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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du treize janvier

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«À la Saint-Hilaire, il est populaire de mettre tout en l'air.»

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«Les jours croissent à la Saint-Hilaire d’une main de bergère.»

 

♥ Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est mardi et on n'a pas vu passer le lundi, une nouvelle journée de travail est à nos pieds... tout le monde est en pleine forme, prêt à affronter cette montagne de boulot... Oh faut pas trop en faire sinon il n'y en aura pas pour demain et si vous oubliez de mettre votre pantalon aujourd'hui, ce n'est pas grave puisque c'est la journée, sans pantalon... Mais attention à ne pas attraper un rhume de culotte!!!

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 0° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce mardi, temps bien ensoleillé en général avec quelques voiles nuageux. Assez ensoleillé l'après-midi en Valais central avec des voiles nuageux plus nombreux. Quelques bouffées de foehn dans les vallées alpines. Dégradation la nuit prochaine avec quelques pluies et une limite des chutes de neige voisine de 1300m d'altitude. Vent du sud-ouest faible à modéré sur le Plateau et le bassin lémanique, fort en montagne et tempétueux à haute altitude. Bouffées de foehn dans les Alpes. Températures prévues pour ce mardi: -2 à 3 degrés à basse altitude à l'aube, 8 à 12 degrés l'après-midi. -2 puis 8 degrés vers 1000m dans le Jura, 4 puis 3 degrés vers 2000m d'altitude...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de saison, perturbée, beau au sud, gris au Nord, c'est l'hiver... Avec pour ce jour: en matinée, Une perturbation pluvio-venteuse traverse le nord du pays, accompagnée de rafales de vent à 90-100 km/h près des côtes. Dans le sud-est, les nuages remontent de Méditerranée, parfois accompagnés de quelques gouttes. Dans l’après-midi, les pluies se décalent progressivement vers les régions situées entre l'Aquitaine et la Lorraine, tandis qu'éclaircies et averses prennent le relais du nord-ouest au bassin parisien. Beaucoup de nuages également dans le sud-est, avec localement une ondée. Vents forts près des côtes atlantiques et en Manche. En soirée, alors que la perturbation s'étire du sud-ouest au nord-est avec des pluies modérées dans l'ensemble, une nouvelle dégradation se met en place par le nord-ouest. Dans la nuit, pluies et averses concerneront les trois quarts du pays, avec des grains parfois forts le long des côtes de la Manche et sur le Nord Gascogne…

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 30°; à l'île de la Réunion ce sera pluvieux avec des températures de l'ordre de 30°; à la Martinique ensoleillé et variable avec des températures de l'ordre de 30°; ensoleillé, nuageux et variable avec des températures de l'ordre de 30° en Guadeloupe; ensoleillé et pluvieux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°; Polynésie française ciel voilé, rares averses avec des températures de 31°; ciel clair, très beau temps aux Marquises avec des températures de 30°; nuageux avec éclaircies et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -3°...

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil à Lausanne est à 08:15 et le coucher du Soleil se fera à 17:09 et le jour est plus long de 1 minute...

 

Valeurs remarquables de janvier en France

T Max.: 25.5°C (Solenzara le 02/01/1962)
T Min.: -27.1°C (Grenoble-St Geoirs le 03/01/1971)
Précip.: 185.4 mm (Mont Aigoual le 03/01/2008)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu en 2015 les...: 

Mardi. 20 janvier à 06h42, coefficient 93, à 19h08 coefficient 98
Mercredi 21 janvier à 07h30, coefficient103, à 19h56 coefficient 106
Jeudi 22 janvier à 08h16, coefficient 109, à 20h42 coefficient 109
Vendredi 23 janvier à 09h01, coefficient 109, à 21h26 coefficient 107
Samedi 24 janvier à 09h45, coefficient 104, à 22h08 coefficient 99
Dimanche 25 janvier à 10h28, coefficient 93, à 22h50 coefficient 87

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1968: La température descendait à -19,2°à Kleine-Brogel

 

Les journées mondiales et internationales

Le treize janvier c’est la Journée mondiale sans pantalon
http://www.journee-mondiale.com/305/journee-mondiale-sans-pantalon.htm
 

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La France pittoresque

Querelles conjugales à l’origine d’une promenade sur un cheval, âne ou bœuf pour le voisin du mari battu.
D’après «Bulletin de la Société philomatique vosgienne», paru en 1880

Se pratiquant notamment en Lorraine et à l’origine de plusieurs procès visant à l’enrayer, la coutume consistant à promener sur un âne, un cheval ou un bœuf, le dos tournéà la tête de l’animal, tout individu ayant négligé de donner main-forte à son voisin lors de querelles conjugales, dégénérait souvent en rixes sanglantes sanctionnées par des arrêts de 1718, 1755 et 1756

Tout individu ayant laissé son voisin recevoir de sa femme une de ces corrections dont la distribution paraît être le privilège du sexe le plus fort, était contraint de chevaucher l’animal choisi, le voisin du battu répondant donc à la société de l’atteinte portée à l’honneur marital: c’était une espèce d’assurance mutuelle entre les hommes mariés. Quelle est l’origine de cet usage? C’est ce qu’on ignore complètement, et il serait également difficile d’indiquer à quelle époque il commença àêtre en vigueur pour la première fois. Ce qui est certain, c’est qu’il s’exerçait au XVIIIe siècle, non seulement dans plusieurs villes de Lorraine, notamment à Saint-Mihiel et à Saint-Dié, mais encore dans de simples villages.

