héros du jour. Pietragalla s'offre à lui... Oubliés les morts de Ponte Novu. 

8 mai 1769. La peu glorieuse déroute militaire de Paoli à Ponte Novu livre la Corse à la France.
© Le Point.fr - Publié le 08/05/2013 à 00:00 - Modifié le 08/05/2014 à 16:04

 

Pour l’éphéméride du huit mai c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/05/08/29824733.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie ne respecte plus rien du tout, il devient de plus en scato, à croire que les commémorations, il s'en fout pas mal, comme de sa première couche-culotte...   

 

dicton0508

 

Ben pour la zique de ce mois de mai… on va faire une cure du groupe Led Zeppelin, car je n’ai pas eu trop l’occasion d’écouter leurs tubes à l’époque et maintenant je me rattrape un peu, aujourd’hui, un concert le concert du 27 mars 1975 à Los Angeles… c’est du tout bon avec du rythme et peut-être beaucoup de souvenirs de jeunesse pour beaucoup… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=UkLmtTG0uIQ

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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C'est l’Eugénie qu'est au plus mal, le docteur a dit qu’elle ne ferait pas la nuit. 
Alors l'Eugène, il est au chevet de l'Eugénie et il pleure. 
L'Eugénie lève un œil et dit à l'Eugène: 
- L'Eugène, avant de passer j'aimerais bien que tu me fasses sauter une dernière fois!!" 
L’Eugène n’en croit pas ses oreilles. 
- Mais l'Eugénie, dans ton état ne t’y pense pas!!
- Que si j'y pense, insiste Eugénie, qu'est-ce que j'ai à perdre, toute façon le docteur a dit que j'allais mourir??
Alors l'Eugène s'arqueboute sur l'Eugénie et la remue une dernière fois. 
Mais il se passe quelque chose qu’on n’attendait pas: 
Non seulement l'Eugénie prend du plaisir à la chose, mais elle redevient vivace et se met à hurler. 
Tant et si bien que quand l'Eugène remonte son pantalon, l'Eugénie est assise sur le lit avec une cigarette. 
- Ben l'Eugène, fait l'Eugénie, Pourquoi t'es triste? Ne t’es pas content que j'aille mieux?
- Ben ce n’est pas ça, dit tristement l'Eugène, Mais si j'avais connu le truc avant, on aurait pu sauver pépé l'année dernière!

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Une jolie dame distinguée assise à une table dans un restaurant très chic attendait son ami.
Voulant que tout soit parfait, surtout son apparence, elle se penche vers sa bourse pour pouvoir prendre son miroir et en se penchant elle ne peut se retenir et lâche un "pet" super bruyant, (vous pouvez vous imaginez le genre) juste comme le garçon de table s'approchait.
La dame maintenant assise droite et le visage rouge de honte, sachant que tout le monde dans le restaurant avait entendu ce "gros pétard", se tourne vers le garçon de table et dit pour que tout le monde l'entende:
- Garçon, voulez-vous arrêtez-ça! Le garçon répondit:
- Oui Madame, dans quelle direction se dirige-il?

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Papy Renard 92 ans chez le médecin:
- Hé ben docteur j’voudrais ben un p’tit fortifiant.
- Un fortifiant?? Qu’est ce qui ne va pas chez monsieur??
- Ben v’la docteur, bon on est entre hommes, vous comprenez???
- Bien sûr, bien sur
- V’la quand j’vais voir ma copine c'est pu comme avant, voyez ben s’que j'veux dire??
- Bien sûr, bien sûr, racontez-moi.....
- Bon ben v’la s’qui m'arrive vous comprenez, on est entre hommes hein? Bon pour le premier ça va pour le deuxième ça peut aller mais maintenant pour le troisième j’peux pu...
- Je vois je vois, je vais vous donner un fortifiant mais je vous conseille vu votre âge de vous arrêter au deuxième.
- Ben oui, docteur, mais ma copine... elle habite au quatrième...

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Deux skins de Carpentras sortant d'une boite de nuit un peu éméchés, décident de repasser par le cimetière histoire de rire un peu.
Arrivés au beau milieu du cimetière, leur attention est attirée par un bruit répétitif, comme celui fait par un marteau sur de la pierre. Tremblant de peur mais seulement intérieurement (ce sont des skins), ils avancent pour savoir ce qui est à l'origine du bruit. Et 30 secondes plus tard, ils voient ce vieillard, armé d'un marteau et d'un burin, en train de taper sur une pierre tombale. Un des skins soupire de soulagement:
- Ah ben vous alors, vous pouvez vous vanter de nous avoir foutu la trouille.
Et pourtant, il nous en faut déjà une bonne dose, hein Dédé!
On vous avait pris pour un fantôme...
Mais dites hein peu, qu'est-ce que vous faîtes ici à cette heure-ci?
Et le vieux répond:
- Ces abrutis! Ils ont fait une faute d'orthographe à mon nom!

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C'est vendredi... le réveille-matin, en bon prince s'est débranché pour trois jours en France alors qu'ailleurs il fait son boulot pour le dernier jour de la semaine active... Pour un week-end beau et chaud, il faudra oublier... mais le soleil brillera dans les cœurs et c'est tant mieux surtout que c'est aussi le dernier jour de vacances pour les écoliers de la dernière zone, alors il y aura des problèmes de circulation et des bouchons à prévoir, alors PRUDENCE... En ces jours de printemps perturbés et mouillés, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leurs appartements car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...

 

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