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Éphéméride du trente novembre

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«À la Saint-André, on ne peut vraiment pas l'encadrer.» 

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«La neige de Saint-André, menace cent jours de durer.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; ben voilà, c'est dimanche et c'est le dernier jour de novembre... Demain décembre commence; on arrive au dernier mois de 2014, bonne année pour certains, année normale pour d'autres ou encore merdique pour pas mal de gens, en espérant que décembre se passe pas trop mal pour la météo... Pour ce jour je compatis avec les gens du sud et de la Corse et je leur dis courage pour vaincre l'adversité des intempéries...

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Pour la météo d'aujourd'hui, il est prévu que pour la Suisse romande avec 3° et un ciel nuageux dans la nuit, ce sera pour ce jour: stratus sur le Plateau avec limite supérieure vers 900 m, se dissipant difficilement. Au-dessus du stratus et en Valais, temps seulement en partie ensoleillé avec de nombreux passages nuageux de haute et moyenne altitude en provenance du sud et quelques précipitations le long de la crête des Alpes valaisannes. Dégradation durant la nuit, notamment dans le Haut-Valais. Température en plaine: minimum 3°à 5° ; maximum 6°à 7° sous le stratus, 10°à 12° dans les autres régions. Température à 2000 m: 7°. En montagne, vent de sud-est faible à modéré, se renforçant en cours de journée. Encore un peu de foehn dans les Alpes...

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Pour l'Hexagone, une météo de saison, assez perturbée, surtout dans le sud et en Corse... ATTENTION, VIGILANCE ROUGE DANS UN DÉPARTEMENT ET ORANGE DANS DEUX DÉPARTEMENTS... Avec pour ce jour: en matinée, de violentes intempéries affectent le Roussillon où les pluies et orages sont intenses. Vent d'est violent en Méditerranée. Sur les autres régions, te temps est sec avec des brouillards au Nord-est. Dans l’après-midi, la situation évolue peu par rapport à la matinée avec de fortes pluies gagnant temporairement la Côte d'Azur et surtout la Corse. Temps clément au nord de la Loire avec le retour des nuages en Manche. Nettement plus frais au nord-est. En soirée, la situation reste pluvieuse dans le sud-est et surtout en Corse. Temps calme ailleurs avec un ciel plus dégagé sur les régions centrales. Gris avec des bruines près de la Manche. Dans la nuit, en dehors de l'extrême sud-est où le temps est encore pluvieux, les conditions restent calmes avec un risque de bruines près de la Manche… 

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Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 27°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 30°; à la Martinique ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 32°; ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 32° en Guadeloupe; ensoleillé, voilé et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 34°; Polynésie française ciel couvert, pluies éparses ; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies aux Marquises avec des températures de 29°; ciel variable et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 2°...

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil est à 07:47 et le coucher du Soleil se fera à 16:51 et le jour est plus court de 2 minutes...

 

Valeurs remarquables de novembre en France

TMax: 31.4°C (Solenzara le 10/11/1985)
TMin: -15.3°C (Orleans le 30/11/2010)
Précip: 321.0 mm (Mont Aigoual le 07/11/1982)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées auront lieu... : 
Horaire des marées à Saint-Malo  

Lundi 22 décembre à 06h56 coefficient 91, à 19h20 coefficient 95
Mardi 23 décembre à 07h40 coefficient 97, à 20h05 coefficient 99
Mercredi 24 décembre à 08h25 coefficient 99, à 20h50 coefficient 99
Jeudi 25 décembre à 09h09 coefficient 97, à 21h35 coefficient 95
Vendredi 26 décembre à 09h55 coefficient 91, à 22h21 coefficient 91

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier… 

En 1984: A Florennes la température observée sous abri atteignait encore 14,6°
En 1978: les maxima ne dépassaient pas -1,6°à Middelkerke et -3,2°à Florennes

 

Les journées mondiales et internationales

Le trente novembre c’est la Journée Mondiale Sans Achats
http://www.journee-mondiale.com/141/journee-mondiale-sans-achats.htm

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Les fêtes nationales du Jour

Barbade

La Barbade
Le 30 novembre est la Fête de l'Indépendance à la Barbade qui célèbre son indépendance acquise contre le Royaume Uni le 30 novembre 1966.
 

 

C'est sa fête: André

Pêcheur à Capharnaüm, sur les bords du lac de Tibériade, André est un jour convié par Jésus à le suivre. Il convainc son frère Simon (qui sera plus tard appelé Pierre) de rejoindre également le Christ. Après l'Ascension du Christ, l'Esprit Saint descend à la Pentecôte sur les apôtres et leur demande d'enseigner l'Évangile à toutes les nations. C'est ainsi qu'André va évangéliser la Grèce.
Le martyre de saint André, par Ribera (1591-1652), musée Goya (Castres)Selon une tradition tardive, l'apôtre est crucifiéà Patras sur une croix en X. Il va devenir le saint patron de la Russie comme de l'Écosse. La croix de Saint-André se retrouve sur le drapeau de l'Écosse puis sur l'Union Jack qui symbolise depuis le XVIIe siècle l'union de l'Angleterre et de l'Écosse. Les reliques de l'apôtre ont quitté Patras après la conquête turque du Péloponnèse et ont été offertes au pape. En 1980, le pape Jean-Paul II a restitué ces reliques à la cathédrale de la ville où elles sont aujourd'hui conservées.
Selon une tradition tardive, l'apôtre est crucifiéà Patras sur une croix en X. Il va devenir le saint patron de la Russie comme de l'Écosse. La croix de Saint-André se retrouve sur le drapeau de l'Écosse puis sur l'Union Jack qui symbolise depuis le XVIIe siècle l'union de l'Angleterre et de l'Écosse. Les reliques de l'apôtre ont quitté Patras après la conquête turque du Péloponnèse et ont été offertes au pape. En 1980, le pape Jean-Paul II a restitué ces reliques à la cathédrale de la ville où elles sont aujourd'hui conservées.