Le premier document qui constate l’existence de cette singulière coutume, est un arrêt de la Cour souveraine, du 21 mars 1718, dont le préambule mérite d’être cité textuellement. Il est ainsi conçu:

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«Veu par la Cour la requête présentée par le Procureur Général, expositive qu’il est informé qu’il s’est introduit depuis quelques années, dans la ville de Saint-Mihiel, un usage de faire promener et conduire par les ruës, le Mardy-gras de chaque année par les Garçons ou Bourgeois de la Ville, un bœuf sur lequel ils font asseoir un ou plusieurs bourgeois de la même ville, chargéz, à ce qu’ils prétendent, d’avoir laissé battre son voisin par sa femme, et en punition de cette négligence; pour témoignage de laquelle on lui met sur les épaules des écriteaux devant et derrière portant désignation de cette peine et du fait qui y a donné lieu.

«Cette cérémonie ridicule et extravagante est accompagnée ou suivie de toute la populace, avec des cris et des huées scandaleuses, d’autant plus grandes que souvent le peuple se donne la liberté de faire des applications personnelles du sujet qui a donné lieu à cette conduite, à des familles de considération, auxquelles on impose (impute) des faits qui rejailli-sent sur la réputation et qui peuvent être fabuleux et inventéz: Que le Mardy-gras -dernier, cette conduite s’est faite avec plus de licence encore que les années précédentes, et si elle était tolérée plus longtemps, il y a lieu de croire que le désordre s’en augmenterait chaque année.

«Et comme cette coutume qui s’établit insensiblement est non seulement abusive, indécente et contre les bonnes mœurs; qu’elle ne peut aboutir qu’à des yvrogneries, des querelles et des dissolutions; mais encore qu’elle peut exciter la juste indignation des Familles qui se trouvaient impliquées dans les contes populaires qu’on y fait, et qui grossissent de bouche en bouche à mesure qu’ils se répandent, et par là donner lieu à des ressentiments qui pourraient avoir des suites fâcheuses; le Remontrant a intérêt, par le devoir de sa charge, de requérir la Cour d’interposer son autorité pour faire cesser ces désordres et ces causes.»

La Cour, sur les conclusions conformes du procureur général rendit un arrêt portant:
«Qu’elle a fait très-expresses inhibitions et défenses à tous Bourgeois et Manans, habitants de la ville de Saint-Mihiel, de conduire et faire promener à l’avenir par les ruës de ladite ville, le Mardy-gras ou autres jours de l’année, sous quelque prétexte que ce soit, un bœuf qu’ils avoient coutume de faire promener ledit jour par les Garçons ou. Bourgeois, et sur lequel ils faisoient assoir un ou plusieurs bourgeois, à peine de cinq cents francs d’amende contre chacun de ceux qui conduiront ledit bœuf et contre celui qui le prêtera pour le même usage, applicables moitié au domaine de S. A. R., moitiéà la maison de charité de la ditte ville de Saint-Mihiel. Enjoint aux officiers de police d’y tenir la main, à peine d’en répondre en leur pur et privé nom.»

Il est probable que la sévérité de la Cour souveraine mit fin pour toujours aux scandales dont Saint-Mihiel était depuis quelques années le théâtre; mais son arrêt n’ayant pas une application générale, le même usage continua à se pratiquer, quoique sous une forme différente, dans la ville de Saint-Dié. Là, au lieu d’un bœuf, c’était un âne qu’on choisissait pour y faire monter le malheureux qui avait négligé de donner main-forte à son voisin lors de ses querelles conjugales. Un individu ayant refusé de se prêter à cette burlesque cérémonie ne perdit rien des assauts qui lui étaient réservés; le peuple et l’âne firent une longue station devant sa porte sans que la police pût s’y opposer. Le ministère public informa contre les meneurs et les fit condamner à l’amende; ceux-ci en appelèrent à l’usage et à la Cour souveraine. Mais cette dernière, loin de faire droit à leur requête, rendit le 9 janvier 1755 l’arrêt suivant, qui dut mettre un terme à la promenade à l’âne à Saint-Dié, comme l’arrêt de 1718 avait mis un terme à celle du bœuf à Saint-Mihiel.

