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Channel: Éphémérides et humour
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vingt-huit novembre

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«À Saint-Sosthène, les poules sur le chemin ne trouvent plus de graines.»

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«À la Saint-Sosthène, hélas on ne peut plus aller s'acheter des mitaines à la Samaritaine.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; ben voilà, on y est arrivé, c'est vendredi et ce soir la semaine active sera finie et le week-end pourra commencer et enfin le travailleur pourra voir et vivre au jour, car ce n'est pas marrant de partir au turbin de nuit et de revenir dans ses pénates à la nuit... Bon pour le temps, il faudra s'habiller selon le temps; c'est de saison... mais il fait encore assez doux et c'est bizarre qu'il n'y ait pas encore eu de gelée blanche le matin... 

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Pour la météo d'aujourd'hui, il est prévu que pour la Suisse romande avec 6° et un ciel peu nuageux dans la nuit, ce sera pour ce jour: les nombreux passages nuageux permettront des éclaircies très inégales, plus généreuses dans le nord de la région. Sur le Plateau, le stratus restera présent avec un sommet vers 900 m. Sa dissipation ne sera que très locale. Sur les versants sud des Alpes valaisannes, ciel bouché avec quelques averses. Température en plaine: minimum 4°, maximum 8°à 10°, jusqu'à 15° sous le foehn. Température à 2000 m: 6°. En montagne, vent modéré de sud. Foehn dans les vallées alpines, plus marqué dans le Chablais.

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Pour l'Hexagone, une météo de saison, assez perturbée... ATTENTION, VIGILANCE ORANGE DANS TREIZE DÉPARTEMENTS... Avec pour ce jour: en matinée, le Languedoc se retrouve en proie à de violents orages accompagnés de fortes pluies. Le temps est sec ailleurs avec la présence localement de nuages bas et de brouillards plutôt au nord de la Seine. Le vent de sud se généralise et souffle en fortes rafales sur de nombreuses régions. Dans l’après-midi, la situation évolue peu par rapport à la matinée avec la persistance de fortes pluies orageuses dans le Languedoc jusqu'aux Cévennes. Ailleurs, le soleil s'impose avec plus ou moins de difficultés avec quelques gouttes du Centre au bassin parisien. En soirée, le risque orageux se concentre essentiellement en Languedoc-Roussillon. Temps sec ailleurs et ciel plus dégagé dans la moitié ouest du pays. Dans la nuit, des pluies perdurent entre le Roussillon, le Languedoc et les Cévennes. Le temps est sec dans les autres régions avec le retour des brouillards… 

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Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 28°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 30°; à la Martinique ensoleillé voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31°; ensoleillé nuageux et pluvieux avec des températures de l'ordre de 31° en Guadeloupe; ensoleillé, voilé et variable en Guyane française avec des températures de l'ordre de 33°; Polynésie française ciel nuageux à très nuageux, prédominence de pluies faibles à modérées; ciel couvert aux Marquises avec des températures de 30°; nuageux et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 1°...

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil est à 07:45 et le coucher du Soleil se fera à 16:52 et le jour est plus court de 2 minutes...

 

Valeurs remarquables de novembre en France

TMax: 31.4°C (Solenzara le 10/11/1985)
TMin: -15.3°C (Orleans le 30/11/2010)
Précip: 321.0 mm (Mont Aigoual le 07/11/1982)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées auront lieu... : 
Horaire des marées à Saint-Malo  

Lundi 22 décembre à 06h56 coefficient 91, à 19h20 coefficient 95
Mardi 23 décembre à 07h40 coefficient 97, à 20h05 coefficient 99
Mercredi 24 décembre à 08h25 coefficient 99, à 20h50 coefficient 99
Jeudi 25 décembre à 09h09 coefficient 97, à 21h35 coefficient 95
Vendredi 26 décembre à 09h55 coefficient 91, à 22h21 coefficient 91

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier… 

En 1973: on observait de fortes chutes de neige sur tout le pays. On mesurait une épaisseur de neige de 34 cm à Uccle, 40 cm à Gembloux et 81 cm au Signal de Botrange
En 1882: on observait de fortes rafales de vent accompagnées d'averses de grêle

 

Les fêtes nationales du Jour 

Albanie

République d'Albanie.
Le 28 novembre 1912, Ismaël Quemal Bey proclame l'indépendance de l'Albanie au congrès de Vlorë. L'anniversaire de ce jour est fête nationale en Albanie. C'est aussi l'anniversaire d'une première libération du pays par Skanderbeg en 1443.

 

Mauritanie

Républiques islamique arabe et africaine de Mauritanie.
Le 28 novembre est la Fête Nationale en Mauritanie qui célèbre son indépendance acquise contre la France le 28 novembre 1960.