AndreRibera

 

La France pittoresque

Premier voyage en ballon à gaz le 1er décembre 1783 par le physicien Jacques Charles.
D’après «Paris et ses fantômes», paru en 1934

L’un des plus émouvants récits de voyage qui ait étéécrit, est celui que le physicien Charles laissa de sa mémorable et unique ascension en ballon, en 1783. Il ne s’agissait pas alors de parcourir, en cinq jours, la distance de Paris en Chine, mais de survoler durant trois heures la région de Montmorency. Le périple achevé, le physicien devient la proie de ferventes admiratrices, dont l’une énigmatique, saura piquer la curiosité de notre homme de science...

Il n’était pas le premier, d’ailleurs, à se risquer parmi les nuages; quarante jours auparavant, Pilâtre de Rozier l’y avait précédé; mais l’ascension de celui-ci fut plutôt un merveilleux coup d’audace - un coup de folie même - qu’une expérience scientifique: s’élever dans les airs au moyen d’un globe en papier à l’intérieur duquel brûlait un grand feu de paille, tout voisin d’une provision de fourrage très sec destinéà alimenter la flamme, c’était là une extravagante prouesse qui ne prouvait rien d’autre que la témérité de ceux qui l’accomplissaient. Partis de la Muette, Pilâtre et «l’amateur» qui l’accompagnait descendirent dans le faubourg des Gobelins, vingt minutes plus tard, sans incident ni catastrophe, et tel fut le miracle initial des annales aéronautiques.

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Jacques Charles

Charles, lui, était un savant. S’étant donné pour tâche de démontrer les services que l’on pouvait attendre de la découverte merveilleuse, il créa, en cinq semaines, et, comme on l’a dit, «tout d’une pièce», l’art de l’aérostation; il imagina de gonfler son «globe» non plus d’air chaud, mais de gaz hydrogène; il inventa la soupape qui donne issue au gaz, la nacelle où prennent place les voyageurs, le filet qui enveloppe le ballon et supporte cette nacelle, l’enduit de caoutchouc qui rend l’étoffe imperméable; il eut l’idée - si simple, mais géniale - d’emporter du lest pour régler l’ascension et modérer la chute, et se munit d’un baromètre afin de contrôler la hauteur atteinte par l’aérostat.

Le 1er décembre 1783, il était prêt au voyage et 400 000: Parisiens s’entassaient dans le jardin des Tuileries, sur les places, sur les quais, sur les ponts environnants, pour assister à son départ. A une heure trois quarts de l’après-midi, un coup de canon retentit et l’immense foule ébahie vit s’élever doucement la grosse boule peinte de raies jaunes et rouges, ballottant un panier bleu et or dans lequel Charles et son mécanicien Robert agitaient des banderoles et saluaient «l’océan de têtes» qui, bouches bées, contemplaient ce spectacle invraisemblable.

La machine volante fut poussée vers le nord-est, dans un ciel sans nuages. Durant près d’une heure on ne la perdit pas de vue; elle passa sur Asnières, Argenteuil, Sannois, Saint-Leu-Taverny, L’Isle-Adam; les aéronautes, du haut de leur vaisseau aérien, conversaient avec les paysans qui, effarés, poussaient des cris d’admiration et d’effroi, essayaient de suivre la marche du ballon et questionnaient ses deux passagers: «Bons amis! N’avez-vous pas peur? N’êtes-vous point malades? Nous prions Dieu qu’il vous conserve!» Charles et Robert répondaient: «Vive le roi!»

Et quand ils passèrent au-dessus de L’Isle-Adam, ils s’informèrent de Monseigneur le prince de Conti qui avait là son château; un porte-voix répondit que «Monseigneur était à Paris et qu’il en serait bien fâché». Après deux heures de cette délicieuse promenade, les aéronautes descendirent aux environs de Nesles; le ballon rasait le sol et des centaines de villageois couraient pour l’atteindre «comme des enfants qui poursuivent des papillons dans une prairie». Aussitôt arrivait une troupe de cavaliers qui, partis de Paris en même temps que l’aérostat, l’avaient suivi pour assister à sa descente: le duc de Chartres était l’un d’eux; mais ce fut un Anglais, nommé Ferrer, qui eut la joie de serrer le premier dans ses bras l’heureux aéronaute; il tremblait de bonheur et balbutiait: «Monsieur Charles!... moi d’abord!...»