Voici le texte de cet arrêt: «Vu par la Cour la procédure extraordinaire instruite à la Requête du Substitut du Procureur Général au Bailliage Royal de Saint-Diez, à l’encontre de Charles Glaudel, Marchand Boucher de la même ville, accusé, appelant d’une sentence rendue audit siège le 31 juillet dernier, par laquelle il est dit qu’il résulte preuve suffisante, tant par les informations que par les aveux dudit Charles Glaudel et ses interrogatoires, que ledit Charles Glaudel accusé, a, le Lundi 15 dudit mois, vers les dix à onze heures du matin, fait conduire un âne bâté au-devant de la maison d’Alexis Voirin, interpellé ledit Alexis Voirin de se mettre dessus à l’effet d’être conduit par les ruës de la ville de St. Diez pour n’avoir prêté secours à François Simon, son voisin, et avoir souffert que sa femme l’ait battu le jour précédent; ce qui a attiré les cris et huées des Bourgeois et enfans assemblés pour la nouveauté du cas; et sur le refus dudit Voirin, laissé cet âne attaché au-devant de la maison près d’un quart d’heure; ce qui n’a que mieux informé le public de l’usage scandaleux auquel il étoit destiné: ce qui est un abus expressément condamné par Arrêt de la Cour, du 21 mars 1718.

«Pourquoi, et cependant, attendu que le projet dudit Charles Glaudel n’a pas eu son entière exécution, on l’a condamnéà dix francs d’amende, moitié applicable à la bourse de la charité de la ville de Saint-Diez et aux dépens, sauf son recours contre qui il avisera bon être et défenses au contraire; il lui est fait défenses, et à tous autres, de faire pareil scandale, sous les peines portées par ledit Arrêt, à l’effet de quoi la présente sentence sera luë, publiée à son de tambour et affichée en la place publique de la ville de Saint-Diez à ce que personne n’en prétende cause d’ignorance.

«Conclusions du Procureur Général. Ouï le sieur Lefebvre, conseiller, en son rapport; tout considéré: La Cour, dit qu’il a été mal jugé, bien appelé, émandant, a condamné Joseph Bondidier, Joseph Voinier, Charles Glaudel, Jean Schelte et Nicolas Cornette chacun en cinq francs d’amende, applicable, moitié au Domaine de Sa Majesté, moitiéà l’hôpital de Saint-Diez et aux dépens de première Instance, qu’elle a modéréà 25 francs Barrois, et à ceux d’appel, payables par cinquième entre eux et solidairement; a déclaré son Arrêt du 21 mars 1718, rendu pour la ville de Saint-Mihiel, commun dans tous les Etats du Roy; à l’effet de quoi il sera de nouveau, ensemble le présent Arrêt, à la diligence du Procureur Général, lu à la première Audience publique de la Cour et envoyé dans tous les Bailliages, Prévôtés et Hôtels-de-ville de son ressort, pour y être pareillement lu, publié et registré, à la diligence des Substituts du dit Procureur Général. Fait et jugéà Nancy en la Cour, Chambre des Enquêtes, le 9 janvier 1755. Signé: Du Rouvrois, F. Lacroix.»

Malgré ce second arrêt, qui déclarait celui de 1718 «commun dans tous les états du roi», la coutume que la Cour souveraine voulait abolir fut loin de disparaître, et, dès l’année suivante, on la voit se pratiquer bruyamment dans le village de Flavigny, c’est-à-dire à quelques lieues de la capitale et, si on osait se servir de ce terme, presque à la barbe des magistrats. Un dossier de pièces se trouvant aux archives de Nancy retrace dans les plus grands détails, toutes les scènes, à la fois burlesques et sanglantes, qui accompagnèrent cette manifestation. La première de ces pièces est la requête du procureur d’office, commis au juge-garde des terres et seigneuries de Flavigny; elle porte:

«Qu’il vient d’apprendre qu’il s’est introduit depuis quelques années, dans ce lieu, un usage de faire conduire et promener dans les rues le Mardy-gras de chaque année par certains garçons et habitants du village, un bœuf sur lequel ils font monter un homme du lieu, pour avoir, à ce qu’ils prétendent, laissé battre son voisin par sa femme. Que le Mardy-gras dernier et le lendemain, jour des Cendres, sur les neuf à dix heures du soir, certains habitants de la communauté, suivis d’une quantité d’enfants, conduisaient un homme monté sur un bœuf, dont il tenoit la queue en main pour bride, une partie des assistants ayant des flambeaux, accompagnés de trompettes et violons, avec grand bruit et acclamations, allèrent depuis le haut de la grande rue jusqu’au pont, et de làétant revenus allèrent chez un autre particulier pour le monter sur ce bœuf et luy faire faire le même tour.

