«À la sainte Aude, il fait un temps pour les esquimaudes.»
«Journée de Sainte-Aude, ordinairement n'est pas chaude.»
♥ Cordial salut et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est mardi, le temps s'améliore un peu, ce qui n'est pas un mal, bien au contraire; les feuilles sont presque toutes tombées par chez nous, laissant les belles couleurs automnales au brun des arbres nus et du vert des sapins... la nature est prête pour son grand repos hivernal et bénéfique; le temps est plus frais, mais les vaches sont encore au champ et leur poil commence à s'épaissir...
Pour la météo d'aujourd'hui, il est prévu que pour la Suisse romande avec 4° et un ciel nuageux dans la nuit, ce sera pour ce jour: au nord des Alpes, temps changeant. En plaine, éclaircies principalement le matin, alternant avec un ciel plus nuageux et de rares averses. En montagne, souvent très nuageux et quelques averses. Limite des chutes de neige vers 1000 à 1200 mètres. En Valais central, temps en partie ensoleillé et généralement sec. Température en plaine: 2°à 4°à l'aube, 8°à 10° l'après-midi. A 2000 mètres: -4° . En montagne, vent d'ouest à sud-ouest faible à modéré...
Pour l'Hexagone, une météo encore perturbée avec des améliorations... Avec pour aujourd'hui: en matinée, le temps est faiblement perturbé sur les régions centrales, avec quelques pluies ou averses. Au nord et au sud, le temps est plus calme mais la grisaille parfois tenace, avec tout de même du soleil près des Pyrénées ou encore le long des frontières du nord. Dans l’après-midi, belles éclaircies de l'Aquitaine à la PACA ainsi qu'entre l'Alsace et le Nord-Pas-de-Calais. Sur le reste du pays, le ciel reste encore bien nuageux avec même encore quelques pluies éparses entre le Poitou et la Franche-Comté. Quelques ondées se produisent également près du littoral occidental corse. En soirée, soirée calme mais globalement très nuageuse au nord. Les précipitations s'estompent entre le Centre et le Jura. Dans le sud-ouest, le ciel tend à se voiler, avec sinon l'apparition de quelques brouillards dans les vallées du Massif Central et des Alpes. Dans la nuit, grisaille fréquente au nord, avec quelques brumes voire quelques brouillards sous les nuages bas. Dans le sud, les éclaircies nocturnes perdurent, à l'exception de quelques vallées du Massif Central ou des Alpes concernées par des brouillards…
Pour l'Outre-mer: à Mayotte, ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 28°; à l'île de la Réunion ce sera variable avec des températures de l'ordre de 28°; à la Martinique ensoleillé, nuageux et variable avec des températures de l'ordre de 32°; ensoleillé voilé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 34° en Guadeloupe; ensoleillé et voilé en Guyane française avec des températures de l'ordre de 34°; Polynésie française beau temps ciel voilé; peu nuageux à nuageux et larges éclaircies aux Marquises avec des températures de 29°; faibles pluies et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 12°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil est à 07:33 et le coucher du Soleil se fera à 16:59 et le jour est plus court de 3 minutes...
Valeurs remarquables de novembre en France
TMax: 31.4°C (Solenzara le 10/11/1985)
TMin: -15.3°C (Orleans le 30/11/2010)
Précip: 321.0 mm (Mont Aigoual le 07/11/1982)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées auront lieu... :
Horaire des marées à Saint-Malo
Lundi 22 décembre à 06h56 coefficient 91, à 19h20 coefficient 95
Mardi 23 décembre à 07h40 coefficient 97, à 20h05 coefficient 99
Mercredi 24 décembre à 08h25 coefficient 99, à 20h50 coefficient 99
Jeudi 25 décembre à 09h09 coefficient 97, à 21h35 coefficient 95
Vendredi 26 décembre à 09h55 coefficient 91, à 22h21 coefficient 91
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1902: la température maximale sous-abri dégringolait jusqu'à -1,7°à Uccle.
Les journées mondiales et internationales
Le dix-huit novembre c’est la Journée européenne d'information sur les antibiotiques
http://www.journee-mondiale.com/358/journee-europeenne-d-information-sur-les-antibiotiques.htm
Les Fêtes nationales du Jour
Fête de l'Indépendance en Lettonie
qui célèbre la déclaration de son indépendance du 18 novembre 1918 qui fut reconnue en 1922. Pendant la 2ème Guerre Mondiale, la Lettonie sera envahie par l'Union soviétique puis par l'Allemagne. Elle se retrouvera sous contrôle soviétique à la fin de la guerre et ce jusqu'en 1991.
Fête de l'Indépendance au Maroc
qui célèbre la fin des protectorats français et espagnol en 1956.