 

La France pittoresque

Métiers anciens: Serruriers.
(D’après un article paru au XIXe siècle)

Le portrait que nous reproduisons orne la première page d’un petit atlas de gravures aujourd’hui fort rare. Le personnage représenté, maître Robert Davesne, s’était vraisemblablement rendu célèbre par l’élégance et la richesse de ses ouvrages de serrurerie. C’était plutôt un artiste qu’un mécanicien. Sa clientèle se composait probablement de seigneurs, et sans doute il travailla pour le roi. La dédicace de son livre semble l’indiquer. Elle est adressée à M. Bruand, architecte ordinaire des bâtiments du roi, et on y sent l’honnête reconnaissance de l’ouvrier pour le protecteur qui lui a procuré de belles «commandes.»

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Maître Robert Davesne. Dessin de Bocourt, d’après le Livre de serrurerie.

Nous n’avons trouvé aucun renseignement sur le caractère et la vie de cet artisan. Mais il n’est peut-être pas impossible de tirer de son livre quelque lumière. Il est probable que Davesne était riche. La fortune a dû suivre chez lui la réputation, d’autant qu’il vivait à une époque où l’on eut le goût, la manie même des jardins, et la coutume de les entourer, de les diviser par de riches balustrades. Or c’était précisément en cette sorte d’ouvrage que Davesne excellait. Sa fortune est encore prouvée par la publication de son livre.
La dédicace, dont j’ai déjà parlé, trahit le défaut d’éducation première. On y voit un homme ignorant des choses étrangères à son art, qui n’a acquis dans les relations avec sa belle clientèle qu’une bien légère idée de la littérature et du goût: «Monsieur, dit-il à Bruand, l’admirable et renommée qui vous appelle et donne le titre glorieux du plus sublime perscrutateur des choses nécessaires à la conservation et embellissement des bâtiments de Sa Majesté, me fait craindre de vous présenter ce petit ouvrage, quoique de soy trop indigne et trop rampant pour être mis au nombre de ceux qui s’offrent journellement à votre grand esprit.»

On s’attendrait, d’après le titre, à trouver dans le corps du livre des recettes, des secrets, des descriptions de pièces plus ou moins compliquées. Il n’en est rien. Le livre se compose uniquement de douze planches représentant ses serrures, des clefs, des panneaux, des grilles, des balustrades, dont le dessin a été inventé par maître Robert, qui confirme le jugement que nous avons énoncé plus haut sur son genre de mérite.

L’ornementation de quelques-unes de ces pièces est très remarquable. Leur caractère est une richesse un peu lourde, un peu massive. L’élément principal consiste en rinceaux à feuilles larges et développées. Les figures d’hommes et d’animaux n’y ont qu’une place secondaire, et fort heureusement, car l’infériorité de notre artiste, comparéà ceux de la renaissance, est surtout sensible en ce point. Il y a quelque mauvais goût, du reste, commun à tous les artistes du temps. On peut leur reprocher, par exemple, certains pots à feu et pots à fleurs qu’ils plantent ordinairement sur les grilles et qui n’ont rien d’heureux.
Tout le texte se compose de la dédicace, dont nous avons cité le commencement, d’une autre au public, conçue à peu près dans la même langue, et d’une table explicative des planches, où chaque pièce (même la plus compliquée) finit invariablement par ces mots: «Fort agréable et facile à vuider et à graver.»

Ajoutons, pour être tout à fait exact, un quatrain qui se trouve à la dernière page, sous une rampe d’escalier d’un dessin très léger, par exception, et très réussi. Voici ce quatrain. Il ne dit pas grand-chose sur la vie de Davesne; mais il témoigne de l’esprit, des habitudes et de l’orthographe de l’époque.

Quatrain sur l’ouvrage, par Claude Prieurs.

Entre tous les ouvrages que produict la nature,
Je n’en é jamais veu un qui fust parfait.
La pointe du burin é les traicts d’écriture
Ensemble n’ont forgé ce que Davesne a faict.

Profitons de l’occasion de maître Davesne pour dire quelques mots sur la corporation des maîtres serruriers à Paris. Elle datait sans doute du quinzième siècle, puisque les premiers statuts qu’on rencontre, et qui suivirent de près probablement la formation de la communauté, sont du mois de novembre 1411. Ces statuts, corrigés et augmentés, furent confirmés par Louis XIV, en 1652.

Comme dans presque toutes les corporations de Paris, la surveillance des travaux du métier est confiée à quatre jurés élus par tous les maîtres pour deux années. Ce qu’il y a de particulier à ce métier, c’est que les visites des jurés y sont rares. Ils ne font que cinq inspections par an, tandis que dans certains autres métiers, notamment dans celui des tailleurs, il y avait des inspections chaque semaine.

Ce qui est particulier encore, c’est la durée de l’apprentissage, cinq ans en moyenne, et celle du compagnonnage, autres cinq ans, dix ans en tout avant d’être admis à faire son chef-d’œuvre et à demander la maîtrise. Mais ce qui malheureusement n’est pas particulier, ce qui est commun à ce métier et à presque tous les autres, c’est la disposition assez peu équitable par laquelle les fils de maîtres, et même les gendres de maîtres, sont dispensés de tout apprentissage. «Ils ne sont tenus que d’une simple expérience», disent les statuts.
Il ne faut pas croire, d’après leur nom, que les serruriers fissent surtout des serrures. Il en était déjà de cette profession comme aujourd’hui. La plupart des serrures étaient faites hors Paris; on tirait les meilleurs de Picardie, principalement de la ville d’Eu, dont les habitants étaient presque tous voués à la serrurerie, et les plus communes du Forez.