102
Coutume de la promenade à dos d’âne

«Mais ce particulier n’ayant voulu correspondre à leur extravagance, auroient cassé les vitres de sa maison et l’auraient maltraité, même à coups d’épée. Comme cette conduite indécente, scandaleuse et contre les bonnes mœurs, ne peut provenir que par une suite d’yvrogneries, le Remontrant est nécessité d’en découvrir les auteurs et faire supprimer un tel scandale, déjà condamné par arrêt de la Cour souveraine du 21 mars 1718. A ces causes requiert votre jour, lieu et heure pour informer des faits, tant du Mardy que du Mercredy, circonstances et dépendances; en conséquence permettre d’assigner tous témoins nécessaires, pour lesdites informations faites et communiquées être prises telles conclusions que de droit.»

Conformément â cette requête, le sieur Dominique Félix, avocat au parlement, bailli au siége bailliager au comté de Guize (Neuviller)-sur-Moselle, juge-garde des terres et seigneuries de Flavigny, ordonna la comparution par devant lui d’un certain nombre d’individus, hommes et femmes, prévenus d’avoir pris part aux actes dénoncés par le procureur d’office. On n’a pas les interrogatoires des accusés, mais seulement les dépositions des témoins dont voici quelques extraits; on croirait, en les lisant, assister à une véritable scène de police correctionnelle:

«Information faite par nous Joseph Dominique Félix, avocat en la Cour, bailly au siège bailliager du comté de Guize, y résidant, et juge et gruyer des terres et seigneuries de Flavigny, à la requête du procureur d’office commis pour l’absence de l’ordinaire, ezdites terres et seigneuries, à. l’encontre de certains habitants et garçons desdits lieux de Flavigny, accusés d’avoir promené et conduit par les rues les Mardy-gras et Mercredy des Cendres derniers, un bœuf sur lequel ils ont fait monter un homme du lieu pour avoir, à, ce qu’ils prétendent, laissé battre son voisin par sa femme; à laquelle (information) avons, en exécution de notre ordonnance du 8 de ce mois, procédé comme s’en suit, en présence de notre greffer commis, pour l’empêchement de l’ordinaire, soussigné, duquel nous avons pris et reçu le serment au cas requis.

«Du 15 mars 1756, neuf heures du matin, en la chambre du conseil. Noël Clément, maître boulanger, demeurant à Flavigny, âgé de 68 ans, lequel après serment de dire la vérité (...) a dit et déposé (...) que, le Mardy gras et le Mercredy des Cendres derniers, il a vu passer, environ huit heures du soir, devant chez luy, un bœuf conduit par différentes personnes, n’ayant pu distinguer depuis sa porte, sur laquelle il étoit, qui c’étoit, il s’aperçut seulement, le jour du Mardy-gras que ce bœuf était monté par François Vermandé, le jeune; et pour le Mercredy des Cendres, il n’a pas pu distinguer qui c’était; il a seulement ouï dire que c’étoit Claude Collignon qui étoit monté sur ledit bœuf.

«(...) Anne Colin, femme à Joseph Munier, boucher, demeurant à Flavigny, âgée de 40 ans (...), a dit et déposé (...) que, le jour du Mardy-gras dernier, elle a vu passer devant chez elle un bœuf monté par François Vermandé, qui avoit le dos à la tête de ce même bœuf, qui en tenoit la queue pour luy servir de bride, soutenue par différents habitants de ce lieu qu’elle n’a pas connus, avec des fourches sous les bras, suivis d’un grand nombre de personnes et d’enfants, dont plusieurs portoient des écorces de chênes qui leur servoient de flambeaux, et Marie Picard, fille du pâtre de ce lieu, qui les accompagnoit avec une corne dans laquelle elle cornoit pour avertir le public de cette scène: Et quant au Mercredy des Cendres, la déposante a aussi vu passer un autre boeuf appartenant à François Simonin, laboureur de ce lieu; qui le conduisoit monté par Collignon, qui avoit aussi le dos tournéà la tête, tenant la queue de ce bœuf pour luy servir de bride, accompagné d’un grand nombre de personnes et d’enfants; de Joseph Carré, de Charles Jeanmaire et d’Adrian, un Flamant, résidant â Flavigny, qui portoient des écorces allumées pour flambeaux, environ les huit heures du soir de chaque jour.

