«À la Saint-Fernand, on se réveille en chantonnant
devant le soleil rayonnant.»
«À La Sainte-Emma, tes fourrages en bas»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est samedi le week-end s'annonce bien... l'été est là mais pour ce matin la météo fait un petit peu la folle, mais rien de grave pour les activités de fin de semaine; ménage pour les uns, jardinage ou courses pour les autres, travaux de bureaucratie ou plage pour certains et, avec ce temps, les belles randonnées en campagne ou en montagne, histoire de s'oxygéner...
Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 15° et un ciel peu nuageux dans la nuit, ce sera pour ce samedi, temps plus instable mais globalement assez ensoleillé, plus nuageux l'après-midi en montagne. Quelques averses possibles, avant tout l'après-midi et le long des reliefs où elles pourront prendre localement un caractère orageux. Températures en légère baisse mais restant très agréables.
Températures prévues pour samedi: minimales 12 à 18° de la vallée de Delémont aux rives lémaniques, maximales 25 à 27°. Dans le Jura à 1000 m: minimales 10 à 12°, maximales 20 à 22°. En montagne: 10/14°à 2000 m, 4/6°à 3000 m.
Vent, tendance à l'ouest sur le Plateau et le Léman, vent de l'ouest faible à modéré en montagne. Régime de brises dans les vallées en journée...
Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview
Pour l'Hexagone, souvent nuageux le matin, retour du soleil l'après-midi mais un peu moins chaud.... avec pour ce jour: en matinée le ciel est souvent bien encombré sur les régions allant du Poitou-Charentes et de l'Aquitaine jusqu'à Champagne-Ardenne, Alsace et Franche-Comté, avec quelques gouttes possibles, en particulier sur le Nord-Est.
Plus au nord-ouest, là aussi le temps est mitigé avant midi, sous un ciel partagé entre éclaircies et passages nuageux, nombreux près de la Manche. Sur Midi-Pyrénées, et l'Aquitaine, la grisaille est compacte en début de journée mais se dissipe assez vite.
L'après-midi les nuages se désagrègent et le soleil finit par s'imposer partout sur l'hexagone. Quelques cumulus décorent le ciel, ils sont un peu plus nombreux et joufflus sur le relief des Alpes et des Pyrénées et peuvent donner une petite averse.
La tramontane souffle jusqu'à 50 à 60 km/h en pointes le matin puis faiblit l'après-midi.
Les minimales varient de 10 à 14 degrés de la Bretagne au Nord-Pas-de-Calais, elles s'échelonnent de 14 à 19 degrés ailleurs, 19 à 23 degrés autour de la Méditerranée.
Avec les nuages et le vent d'ouest, les maximales sont en légère baisse, elles varient de 19 à 22 degrés sur les côtes de la Manche et bretonnes, de 22 à 26 degrés au nord de la Loire jusqu'au Nord-Est, de 25 à 30 degrés ailleurs. C'est dans le Sud-Est q'uil fait le plus chaud, 29 à 33 degrés, localement 34 à 35 en Provence et basse vallée du Rhône...
Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, nuageux et pluvieux avec des températures de l'ordre de 26°à 30°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, brumeux et voilé avec des températures de l'ordre de 25°à 27°; à la Martinique, ensoleillé, nuageux avec quelques averses avec des températures de l'ordre de 31°à 32°; ensoleillé et nuageux avec quelques averses et des températures de l'ordre de 31°à 33° en Guadeloupe; ensoleillé, brumeux, voilé et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 33°à 34°; Polynésie française, beau temps, peu nuageux avec des températures de 25°; beau temps, peu nuageux avec des températures de 27° aux Marquises; ciel variable à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 12°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 05:42 et le coucher du soleil se fera à 21:30 et le jour est plus court de 0 minute...
Valeurs remarquables de juin en France
TMax: 40.7°C (Gourdon le 22/06/2003)
TMin: -3.3°C (Mont Aigoual le 05/06/1969)
Précip: 286.2 mm (Le Luc le 15/06/2010)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:
Jeudi 02 juillet à 08h01, coefficient 87, à 20h22, coefficient 90
Vendredi 03 juillet à 08h45, coefficient 93, à 21h05, coefficient 94
Samedi 04 juillet à 09h30, coefficient 95, à 21h49, coefficient 96
Dimanche 05 juillet à 10h14, coefficient 95, à 22h33, coefficient 93
Lundi 06 juillet à 10h59, coefficient 91, à 23h18, coefficient 87
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1923: La température minimale sous abri plongeait jusqu'à -0.4 degrés à Etalle
En 1947: Il faisait particulièrement chaud, le thermomètre d'Uccle affichait déjà 21.6 degrés à L'aube et grimpait jusqu'à 38.8 degrés l'ap-midi, il montait jusqu'à 33 à la Baraque Michel, 34,8 en bord de mer et 38,8 dans la capitale
Les Fêtes nationales du Jour
République de Djibouti
qui commémore son indépendance de la France en 1977
Les expressions françaises décortiquées
A bon escient
De manière appropriée. En étant au courant de la situation
Origine
Avez-vous une petite idée d'où nous vient cet escient qui n'est plus utilisé que dans cette locution adverbiale (ainsi que son contraire «à mauvais escient», toutefois beaucoup moins employé de nos jours)?