Les quincailliers de Paris les achetaient en gros dans ces deux pays et les revendaient au détail aux ébénistes, aux serruriers, etc. Ces derniers ne faisaient eux-mêmes que les serrures commandées, ou les serrures à dix fermetures pour les coffres-forts, les caisses des négociants et des joailliers. C’était généralement une serrure de cette espèce qu’on donnait à faire, comme chef-d’œuvre, aux compagnons qui demandaient la maîtrise.
Les véritables ouvrages des serruriers étaient les pièces nécessaires aux charpentes, ancres, crampons, boulons, etc.; les ustensiles de ménage en fer, les loquets, gonds, pivots et pièces de même genre; mais surtout les grilles et balustrades, que le goût du temps voulait aussi riches et ornementées que possible.

Un autre ouvrage, qui devait plus tard être assez lucratif pour les artisans de ce métier, était à peine connu en France à la fin du siècle dont nous parlons: c’est l’espagnolette. On fermait les volets, les fenêtres et les contrevents avec des verrous ou même avec des serrures. L’espagnolette, qui, grâce à sa barre de fer longitudinale, a l’avantage de fermer plus également, plus complètement, nous fut apportée d’Espagne à la suite de la guerre qui mit sur le trône de ce pays Phillipe V, fils de Louis XIV. Elle devint bientôt d’un usage général. Au reste, on peut dire que l’espagnolette est ce que nous avons gagné de plus clair dans cette guerre de la succession d’Espagne, qui nous coûta si cher et nous mit assez longtemps à deux doigts de notre perte.

Article copié sur "La France pittoresque" 

 

Argot de l’X ou de l’étymologie du vocabulaire pittoresque de l’Ecole Polytechnique.
D’après «Le Voleur illustré», paru en 1894

En 1894, à l’occasion du centième anniversaire de la fondation de l’Ecole Polytechnique, deux anciens polytechniciens publient l’Argot de l’X, sorte de dictionnaire extrêmement riche en anecdotes de toutes sortes, même croustillantes, où les auteurs passent en revue toutes ces expressions bizarres et imagées que l’on trouve souvent dans la bouche des étudiants et des potaches
L’étymologie de ces expressions est quelquefois très curieuse et a souvent besoin d’une explication détaillée comme on peut en juger par ces quelques exemples.

GIGON. - Gigon était un élève de la promotion 1855 qui avait la manie de faire partout plus de travail qu’on ne lui en demandait; de donner dans ses épures des solutions qu’on n’exigeait pas; d’ajouter à ses dessins plus de croquis qu’il ne fallait; de réclamer en toutes circonstances plus qu’il n’était allouéà ses camarades, et en particulier des rations supplémentaires de nourriture. Cette manie a rendu son nom légendaire, il est devenu synonyme de supplément.
Le mot Gigon revient à tout instant dans le langage de l’Ecole. On demande au réfectoire un Gigon de frites; on demande au directeur des études quelques jours de Gigon pour remettre ses épures. Un examinateur demande du Gigon quand il ne se limite pas dans ses interrogations aux questions traitées par le professeur. Du mot Gigon on a fait le verbe Gigonner, faire un supplément de besogne, et l’adjectif Gigonnaire ou supplémentaire.

PIQUE-BOYAUX. - Nom donné aux prévôts de salle d’armes. L’enseignement de l’escrime, autrefois facultatif, était devenu obligatoire. Des séances régulières sont consacrées à l’escrime et, àépoques fixes, des assauts ont lieu devant l’état-major de l’Ecole. Parmi les professeurs civils qui autrefois enseignaient l’escrime, parmi les plus fines lames, il faut une mention spéciale pour Lozès, qui fut un des meilleurs maîtres et pour son prévôt.

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Costume de Polytechnicien en 1921

PIQUE-CHIEN. - Sobriquet des sergents-majors garde-consigne préposés à la garde de tous les postes: poste d’entrée, poste du parloir, poste nord, poste sud, par où passent les élèves. On les appelle ainsi parce qu’ils n’ont rien à faire et qu’ils passent leur journée à dormir, c’est-à-dire piquer un chien.

SERPENT. - Nom qu’on donnait par corruption au sergent chef de salle qu’on appela plus tard crotale. Il y avait en 1855 un sergent nommé Bois, on comprend comment le sergent Boit devint le sergent Boa, puis le serpent Boa: c’est l’origine du mot serpent.

SOURIAU. - Nom donnéà certain vase placé sous le lit. C’est une bonne farce à faire aux conscrits que de percer leurs souriaux avec la pointe d’une épée. La veille de Noël, c’était l’habitude, à une certaine époque, d’attacher les souriaux deux à deux par une corde solide et de les lancer dans les arbres de la cour des laboratoires. Ces arbres ainsi pavoisés étaient les arbres de Noël. Pendant le bahutage, un ancien passe la revue des caserts, les conscrits alignés ont chacun leur souriau à la main.