Robert seul quitta la nacelle; le soleil, qui avait brillé tout le jour, venait de disparaître à l’horizon; Charles reprit l’air: sa machine délestée fit un bond de 2000 toises - près de 4000 mètres - et il vit le soleil «se lever de nouveau pour lui seul», tandis que, au-dessous de lui, la terre était déjà plongée dans l’ombre. Si forte fut l’impression qu’il éprouva en se trouvant parmi les espaces infinis dont, le premier de tous les humains, il troublait la solennelle solitude, qu’il se jura de ne jamais plus s’exposer à pareilles émotions.

De ce jour-là il avait conquis la gloire. Elle se manifesta de cent façons, des plus populaires, des plus officielles et des plus tendres. Durant toute la matinée du 2 décembre, ce fut, place des Victoires, où habitait le héros du jour, un défilé ininterrompu de domestiques venant «de la part des personnes les plus qualifiées de Paris», prendre de ses nouvelles et s’informer comment le conquérant du ciel avait passé la nuit; les dames de la halle se présentèrent en corps, chargées de lauriers enrubannés, et dans la journée on vit arriver un cortège de paysans et de musiciens accompagnant joyeusement la voiture qui ramenait le «globe» dégonflé et sa nacelle ornée de glands d’or.

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Premier voyage en ballon à hydrogène. Départ des Tuileries le 1er décembre 1783

Toutes les Parisiennes rêvaient du héros de l’air. Comme il faisait aux gens du monde un cours de physique, que fréquentait assidûment la haute société, les belles dames s’y précipitèrent, et aux applaudissements coutumiers s’ajoutaient dorénavant les plus prometteuses oeillades. Ce n’est pas que Charles fût un Adonis: il approchait alors de la quarantaine; le quatrième fascicule d’une publication périodique qui a pour titre: Les Trésors des bibliothèques de France, nous a offert quatre portraits du fameux physicien, dont l’un, peint par Boze et conservéà la bibliothèque de Versailles, nous le montre assez semblable à Louis XVI, figure calme, nez fort, bouche souriante, visage plein, mais éclairé par des yeux pétillants de malice. Le buste conservé au Conservatoire des arts et métiers est bien différent: cheveux au vent, traits tourmentés, lèvres minces... tel que Charles dut être vu au moment où il commandait le «Lâchez tout» au départ vers les régions célestes.

Les Trésors des bibliothèques de France ont pour but de révéler aux artistes et aux historiens les richesses inconnues - elles abondent - que possèdent les bibliothèques de Paris et les départements, éditions rarissimes, exemplaires uniques, estampes introuvables, dessins originaux, peintures, autographes, ex-libris... Ainsi on y trouve une curieuse étude de Ch. Hirschauer sur les papiers du physicien Charles, répartis entre la bibliothèque de l’Institut et la riche collection aéronautique de Paul Tissandier. Et voici qui nous ramène aux belles enthousiastes qui allaient, en 1783, acclamer à son cours public le triomphant Icare dont les claires démonstrations, l’élégante élocution, la voix chaude et sonore produisaient sur elles un effet irrésistible.
Car, en fouillant les papiers de Charles, on y a découvert des billets doux provenant d’une amoureuse anonyme. Cette sensible personne s’exprimait ainsi: «Vous êtes devenu l’objet de toute ma pensée, le héros de mon cœur, le génie qui devait le fixer. J’éprouve un plaisir innocent à vous le dire, et je m’impose à jamais la loi de vous demeurer inconnue...» Elle le priait, pour simple réponse, de poser, lors de son prochain cours, à ses auditrices, cette question: «Étiez-vous à l’expérience des Tuileries?» Ces quelques mots suffiront pour faire comprendre à sa correspondante «qu’il ne dédaigne pas sa flamme». Elle terminait par cette jolie phrase: «Si vous remontez dans le char aérien que mes yeux pleins de larmes ont suivi si longtemps, mon âme y sera.»
Soit qu’il fût blasé sur ce genre d’hommages, soit réserve ou distraction, Charles ne posa pas la question sollicitée. Révoltée à la pensée qu’il pouvait l’imaginer disgraciée ou décrépite, l’inconnue insiste: elle certifie qu’elle n’est «ni vieille, ni laide, ni folle»; elle lui envoie une rose, et le supplie de la porter à la leçon suivante: «Cette fleur me dira: il sait qu’il est aimé... L’état de mon cœur est le plus doux du monde; vous en faites le charme; je veux que vous le sachiez, et je désire en être sûre par la présence de cette fleur à votre côté.»

Cette fois, Charles obéit; il parut à sa chaire, la rose piquée du côté du cœur, à sa veste de soie. Et il reçut, en remercie ment, ce tendre adieu: «Je l’ai aperçue; c’est là que je l’aurais placée... Je vous remercie d’une pensée fine et charmante dont l’image me suit partout... Addio, caro... addio!» A ce dernier billet, la dame avait joint un dessin, tracé d’un crayon habile, qui la représentait «dans un parc, près d’une statue de l’Amour, faisant un geste d’adieu au globe volant emportant le héros de son cœur».