Peut-être pas, mais vous subodorez probablement que escient et sciemment ont la même origine.
En effet, ces mots sont issus du verbe latin scire qui voulait dire «savoir»; en latin classique «me sciente» signifiait «moi le sachant».
Autrement dit, tout ce qui tourne autour de ces termes indique que ce que vous faites l'est en connaissance de cause, en sachant ce que vous risquez et les risques que vous faites prendre, et de manière parfaitement appropriée (selon votre point de vue, bien entendu).
D'après le DHLF [1], au XIIe siècle, «à mon escient» avait déjà le sens de «en pleine connaissance de ce que je fais» et notre locution est apparue au même moment avec exactement le sens d'aujourd'hui, tout en étant passée, au XVIe et XVIIe siècle par une autre signification: «véritablement, sans plaisanter» nettement moins en phase avec l'origine du mot.
Il y a quelques années, Maître Capello nous aurait dit qu'il est de bon aloi d'utiliser notre locution à bon escient.
[1] Dictionnaire Historique de la Langue Française
Exemple
«Utilisant son direct du gauche à bon escient, Mouchi a vite pris le dessus sur son adversaire.»
«L'augmentation du budget de la Défense, ajoutéà la baisse de l'impôt sur le revenu, cela représente quelques 7 milliards d'euros qui selon nous ne sont pas utilisés à bon escient.»
Poème Erotique: La Fesse Cachée de nos plus grands auteurs
Les contes grivois de Jean de La Fontaine
Les Oyes de Frère Philippe
Quatrième partie et fin
Le père l'emmène à la ville pour la première fois quand il a vingt ans.
Le garçon y découvre un animal étrange...
Voilà nos ermites partis.
Ils vont à la cité superbe, bien bâtie,
Et de tous objets assortie:
Le prince y faisait son séjour.
Le jeune homme tombe des nues
Demandait: Qu'est-ce là ? Ce sont des gens de cour.
Et là ? Ce sont palais. Ici ? Ce sont statues.
Il considérait tout: quand de jeunes beautés
Aux yeux vifs, aux traits enchantés,
Passèrent devant lui; dès lors nulle autre chose
Ne put ses regards attirer.
Adieu palais; adieu ce qu'il vient d'admirer:
Voici bien pis, et bien une autre cause
D'étonnement.
Ravi comme en extase à cet objet charmant:
Qu'est-ce là, dit-il à son père,
Qui porte un si gentil habit ?
Comment l'appelle-t-on ? Ce discours ne plut guère
Au bon vieillard, qui répondit:
C'est un oiseau qui s'appelle oie.
O l'agréable oiseau ! dit le fils plein de joie.
Oie, hélas chante un peu, que j'entende ta voix.
Peut-on point un peu te connaître ?
Mon père je vous prie et mille et mille fois,
Menons-en une en notre bois;
J'aurai soin de la faire paître.
Contes et nouvelles en vers par Monsieur de La Fontaine
A Amsterdam chez Pierre Brunel, sur le Dam à la bible d'or, 1709
La France pittoresque
Réduction des dépenses publiques: sempiternel leurre démocratique?
Extrait de «Le Gaulois» du 29 juin 1895
A la fin du XIXe siècle, dénonçant les fausses mais sempiternelles promesses républicaines d’une réduction des dépenses soi-disant attendue par des députés et sénateurs qui conviennent de sa nécessité mais n’entendent jamais qu’elle soit menée au détriment des leurs, un chroniqueur du journal Le Gaulois raille la gabegie d’une démocratie plus onéreuse que la monarchie et creusant la dette publique sans même gagner en influence politique ou en rayonnement intellectuel
M. Ribot [Alexandre Ribot, président du Conseil et ministre des Finances depuis l’élection de Félix Faure à la présidence de la République en janvier 1895] a annoncéà la commission du budget qu’il allait débarrasser les ministères du trop-plein de personnel dont on les a encombrés. Voilà une économie sur laquelle il ne faut pas nous faire d’illusions. Les suppressions d’emploi n’aboutissent jamais qu’à une augmentation de dépense. Le traitement du fonctionnaire supprimé est appliquéà quelque fonctionnaire supérieur, et quant au pauvre diable exproprié de son rond de cuir, on ne peut pourtant pas le laisser mourir de faim. On trouve moyen de lui maintenir ses appointements qu’on impute sur un autre chapitre.