«Elle qui dépose vit aussi, ce jour-là, Joseph Drian, garçon tailleur, qui précédait ce bœuf avec un violon dont il jouoit, avec ladite Marie Picard, qui donnoit aussi de sa corne comme la veille, jour du Mardy-gras; accompagné aussi de Pierre Guérin qui avoit attaché au bout d’un bâton une bayonnette, pour escorter la compagnie. Et après avoir promené ce bœuf dans les rues, revenant du pont, s’arrêtèrent devant chez Me Henry, procureur en ce lieu, qui leur donna un coup à boire; et de là vinrent chez Landry boire aussy devant la porte, le bœuf monté alors par Joseph Ferry de la même manière que les précédents; et de là retournèrent chez Léopold Dècle, ne sachant ce qu’ils y alloient faire que lorsque le bruit se répandit que cet Adrian Flamant étoit tué. La déposante y courut, et effectivement, étant arrivée chez Dècle; elle y vit ce Flamant dans le poêle étendu sans connoissance; elle dit à des coquetiers qui se trouvèrent là et qui tenoient cette homme par les cheveux, pourquoy ils le battoient ainsy. Ils le quittèrent et se retournèrent vers elle.

«A l’instant Joseph Ferry se saisit du même Flamant et l’emporta à la porte où il reprit connaissance. Dans le même moment, elle vit une chaise en l’air soutenue par l’un de ces coquetiers pour (la) luy ravaler sur la tête, qu’elle détourna avec ses mains; et, de suite, fit ce qu’elle put pour empêcher un nommé Arnould, autre Flamant avec Landry le père et le fils, ce dernier muny de la bayonnette que Guérin portoit, d’entrer chez Dècle pour se venger des coups que l’on avoit donnéà Adrian; après les avoir fait reculer dans la rue, excepté Landry fils, qui y entra avec sa bayonnette; ne sachant ce qu’il y fit parce qu’elle ferma la porte à son frère et à Arnauld, qui s’en retournèrent, à ce qu’elle croit, chez eux.»

Le Procureur d’office estima qu’il y avait lieu d’assigner les différents individus qui avaient pris part aux scènes précédentes, pour être ouïs sommairement sur les faits résultant contre eux des informations, pour être prises telles conclusions que de droit. Il est fâcheux qu’on ne possède pas cette dernière partie de la procédure, non plus que la sentence rendue contre les prévenus. Mais ce qui est connu de cette affaire suffit pour faire voir combien l’usage pratiqué dans certaines localités, usage que les folies du carnaval pouvaient autoriser jusqu’à un certain point, entraînait d’abus avec lui, et combien les tribunaux avaient eu raison de sévir avec vigueur pour le faire disparaître.

Ce but ne fut qu’imparfaitement atteint; en 1775, la Cour souveraine fut forcée de mettre de nouveau un interdit sur la promenade à l’âne de Saint-Dié. Néanmoins, cette coutume était trop profondément entrée dans les habitudes pour périr sous les arrêts de la justice; elle survécut même à la Révolution, qui effaça tant de traditions d’une autre époque, et les personnes d’un certain âge pouvaient encore, au XIXe siècle, se souvenir d’avoir assisté, il y a quelque quarante ans, à des spectacles de ce genre qui, plus d’une fois, dégénérèrent en rixes sanglantes.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Le vin de Saint-Raphaël: élixir de longévité?
D’après «Le Figaro» du 15 janvier 1876

De l’avis des plus sages hygiénistes, affirme Le Figaro dans son numéro du 15 janvier 1876, c’est le vin qui est le véritable et le plus sûr réconfortant, et c’est dans le choix du vin que se trouvent les conditions de la santé, c’est ce que démontre un écrivain distingué de la presse médicale, M. Bégin, dans une étude publiée par l’Union médicale.

«Tous les grands médecins, dit-il, qui se sont succédé dans les hôpitaux de Paris ont prescrit chaque jour le vin tannique de Bagnols-Saint-Raphaël. Parmi les plus illustres qui ne sont plus, nous citerons: Magendie, Rostan, Chomel, Velpeau, Requin, Monneret, Trousseau, Grisolle.

«Voici les conditions dans lesquelles on l’administre le plus fréquemment: toutes les fois qu’il s’agit de relever le niveau des fonctions de nutrition, aucun remède n’est mieux indiqué. C’est ainsi qu’il rend service dans les cas d’anémie, d’appauvrissement général de l’économie, avec alanguissement des fonctions digestives. C’est ainsi qu’il est si utile aux personnes affaiblies, et dans les convalescences.

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«Quand nul autre agent réparateur ne peut être digéré, ce vin, en effet, s’absorbe sans subir d’autre modification que celle qui résulte de son mélange avec le suc gastrique; dans les fièvres intermittentes et dans les lentes convalescences, de petites choses convenablement renouvelées rendent tous les jours de grands services.

«Dans les formes les plus variées de débilité, ce tonique excellent produit les effets les plus heureux. Il convient également toutes les fois où il faut relever les forces vives de l’économie, en particulier dans certaines affections qui, chez beaucoup de femmes, persistent avec tant d’opiniâtreté.