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Jacques Charles, d’après Léopold Boilly (1820)

Et voyez combien le mystère ajoute d’intérêt à l’histoire: si l’amoureuse avait signé ses billets, l’épisode perdrait tout son charme. Elle nous a livré son secret, nous avons son image, et nous ignorerons toujours qui elle fut; voilà qui permet de rêver. Certainement, elle était «du monde», et lettrée, car ses «poulets» sont émaillés de citations latines et de phrases en langue italienne. Son rang exigeait donc qu’elle demeurât anonyme; la crainte même que sa personnalité ne fût soupçonnée l’obligeait à tracer ses billets en capitales, d’imprimerie, de peur d’être trahie par son écriture. Très jeune fille romanesque? Grande dame? Princesse? Charles lui-même le sut-il jamais?

S’il considérait l’aventure comme banale, pourquoi conserva-t-il ces lettres entre un mémoire de physique et le procès-verbal autographe de son atterrissage à Nesles? Peut-être le roman ne se termina-t-il point sur l’addio qu’on vient de lire. En l’an IV de la République, un Allemand, de séjour à Paris, fut admis au Louvre dans le cabinet de Charles, qui le reçut «avec autant de simplicité républicaine que d’urbanité et de modestie». Une jeune femme, aimable et gracieuse, était là«comme chez elle»; initiée à toutes les expériences du professeur, elle faisait joyeusement les honneurs du sanctuaire, manipulait en habituée tous les appareils, et s’amusait à envoyer sournoisement des décharges électriques dans le dos des visiteurs, qui se retiraient endoloris et enchantés.
Il semble que l’on retrouve quelque vague ressemblance entre cette physicienne espiègle et la jeune amoureuse à la rose de 1783. Douze années s’étaient écoulées depuis lors; mais, le bonheur aidant, joint aux leçons du professeur adoré, peut-être n’avaient-elles point pesé sur la jolie tête de l’inconnue aux tendres billets. Simple hypothèse livrée aux déchiffreurs d’énigmes historiques.

Quelle qu’elle fût, la gentille personne qui secouait au moyen de la pile de Volta les admirateurs de son maître ne devait pas être de celui-ci la dernière conquête. Un autre portrait, signé de Boilly et daté de 1820, nous montre Charles qui alors porte crânement ses soixante-quatorze ans; il habite à cette époque l’Institut, il est membre et bibliothécaire de l’Académie des sciences et, depuis trois lustres, l’époux vénéré d’une belle et séduisante créole...
Mais ici commencerait une autre histoire, car Mme Charles fut célèbre à son tour. C’est elle qu’aima Lamartine et qu’il chanta sous le nom d’Elvire.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Chapelle de Saint-Lubin-de-l’Epine à Louviers (Eure): entre légende et pèlerinage
D’après «La Normandie littéraire» paru en 1895

A l’orée de la forêt de Louviers, frileusement blottie dans un pli de terrain, s’élève la ferme de Saint-Lubin. L’attention du voyageur n’est pas sollicitée par l’aspect extérieur des constructions, quoique les murs de l’enclos soient solidement construits et que les bâtiments aux charpentes apparentes, aux toits couverts de tuiles, diffèrent des métairies normandes. Là, cependant, existait avant la Révolution le prieuré de Saint-Lubin-de-l’Epine ou de l’Epinay, fondé dans le courant du XIIe siècle, comme dépendance du prieuré de Lierru, par Raoul de Tancarville, gui donna au célèbre Guillaume d’Evreux, son ami, une portion des landes qui avoisinaient la forêt de Louviers pour y fonder une maison de son ordre.

Les bâtiments du monastère sont transformés en granges, et la chapelle, elle-même, n’est plus qu’un vaste grenier où s’entassent les récoltes du fermier. Il méritait cependant une destination moins vulgaire le petit sanctuaire de Saint-Lubin que des mains pieuses ont élevé, restauré, agrandi jusqu’à tracer sur le sol un plan cruciforme. Le portail a étéélevé dans les premières années du XVIe siècle et le chevet ou chœur a étéédifiéà la même époque par Jean de Challenge, prieur de Lierru. Le XVIIe siècle a ajouté deux ailes à la partie centrale et primitive (XIIe siècle) et complété la symétrie du plan.

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Prieuré de Saint-Lubin à Louviers

Une forte épine blanche ombrage de ses rameaux le portail qui disparaît sous cette végétation luxuriante. C’est l’arbre vénéré de Saint-Lubin. Une petite porte tracée en anse de panier donne accès dans le sanctuaire. L’ornementation en est sobre: on n’y voit ni choux, ni crochets; seule, une large gorge dans laquelle courre une branche de feuillage et de fruits encadre l’ouverture. Au-dessus, une baie à meneaux flamboyants troue le tympan et éclaire l’édicule qui ne reçoit plus de lumière que des fenêtres du chevet, découpées en lobes cordiformes. A l’intérieur, le polygone du chevet est fortement accusé par les nervures prismatiques des voûtes descendant d’une clef sculptée aux armes des Challenge dont l’écu décore également les supports des statues de la Sainte Vierge et de saint Lubin. Un autel rustique formé d’une table de pierre soutenue par deux colonnettes à facettes, à arêtes hélicoïdales, est le seul mobilier que la tourmente révolutionnaire ait respecté. Les statues de saint Laurent et de saint Gordon, enlevées à la décoration des chapelles du transept y sont déposées ainsi que le reliquaire de saint Lubin. Buste moderne, d’une polychromie barbare et d’une conception bizarre, car pour l’affecter à l’usage de reliquaire, un trou ovoïde a été ouvert au sommet du frontal et la cavité a été recouverte d’un verre qui laisse voir un fragment d’os incinéré.