Mais tranquillisons-nous. Cette réforme, comme toutes les choses de ce temps, ne sera que velléité et simulacre. La réduction du personnel est une entreprise qu’un ministre n’aura jamais le temps ni l’énergie de poursuivre. Il y faudrait une révolution, et encore!
La prospérité toujours croissante de nos finances
va nous permettre d’augmenter sensiblement les impôts
Que peut l’éphémère pouvoir ministériel contre l’éternité des bureaux? Que sait-il de l’administration, pour oser y porter la main, ce locataire qui passe des travaux publics à la guerre, et de la justice aux affaires étrangères? Un directeur doit-il avoir beaucoup de peine à lui démontrer que tel petit ressort qu’il veut supprimer importe au bon fonctionnement de la machine? Contre l’autorité transitoire et inexpérimentée du ministre, la communauté des intérêts unit tout le monde en une société de défense mutuelle. On se demande parfois ce que vient faire dans la devise inscrite sur nos monuments publics ce mot archaïque de «fraternité» qui détonne si bizarrement au milieu de la froideur et de l’égoïsme de nos sociétés modernes. Ce ne peut être qu’une allusion à notre personnel administratif, où l’on retrouve un peu de l’ancienne charité assistance aux frères menacés et indulgence aux fautes commises.
A Venise, s’il se produit quelque obstruction dans les canaux, les gondoliers n’échangent pas d’injures comme nos cochers de fiacre quand ils s’accrochent. Ils se disent doucement les uns aux autres: Fradel, non travagliar, non strascinar i poveri Cristiant. Ne nous faisons pas de mal. N’ennuyons pas les pauvres chrétiens. Ainsi font les membres de nos administrations et toutes les tentatives de M. Ribot échoueront contre cette force qui s’est accrue de la destruction des autres forces sociales: la camaraderie. Chaque employé du reste a son protecteur à la Chambre ou au Sénat. Tous les députés et les sénateurs sont bien d’avis en principe qu’il faut réduire le personnel mais ils entendent que ce ne soit pas au détriment de ceux qu’ils y ont fait entrer. Arrangez cela. Le ministre ne veut pas se brouiller avec les parlementaires, et les parlementaires sont obligés de contenter leurs électeurs.
Les Grecs, au lieu de dire Achille ou Agamemnon, disaient ceux qui sont autour d’Achille, ceux qui sont autour d’Agamemnon; ils ne concevaient pas le personnage isolé et sans son cortège. C’est de cette façon qu’il faut envisager nos politiciens. Derrière eux, il y a la suite interminable des parents qu’ils ont placés dans les administrations et les emplois publics, les fils, les gendres, les neveux, les cousins à tous les degrés, les amis et les amis des amis. Ce n’est pas en vain qu’on est le grand homme de son département. Il en faut caser toute la belle jeunesse. Noblesse oblige, et n’aspirent-ils pas à devenir des ancêtres, ces anciens ministres qui essaient de créer un lien indissoluble entre leur nom et leur prénom?...
Il fut un temps où les journaux républicains se livraient à des dissertations sur la notable économie qui résultait pour la France de la suppression de la liste civile. On paraît avoir renoncéà ce thème comme aussi aux déclamations sur les prodigalités des anciennes monarchies. La réponse serait trop facile. Malgré l’épargne de vingt-cinq millions qui, du reste, pourvoyaient à de nombreux services, la dette s’est augmentée de dix-huit milliards en vingt ans. Naguère, du moins, on voyait où passait l’argent. Nous faisions quelque figure dans le monde et les magnificences de la Cour de France donnaient à la nation un prestige qui ne laissait pas que de servir à son influence politique et à sa domination intellectuelle.
A présent nous ressemblons à ces gens qui se ruinent en dépenses sourdes. Ils ne donnent jamais à dîner, n’ont pas de train de maison, ne voyagent pas et, un beau jour, on apprend qu’ils ont dévoré leur patrimoine. N’était le vide de nos poches, on ne croirait jamais que les inélégants messieurs qu’on voit passer dans leur voiture au mois coûtent plus cher que les galants seigneurs talon rouge de jadis et les carrosses du Roi. C’est qu’ils se rattrapent par la quantité, la royauté du peuple étant, de toutes les royautés, celle qui a le plus de courtisans. Joignez à cela que la façon dont les courtisans s’enrichissent dans une démocratie est plus onéreuse pour le pays que dans une monarchie.