Fête Nationale à Oman
qui célèbre l'anniversaire de Qabus ibn Saïd, sultan d'Oman depuis 1970.
La France pittoresque
Aiguilleurs de trains au XIXe siècle.
D’après un article paru en 1870
N’avez-vous pas été parfois réveillé en sursaut par l’arrêt subit du wagon dont le mouvement vous avait bercé et endormi? Qu’arrive-t-il? Nous ne pouvons être encore au terme du voyage. La nuit est noire, la campagne rase. Il vente, il fait froid. A travers la pluie vous apercevez une lumière rouge: c’est un oeil qui veille sur vous, c’est un signal. Le train sans doute se trouve à un embranchement; il doit prendre une nouvelle voie, et la sentinelle est là qui attend et va ouvrir le chemin: c’est l’aiguilleur.
Qui de nous n’a cent fois observé, de distance en distance, de petites guérites en planches, un abri tout auprès, quelques fleurs, des liserons, des lierres, une oasis au milieu du chemin aride, un peu de poésie dans la monotone réalité? Qui n’a jeté un regard de sympathie sur la cabane du pauvre aiguilleur, pilote dont la main éclaire, dirige, arrête ou lance en avant, selon qu’il est nécessaire, la machine et ce qu’elle emporte?
Deux trains se présentent-ils en même temps, l’aiguilleur arrête l’un des deux, non pas l’un ou l’autre indifféremment, mais celui qui, d’après sa consigne, ne doit passer que le second; il dirige le premier sur la voie qu’il doit suivre.
L’Aiguilleur. Dessin de E. Lorsay
Avez-vous remarqué les deux sortes de leviers qui les uns manoeuvrent les signaux et les font parler à distance, les autres qui font mouvoir les aiguilles? Le langage de l’aiguilleur est bien simple; tout son vocabulaire se borne à trois mots: Avancez, Arrêtez, Ralentissez; encore ne les prononce-t-il pas; il les mime, le jour, à l’aide d’un drapeau qu’il laisse enroulé, ou dont il déploie soit le côté rouge, soit le côté vert; la nuit, à l’aide d’une lanterne à trois verres, blanc, rouge et vert. Un brouillard épais couvre-t-il la voie, le mécanicien du train qu’il attend court-il le risque de ne pas voir le signal, il a recours à un moyen extrême: il place sur le rail des pétards que la roue de la machine fait éclater en passant; le mécanicien est averti. Un cornet d’appel complète l’équipement de l’aiguilleur, et lui permet d’avertir le poste le plus rapproché de l’arrivée prochaine du train.
En somme, tout le code de cet utile auxiliaire se borne à trois règlements: celui des aiguilles, celui des signaux et celui de la surveillance de la voie. Ajoutons le tableau de la marche des trains, qui lui indique les heures de passage des divers trains au poste qu’il occupe.
Mais s’il n’a besoin que de peu d’études et de théorie, on exige de lui des qualités morales et physiques peu ordinaires. Ce qu’il faut admirer plus que son langage laconique, plus que sa science modeste, ce sont les qualités particulières dont il est doué: une grande vigueur, une forte constitution, une santé robuste capable de résister à tous les temps, un sang-froid inébranlable, une assiduité sans la moindre défaillance. Ne tient-il pas en ses mains la vie des voyageurs qui vont passer?
Une fausse manœuvre, le moindre oubli, une absence de quelques secondes, ne causeraient-ils pas les événements les plus funestes? L’aiguilleur le sait; il a le sentiment de toute l’étendue de sa responsabilité; et quoi qu’il puisse avoir à souffrir du froid, de la faim ou de la fatigue, il reste à son poste toujours ferme et vigilant.
D’ordinaire, les aiguilleurs sont d’anciens soldats, qui ont l’habitude de la consigne militaire. De même qu’autrefois ils ont monté la garde, en se promenant de long en large sur un rempart ou à la porte d’une préfecture, de même ils montent encore la garde près de leurs aiguilles ou de leurs signaux, continuant à s’oublier eux-mêmes pour servir d’instruments dévoués à une volonté supérieure.
Dans l’intervalle des trains, leur temps se passe à frotter ces barres de fer comme ils astiquaient autrefois leur fusil, à les graisser comme ils graissaient leur fourniment, à ne laisser sur ces plaques de frottement pas un caillou, pas un grain de sable que l’inspection la plus minutieuse puisse y découvrir.
Si quelque loisir lui reste, et lorsque signaux et aiguilles sont brillants, que l’écoulement de la pluie est assuré, que toutes les petites réparations nécessaires sont faites, il lui est permis de se livrer au jardinage. Comme plus de la moitié de sa vie se passe au dehors, il cherche à se défendre des injures de l’air en se constuisant un petit toit, et des ardeurs du soleil en arrosant un peu de verdure: quelquefois il fait grimper autour de sa maisonnette des volubilis ou de modestes haricots. Le règlement, à la rigueur, n’autorise pas tout ce luxe; mais on ferme à demi les yeux.