TRUFFIN. - On appelle ainsi le coiffeur, l’artiste (!) qui tond et rase la truffe (tête).

JODOT. - Jodot était un petit vieillard charmant qui fut, pendant plusieurs années, professeur de dessins lavis. Tout en causant dans les salles avec une aménité parfaite, il enseignait les secrets des teintes plates et des teintes fondues; son nom est resté synonyme de lavis, et on a fait le verbe jodoter pour signifier laver un dessin.
Bien vite le mot eut un immense succès et se prit dans des acceptions plus étendues; on ne tarda pas à l’employer couramment pour dire mouiller - asperger avec de l’eau, et le succès s’est accusé de plus en plus. On jodote un conscrit avec une bombe hydraulique, ou bien en lui versant le contenu du corio sur la tête. Se jodoter, c’est faire sa toilette. Quand il pleut, on dit qu’ «il jodote».

Souvent aussi ce sont les professeurs ou les officiers eux-mêmes qui, sans s’en douter, donnent leur nom a certaines choses; sans s’en douter, parce qu’on a remarqué que tel d’entre eux avait telle ou telle manie, ce tic ou cette préférence. D’autres fois les chefs laissent leurs noms aux objets les plus bizarres, mais alors sans raison, ou du moins sans explication de la part d’Albert Lévy et G. Pinet, les auteurs du volume dont nous parlons.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Procès de Louis XVI: une grande figure révolutionnaire dénonce le refus de consulter le peuple.
D’après «La Joie de la maison», paru en 1902

Le 31 décembre 1792, Pierre-Victurnien Vergniaud, député girondin de la Convention nationale, avocat et grand orateur de la Révolution française bien qu’aujourd’hui oublié au profit de Danton ou Robespierre, dénonce, quelques jours après la tenue du procès de Louis XVI - du 10 au 26 décembre –, l’absence de consultation du peuple au sujet du sort qui lui est réservé et inspiréà ses yeux d’une tyrannie prétendument dénoncée par la Convention.

En 1902, un chroniqueur du journal La Joie de la maison nous livre le fil conducteur du discours de Vergniaud, l’un des principaux acteurs de la Révolution appartenant au parti girondin - ainsi nommé parce que composé de plusieurs députés appartenant à la région de Bordeaux, ce parti essaya d’éviter le procès du roi Louis XVI - et qui, ce 31 décembre 1792, «se surpassa lui-même».

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Pierre-Victurnien Verginaud

Le peuple est souverain, il ne délègue à ses représentants l’exercice de sa souveraineté que sous la réserve de son approbation formelle ou tacite; formelle quand il s’agit d’un acte de souveraineté, et la preuve c’est qu’il est décrété que l’abolition de la royauté et la nouvelle constitution seront soumises à sa ratification; tacite quand il s’agit d’actes réglementaires de législation qui ne sont exécutés que provisoirement et contre lesquels il conserve le pouvoir de réclamer.

Le jugement de Louis XVI est évidemment un acte de souveraineté; il doit donc être ratifié formellement, d’autant mieux qu’il n’est pas susceptible d’une exécution provisoire, et qu’il serait impossible de ratifier tacitement ce à quoi il ne serait plus possible de s’opposer.
Qu’on n’invoque pas l’exemple des jugements ordinaires, les juges ne sont que l’organe d’une volonté générale déjà exprimée pair la loi, et ne font que l’appliquer, mais vous n’êtes pas des juges ordinaires, car vous avez réuni en vous tous les pouvoirs du jury d’accusation, de jury de jugement, de législateur pour déterminer la forme, et de juges pour appliquer la peine. Supposez que cette cumulation soit légitime, elle est une telle monstruosité que jamais acte n’aura besoin d’être davantage formellement ratifié, car si elle se reproduisait jamais, elle conduirait à la tyrannie avec une effrayante rapidité.
Le peuple avait promis l’inviolabilitéà Louis par le serment individuel de tous les citoyens, vous pouvez déclarer que cette promesse n’est pas obligatoire, mais au peuple seul appartient le droit de dire s’il veut la tenir ou s’il entend ressaisir le droit terrible auquel il avait renoncé.

On parle de difficultés à le consulter dans ses assemblées primaires et ce sont ceux-là même qui demandaient, en 1791, qu’il fût consulté sur le jugement à rendre contre Louis revenu de Varennes! On objecte que l’appel au peuple violerait l’égalité et que Louis doit être traité en homme ordinaire; s’il l’était, l’aurait-on enlevé aux tribunaux réguliers, et faudrait-il une Convention nationale pour le juger.