Johnson prétendait qu’il était indifférent pour un citoyen de vivre sous une monarchie ou sous une république. Il n’aurait pas donné une demi-guinée pour une forme de gouvernement plutôt que pour une autre. C’est qu’il n’avait pas l’expérience des républiques. La différence de ce que coûtent aux citoyens une république et une monarchie est de beaucoup supérieure à une demi-guinée. Supposez un favori ou un membre de la famille non politique, ayant quelques menues dettes à payer; il va exposer le cas au souverain qui a l’habitude de ses petites visites intéressées: «Allons bon, disait Napoléon III en voyant de la fenêtre de son cabinet le comte X... se diriger vers les Tuileries, voilà X... qui vient me demander cent mille francs!»
Coût: cent mille francs. Ils étaient pris sur la liste civile; mais je les marque au compte de la France pour les besoins de la comparaison. Supposez maintenant un favori de la démocratie, ayant besoin de cinquante mille francs seulement, car ses goûts sont simples et ses mœurs austères. Comment se les procurer, sinon en favorisant quelque affaire qui coûtera à l’Etat ou à l’épargne française un certain nombre de millions?
La participation ressemble au sou du franc qui induit nos domestiques à de gigantesques approvisionnements d’épicerie, ou encore, si l’on veut une similitude plus littéraire, rappelle l’invention du rôti de porc, telle que la raconte Charles Lamb. Une maison des champs ayant brûlé en Chine, on trouva sous les décombres un petit cochon grillé. Quelqu’un imagina de le manger; le mets fut trouvé exquis et les hommes se mirent à souhaiter le retour d’incendies qui leur procurassent l’occasion d’un pareil régal. Il y eut même, paraît-il, un certain nombre de sinistres volontaires, jusqu’au moment où un annonciateur vint qui dit aux peuples: «Ecoutez ce que je m’en vais vous révéler. Il n’est plus besoin de mettre le feu à vos maisons pour avoir un cochon rôti. Avec une broche et trois ou quatre morceaux de bois, vous obtiendrez le même résultat.» Les politiciens qui font des affaires pratiquent la méthode dispendieuse des âges primitifs: ils ne se procurent le rôti de porc qu’au moyen de catastrophes.
Nous aurions plus de profit à créer une caisse pour dotations à nos gouvernants ou à tripler l’indemnité parlementaire, très insuffisante pour faire vivre une famille qui n’a pas d’autres ressources. Elle date, en effet, d’un temps ou les représentants étant riches, c’était seulement pour eux, comme le mot l’indique, «une indemnité». Cela semble beaucoup, sept cent cinquante francs par mois, quand on est au fond de son département du Midi. L’étude ou la pharmacie ne rapportent pas tant. La femme qui fait son marché elle-même ne calcule pas que la vie est sensiblement plus chère à Paris. Sur la place aux Aires, c’est comme dans la Séville d’Hervé: «Les légum’s n’y coût’ pas grand-chose / Et quant à la volaille, / On l’a pour presque rien!» Encore les œufs, le vin et l’huile viennent-ils du mas, envoyés par les beaux-parents.
Au bout d’un an ou deux de législature, on a déjà fortement entamé le petit patrimoine. La femme a pris des notions d’une esthétique supérieure, dans ses visites au Louvre et au Bon Marché. Elle a été aux soirées de l’Elysée, où les élégances suprêmes lui ont été révélées; elle s’est liée avec les «dames» de quelques collègues de son mari et l’on rivalise pour la toilette et le train de maison. Les dépenses suivent une progression croissante. Jusqu’à la bonne, brave fille qu’on a amenée de là-bas, qui parle d’augmentation! Les autres bonnes de la maison lui ont demandé ce qu’elle gagnait et lui ont fait honte de ses trente francs par mois.
Quant au politicien, Paris ne lui a pas tourné la tête. Il est resté fidèle à la coupe de son tailleur d’arrondissement, conserve des mœurs et ne tourne point au saint Pouange; mais songez à ce qu’il a de faux frais rien que pour s’occuper de ses électeurs. Il a bien vingt lettres àécrire par jour aux gens qui lui demandent une recette buraliste, un compendium métrique pour l’école, un changement de résidence ou une révocation de garde-champêtre. Cela fait déjà 90 fr. de timbres-poste par mois. Il doit faire des démarches dans les ministères, à la direction des postes, aux administrations de chemins de fer; il a bien encore une centaine de francs de fiacres et d’omnibus.