Chacune des factions de l’aiguilleur est de douze heures consécutives pendant huit jours ou pendant huit nuits. Les postes importants sont, en effet, confiés à deux aiguilleurs au moins, qui sont de garde tantôt le jour tantôt la nuit. Le huitième jour, la faction devrait être de dix-huit heures pour chacun d’eux, si un aiguilleur auxiliaire ne venait prendre le service pendant douze heures et réduire le temps de garde des deux titulaires à six heures seulement. Cette mesure est indispensable. Comment un homme qu’on laisserait attachéà son poste durant dix-huit heures pourrait-il toujours répondre d’une présence d’esprit de toutes les minutes?
Nous citerons comme exemple un gendre d’accident qui se présente de temps en temps, et qui deviendra peut-être plus fréquent par suite de l’extension des lignes à voie unique et de l’adoption plus fréquentes des fortes pentes. Il arrive parfois qu’une des chaînes d’attelage qui réunissent entre eux les wagons d’un train vient à se rompre en gravissant une pente rapide, ou bien que des wagons chargés dans une gare au sommet d’un faîte sont entraînés par le vent. Les véhicules lancés sur la pente descendent alors avec une vitesse vertigineuse et sans cesse croissante.
Qu’un train de voyageurs arrive sur la même voie, et un choc effrayant est inévitable. Un seul homme peut l’empêcher, c’est l’aiguilleur. Il a compris le danger; il court à son levier, dirige les wagons échappés sur une voie de garage, et les envoie se heurter sur un talus ou dérailler en plein champ.
Ajoutons qu’on a cherchéà simplifier la tâche de l’aiguilleur en la rendant pour ainsi dire automatique. On a construit d’ingénieux appareils où, par une combinaison de leviers faisant verrous à mouvements combinés, une voie n’est ouverte que lorsque les voies concurrentes sont fermées, c’est-à-dire protégées par une digue. On arrive ainsi à supprimer tout calcul de la part de l’aiguilleur, et à réduire le travail de ses mains et celui de sa pensée, de manière à rendre toute collision impossible.
Article copié sur "La France pittoresque"
Cathédrale d’Amiens (Somme).
D’après un article paru en 1833
De tous les édifices gothiques qui existent encore en France, la cathédrale d’Amiens est un des plus curieux pour la grandeur, l’élégance et l’unité de style qui règnent dans l’ensemble et les détails; ce monument peut être regardé comme un des chefs-d’œuvre de l’architecture du moyen âge.
Ses fondements furent jetés en l’année 1220, sous le règne de Philippe-Auguste, et cette superbe basilique fut achevée en 1288. Les maîtres auxquels on doit ce chef-d’oeuvre d’architecture, furent Robert de Luzarches, Thomas et Renault de Cormont son fils. Tous trois faisaient sans doute partie de ces corporations d’artistes qui, s’étant voués à la construction des édifices religieux, parcouraient alors le monde chrétien, offrant leurs services dans les diocèses. Le chef de l’entreprise était appelé maître de l’art. C’est de semblables associations que faisaient partie les architectes qui bâtirent, dans le XIIIe siècle, les églises cathédrales de Cologne, de Strasbourg, de Fribourg, et autres églises d’Allemagne.
La cathédrale d’Amiens surpasse, par la grandeur de ses proportions et la richesse de ses ornements, la plupart des temples construits en Europe dans le moyen âge; on admire surtout la rectitude de son plan, la magnificence de son ensemble, la perspective majestueuse de ses larges percées, et l’heureuse harmonie de ses lignes.
La gravure ci-dessus reproduit la façade principale de la cathédrale. Trois portiques occupent toute l’étendue de la partie inférieure de la façade; ils sont décorés d’un système uniforme d’ornements, qui consiste en un soubassement continu, enrichi de caissons en forme de trèfles, contenant 118 bas-reliefs, et qui est décoré d’un fond de mosaïque.
Sur ce soubassement s’élève un rang de colonnes légèrement engagées, dont chacune porte en avant une statue de grande proportion, élevée sur une console et surmontée d’un dais, le tout terminé par de profondes voussures ogives, disposées en cul-de-four, dont les arcs multipliés, présentant une diminution progressive, sont remplis d’une grande quantité d’anges, de séraphins, et d’autres personnages en rapport avec le grand tableau en relief, sculpté sur le fond du tympan; enfin, ces trois portiques sont surmontés par des pignons triangulaires, ornés de chardons qui se détachent d’une manière pittoresque sur des renfoncements obscurs, et l’arc d’ouverture du choeur est enrichi d’un cordon à fleurs et d’une dentelle en pierre délicatement découpée.