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Interrogatoire de Louis XVI

Il l’est si peu qu’on va criant partout que la cause de tous nos maux, misères et malheurs est au Temple; craignez qu’après sa mort on ne crie bientôt qu’elle est à la Convention, et qu’on ne vienne vous imposer un jour, sous le même prétexte, un prétendu libérateur à la fois couvert et altéré de sang.
Puis, passant à la politique extérieure, Vergniaud, montrant, d’un coup d’œil prophétique les conséquences d’une guerre déchaînée sur la France, demandait quelle reconnaissance devrait la patrie à la Convention pour avoir commis, en son nom et au mépris de sa suprématie, un acte de vengeance devenu la cause ou le prétexte d’événements si calamiteux. Il concluait que le peuple seul pouvait en prendre toute la responsabilité en se prononçant sur le jugement qui était rendu, et en disant si, après avoir promis l’inviolabilité au roi, il entendait à ce prix l’en dépouiller.

Ce discours, brûlant d’éloquence, atterra la Montagne, qui savait trop bien que jamais une condamnation à mort ne serait ratifiée par le peuple consulté. Pour des hommes posant en principe la souveraineté du peuple, il était impossible à réfuter; la passion et la rage pouvaient seules s’affranchir de la conclusion logique qu’il imposait. Le 15 janvier 1793, Vergniaud, en dépit de sa prise publique de position, vota la mort de Louis XVI.

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Abeilles météorologues?
D’après «Le Journal de la jeunesse. Nouveau recueil hebdomadaire illustré», paru en 1904

Tous les ans à l’entrée de l’hiver, dit en 1904 Paul Noël, directeur du laboratoire d’entomologie de la Seine-Inférieure (aujourd’hui Seine-Maritime), les journaux publient des prévisions, en se basant sur les mœurs des abeilles...
Mais tous les ans, poursuit Noël, les mêmes erreurs se répètent; on prétend que les abeilles rétrécissent l’entrée du trou de vol de la ruche, plus ou moins, suivant que l’hiver doit être plus ou moins rigoureux. C’est là une grave erreur.

Les abeilles savent très longtemps à l’avance, c’est-à-dire vers le mois d’avril ou mai, si elles auront froid l’hiver, et c’est en commençant leurs alvéoles qu’elles prennent soin de se préserver des rigueurs de l’hiver, si rigueur il doit y avoir. En effet, les abeilles peuvent, à volonté, construire des rayons chauds ou froids et, suivant la position donnée à ces rayons, les éleveurs d’abeilles les appellent cloisons chaudes ou froides.

Voici comment, en effet, les abeilles procèdent lorsque les ruches sont placées dans un courant d’air froid au gré du vent et de la pluie ou des neiges à venir. Elles construisent leurs gâteaux de cire les uns derrière les autres devant le trou de vol, si bien qu’aucun courant d’air ne peut avoir lieu. Si, au contraire, les abeilles sont dans un bon endroit et si l’hiver ne paraît pas devoir être trop rigoureux, elles bâtissent leurs gâteaux d’une façon tout opposée, permettant la libre circulation de l’air. Les abeilles rétrécissent quelquefois leur trou de vol au mois de septembre pour éviter qu’un gros papillon très avide de miel n’entre dans la ruche. Ce papillon, c’est le sphinx à tête de mort, dont la chenille vit sur la pomme de terre.

Les abeilles françaises savent très bien prévoir la pluie une demi-heure à l’avance, et lorsqu’il doit pleuvoir, on voit aussitôt toutes les ouvrières rentrer à la ruche. Ainsi: 1° Les abeilles construisent leurs rayons au printemps dans une direction ou dans une autre selon qu’elles ont ou prévoient qu’elles auront subir les intempéries de l’hiver; 2° Le sphinx à tête de mort et les souris sont les seules causes qui leur font rétrécir l’entrée de la ruche; 3° Elles savent très bien prévoir une demi-heure à l’avance s’il va pleuvoir.

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28 novembre 1721: Avant d'être roué vif, Cartouche balance tous ses complices qui l'ont trahi. Triste réalité! Le célèbre bandit n'est qu'une donneuse. Parce que sa bande n'est pas venue le délivrer, il la livre sans aucune pitié.

Dans la nuit du 27 au 28 novembre 1721, Louis Dominique Garthausen, connu sous le nom de Cartouche, balance tous ses complices au juge. Plus moyen de l'arrêter. Les noms s'enchaînent: Paternotte, Robineau, Vasseur, Para... Au petit matin, il a livré soixante-dix noms. Il est satisfait de sa vengeance. Ils n'avaient qu'à le faire évader comme promis. Le voilà maintenant prêt à retourner en place de Grève pour y être roué vif. Le bourreau Charles Sanson l'y attend avec impatience pour achever le boulot entamé l'avant-veille, avant que Cartouche ne se décide à livrer ses amis. Durant toute la durée de sa confession, la majorité des spectateurs venus se régaler de son supplice sont restés sur place, se réchauffant autour de grands feux. Personne ne veut rater une miette du spectacle. C'est bien moins cher que le concert de Céline Dion et moins douloureux pour les oreilles...