Les électeurs en sont restés, comme l’indemnité parlementaire, à la notion du représentant réputé riche. Par esprit égalitaire, ils élisent un homme sans fortune mais une fois élu, ils s’adressent à sa bourse comme s’il était millionnaire. Un terroir a été ravagé par la grêle et l’on fait une souscription pour les malheureux cultivateurs qui ont négligé de s’assurer. La fanfare de telle commune veut aller à un festival et sa caisse est à sec; un orphéon ambitionne de posséder une bannière; le chef-lieu organise un concours de pompes. Ailleurs, c’est un bal par souscription au profit des pauvres, et autre part on réclame un lot pour une tombola.
Jugez s’il reste grand-chose pour faire bouillir le pot et dites si le politicien n’a pas droit à quelque indulgence lorsque, la petite dot de la femme ayant été mangée, il en arrive à demander à la politique la rémunération des avances qu’il lui a faites. Ce n’est pas à lui que je m’en prends, mais au régime qui fait de l’Etat une prébende et du gouvernement un métier.
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Château de Chémery (Loir-et-Cher): 35 ans de restauration
Source: France 3 Centre-Val de Loire
Balade au château de Chémery, un site remarquable situé sur la commune de Chémery dans le Loir-et-Cher, propriété privée qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques
Subtil mélange de médiéval et de Renaissance, de rudesse et de raffinement, le château de Chémery, dans le Loir-et-Cher, est une parenthèse dans le temps.
Propriété de Regnault de Chemery en 1236, le château de Chémery a également appartenu à René de Beauvillier, comte de Saint-Aignan. Mais son histoire est peu connue en raison de la destruction des archives à la révolution. Construit sur une forteresse du XIIe siècle, il sera doté de 600 hectares à la Renaissance et transformé en une simple ferme en 1729. A l’époque, la plupart des fenêtres ont été murées pour limiter l’impôt foncier et permettre le stockage des céréales à l’étage.
Château de Chémery (Loir-et-Cher)
Possession de la famille de La Roche-Aymon jusqu’en 1970, le château a appartenu dans les années soixante-dix au chanteur Alain Souchon. Lassé de voir des fans approcher le site et faute de moyens pour l’entretenir, il accepte, après une dizaine d’années d’occupation, de le vendre à son ami Axel Fontaine.
Le temps a coulé depuis cette époque (1981) où Axel acquiert cette bâtisse du XIIIe siècle. Voilà bientôt trente-cinq ans qu’il restaure pierre par pierre «son» château. Avec son épouse, ils se sont lancés dans l’aventure travaillant dur pour redonner vie au site. Un chemin semé d’embûches notamment avec les élus du secteur peu enclins à voir le site perdurer... La télévision régionale est souvent venue à Chémery filmer l’évolution des travaux et grâce aux images de l’INA, Axel Fontaine nous raconte l’histoire du site.
Anne Lepais, France 3 Centre-Val de Loire
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Château d’Amboise: balcon des pendus de la conjuration de 1560 contre François II
Le 17 mars 1560, 57 des réformés ayant voulu enlever François II sont décapités et pendus aux balcons du château
Le sixième château ayant consenti à nous montrer ses recoins interdits est celui d’Amboise. Le Somptueux Château, comme le surnommait justement François Ier. Même s’il a perdu de sa superbe aujourd’hui avec la disparition des quatre cinquièmes de ses bâtiments, le château d’Amboise reste un des plus beaux de France. Depuis l’Antiquité, le site est occupé par un oppidum. À l’époque des invasions normandes, la bourgade est entourée de fortifications avec une première forteresse. Durant quatre siècles, elle appartient à la puissante famille d’Amboise, puis elle entre dans le domaine royal en 1431, sous Charles VII qui y fit plusieurs séjours.
Trente-huit ans plus tard, Louis XI y crée même le fameux ordre de Saint-Michel. Son successeur Charles VIII naît dans le château où il est élevé. Devenu roi, il ordonne de grands travaux pour le rendre plus confortable et l’adapter au goût du jour. Il fait venir des artistes italiens. Ainsi s’élève une aile au style gothique flamboyant abritant les logis du roi et de la reine, la chapelle Saint-Hubert et deux tours cavalières exceptionnelles. Pourtant, Amboise se révélera funeste pour le jeune roi puisque le 7 avril 1498 il y meurt à l’âge de vingt-sept ans, après avoir heurté de la tête le linteau d’une porte.
Son successeur, Louis XII, fait bâtir une seconde aile dans le style Renaissance. Après sa mort, François Ier commence par se désintéresser d’Amboise au profit de Blois, de Chambord et de Fontainebleau. Néanmoins, à son retour de captivitéà Madrid, il adjoint des ailes au donjon primitif, dont celle qui abritera son logis.
Le 17 mars 1560, le château d’Amboise est le théâtre de l’un des événements les plus sombres de l’histoire de France: l’exécution de cinquante-sept des chefs de la conjuration d’Amboise. À l’instigation secrète du prince de Condé, des hommes appartenant à la religion réformée convergent de toute la France pour enlever le jeune roi de France, François II, à Amboise.