Les trois portes de cette façade ont chacune une dénomination particulière: celle du milieu est appelée la Porte du Sauveur; celle de droite est dite de la Mère de Dieu, et celle à gauche de Saint Firmin le martyr. La plupart des ornements et des figures des portiques, ainsi que ceux des extrémités de la croisée, portent encore l’empreinte des différentes couleurs et de l’or dont ils furent originairement revêtus, suivant le système de décoration tout oriental, importé en Italie par les Grecs, pendant le moyen âge. La partie des trois façades au-dessus des trois portiques se compose d’une galerie à jour en forme de péristyle, qui règne dans toute la largeur, et dont les arcades ogives sont subdivisées par d’autres arcs en forme de trèfle; cette galerie est soutenue par une autre, également à jour, et dont les entre-colonnements sont décorés d’une série de vingt-deux statues colossales, que l’on croit représenter les monarques français bienfaiteurs de cette église, qui ont gouverné le royaume depuis Childeric II jusqu’à Philippe-Auguste.
Au-dessus se voit une grande rose à compartiments, en pierre, d’un magnifique travail; toute cette partie de la façade est surmontée d’une balustrade à jour, à hauteur d’appui, régnant dans toute la largeur, et formant une riche ceinture horizontale. A cette hauteur se termina pendant longtemps le portail de la cathédrale d’Amiens; les deux tours et la galerie vitrée qui les unit à la base n’ont étéélevées que plus d’un siècle après l’achèvement du bâtiment de l’église. Le premier clocher de la cathédrale, bâti en pierre, avec le corps de l’édifice, vers l’an 1240, fut détruit par la foudre, le 15 juillet 1525. Les travaux du nouveau clocher furent achevés en 1533.
L’intérieur de cette basilique est remarquable par ses dimensions colossales, par l’élévation et le jet hardi de ses voûtes, la délicatesse de ses fenêtres, la régularité et l’heureux accord de leurs proportions. Le vaisseau, dont le plan est en forme de croix latine, consiste en une nef, un chœur et une croisée ou transept, accompagnés de vastes bas-côtés, disposés sur le même axe et bordés de chapelles, qui règnent autour de la nef et du chœur. Les voûtes, élevées sur cent vingt-six grosses colonnes, sont généralement à arêtes, et reposent sur quatre nervures croisées diagonalement. Les grandes fenêtres sont au nombre de quarante-et-une, non comprises celles des chapelles et de la galerie qui entoure le chœur.
L’église a beaucoup perdu de son effet par l’absence des verres de couleur qui décoraient ces fenêtres. L’intérieur est encore éclairé par trois grandes roses, remarquables par leur forme circulaire et la délicatesse de leurs compartiments, dont les ramifications, contournées avec toute la souplesse des métaux les plus ductiles, servent d’encadrement à une nombreuse suite de sujets peints sur verre. La chaire de l’église, exécutée en 1775, est un monument de sculpture qui jouit d’une grande réputation. Les chapelles de la cathédrale, qui sont au nombre de vingt-quatre, n’avaient pas été comprises dans le plan primitif de Robert de Luzarches; elles ont été successivement érigées depuis à diverses époques.
Le travail de la boiserie des stalles du choeur, disposées en deux rangs étagés de chaque côté, est riche et élégant. Le grand autel, disposéà la romaine, est décoré d’un bas-relief doré, représentant Jésus-Christ faisant sa prière au Jardin des Olives. Derrière le maître-autel s’élève une grande gloire rayonnante construite en pierre et en bois, et dont l’immense proportion produit un bel effet dans la perspective du temple.
Pour célébrer le passage à l’an 2000, la cathédrale d’Amiens, subtilement décapée au laser, a retrouvé pendant quelques jours sa polychromie grâce à un jeu de lumières. Les gris et les noirs qui patinaient la pierre, dissimulaient des fragments pigmentés. Prélevés, ces bribes de peinture ont permis de reconstituer les couleurs qui recouvraient, jadis, les statues des trois portails de la façade. La technologie lumineuse a permis de retrouver sans dommage et irréversibilité, la polychromie d’origine...
Nous vous conseillons la visite du site Internet de l’Université Jules Verne vous offrant de visiter complètement la cathédrale et mettant en avant les dates importantes
Article copié sur "La France pittoresque"
18 novembre 1686: l’opération de la fistule est faite à Louis XIV
Le cardinal de Richelieu était mort de la fistule, faute d’avoir été bien traité. L’art de la chirurgie, qui fit sous le règne de Louis XIV plus de progrès en France que dans tout le reste de l’Europe, n’était pas encore familiarisé avec cette maladie. Le danger du roi émut toute la France : les églises furent remplies d’un peuple innombrable qui demandait la guérison de son roi, les larmes aux yeux. Ce mouvement d’un attendrissement général fut le même que lorsque son successeur fut en danger de mort à Metz, en 1744.