Tous les hagiographes font naître Lubin ou Léobin (Leobinus) au diocèse de Poitiers sous le règne de Clovis (2e moitié du Ve siècle). Ils montrent le jeune pâtre dévoré du désir de s’instruire faisant écrire, par un moine, les lettres de l’alphabet sur sa ceinture, afin de pouvoir apprendre à lire en gardant ses troupeaux. L’amour de l’étude fit bientôt admettre Lubin dans le monastère de Nouaillé qu’il quitta pour se rendre au couvent de l’île Barbe, près de Lyon. Cette abbaye ayant été envahie par les fils de Clovis, conquérants de la Bourgogne, Lubin resta seul dans l’île. Les barbares voulurent qu’il leur révélât la cachette des trésors de la communauté, mais Lubin s’y étant refusé fut mis à la torture et laissé pour mort.

Miraculeusement rendu à la santé, Lubin vint se placer sous la discipline de saint Avit, et, à la mort de ce saint, choisit un ermitage, à la solitude de la charbonnière, dans la forêt de Montmirail. Sa réputation de sainteté s’étendit aux alentours; ses prières arrêtèrent un ouragan qui désolait la campagne et éteignirent un incendie qui détruisait la forêt. Les auteurs de la Vie des Saints attribuent encore à saint Lubin d’autres miracles, parmi lesquels l’extinction de l’incendie d’une forêt dans les environs de Paris, la résurrection d’une jeune fille de Châteaudun et la guérison de saint Calétic qui devait lui succéder à l’évêché de Chartres. Car saint Lubin, après avoir été quelques années abbé de Brou, se rendit à Arles avec saint Aubin pour visiter saint Césaire et fut, à son retour, élu évêque de Chartres, l’an 544. Il mourut en 557, après avoir assistéà plusieurs conciles.

Ce que n’ont écrit ni le Père Géry, ni Godescart, ni Henry de Riencey dans la Vie des Saints, c’est la légende, toute locale, que racontent les paysans des environs de Louviers, et qui affirme que saint Lubin vivait dans un ermitage de la forêt. Un jour il se rendit au marché de la ville pour acheter du poisson, le seul mets qu’il ajoutait aux racines dont se composaient ses repas. A son retour, étant très fatigué, il s’endormit au pied d’une épine et son sommeil dura sept années. Lorsqu’il se réveilla, il trouva les poissons contenus dans son panier aussi frais qu’ils étaient avant son sommeil. C’est en mémoire de ce miracle et pour en louer Dieu que saint Lubin aurait fondé la petite communauté de l’Epine dont la chapelle jouirait depuis lors d’une grande vénération.

Jadis on venait de fort loin en pèlerinage au modeste sanctuaire. Un saint qui, pendant sept années, avait dormi sur la terre à la face des étoiles, sans être atteint ni de douleurs ni de rhumatismes, devait bien guérir les mortels qui en étaient affligés?... Mais saint Lubin n’est pas seulement un guérisseur de sciatiques et le pèlerinage qui a lieu, chaque année, à son ermitage contient bien d’autres enseignements. C’est au mois de mars que s’accomplit cette dévotion, lorsque le soleil fait monter la sève et gonfler les bourgeons aux branches des arbres et que les brises tièdes, chassant les frimas, ramènent les chants d’oiseaux et les nids dans les buissons. Tout Louviers se rend à Saint-Lubin.

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Saint Lubin

C’est la première assemblée de l’année, aussi des environs sont accourus de nombreux pèlerins. La route dont les lacets se déroulent au flanc du coteau est des plus pittoresques. Les promeneurs s’arrêtent et stationnent pour jouir du magnifique panorama de la vallée de l’Eure. Les vieillards plaisantent et se gaudissent devant les boutiques où se débitent des figues et des raisins secs, tandis que les jeunes gens aguichent les jeunes filles, flirtent et essaient de se faire accepter pour danser, toute la saison, aux assemblées des villages voisins. Les couples arrivent ainsi en discutant les clauses d’un doux contrat d’amour à la ferme de Saint-Lubin. Pour cette cérémonie, les gerbes qui encombraient la chapelle ont été transportées dans les celliers voisins. Les fourrages, les pailles ont été entassés dans les greniers. Les murs jadis ornés de peintures, et aujourd’hui couverts de moisissures, disparaissent sous les branchages des sapins fauchés dans la forêt. La foule des pèlerins peut accomplir ses dévotions jusqu’au moment où un orchestre champêtre fera entendre les premières mesures de danses lancées par des instruments disparates.