Le complot est éventé par les Guise et la reine mère Catherine de Médicis. Les conjurés sont décimés dans la campagne environnante et cinquante-sept d’entre eux, faits captifs, sont exécutés par le bourreau au pied du château, sous le regard des gentilshommes de la cour répartis sur les balcons du château. Les cadavres de sept des condamnés sont accrochés aux créneaux et aux balcons. C’est le début des guerres de religion.
Frédéric Lewino et Anne-Sophie Jahn, Le Point
Visite interdite du château d’Ambroise #1: Le...par LePoint
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La grande histoire médiévale de Concarneau (Finistère)
Source: France 2
Sa beauté en fait l’une des toutes premières destinations touristiques de Bretagne. Pourtant, bercée par l’océan, Concarneau reste à l’abri du temps.
C’est une cité médiévale que sa baie protège des caprices de l’Atlantique. En breton, Concarneau veut dire « l’abri des Cornouailles », et son histoire commence sur les remparts de la ville close. Pour la découvrir, France 2 a fait confiance à Michel Pencoat, conteur spécialisé de la ville.
Encore de nombreux secrets
Le temps d’une balade, il nous plonge dans la Bretagne du Moyen-Âge, quand la ville était une place forte convoitée. « Les Anglais ont occupé Concarneau pendant une trentaine d’années avant qu’un breton réputé plutôt tenace et teigneux ne vienne mettre le siège devant Concarneau. C’était en 1373, il était connétable de France et s’appelait Bertrand du Guesclin », raconte-t-il.
Les tours de la ville cachent encore aujourd’hui les traces d’autrefois, mais encore faut-il en connaitre les moindres recoins. Des petits passages, presque secrets, pour accéder par exemple à la plage de la Ville dorée comme l’appelle les habitants. C’est l’ancien port de pêche de la ville, devenu au fil du temps le repère des goélands.
France 2
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Vingt-sept juin 1856: À 19 ans, la comtesse de Castiglione viole un Napoléon III... consentant. L'espionne de Cavour, n'hésite pas
à se donner à l'empereur dans un bosquet au milieu
d'une fête à Saint-Cloud.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
Viol avec consentement mutuel, c'est sans doute l'expression ad hoc pour qualifier le corps-à-corps entre Napoléon III et la comtesse de Castiglione dans les fourrés du parc de Saint-Cloud, le soir du 27 juin 1856. L'empereur Napoléon III donne une fête intime et champêtre dans son coquet château de Villeneuve-l'Étang, situé au milieu du parc. Les invités de l'empereur font semblant de ne s'apercevoir de rien, tandis que l'impératrice parvient à ne laisser paraître qu'une pâleur plus accentuée que d'habitude. Celle qui détourne Napoléon III du droit chemin porte le nom interminable de Virginia Elisabetta Luisa Carlotta Antonietta Teresa Maria Oldoini, comtesse de Castiglione, par son mariage.
À 19 ans, cette Italienne au tempérament ardent, récemment débarquée de Florence, passe pour la plus belle femme de son temps. Même ses pires ennemies le reconnaissent. Elle s'est installée à Paris avec son époux sur ordre de Cavour, président du Conseil du royaume de Piémont-Sardaigne, qui lui a confié la mission de séduire Napoléon III. Cette Mata Hari doit amener l'empereur à soutenir Victor-Emmanuel II, roi de Piémont-Sardaigne, dans sa volonté d'unifier l'Italie. Pour Virginia, tomber l'empereur des Français n'est qu'un jeu d'enfant. Dès son arrivée à Paris, Napoléon III la remarque, priant l'impératrice de lui faire parvenir une invitation pour sa petite fête. Le carton précise aux invitées de venir vêtues "en robe montante et en chapeau, parce qu'on s'y promènera sur le lac et dans un parc".
Elle le tient... Non seulement Virginia est magnifique, mais elle porte des tenues si provocantes que même Rihanna en rougirait. À Villeneuve, Napoléon III et ses invités la voient débarquer vêtue d'une ébouriffante robe transparente à rendre fou d'amour. "Ingénieuse au suprême degréà attirer et à retenir l'attention sur elle, elle était, ce soir-là, tout en mousseline transparente, avec un chapeau garni d'une auréole de marabouts blancs, et sa chevelure avait l'air de ne pouvoir être comprimée, tant elle s'étalait sur ses épaules", note la comtesse Stéphanie de Tascher de La Pagerie. Ange irréel, magnifique objet du désir: ce soir-là, les autres femmes savent qu'elles pourraient se mettre à poil en dansant la rumba que les hommes ne les remarqueraient même pas. Tous, Napoléon III le premier, ont un regard d'enfant découvrant un sucre d'orge. Virginia sait qu'elle le tient. Son attitude se fait plus hautaine et distante. Son corps s'offre à tous les regards, mais son visage manifeste un froid mépris. C'est sa marque de fabrique: exhiber, mais rester froide comme un glaçon d'avant le réchauffement climatique.