Dès que Louis XIV ressentit les premières atteintes de ce mal, son premier chirurgien, Félix, alla dans les hôpitaux chercher des malades qui fussent dans le même péril; il consulta les meilleurs chirurgiens; il inventa avec eux des instruments qui abrégeaient l’opération, et qui la rendaient moins douloureuse.
Le jour de l’opération arrivé, on fait entrer secrètement chez le roi, le premier médecin Fagon, le premier chirurgien Félix, le père de la Chaise, Louvois, et madame de Maintenon. La tristesse est peinte sur tous les visages. Le roi seul, d’un air tranquille, d’un front serein, dit à Félix: «Faites autant d’incisions qu’il faudra, mais tachez de n’y pas revenir à deux fois.» Félix, prêt à porter les mains sur son prince, se représente les divers accidents qui peuvent arriver, le cri qui s’élèvera contre lui si le roi meurt, et son sang se glace dans ses veines. Le confesseur lève les yeux au ciel; madame de Maintenon éplorée, est percée de chaque coup de ciseau qui va déchirer Louis. Tous craignent, tous dissimulent, de peur d’effrayer le malade, qui demande des yeux au fidèle Bontemps, s’il y a quelque péril?
Félix fait un effort sur lui-même, et reprend toute sa hardiesse. Il arrache d’une main impitoyable jusqu’aux dernières racines du mal. Tous les assistants frémissent, madame de Maintenon pousse un cri, le roi semble n’avoir pas senti l’opération. A huit heures du matin les portes s’ouvrent: toute la cour apprend qu’on vient de faire au roi la grande opération, et personne ne sait encore qu’on devait la faire. Monseigneur accourt, et entrant tout en larmes, voit madame de Maintenon au chevet du lit, et la remercie de lui avoir conservé son père.
Au bruit de cette nouvelle inespérée, madame de Montespan arrive en diligence; l’huissier qui avait ses ordres, lui dit qu’elle ne peut entrer: elle insiste, avec cet air impérieux que laisse une longue domination; l’huissier persiste dans son refus. Elle se retire, la rage dans le cœur; et cette rage est à son comble, lorsqu’elle vient à apprendre que madame de Maintenon était dans la chambre. Le même jour, Louis donne audience aux ambassadeurs et tient conseil avec ses ministres. L’homme souffrait; le roi se portait bien.
Félix fut magnifiquement récompensé. Son imagination avait si vivement travaillé, qu’il fut saisi d’un tremblement qui ne le quitta plus le reste de ses jours. Le lendemain qu’il eut sauvé la vie au roi, il estropia, dans une saignée, son meilleur ami, le sieur Niert, premier valet de chambre.
Article copié sur "La France pittoresque"
Autre article
18 novembre 1686: Louis XIV se fait recoudre l'anus par le chirurgien Félix. Le souverain souffre qui souffre d'une fistule supporte stoïquement l'opération devant la cour.
La face cachée du Roi-Soleil, c'est probablement la fistule anale dont il commence à souffrir le 5 février 1686, selon le journal du marquis de Dangeau: "Le roi se trouva assez incommodé d'une tumeur à la cuisse et garda le lit tout le jour." En cette lointaine époque, à force de chevauchés, les anus se fissurent. Le souverain n'y échappe pas. Ses médecins et chirurgiens multiplient les traitements sans aucun effet. Même le nettoyage de la plaie au moyen d'une lancette tranchante s'avère inutile.
L'entourage du souverain tente de garder le secret sur son mal, mais la rumeur se répand dans toute l'Europe aussi vite qu'un pet sur une toile cirée, si l'on ose dire. Certains envisagent déjà la mort du roi de France. Ses médecins ne savent plus à quel saint se vouer. Un moment, ils envisagent d'envoyer leur illustre malade tremper ses fesses dans les eaux de Barèges, réputées réparatrices dans le domaine. Mais avant d'entreprendre le lointain déplacement, il est décidé de tester lesdites eaux avec quatre personnes souffrant de la même maladie sous la surveillance d'un chirurgien de l'hôpital de la Charité. Quand elles reviennent quelques semaines plus tard, leur fistule est toujours présente. Exit les eaux de Barèges, de même celles de Bourbons en Auvergne, pas plus efficaces. Des charlatans espérant faire fortune avec le cul du roi assiègent Versailles avec des onguents soi-disant miraculeux. On ne les renvoie pas. Qui sait, l'un d'entre eux a peut-être trouvé la recette miracle. Donc Louvois accueille ces docteurs Diafoirus dans son propre hôtel particulier à Paris pour qu'ils fassent la démonstration de leur efficacité sur des "fistulés" trouvés dans la rue. Mais tous repartent aussi fendus qu'à leur arrivée.