«L’expérience démontre que l’usage d’un cordial tannique, dont le vin de Saint-Raphaël est le type, détermine l’équilibre des fonctions, et, par cela même, peut prolonger l’existence au-delà des limites ordinaires. L’observation démontre la vérité de cette conclusion. Tous les jours, dans les hôpitaux de Paris, on l’emploie pour ranimer les forces, pour relever l’énergie des fonctions digestives des malades affaiblis par la vieillesse ou la maladie.

«Le vin de Saint-Raphaël l’emporte sur le vin de quinquina par sa saveur infiniment plus agréable. Il n’est pas de remède plus apprécié par le malade; il doit être employé, en terminant chaque repas, à la dose modérée d’un demi-verre à Bordeaux.»

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Le singulier droit de «cognage»

Le 2 janvier 1342, sous le sceau du bailliage de Vermandois établi en la prévôté de Chauny, demoiselle Marie, veuve de Wiart de Chaon, écuyer, et ayant le bail de Jehennon de Chaon, son fils, avoue tenir du château de Chauny, lequel appartient en nue-propriété au roi et en usufruit à Mme Beatrix de Chastillon-Saint-Pol veuve de messire Jehan de Flandre seigneur de Nesle, un fief consistant en certains droits seigneuriaux perçus dont le produit se monte soixante sols parisis chaque année.

L’un de ces droits est ainsi désigné: «Item le congnage; ch’est assavoir de chascune espousée quelle que elle soit venans de dehors Chauny et passans oultre Chauni parmi le pont royal, ouquel les que che soit, puis que elle passeche parmi ledit pont, chinc peaus de sen con ou chinc sols parisis.» (Archives nationales, Pièce 47.1 n°CCCLI)

Cette singulière redevance ne paraît pas avoir attiré attention des juristes et le nom qu’elle porte ne figure semble-t-il dans aucun dictionnaire. Il n’en est pas question dans les quelques documents que la série H4 des Archives nationales nous a conservés sur les péages de Chauny la fin du XVIIIe siècle. Melleville, dans son Histoire de la ville de Chauny (Laon, 1851, p. 69) lui consacre quelques lignes sans indiquer les textes qui la lui ont fait connaître:

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«Les seigneurs de Chauny percevaient un... droit aussi bizarre dans sa nature que grossier dans son nom. Malheur à la jeune mariée qui le jour de ses noces, par nécessité ou par mégarde, passait et repassait la rivière Oise: pour ce fait, elle devait cinq sous parisis à son seigneur et ce dernier pouvait lui faire fermer les portes de la ville au nez si elle refusait de les acquitter. Ce droit, souvenir, sans doute, d’un autre plus ancien et plus immoral, fut quelque temps érigé en fief»

Ainsi, ce droit prétendument pris sur la mariée le jour des noces, ne résiste pas à l’examen des pièces du temps. Il est en réalitéà rapprocher des gauloiseries qui ont donné naissance la légende du droit du seigneur, plus connu sous le nom de droit de cuissage, dont les historiens modernes savent qu’il ne fut qu’un mythe mais qui fut cependant présenté comme ayant bel et bien existé par les célèbres Voltaire ou Michelet.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

13 janvier 1929: Le shérif Wyatt Earp meurt dans son lit comme un bourgeois. Déception ! Y a que dans la vraie vie que les héros de la gâchette meurent à 81 ans d'une cystite chronique.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Wyatt Earp est inscrit au Panthéon américain des héros du Wild West. Son personnage a été interprété par les plus grandes stars d'Hollywood. C'est l'incarnation parfaite du héros américain. Dès lors, avait-il le droit de mourir dans son lit comme un vulgaire bourgeois, le 13 janvier 1929 ? Qui plus est d'une banale infection urinaire ! À moins qu'il ne s'agisse d'un cancer de la prostate, comme certains le prétendent. Mourir dans son lit n'est jamais glorieux. Encore, s'il avait pris une balle dans la vessie... Mais à 81 ans, cela faisait longtemps que Wyatt dormait dans un lit de plumes, très loin du Wild West.

La fameuse fusillade d'O.K. Corral, à Tombstone, qui le rend célèbre, remonte à presque un demi-siècle lors de sa mort. Là encore, c'est une amère déception. La réalité est bien plus morne que les reconstitutions hollywoodiennes. L'échange de balles n'a pas excédé trente secondes. Bing ! Bing ! Bing ! Le Far West a connu des batailles bien plus impressionnantes.