La soirée commence par de la musique et la représentation des chœurs du Conservatoire; elle se poursuit par un feu d'artifice, puis vient le souper. Comme le temps est agréable, les invités se dispersent pour effectuer des promenades en barque sur le lac. La comtesse de Castiglione passe à l'attaque, elle se dirige vers l'empereur, l'arrache à Zahia pour l'inviter à partager son esquif. Sous l'œil étonné des autres invités, le couple s'éloigne de la rive. On les voit aborder la petite île située au milieu de la pièce d'eau et disparaître jusqu'à 3 heures du matin.
Sourire béat… Chacun imagine parfaitement ce qui se passe sur l'île. L'empereur et la comtesse ne sont certainement pas en train de réécrire les statuts de l'UMP... Quand le couple finit par réapparaître, on remarque aussitôt la mise de la jeune femme, "un peu chiffonnée". À leur vue, l'impératrice pâlit de rage, alors que, sans aucune gêne, Virginia arbore un sourire béat. Au contraire, elle veut montrer l'image de la femme satisfaite et comblée. Elle manifeste, écrit un témoin, "la grâce d'un adorable abandon".
Plus personne n'ignore qu'elle est devenue cette nuit-là la maîtresse de l'empereur. C'est elle qui règne désormais, et non plus l'Espagnole, la Montijo. Au cours des mois suivants, l'Italienne assoit son ascendant sur son amant pour la plus grande satisfaction de Cavour. Seulement la jeune femme n'a pas la victoire modeste. Plus elle règne sur le cœur de Napoléon, plus elle snobe le reste de la cour. C'est à peine si elle sourit, si elle répond quand on lui adresse la parole. Au point de se rendre antipathique à tout le monde. Virginia vit largement au-dessus de ses moyens grâce aux fonds secrets de son amant. La liaison fait scandale, elle s'en fiche. Son époux le comte veut la raisonner, elle s'en moque. Pourtant, son attitude imbuvable finit par lasser même l'empereur qui s'éprend de la comtesse Walewska. Il n'a plus qu'un désir: se débarrasser de la pétasse italienne. Ce qu'il va faire d'une manière peu glorieuse.
Amour dans les sous-bois… Une nuit d'avril 1857, sortant de chez la comtesse Walewska, Napoléon III échappe à une tentative d'assassinat organisée par trois carbonari italiens rapidement arrêtés. La presse s'empresse d'évoquer la complicité de la Castiglione alors qu'elle n'est strictement pour rien dans cette histoire. Deux jours plus tard, elle est officiellement expulsée de France par des agents secrets en possession d'un décret signé par le ministre de l'Intérieur. Napoléon III a laissé faire.
Quelques semaines plus tard, la belle tentera un come-back à la cour, c'est un fiasco. Son mari en profite pour l'abandonner, il retourne en Italie vendre toutes ses possessions pour rembourser les dettes faites par son épouse. Le 21 juillet 1858, Napoléon III et le comte de Cavour, président du Conseil du royaume de Piémont-Sardaigne, se rencontrent dans la cité thermale de Plombières-les-Bains, dans les Vosges, pour préparer un accord d'entraide entre la France et le Piémont-Sardaigne. Les Autrichiens devront évacuer une partie de l'Italie du Nord, Victor-Emmanuel II avancera vers l'unification de son pays, et la France recevra le comté de Nice et le duché de Savoie pour sa peine. La Castiglione n'est pas totalement étrangère à cet accord. Comme quoi l'amour dans les sous-bois peut servir de grandes causes.
© Le Point.fr - Publié le 27/06/2012 à 00:00 - Modifié le 27/06/2014 à 00:00
Pour l’éphéméride du vingt-sept juin c’est ici
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/06/27/30146295.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service devient un peu teutonique... avec cette chaleur il boit beaucoup trop de bière et comme en bavière il chante en allemand des conneries qui sont intraduisibles...
Ben pour la zique de ces derniers jours de juin… on va encore écouter un peu de l’histoire de la musique qu’on aime depuis notre adolescence, voire plus tard… C’est la boîte aux souvenirs avec du rythme d’époque en écoutant aujourd’hui l’album du groupe Monster Ballads Platinum Edition Retail Version… Peut-être quelques souvenirs de jeunesse pour certains… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée avec sérénité, ne bougez pas trop car il va faire chaud aujourd’hui… Je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=76ilAzcXkQM
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Bac 2015: le meilleur du pire des copies de sciences économiques et sociales
Le solde migratoire est la somme que l’on donne aux émigrés pour repartir chez eux.