Le popotin royal tourné vers la fenêtre… Bref, il ne reste plus que la grande opération - comme on disait à l'époque - à tenter: l'ouverture totale de la fistule pour sectionner les chairs corrompues afin que la cicatrisation puisse se dérouler. Inutile de dire qu'à cette époque dépourvue d'anesthésie et d'antibiotique, l'intervention chirurgicale constitue le dernier recours. Ça passe ou ça casse. Le roi, convaincu par Louvois, donne son accord. Mieux vaut tenter le tout pour le tout que mourir à petit feu. On choisit pour cela le premier chirurgien du roi, Charles-François Tassy, dit Félix, un homme extrêmement compétent quoiqu'il n'ait jamais opéré de fistule jusque-là. Qu'importe, il se rattrape en se faisant la main sur soixante-quinze "fistuleux de Paris" réquisitionnés dans les hôpitaux et les prisons. Cela lui permet de concevoir un bistouri spécialement adaptéà cette fore de chirurgie qui restera dans les annales. Sa forme est courbe et il est prolongé par un stylet long, pointu et flexible. À la mi-novembre, Félix est prêt à mettre la main au "cul" de Louis XIV. L'intervention se déroulera à Versailles où le roi revient le 15 novembre, après un séjour à Fontainebleau. Le 16, il visite ses jardins de Versailles à cheval, ne montrant aucune appréhension. Il devise plaisamment avec les uns et les autres. Le dimanche 17, la journée s'écoule normalement, sans accroc à l'étiquette.
Le lendemain matin, le souverain est réveillé vers 5 heures par ses apothicaires venus préparer le champ d'opération à grands coups de lavements. Les intestins et l'anus du Roi-Soleil doivent reluire comme la cuisine de Masterchef. Une fois le grand lessivage opéré, les intervenants et les invités arrivent les uns après les autres: le père Lachaise, confesseur du roi, le chirurgien Félix, les médecins d'Aquin, Fagon, Bessière et Laraye, le bien nommé en la circonstance. Enfin, Louvois et Madame de Maintenon complètent l'assemblée. Le roi, qui ne semble pas stressé, demande à Félix de lui expliquer le fonctionnement de chaque instrument disposé sur la table, car la chambre du roi sert de salle d'opération. Une fois instruit, Louis s'allonge nu sur son lit, un traversin sous le ventre, son popotin royal tourné vers la fenêtre. Un écarteur d'anus en argent lui est alors introduit dans l'orifice ad-hoc. Deux apothicaires lui agrippent les jambes pour les maintenir écartées. Nadine de Rothschild est outrée de cette entorse à l'étiquette royale... C'est pourtant elle qui montra ses fesses dans Caroline Chérie car elle servait de doublure à Martine Carol! Louis XIV agrippe la main de son fidèle Louvois.
L'intervention dure trois heures… Félix peut enfin se mettre à l'ouvrage sous le contrôle du Dr House. Il commence par faire une petite incision dans la fistule pour y introduire le long stylet flexible fixéà l'extrémité du bistouri. Celui-ci traverse la paroi de l'intestin où Félix attrape délicatement son extrémité avec son index introduit dans l'auguste rectum. Voilà donc notre chirurgien avec dans une main le manche du bistouri, et dans l'autre son extrémité flexible. Courageux, Louis XIV ne pousse pas un soupir. Félix n'a plus qu'à tirer à lui, d'un mouvement sec, son instrument pour ouvrir la fistule sur tout son long. Le roi serre les dents. Léon Zitrone, qui assure le direct pour TF1, ferme les yeux... Félix coupe avec une paire de ciseaux toutes les callosités encombrant la fistule. Huit coups suffisent. Le roi n'émet toujours pas le moindre grognement. À croire qu'il apprécie. L'opération est maintenant presque achevée. Félix introduit dans l'anus béant "une grosse tente de charpie recouverte d'un liniment composé d'huile et de jaune d'œuf", puis enduit la plaie de plumasseaux. Il finit par des compresses et des bandages. Rassurez-vous, à un moment ou à un autre, l'écarteur est enlevé. L'intervention a duré trois heures.