D'un pas mal assuré, car il a subi le supplice des brodequins, Cartouche se dirige vers l'échafaud dressé au milieu de la place, noire de monde. Des centaines de têtes se pressent aux fenêtres. Les pères ont amené leurs gosses pour qu'ils s'instruisent. C'est donc lui, le célèbre Cartouche qui terrorise Paris et la France depuis des années! Ce petit bonhomme de 28 ans avec un début de calvitie. Il faut l'aider à escalader l'échelle de l'échafaud. Sitôt qu'il est sur la plateforme, un silence de mort s'abat sur la place. Wendy Bouchard, qui est en train de tourner le prochain épisode de Zone interdite, teste la roue avec un agent du GIGN.

Douleur… Les aides du bourreau saisissent Cartouche pour l'attacher sur la croix de Saint-André, où Charles Sanson commence par lui briser tous les membres et les articulations avec une barre de fer. Après chaque coup, le supplicié hurle de douleur. Sanson se montre extrêmement maladroit: au lieu de briser les membres de Cartouche en huit coups, comme le prévoit la tradition, il lui en faut trois de plus. Mais il y a pire que cela: il a mangé la consigne des juges qui lui avaient demandé d'étrangler au préalable son client pour le remercier d'avoir livré sa bande. Quand on lui en fait la remarque, Sanson s'en veut à mort. D'un pas lent, il se dirige vers le piano en se mettant à chanter en chœur avec Véronique: "Qu'on me pardonne ou qu'on m'oublie / Je voyage au bout de ma nuit / Mais qu'on me pardonne ou qu'on m'oublie / Mais qu'on me prenne comme je suis."

Les aides du bourreau détachent le malheureux complètement désarticulé pour l'attacher à une immense roue, les jambes repliées sous lui comme indiqué sur le mode d'emploi fourni par Ikea. La foule se repaît du spectacle. Mais la star du jour n'y met pas vraiment du sien. Elle expire dans la demi-heure. C'est décevant, dans Koh-Lanta les candidats résistent bien plus longtemps... Le cadavre du bandit est exposé durant plusieurs jours. Sanson, qui ne touche pas de salaire officiel, fait payer un sol aux curieux voulant s'approcher. Et ils sont nombreux. Quand, après quelques jours, le cadavre commence à exhaler un doux fumet incommodant, le bourreau le vend un bon prix aux chirurgiens de la confrérie de Saint-Côme qui l'emportent dans leur amphithéâtre près du couvent des Cordeliers. Ils l'y exposent, faisant payer un écu aux visiteurs.

Début de règne… Louis Dominique Cartouche naît à Paris où son père est tonnelier ou marchand de vin. C'est un ancien mercenaire allemand dont le nom exact est Garthausen, francisé en Cartouche. Le jeune Louis commence ses premiers brigandages vers 11 ans, quand il dérobe des mouchoirs, tabatières et autres babioles pour les offrir à son amoureuse. Pour fuir les engueulades de son père, il prend la route avec des bohémiens qui lui apprennent l'art de la triche et du vol. Après cinq ans sur les bancs de cette formidable université, il prend son envol. Il est un temps laquais chez un marquis qui le chasse vite pour triche au jeu. Malgré sa petite taille (certains disent qu'il mesure 1,40 mètre) et son air angélique, le jeune Cartouche s'impose vite comme un caïd chez les mauvais garçons. Il prend la tête d'une bande de voleurs en Normandie. Déjà, il devient indic des forces de l'ordre, puis racoleur militaire. Finalement, il retourne à Paris, entraînant avec lui une bande de brigands.

C'est le début de son règne. Il dépouille les riches, pille les marchands, dévalise les carrosses, s'introduit dans les hôtels particuliers, rançonne les prostituées, triche au jeu. Son réseau de complices tentaculaire couvre tout le pays. Il règne sur des milliers d'hommes depuis la cour des Miracles. Ses compagnons s'appellent Tête de mouton, le Pouilleux, Jambes d'échalas, Gros Picard, Brin d'amour, Moscovici... Le petit peuple le soutient. N'est-il pas celui qui vole aux riches? Malin, Cartouche soigne son image de marque par quelques coups d'éclat. Un jour, il vient au secours d'un marchand acculé au suicide en payant ses créances. Mais, le lendemain, en catimini, il reprend de force l'argent donné. Cartouche possède également sa face sombre, n'hésitant pas à tuer et à violer. Un jour, un marquis lyonnais lui demande d'assassiner une jeune femme qu'il a violé pour qu'elle ne le dénonce pas. Quelques temps plus tard, avec trois complices, Cartouche fait descendre de force la jeune femme d'un coche où elle se trouve, la viole et la tue. Autre histoire: un de ses associés, Jean Lefèvre, l'aurait mouchardéà la police. Il l'apprend, le fait venir, lui coupe le nez et le cou, puis lui ouvre le ventre pour en extirper les tripes.