Pour trouver le sens caché de la légende de saint Lubin, constatons tout d’abord, d’après les fouilles faites par l’abbé Cochet en 1870 et les explorations archéologiques menées avec méthode à la fin du XIXe siècle dans les forêts de Bord et de Louviers, que le vaste plateau de Tostes, dont les pentes boisées se mirent dans la Seine ou descendent jusqu’aux rivières de l’Eure et de l’Iton, était couvert de constructions romaines. Les conquérants des Gaules avaient établi sur ce point d’importantes factoreries et leurs villas incendiées, lors des invasions du Ve siècle, ont été restaurées et habitées par les Francs, contemporains du moine Lubin.

N’est-il pas admissible que cet ermite qui, pendant sa vie, jouissait déjà d’une grande réputation de sainteté, n’ait vu sa mémoire vénérée tout d’abord aux confins d’une forêt au centre de laquelle venaient de s’établir les envahisseurs nouvellement convertis au christianisme? Son nom même a remplacé celui de divinités du paganisme car il se trouve dans la chapelle de l’Epine une statue d’évêque - celle de saint Lubin sans nul doute - taillée dans une branche d’arbre. L’icône apparaît ainsi que l’amadryade antique. La tête mitrée et les mains soutenant la dalmatique ont été taillées par le ciseau du sculpteur tandis que les autres parties de l’image se perdent et se fondent dans l’écorce rugueuse de l’arbre qui a été conservée.

La légende qui fait dormir le saint pendant sept années à l’abri d’une aubépine, cet arbrisseau dont les blanches fleurs ouvrent leurs corolles aux premiers sourires du printemps; la fête qui se célèbre lorsque le clair soleil caresse la terre et que les prés se constellent de primevères et de pâquerettes sont les symboles de la résurrection et du réveil de la nature. N’est-ce pas là le secret des mystères qui se célébraient, dans les nuits d’Eleusis, à la lueur des torches, par tout ce peuple de laboureurs et de bergers, fils pieux de la Grèce?

La dévotion à saint Lubin a substitué les pratiques chrétiennes au culte des faux dieux. La primitive chapelle élevée par les Francs sur l’emplacement du sacellum antique a été pillée et brûlée par les Normands. Leurs hordes saccagèrent tout le pays compris entre Pont-de-l’Arche et Chartres, et c’est après la conversion au christianisme des pirates du Nord, et leur installation définitive en Neustrie, que la mémoire de saint Lubin, toujours vénérée par les populations de la vallée de l’Eure, fut de nouveau honorée dans le sanctuaire construit par Guillaume d’Evreux dans les landes voisines de Louviers. Telle paraît être la vérité tirée de la légende de saint Lubin.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

30 novembre 1989: La prostituée Aileen Wuornos entame sa carrière de tueuse en série. C'est en Floride que la jeune femme commence à assassiner ses clients, ce qui lui vaudra une injection létale 13 ans plus tard.

Le 30 novembre 1989, la prostituée Aileen Wuornos choisit d'entreprendre une carrière de tueuse en série pour se débarrasser de tous ces sales bâtards de michetons qui la prennent pour un simple objet sexuel. Pute et non soumise, voilà ce qu'elle veut être. Dans sa chambre, elle a punaisé un poster de Nabilla... Celui qui a l'honneur d'étrenner cette étonnante carrière de justicière est un commerçant de Floride nommé Richard Mallory.

Celui-ci s'est programmé une tournée des bars topless de Tampa (Floride) et de s'offrir une pute pour plusieurs jours d'affilée. Divorcé cinq fois, Mallory est bien décidéà en profiter un max avant de devenir ramollo du petit oiseau. Il n'a de comptes à rendre à personne. Trente ans auparavant, il a été condamné pour viol, mais c'était une erreur de jeunesse... Fini, ces bêtises. Son magasin de réparation électronique de Clearwater lui rapporte assez de pognon pour qu'il puisse se payer toutes les femmes qu'il veut. À son âge de 51 ans, certains vont voir Céline Dion à Bercy, lui se défonce la tronche.

Des parties de jambes en l'air… Le voilà donc parti au volant de sa Cadillac. Son programme exact, on ne le connaît pas. Sans doute commence-t-il la soirée en faisant la tournée des bars chauds qui ne manquent pas en Floride. Où a-t-il rencontré la prostituée Aileen Wuornos, 33 ans? Impossible à dire. Peut-être l'a-t-il ramassée sur la route? Ou alors c'est elle qui l'a levé dans un bar. Lors de sa première déclaration aux flics, après son arrestation, Wuornos affirme avoir passé cinq heures agréables avec Mallory avant de l'assassiner. "Agréables"... Sans doute ne faut-il pas entendre par là une promenade romantique, les pieds nus sur la plage, avec Karine Le Marchand comme chaperon. Mais une tournée des bouges pour se saouler entrecoupée de plusieurs parties de jambes en l'air tarifées.

Lors de ses interrogatoires, la tueuse offre plusieurs versions de la fin de la soirée. Dans un premier temps, elle déclare avoir descendu Mallory parce qu'il voulait la prendre "sans enlever son pantalon afin de ne pas avoir à la payer". Puis, elle affirme avoir bien été payée, mais avoir eu peur qu'il ne lui reprenne l'argent. Une autre fois, elle l'accuse de l'avoir violée, sodomisée et torturée, ce qui l'a conduite à tirer en état de légitime défense. L'embêtant, c'est que l'impact d'une de ses balles se situe dans le dos de sa victime. La violait-il à reculons?