Quelques mots, d'abord, sur Wyatt Berry Stapp Earp. Il est né le 19 mars 1848, dans l'Illinois. Il est, tour à tour, chasseur de bisons, joueur de poker, voleur de chevaux. Quand il devient policier dans le Kansas, il n'hésite pas à empocher des fonds qu'il avait été chargé de récolter. Bref, c'est un petit ripou ordinaire de l'Ouest dont la grande passion est de jouer au faro, l'ancêtre du poker. Sauf qu'il est le roi de la gâchette. Avec une seule balle, il est capable de sectionner les pattes d'une mouche à cent mètres. Il abat son premier homme à Dodge City, mais il faut reconnaître qu'il est en état de légitime défense. Ce n'est pas un tueur de la trempe de Billy the Kid ou de Copé. Après ce meurtre, il prend le large, allant s'installer à Tombstone, en Arizona, avec ses deux frères, Morgan et Virgil. Wyatt prend un emploi de garde dans une mine d'argent et passe le reste de son temps à jouer aux cartes. Tandis que son frère Virgil devient marshal.

Attaques de diligences… On n'aurait jamais entendu parler des frères Earp si, à l'automne 1881, ils ne s'étaient pas pris la tête avec une bande de cow-boys travaillant dans un ranch voisin. Virgil et Wyatt soupçonnent certains d'entre eux de pratiquer des attaques de diligences. Les menaces fusent, jusqu'au jour où Clanton et les deux frères McLaury décident d'affronter les frères Earp. La rencontre se déroule le 26 octobre 1881 près d'une écurie nommée O.K. Corral. Pour l'occasion, Virgil a fait de ses deux frères et du doc ses adjoints. Il ordonne à Clanton et à ses hommes de lever les mains pour qu'il puisse les désarmer. Seuls des coups de feu lui répondent. La fusillade dure grand maximum trente secondes ! Trois cow-boys sont tués, tandis que le camp Earp ne compte que deux blessés légers, Virgil et Morgan. Pas de quoi en faire un plat. Une nuit marseillaise est parfois plus meurtrière que ça... Du reste, il faudra attendre un demi-siècle pour qu'Hollywood exhume cette vieille histoire complètement oubliée de l'opinion publique.

La justice qui s'empare de l'affaire acquitte les frères Earp pour légitime défense. Ce jugement ne satisfait pas vraiment la bande de cow-boys, qui se venge en assassinant Morgan Earp. Wyatt entame alors une randonnée mortelle qui l'amène à descendre plus d'une douzaine de "pilleurs de diligences", de "meurtriers" et de "voleurs de bétail", comme il l'écrira par la suite. Sa vengeance achevée, Wyatt part pour le Colorado, accompagné de Doc Holliday. Il y épouse Josephine Marcus, une comédienne juive.

S'il est encore mêléà quelques bagarres, la vie de Wyatt Earp ne comporte plus de grandes aspérités. Il tient des saloons dans des villes minières, joue au poker, investit dans l'immobilier, achète des chevaux de course, participe à la ruée vers l'or en Alaska, arbitre des matchs de boxe. À la fin de sa vie, Wyatt se rend à Hollywood comme consultant de films de cow-boys. Il y rencontre John Wayne. Et puis il meurt, comme un clerc de notaire dans son lit. Josephine le fait incinérer et dépose ses cendres dans un cimetière juif à Colma, en Californie. Normal pour un homme qui avait porté l'étoile...

13 janvier 1929 : Le shérif Wyatt Earp meurt dans son lit comme un bourgeois. Déception !
13 janvier 1929 : Le shérif Wyatt Earp meurt dans son lit comme un bourgeois. Déception ! © Montage LePoint.fr
© Le Point.fr - Publié le 13/01/2012 à 00:04 - Modifié le 13/01/2015 à 00:01

 

Pour l’éphéméride du treize janvier c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/01/13/28936422.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service toujours aussi partageur et branleur serait prêt à distribuer sa semence aux quatre coins du monde, histoire d'avoir de la progéniture pour lui payer sa retraite...

 

dicton0113

 

Ben pour la zique de ce mardi… on va s’écouter avec plaisir le meilleur de Joe Cocker en concert à Dortmund, en 1992… Allez les amis, faites-vous plaisir, car c’est du bon… avec des excellents souvenirs musicaux car on ne les entend pas tous les jours… je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=cMSfABJ729I

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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implants-defectueux

Quelques proverbes qui parlent d'eux-mêmes.

Dans chaque Église, il y a quelque chose qui cloche...!

L'amour c'est comme les photos... Ça se développe dans le noir!

Pourquoi c'est moi qui doit aller me coucher... Quand mes parents sont fatigués!

Les enfants sont comme des pets! On ne supporte que les nôtres!

Facture d'un avocat:
Même si on te déclare coupable... T'es assez innocent pour payer ces honoraires!

Tu n'échapperas jamais à 2 choses dans la vie... La mort et les impôts!

L'avantage d'être intelligent...
C'est qu'à l'occasion tu peux faire l'imbécile... Alors que l'inverse est impossible!

Le vinaigre c'est comme le viagra... Ça durcit le cornichon...!

Il faut aimer son prochain... Les autres sont trop loin!

Si l'amour rend aveugle... Le mariage redonne la vue!