Le brigand est arrêté une première fois en 1720, mais parvient à s'évader de Fort-l'Évêque où il est retenu. Ses forfaits reprennent. Il s'attaque aux diligences transportant l'argent royal. Les cochers sont froidement exécutés. Il est insaisissable. D'autant qu'il a de nombreux policiers à sa solde. Mais sa chance tourne. L'État promet 20 000 livres à qui permettra de l'arrêter. C'était la bonne chose à faire. Aussitôt, il est vendu par un de ses lieutenants, un certain Gruthus du Châtelet. Le 14 octobre 1721, les exempts l'arrêtent au saut du lit, dans l'auberge Au pistolet, dans le quartier de la Basse-Courtille (au pied de Belleville). Incroyable, mais, au moment où les soldats pénètrent dans sa chambre, l'ennemi public numéro un est en train de ravauder ses chaussettes. Il est aussitôt jeté, avec ses comparses, dans la prison du Châtelet. Par mesure de précaution, il est enchaînéà un poteau de fer et enfermé derrière trois portes. Le Tout-Paris vient admirer le célèbre Cartouche. Ainsi, un beau jour, le lieutenant criminel et le procureur du roi débarquent avec les comédiens Le Grand et Quinault, désireux de monter une comédie fondée sur les exploits de la bande de Cartouche. Il se dit que le Régent, Philippe d'Orléans, serait aussi venu jeter un coup d'oeil sur le célèbre prisonnier.

Trahison… Le procès est vite expédié: Cartouche et quatre de ses comparses sont condamnés àêtre rompus vifs en place de Grève le 26 novembre. Deux autres brigands, plus chanceux, seront pendus. Sitôt le jugement prononcé, ils ont tous trois droit à une petite gâterie supplémentaire: la question extraordinaire (la torture), pour les inciter à donner les membres de la bande encore libres. Sanson leur fait écouter le dernier album de Garou. Puis il enfile à Cartouche les brodequins magiques qui rétrécissent à volonté. Le mal est insupportable, mais il serre les dents et résiste. Ni lui ni les autres ne dénoncent le reste de la bande. Tous sont persuadés que celle-ci se prépare à les délivrer. Vers 15 heures, le 26 novembre, Charles Sanson tire la chevillette de la Conciergerie pour prendre livraison de ses clients, qu'il embarque dans sa charrette. Il prend la précaution de se faire accompagner par deux cents archers. Bien que le trajet fasse moins de trois cents mètres, il faut deux heures au convoi pour l'effectuer tellement il y a de monde. Toutes les fenêtres surplombant la place de Grève ont été louées. Marquises et ducs sont aux premières loges. Ce n'est pas tous les jours qu'un brigand est rompu avec sa bande.

Au dernier moment, cependant, on décide de n'expédier que Cartouche dans l'au-delà, car la torture a trop abîmé les autres. Ce serait gâcher le spectacle. La foule gronde de déception. Mais ce n'est rien à côté de celle du chef des brigands, qui est bien forcé de constater, à ce moment-là, que sa bande l'a laissé tomber. Dans la foule, il repère bien quelques-uns de ses hommes, mais absolument pas prêts à le délivrer. Il se sent trahi! Il en pleurerait de rage, lui qui a résistéà la torture pour ne pas livrer leurs noms. Ah, les salauds, ils ne s'en tireront pas comme cela! Il prend la parole pour dire qu'il a des choses à raconter. On le fait redescendre de l'échafaud, puis on le conduit à l'Hôtel de Ville. La foule hurle de nouveau sa déception. Elle décide de rester sur place jusqu'au retour de Cartouche, quitte à attendre des heures.

Confession… Le chef des brigands a décidé de balancer toute sa bande, sans oublier personne. Sa confession prend dix-huit heures, au cours desquelles il livre soixante-dix noms, dont ceux de ses deux frères et de sa maîtresse. Dans son journal, le bourgeois Barbier note: "Toute la nuit, on ne faisait qu'amener du monde dans des fiacres, et la Grève était toujours pleine de gens qui attendaient... Pendant le temps qu'il a étéà l'Hôtel de Ville, son sang-froid a surpris, jusqu'à envoyer chercher une fort jolie fille, qui était sa maîtresse ; et, quand elle fut venue, dire à son rapporteur qu'il n'avait rien à dire contre elle, que c'était pour la voir, l'embrasser et lui dire adieu. Il soupa le jeudi au soir, et il déjeuna le vendredi matin. Son rapporteur lui demanda s'il voulait du café au lait que l'on prenait. Il dit que ce n'était pas sa boisson et qu'il aimerait mieux un verre de vin avec un petit pain. On lui apporta, et il but à la santé de ses deux juges."

Les hommes dénoncés par Cartouche livreront d'autres noms, et, de fil en aiguille, près de 350 gredins, fripons, larrons et assassins seront arrêtés. Tous les jours, une nouvelle fournée de brigands sont pendus, des hommes comme des femmes. On parle de plus de cent cinquante exécutés. Du boulot pour Sanson jusqu'au printemps 1723. Quant à Cartouche, à l'aube du 28 novembre, Charles Sanson vient le chercher à l'Hôtel de Ville pour le mener à son supplice. Sa confession ne lui vaut aucune grâce, sinon celle d'être étranglé avant d'être rompu. Mais comme on l'a vu, cet abruti d'exécuteur mange la consigne...