En fait, les frites, qui sont belges, ont marqué le début de la mondialisation.
Balance du commerce extérieur: c’est pour peser les marchandises qui vont à l’étranger.
En plus des ouvriers pas cher, les firmes multinationales vont dans des pays ou l’impôt est moins cher qu’en France.
La canicule est peut-être la solution pour résoudre le problème des retraites.
Autofinancement: c’est quand la banque veut bien donner un crédit pour acheter une voiture flambante neuve.
Dans ce cas on peut participer au lancement de petites entreprises de fastfood, avec de petites sommes, c’est le crowdfooding.
L’assurance-maladie en France est en mauvaise santé.
Reste à savoir si la flexibilitésation du travail peut réduire le chomage.
Le sponsoring est une pratique très intéressante pour faire connaitre les entreprises, particulièrement lors d’évènements sportifs pour handicapés mentales et physiques tels que la coupe de monde de football.
D’après l’INSEE, la répartition du patrimoine des français dépasse 100 % pour les plus riches. Ce qui montre bien qu’ils sont très riches.
La loi sur les homosexuels permet d'avoir des enfants sans utiliser une femme.
L'enjeu principal concernant la gestion durable d'un territoire est le respect des animaux, et en particulier des marmottes, qui sont de petits animaux fragiles mais très amusants.
La concurrence est un phénomène naturel entre les hommes. C'est pourquoi il existe des femmes plutôt jolies et des femmes plutôt moches. C'est pareil dans l'économie avec la concurrence entre les entreprises.
La dette publique des états n'est pas si importante. En France, nous avons 18 mille euros de dette.
Encore de nos jours, la volonté d'avoir un "chez soi confortable" est très présente dans les médias. Les One Direction ont d'ailleurs sorti leur album "Take me Home" cette année et cela prouve bien que tout le monde est concerné.
Parfois, il faut aider la nature à gérer durablement un milieu: avec des engrais pour aider les cultures par exemple.
Le numérique se développe en France particulièrement avec l'explosion de la TNT (tout jeu de mot serait fortuit).
Une politique de rigueur permet de relancer l'économie rapidement.
Internet permet au peuple de se divertir en regardant des vidéos de chatons sur YouTube. C'est très important pour le développement intellectuel des populations.
La nouvelle loi permettant le mariage pour tous implique également la GPA (Gestion Pour Accoucher).
En effet, suite à l'élection du nouveau président, la France a lancé d'importantes réformes en termes de démocratie sociale tel que l'augmentation des impôts pour les chômeurs.
La solidarité sociale a poussé l'état Français à construire des H&M.
Faire un stock de capital peut être utile en cas de guerre, cela permet de sortir des ressources cachées à un moment très stratégique. Le maître Sun Tzu disait, dans son traité sur l'art de la guerre: "La surprise et les réactions absurdes sont les meilleures façons de détériorer l'adversaire".
Les entreprises n'ont pas réellement d'impact sur l'emploi. Ils ouvrent et ferment régulièrement, surtout ces dernières années. Nous sommes dans un équilibre optimal d'ouvertures/fermetures.
Les états devraient faire plus attention aux notes données par les agences de notation, telle que l'agence Standard et Pourse.
Par exemple, la distinction marketing "futur maman" n'a aucun sens. Toutes les femmes sont des mamans en devenir. On voit bien ici la brutalité de la cruauté et du sadisme idéologique utilisé sans vergogne par cette société de consommation dirigée par le sexe, l'argent et la drogue.
En France, le président de la république est élu pour 10 ans par les députés européens.
Le marché capitaliste est régulé par la loi du plus fort et de la demande.
Les gens au chômage sont les premiers à faire grève dans la rue parce que leur salaire est gratuit.
Les Français dépensent toujours plus pour leurs compagnons à quatre pattes: chiens, chats, oiseaux, poissons...
Durant la réforme des retraites, les syndicats ont compté 200 000 manifestants et la police 50 000. Au total, il y avait donc 250 000 manifestants.
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C'est samedi... et du réveille-matin, on n'en parle pas pour deux jours... Ce matin, réveil du samedi, peinard, à l'heure désirée par notre organisme, sauf pour les insomniaques... Après quelques courses, le ménage, la lessive on trouvera bien un peu de temps pour se balader et le temps s'y prêtant, avec ces longues soirées où il fait encore jour, une petite broche ou un barbecue ne se refuse pas... En ces derniers jours de juin, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...