Le début du mariage c'est: On s'enlace et on se veut! Plus tard c'est: On se lasse et... on s'en veut!

Dieu a donné l'argent aux riches... Parce que les pauvres, habituellement, n'ont pas de compte de banque!

L'habit ne fait pas le moine Ça le cache seulement!

Pour avoir de l'argent devant soi... Pourquoi faut-il le mettre de côté?

Le travail c'est bon pour ceux qui n'ont rien à faire!

Un jury c'est un groupe de personnes qui essayent de déterminer quel criminel a le meilleur avocat!

 maison-caricatures

Un gars rencontre son ami qui est bègue:
- Dis donc t'as pas l'air jouasse?
- Ça, tu, tu ne, peu, peux pa, pas sa, savoi, savoir ce qui, ma, mari, m'arrive!
- Comment ça? Tu as des problèmes? Je peux t'aider?
- Non mer, non merci, tu, tu es sain, sympa, mé, mais il fo, faut que je te ra, racon, raconte! Tu tu tu sais qu que ma bé belle-mère a a habité ché, chez moi...
- Effectivement! C'est une sacré tuile! Je te plains mon pauvre vieux!
- Alors la se, semé... semaine dé der... dernière nou, nous re, regar... regardions la té télé a avec ma fa... femme et mon ch... chien Guismo et ma bé... belle-mère. À un, à un mo... à un moment, je re, re-gar, regarde gui, Guismo. Il é, était en train de, de pas, passer sa, sa pa, patte de der... patte de derrière d-d-dans s-s-son oreille. Alors je, je dis à, à ma bé... belle-mère: 'B-b-belle ma-man, vous né, n'êtes pa, pas ca... ca-pa, capable de fé... de de faire la, la mé... la même chose?
- Et c'est pour ça que vous vous êtes fachés?
- Oui, p-p-par, parce que le, le temps que je, je le di, le dise ce q-q-que j-j-j-e viens d-d-de t-t-te dire, Gui-Guismo sé, s'était mis a, à se lé, lécher le cul!

 bettencourt-arrose

Il y a différents niveaux de stress....
Qu'est-ce que le stress?
Un monsieur s'arrête pour faire monter une auto-stoppeuse dans sa voiture.
Elle est belle et jeune!
Soudain, la demoiselle s'évanouit dans l'auto et le monsieur file à toute vitesse pour la faire admettre à l'hôpital.
Ça, c'est du STRESS...
A l'hôpital, on annonce qu'elle est enceinte et on félicite le monsieur qui sera bientôt "papa"!
Ça, c'est du STRESS...
Le monsieur dit qu'il n'est pas le père et qu'il ne la connait même pas...
Mais la demoiselle affirme que c'est bien LUI, le papa!
Alors, le STRESS augmente d'un cran...
Alors, le monsieur demande un test d'ADN pour prouver qu'il n'est pas le père du bébé.
Après le résultat, le docteur dit que le monsieur est stérile, probablement depuis sa naissance.
Donc qu'il N'EST PAS le père du bébé!
Il est soulagé, mais le stress revient car, sur le chemin du retour à la maison, le monsieur se met à penser qu'il a trois enfants....
ET ÇA C'EST DU TRÈS, TRÈS GROS STRESS!!!

 violence-grenoble

Dans une maison de retraite, deux vieux de 90 ans se rendent compte au cours d'une soirée "veufs et veuves" qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Quelques temps plus tard, ils décident de se marier.
Le soir de la noce, ils se couchent l'un à côté de l'autre... Le vieux monsieur prend la main de la vieille dame et la serre très fort dans la sienne. Puis la vieille dame prend la main du vieux monsieur et la sert très fort dans la sienne.
Puis ils s'endorment tous les deux.
La deuxième nuit, ils se couchent dans le même lit. Le vieux monsieur prend la main de la vieille dame et la serre très fort dans la sienne.
Puis la vieille dame prend la main du vieux monsieur et la sert très fort dans la sienne.
Puis ils s'endorment tous les deux.
La troisième nuit, ils se couchent tous les deux côte à côte, puis le vieux monsieur prend la main de la vieille dame qui lui dit:
- Pas ce soir chéri... J'ai la migraine.

 chien-policier

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C'est mardi... pour la deuxième fois de la semaine ce crétin de réveille-matin nous fait sursauter, comme s'il nous donnait un coup de pied dans le cul pour nous sortir du lit... et tout soudain tout est vite... Vite à la salle de bain, vite au cabinet de toilette, vite s'habiller (pas besoin de pantalon aujourd'hui), vite une tartine, vite un café, vite au garage ou à la gare et vite au boulot... Eh oui ma bonne dame! C'est le stress quotidien; pressé du matin au soir en ne regardant jamais le temps défiler... En ces jours de froidure, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure... 

 

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