Incroyable courage de Louis XIV qui reprend alors le cours de sa journée avec seulement une heure de retard. Il accueille dans son lit les courtisans habituels. Rachida Dati est la première à le féliciter, lui expliquant que cinq jours après son accouchement, elle siégeait déjà au conseil des ministres... Le roi fait prévenir son fils à la chasse et son frère qui est à Paris de la réussite de l'intervention. Chacun guette une expression de douleur sur la face royale, en vain. Il sourit. Le souverain ordonne que la journée se déroule à l'ordinaire. Après le déjeuner, il tient conseil comme à l'habitude. Le lendemain, il reçoit les ambassadeurs étrangers sans même montrer le moindre signe de fièvre. Au cours des jours suivants, le souverain n'éprouve toujours aucune douleur. Quinze jours plus tard, cependant, Félix constate que la cicatrisation ne se fait pas correctement. Le 6 décembre, il doit à nouveau manier les ciseaux, puis le 7, il lui faut inciser plus profondément pour que la cicatrisation se déroule dans le bon ordre: depuis le fond de la plaie vers l'extérieur. Cette fois, le roi déguste et doit renvoyer le Conseil à plusieurs reprises. La cicatrisation est enfin en bonne voie.
Le samedi 11 janvier 1687, 54 jours après la grande opération, le roi peut enfin se promener à pied dans l'Orangerie, sans ressembler à Bartabas quand il descend de cheval... En guise de récompense pour son intervention, Félix reçoit une fortune: 50 000 écus (environ 6 millions d'euros d'aujourd'hui) et la terre des Moulineaux de même valeur. Tous les autres médecins sont également récompensés. Du coup, la fistule devient à la mode. De nombreux courtisans demandent à subir la grande opération. "Plusieurs de ceux qui la cachaient avec soin avant ce temps n'ont plus eu honte de la rendre publique, il y a eu même des courtisans qui ont choisi Versailles pour se soumettre à cette opération, parce que le roi s'informait de toutes les circonstances de cette maladie. Ceux qui avaient quelque petit suintement ou de simples hémorroïdes ne différaient pas à présenter leur derrière au chirurgien pour y faire des incisions; j'en ai vu plus de trente qui voulaient qu'on leur fît l'opération, et dont la folie était si grande qu'ils paraissaient fâchés lorsqu'on les assurait qu'il n'y avait point nécessité de la faire", écrit Pierre Dionis, le chirurgien de la reine Marie-Thérèse. À jamais, l'opération de la fistule de Louis XIV reste dans les annales de la médecine.
Louis XIV opéré par le chirurgien Félix. © DR
© Le Point - Publié le 18/11/2012 à 00:00 - Modifié le 18/11/2014 à 00:00
Pour l’éphéméride du dix-huit novembre c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2013/11/18/28455945.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service vu la taille de l'engin, ne risque pas grand-chose; faut dire que si on en avait mis un à sa taille on ne l'aurait point vu...
Ben pour la zique de ce mardi, on va s’écouter Un vieux de la vieille, une légende à lui tout seul… Chuck Berry en AVO Session à Bâle… Un plaisir de l’écouter… Allez les amis, faites-vous plaisir et je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=SFmtz4qHbl8
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
------------------------------
Les hôpitaux sont des endroits généralement peu engageants... Mais quand les infirmiers et les médecins se mettent àécrire n'importe quoi sur leurs patients, probablement à cause du stress, cela donne de véritables petites pépites!
1. Elle n’a pas de signes apparents de fièvres ni de frissons, mais son mari a noté qu’elle était très chaude au lit la nuit dernière.
2. L’examen des parties génitales a révélé qu’il était vraiment monté comme un taureau.
3. Étant donné qu’elle ne parvient pas à avoir d’enfant avec son mari, j’ai pensé que vous devriez peut-être essayer quelque chose avec elle.
4. La patiente est en larmes et pleure constamment. Elle a également l’air un peu déprimée.
5. Le patient souffre d’une sévère dépression depuis qu’il a commencéà venir me voir, en 1993.
6. Note de décharge: Vivant, mais sans ma permission.
7. Homme de 69 ans d’apparence saine mais un peu décrépit, mentalement alerte mais très étourdi.
8. Le patient a catégoriquement refusé l’autopsie.
9. Le patient a laissé ses globules blancs dans un autre hôpital.
10. Ses antécédents médicaux sont remarquablement insignifiants avec seulement un gain de poids de 20 kg au cours des trois derniers jours.
11. Le patient a eu des gaufres au petit déjeuner, et de l’anorexie à midi.
12. Entre vous et moi, vraiment, il devrait y avoir un moyen de mettre cette femme enceinte…
13. Le second jour, son genou allait mieux. Et le troisième jour, il a disparu.
14. Elle est engourdie, des orteils jusqu’aux pieds.
15 La peau était sèche et humide.
16. Maux de têtes occasionnels, constants et peu fréquents.
17. Le toucher rectal a révélé une thyroïde de taille normale.
18. Elle a expliqué qu’elle avait été constipée pendant la plus grande partie de sa vie, jusqu’à ce qu’elle ait un divorce.