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Représentation du brigand Cartouche, roué vif en place de Grève.
© Le Point - Publié le 27/11/2012 à 23:59 - Modifié le 28/11/2014 à 00:00

 

Pour l’éphéméride du vingt-huit novembre c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2013/11/28/28531560.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service cherche la bagarre; même en se cachant derrière un masque on le reconnait et c'est très dangereux pour lui avec les mastiffs et autres pitbulls, professionnels du ring... 

 

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Ben pour la zique de ce vendredi, on va s’écouter des légendes de la chanson avec The Heart Of Country en concert, du vrai et du bon rythme, du tendre et d’époque… Des airs qui rappelleront peut-être des souvenirs… Allez les amis, faites-vous plaisir et je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=2vyP2pUMgpU

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Un jeune touriste américain traverse les Vosges mais s'étant écarté de sa route, il est accueilli par des fermiers qui lui offrent un grand verre de lait chaud qu'ils ont parfumé avec une bonne dose de mirabelle. L'américain apprécie le délicieux breuvage et leur pose cette question:
- Où peut-on acheter la vache qui donné ce lait?

427

- Je sais bien, dit un professeur de lycée, que mes cours de maths sont particulièrement soporifiques.
C'est pourquoi je ne me formalise pas quand je vois un de mes élèves regarder discrètement sa montre.
Mais ce que je ne supporte pas c'est qu'ensuite il la tapote du doigt, pour la faire repartir, en pensant qu'elle a dû s'arrêter.

 431

Un touriste américain s'arrête dans un village, en plein cœur du Beaujolais, et se dirige vers le plus proche café-buvette.
- Un grand verre de lait, commande-t-il au Bourguignon à la tronche rubiconde, qui se tient derrière le comptoir.
- Certainement, monsieur, répond le cafetier. Et, avec ça, voulez-vous qu'on change votre couche-culotte?

 450 

Deux poivrots fauchés sont en manque de bière. Le premier dit à l'autre:
- J'ai une idée.
Puisque l'on a que 10 francs pour nous deux et que c'est trop peu pour aller dans les bars, on va aller acheter un hot-dog au coin de la rue...
Le deuxième poivrot ne comprend pas bien la technique mais il laisse faire. Une fois la saucisse achetée, le premier tire le second dans le bar le plus proche.
Là, ils commandent plusieurs verres qu'ils descendent promptement. Lorsque le barman arrive dans leur direction avec l'addition, le premier prend la saucisse, la glisse dans la braguette du second, et entreprend de faire une fellation à la saucisse!
Le barman est furibard:
- TIREZ-VOUS DE MON BAR ESPÈCES DE DÉGÉNÉRÉS!
Voyant que la technique a fonctionné dans le premier bar, les deux compères pénètrent dans le deuxième bar le plus proche et répètent le scénario...
Toujours avec le même succès. Quelques heures et quelques bars plus tard, ils ne peuvent plus faire un pas tellement ils sont bourrés, et ils s'écroulent sur un banc.
À ce moment-là, le premier dit au second:
- Tu as vu ce qu'on peut faire avec une saucisse?!
Et l'autre lui répond:
- Quelle saucisse?
On l'a perdue après le deuxième bar...

 448 

Un couple à la dérive va consulter un conseiller matrimonial.
Le sexologue dit:
- Alors, résumez-moi votre problème. Je vous écoute.
À ce moment-là, la femme part dans une longue diatribe sur tous les petits problèmes de leur mariage, pendant que le mec tire la gueule dans son coin, sans broncher. Comme la femme enfile des kilomètres de phrases sans presque reprendre sa respiration, le conseiller se lève, attrape la femme par les épaules et lui roule une longue pelle de cinéma, avant de la reposer sur sa chaise, interdite et silencieuse.
Puis le sexologue dit au mari:
- Voilà ce qu'il faut faire. Deux fois par semaine et vous aurez la paix!
Le mari lui répond:
- C'est d'accord. Je pourrais vous l'amener le mardi et le jeudi...

 411 

Au terme d'une violente dispute, un homme lance à sa femme:
- Tu n'es qu'une menteuse!
- Apprends, mon chéri, réplique-t-elle, que je ne mens jamais.
Tu entends? Jamais. Sauf sur trois points précis:
Mon âge, mon poids. Et le nombre d'orgasmes que me procure mon balourd de mari.

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C'est vendredi... le réveille-matin est content car c'est son dernier matin de sonnerie de la semaine et pour deux jours il sera mis hors service... Ben pour ce dernier jour de travail le travailleur est motivé et c'est plein d'allant qu'il se rend au boulot en espérant qu'il n'y aura pas comme c'est souvent le cas, des emmerdeurs de dernière minute qu'il faudra satisfaire... ce soir c'est la quille pour deux jours de repos ou de changement d'activité... Une pensée pour celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée en vous disant à la revoyure...  

 

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