Quoi qu'il en soit, après avoir commis son premier meurtre, Wuornos rentre tranquillement chez elle pour retrouver sa compagne Tyria Moore, avec qui elle vit en couple depuis trois ans. Car madame est gay. La meurtrière ne laisse voir aucune agitation particulière. Elle n'a pas du tout le comportement attendu de quelqu'un venant d'assassiner pour la première fois. Les deux femmes allument la télé pour écouter Nicolas Sarkozy se déclarer favorable à l'abolition de la loi Taubira... C'est alors qu'Aileen lâche, très calmement: "Ce soir, j'ai tué un homme." Avec le ton qu'elle aurait pris pour dire: "Ce soir, j'ai acheté du foie de veau." Elle montre à Tyria les quelques objets qu'elle a piqués dans la bagnole de Mallory dans le but de les revendre.

Un violeur de petits garçons… Le cadavre de Mallory est retrouvé le 13 décembre 1989 par deux ferrailleurs en train d'explorer un petit bois à la recherche de débris métalliques. Il est enroulé dans un tapis. L'analyse des empreintes digitales permet son identification. Le légiste attribue sa mort à trois balles de 22 long rifle et indique que Mallory a agonisé durant une dizaine de minutes avant de rendre l'âme. L'enquête ne mène à rien. Au bout de quelques mois, les flics mettent le dossier au frigo. De son côté, Aileen Wuornos, qui a pris goût au meurtre, entame une exceptionnelle carrière de tueuse en série. La pauvrette a tellement de raisons de se plaindre des hommes! Son paternel, qu'elle n'a jamais connu, était un violeur de petits garçons. Il meurt étranglé dans sa cellule par un codétenu. Sa mère les abandonne alors qu'elle a quatre ans, son frère aîné en profite pour la violer peu de temps après. Thomas Thévenoud est son oncle... À 13 ans, elle tombe enceinte. Deux ans plus tard, son grand-père la jette à la rue, où elle se prostitue pour survivre. Enfin, ne parlons pas de l'homme qu'elle épouse qui est de 49 ans son aîné!

Sa deuxième victime est David Spears, 43 ans, retrouvé le 1er juin 1990, au nord de Tampa, avec dix balles de 22 dans la peau. Il y a, ensuite, Charles Carskaddon, 40 ans, dont le cadavre dénudé est découvert le 6 juin plombé de neuf balles de 22. Puis Peter Siems, 65 ans, disparu le 7 juin et dont seule la voiture est retrouvée à Orange Springs. Et encore Eugène Burress, 50 ans, dont le cadavre est récupéré le 4 août dans la forêt d'Ocala. Dick Humphreys, 56 ans, retrouvé mort le 12 septembre, truffé de sept balles de 22. Enfin, Walter Jeno Antonio, 60 ans, dont le corps est signalé le 19 novembre dans les bois de Cross City.

Cinq fois condamnée à mort… Ce dernier cadavre fait enfin soupçonner aux flics l'existence d'un tueur en série opérant en Floride. Durant leur enquête consacrée à sa première victime, Mallory, les policiers découvrent des objets lui ayant appartenu chez un prêteur sur gages. La piste les fait remonter jusqu'à Wuornos, qui les avait volés dans la voiture de sa victime. Elle est arrêtée le 9 janvier 1991 dans un bar de motards dans le comté de Volusia. La police met également la main sur Tyria Moore, qui, en échange de l'impunité judiciaire, accepte de piéger sa compagne. Sept jours plus tard, Wuornos avoue les meurtres. Pour sa défense, elle explique avoir agi en état de légitime défense. Tous ces individus avaient tenté de la violer. Son procès s'ouvre un an plus tard, mais uniquement sous l'inculpation du meurtre de Mallory. Le 27 janvier 1992, elle est condamnée à la peine de mort. Durant son procès, Wuornos a l'amabilité de reconnaître trois autres meurtres en admettant que les victimes, contrairement à Mallory, ne l'avaient pas violée. "Ils ont seulement essayé de le faire", précise-t-elle, ce qui lui vaut un total de quatre peines de mort. Une par victime. Comme cela ne suffit pas, elle avoue, en juin 1992, un meurtre supplémentaire, d'où une cinquième condamnation à mort. Puis un sixième, en février 1993. Il n'y a que pour Siems qu'elle est ne reconnaît pas son crime dans la mesure où son cadavre n'a pas été retrouvé.

Après neuf ans passés dans le couloir de la mort, ayant vu tous ses recours repoussés, Wuornos veut en finir au plus vite avec son exécution. Elle écrit à la Cour suprême de Floride: "J'ai tué ces hommes, je les ai volés quand ils étaient froids comme la glace. Et je le referais. Je suis malade à force d'entendre ce genre de choses: Elle est folle. J'ai été examinée tant de fois. Je suis responsable, saine d'esprit, et j'essaie de dire toute la vérité. Je suis de celle qui hait la vie humaine et je tuerai à nouveau." La charmante meurtrière en série est finalement exécutée par injection létale le 9 octobre 2002. Juste avant de s'endormir à jamais, elle déclare: "Je voudrais juste dire que je navigue avec le Rocher et je reviendrai, comme Independence Day, avec Jésus, le 6 juin. Comme dans le film, un bateau ravitailleur et tout, je reviendrai." Certainement un message personnel pour Jean-Claude Van Damme...