19. Les deux seins sont identiques et réactifs à la lumière et aux accommodations.
20. La patiente a des douleurs à la poitrine si elle s’allonge sur le côté gauche pendant plus d’un an.
21. Le patient devait avoir une résection de l’intestin, mais il a été embauché comme agent de change à la place.
22. Peau : étrangement pâle, mais présente.
23. L’examen pelvien sera fait plus tard, sur le plancher.
24. Le patient a été vu par le docteur Blank, qui pense que nous devrions nous asseoir sur l’abdomen et je suis bien d’accord avec lui.
25. Le patient a deux enfants adolescents, mais ne souffre d’aucune autre anormalité.
C'est l'histoire de Roland et Germaine, vieux couple retraité qui vivait dans une ferme.
Germaine (gère & mène) méritait vraiment son nom. Toute sa vie, elle avait fait chier Roland, décidant de tout, criant après lui sans arrêt,
se mêlant de ses affaires ; bref, une vraie de vraie Germaine !
Un jour que Roland en avait marre de l'entendre, y lui dit :
- J'm'en vâs à l'écurie soigner mon ch'val.
Mais ce jour-là, alors que Roland s'affairait, elle est venue le relancer jusque dans l'écurie et continuer à lui casser les bonbons.
À bout de nerfs, Roland a pincé une couille à son cheval qui a rué et envoyé Germaine violemment dans l'mur, et elle est morte sur le coup...
Guy et Gaétan jasaient en arrière de la salle mortuaire. A un moment donné, Guy dit à Gaétan :
- As-tu remarqué que chaque fois qu'une femme présente ses condoléances à Roland, il lui serre la main en faisant signe que oui... et quand c'est un homme, il lui serre la main en faisant signe que non".
Comme de fait, Gaétan se met à observer Roland ; une femme s’avance pour lui présenter ses condoléances, il lui serre la main et fait signe que oui.
Plus tard un homme s'avance et Roland lui serre la main et fait signe que non.
La veillée funèbre se termine, alors Guy demande à Roland :
- Vâs-tu ben m'dire pourquoué qu'à châque foué qu'aine femme te présentait ses condoléances, tu f'sais signe que oui, et à un homme, tu faisais signe que non?
Roland dit :
- C'est ben simple, les femmes me demandaient: «Elle a pas trop souffert, est-elle morte sur le coup»
- Oui !
Et les hommes: «ton cheval n’est pas à vendre?»
- Non !!!
Un Para se promène au zoo de Vincennes, lorsque tout à coup il aperçoit une petite fille qui est un peu trop proche de la cage du gros lion d'Afrique.
Soudain le lion attrape la robe de la petite et la ramène vers lui afin d'en faire une bouchée.....tout ceci sous les yeux des parents qui hurlent de désespoir.
Le Para sans hésiter une seconde se rue sur le lion et lui assène un terrible coup de poing sur le museau, le lion recule en lâchant prise et se frotte le museau en grognant, pendant que le Para revient avec la petite vers ses parents qui pleurent de joie et n'arrêtent pas de le remercier.
Un reporter a tout vu et s'approche du Para: "Monsieur vous venez d’avoir un geste extrêmement courageux, je n'ai jamais vu un homme faire un tel geste depuis 40 ans que je fais ce métier.
Le Para répond: "Mais Monsieur je n'ai rien fait d'extraordinaire!... Le lion était en cage, et j'ai vu le danger que courrait la petite. "
Le reporter répond: "Monsieur je vous garantis que ceci ne passera pas inaperçu, je suis journaliste, et demain vous serez en première page.... dites-moi de quelle région êtes-vous originaire, êtes-vous PS ou UMP?
Le Para répond, je suis fils de Pieds Noirs et j'ai voté…Le Pen.
Le journaliste s'en va...
Le lendemain le Para achète Le Figaro afin de lire la première page et voir si son geste de la veille y est mentionné... il lit alors:
UN PIED NOIR DU FRONT NATIONAL ATTAQUE UN IMMIGRANT AFRICAIN ET LUI VOLE SON REPAS...
et c'est comme çà que les médias vous transmettent les nouvelles aujourd'hui...
------------------------------
C'est mardi... le réveille-matin va faire son boucan d'enfer au milieu d'un beau rêve de vacances au soleil sur une plage paradisiaque et c'est en pestant que l'on se lève... Certains ont le réveil gai et serein de la personne contente de se réveiller et de vivre un jour de plus, d'autres se lèvent en chantant, quelques-uns se lèvent du pieds gauche et de mauvais poil... Toujours est il que tous ces gens ont quelque chose en commun, c'est qu'ils doivent aller bosser toute la journée et les gens joyeux verront le temps défiler rapidement alors que pour les autres, le temps passera lentement... Une pensée pour celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée en vous disant à la revoyure...