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© Le Point - Publié le 30/11/2012 à 00:00 - Modifié le 30/11/2014 à 00:00

 

Pour l’éphéméride du trente novembre c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2013/11/30/28546307.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo  

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service avec le temps qu'il fait cette nuit pourra sniffer de la poudreuse de première qualité; surtout qu'elle coûte moins cher que la coke... 

 

dicton1130

 

Ben pour la zique de ce dimanche, on va rendre hommage aux The Bee Gees, un groupe qui a marqué toute une génération, voire plusieurs… Des airs qui rappelleront peut-être des souvenirs… Allez les amis, faites-vous plaisir et je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=NrWpbK020YU

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Un homme en congé, reste au foyer, et s'occupe chez lui, quand il entend soudain frapper à la porte.
Quand il ouvre la porte, il découvre une femme qui lui demande s’il a un pénis.
L'homme, surpris et incrédule, claque la porte au nez de la femme, il croit ainsi s'en débarrasser, mais la chose se reproduit les trois jours suivants.
Le mari décide d'en parler à sa femme.
La femme dit son mari: 
- Demain je n'irai pas travailler, quand cette femme te demandera si tu as un pénis, tu lui diras que oui. Je serais caché derrière la porte et nous saurons où elle veut en venir. Ainsi je lui réglerai son compte, devant toi.
Le lendemain, la même femme revient à nouveau. Elle frappe, le monsieur ouvre la porte .
La femme lui redemande s’il a un pénis. Le monsieur répond "oui" !!
Alors, la femme dit à l'homme:
- Bon, si vous en avez un, pouvez vous, s'il vous plaît, demander à votre femme qu'elle se serve du vôtre et qu'elle arrête d'utiliser celui de mon mari !!!

412

Dans les rues de Bruxelles, une maman promène un landau. Une passant s'approche, regarde, et dit:
- Quel beau bébé! Puis se ravisant, s'écrie:
- Mais ce n'est pas un bébé, c'est un poupon en Celluloïd!! Et la mère de répondre:
- Vous ne pensez quand même pas qu'avec le temps qu'il fait, je vais sortir le vrai!

 419

Cellule à 2
L'un colle des timbres sur le corps nu de l'autre.
Le directeur lui demande ce qu'il fait.
Le fou lui répond:
- Mais je l'affranchis avant de me l'envoyer!

452

Trois amis, assoiffés, n'ont pas un centime.
- Attends, dit l'un d'eux. On va tenter un coup fumant.
Je vais entrer dans ce café, commander un beaujolais et, quand le garçon me réclamera de l'argent, je lui soutiendrai que je l'ai déjà payé.
Il fait comme il l'a dit.
Le garçon tique bien un peu mais ça marche.
A son tour, le second soiffard pénètre dans le café, commande un beaujolais, le boit et s'en va en soutenant qu'il a payé.
Le troisième tente sa chance.
Au moment où il va se défiler discrètement, le garçon l'interpelle:
- Vous ne savez pas ce qui m'arrive? Je perds la mémoire.
Voilà deux fois que je réclame de l'argent à des clients qui m'avaient payé...
Qu'en pensez-vous?
- Rien, fait l'autre. Je suis pressé. Rendez-moi vite la monnaie sur le billet de 100 F.
que je vous ai donné: il faut que je m'en aille!

 477

C'est un couple qui est dans la dèche profonde, et le mari dit à sa femme
- Ecoute, notre dernière chance est que tu te prostitue...
La femme accepte, et le mari lui demande le soir combien elle a touché
- 502,50 Frs. Mon chéri
- Quoi??? Quel est le salaud qui t'as donné 2,50 francs???
- Ben... Tous...

415

Une femme va consulter le médecin pour une grosse fatigue (pour ceux qui ne savent pas ce que c'est une grosse fatigue, voir à asthénie) qui dure depuis pas mal de temps. Après les examens et l'auscultation classique qui ne montrent rien de particulier, le médecin en vient à lui demander quelle est la fréquence de ses rapports sexuels:
- Je fais l'amour le lundi, le mercredi et le samedi Le docteur lui dit:
- Je vous ai prescrit un traitement médical. Mais en plus des médicaments, il faudra vous abstenir de faire l'amour une fois sur trois, par exemple, le Mercredi!
- Ah, ce n'est pas possible Docteur. Pas le mercredi. C'est la seule nuit que je passe avec mon mari.

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C'est dimanche... matinée où on se permet de rester dans les plumes et même avec ce temps de ne pas sortir de la maison si l'on n'est pas obligé,,, journée télé, lecture ou jeux de société... Dans un mois on sera en plein dans les fêtes de fin d'année, alors je vois déjà quelques pâtissiers en herbe préparer les petites gourmandises et autres biscuits et gâteaux de circonstance pour exciter les papilles des bouches gourmandes... Une pensée pour celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée en vous disant à la revoyure... 

 

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