«À la Saint-Marcel, le soleil nous ensorcelle et la varicelle fait des étincelles.»
«Pluie à la Saint-Marcel ne fait pas germer le vermicelle.»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est vendredi, la semaine active se termine ce soir et le bon peuple travailleur est content d'arriver au week-end, histoire de se changer les idées... La mi-janvier est passée, la neige est toujours en manque et il fait très doux et ce n'est pas tellement bon pour la nature qui risque de se réveiller trop vite et si c'est le cas espérons que le gel ne fera pas son apparition...
Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 6° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce vendredi, encore quelques éclaircies en début de matinée des Préalpes aux Alpes sous des rafales de foehn, ciel couvert avec des premières pluies sur le bassin lémanique, le Plateau et le Jura. Dans l'après-midi, fréquentes pluies sur l'ouest de la région, devenant continues et gagnant toutes les régions en fin de journée et persistant jusque dans la nuit. Limite des chutes de neige passant de 1500 à 800-1000m d'ici la fin de journée sur le Jura puis s'établissant entre 500 et 800m en soirée, 700 à 1000m dans les Alpes. Vent du sud-ouest faible sur le Plateau et le bassin lémanique, modéréà fort en moyenne montagne, tempétueux en haute montagne avec des rafales pouvant dépasser les 100 km/h. Températures prévues pour vendredi: 3 à 5 degrés à l'aube à basse altitude, 6 à 8 degrés l'après-midi. 4 degrés vers 1000m dans le Jura et 0 degré vers 2000m d'altitude.
Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview
Pour l'Hexagone, une météo de saison, très perturbée... c'est l'hiver... Avec pour ce jour: en matinée, la perturbation arrivée la veille apporte des pluies modérées du sud-ouest aux frontières de l'est. Retour d'éclaircies au nord-ouest avant l'arrivée d'averses près de la Manche et de l'Atlantique. Pluies parfois orageuses dans les régions méditerranéennes. Dans l’après-midi, le front pluvieux concerne l'est avec des cumuls devenant importants. Neige en montagne à des altitudes de plus en plus basses. Temps instable sur les autres régions avec un risque d'averses. Baisse des températures. En soirée, le ciel demeure chaotique entre le sud-est et l'Alsace avec des pluies soutenues. Le temps est plus sec et se dégage dans le nord-ouest. Dans la nuit, un temps pluvieux intéresse les régions les plus l'est. Les conditions s'assèchent dans les terres, mais des averses ont encore lieu à l'ouest…
Pour l'Outre-mer: à Mayotte pluvieux avec des températures de l'ordre de 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et orageux avec des températures de l'ordre de 31°; à la Martinique ensoleillé et variable avec des températures de l'ordre de 30°; ensoleillé, nuageux et variable avec des températures de l'ordre de 30° en Guadeloupe; ensoleillé, nuageux et variable en Guyane française avec des températures de l'ordre de 32°; Polynésie française nuageux à très nuageux, quelques éclaircies avec des températures de 30°; beau temps, peu nuageux à nuageux larges éclaircies aux Marquises avec des températures de 29°; nuageux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -2°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du Soleil à Lausanne est à 08:13 et le coucher du Soleil se fera à 17:13 et le jour est plus long de 2 minutes...
Valeurs remarquables de janvier en France
T Max.: 25.5°C (Solenzara le 02/01/1962)
T Min.: -27.1°C (Grenoble-St Geoirs le 03/01/1971)
Précip.: 185.4 mm (Mont Aigoual le 03/01/2008)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les...:
Mardi. 20 janvier à 06h42, coefficient 93, à 19h08 coefficient 98
Mercredi 21 janvier à 07h30, coefficient103, à 19h56 coefficient 106
Jeudi 22 janvier à 08h16, coefficient 109, à 20h42 coefficient 109
Vendredi 23 janvier à 09h01, coefficient 109, à 21h26 coefficient 107
Samedi 24 janvier à 09h45, coefficient 104, à 22h08 coefficient 99
Dimanche 25 janvier à 10h28, coefficient 93, à 22h50 coefficient 87
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1985: La température maximale sous abri plafonnait à -8,7°à la côte
En 1974: Le mercure grimpait jusqu'à 13,3°à Zaventem et 13,4°à la côte
En 1953: De la pluie verglaçante a perturbé tout le pays
En 1917: La neige était particulièrement abondante sur le sud du pays. Le manteau neigeux atteignait 51 cm à Bertrix et 62 à Chiny
La France pittoresque
Personnages, biographie:
Jeanne de Belleville, la tigresse bretonne: première femme corsaire de l’Histoire
Source : Le Télégramme
Étonnante histoire que celle de Jeanne de Belleville, épouse d’Olivier de Clisson et mère du connétable du même nom. Cette femme de la noblesse bretonne devient - par vengeance - la première femme corsaire de l’histoire
Jeanne-Louise de Belleville serait née vers 1300 à Belleville-sur-Vie, en Vendée. Fille de Létice de Parthenay et de Maurice IV de Montaigu, seigneur de Belleville et Palluau, Jeanne perd son père alors qu’elle n’a que quatre ans. Mariée à l’âge de 12 ans à Geoffroy VIII de Chateaubriand, ce dernier meurt en 1326. Quatre ans plus tard, Jeanne de Belleville épouse en secondes noces le seigneur Olivier IV de Clisson, membre de l’une des plus grandes familles de la noblesse bretonne, avec qui elle a cinq enfants.
La guerre de succession de Bretagne éclate en avril 1341, quand Jean III, duc de Bretagne, meurt sans héritier. Son territoire est disputé d’un côté par sa nièce, Jeanne de Penthièvre, épouse de Charles de Blois, et de l’autre par Jean de Montfort, le demi-frère du défunt. Le duché de Bretagne devient un enjeu au-delà même de ses frontières. À travers Charles de Blois et Jean de Montfort, ce sont Philippe VI, le roi de France et oncle de Charles de Blois, et Édouard III, roi d’Angleterre et soutien de Montfort, qui s’affrontent en ce début de guerre de Cent Ans.
La trahison d’Olivier de Clisson
Montfort s’est autoroclamé duc de Bretagne après avoir conquis une partie du territoire et rallié une partie des seigneurs bretons à sa cause, et parmi eux Amaury de Clisson et son frère Olivier. Fin 1341, le comte de Montfort est fait prisonnier à Nantes par les troupes du roi de France. Alors qu’Amaury de Clisson fuit vers l’Angleterre et devient tuteur du fils de Montfort, le mari de Jeanne de Belleville réitère son allégeance à Charles de Blois et au roi de France. « L’année suivante, une flotte anglaise débarqua 10.000 hommes sous les murailles de Vannes, où commandaient Hervé de Léon et Olivier de Clisson », explique Auguste Lefranc, journaliste du XIXe siècle, dans sa biographie du connétable Olivier de Clisson, le fils de Jeanne de Belleville.
Exécution d’Olivier IV de Clisson en 1343
Alors qu’Édouard III vient personnellement superviser le siège de Vannes, Olivier de Clisson est fait prisonnier. En janvier 1343, la trêve de Malestroit met fin temporairement aux hostilités entre Blois et Montfort, Clisson est échangé contre le comte de Stanford. Cependant « on prétend que, pendant que les armées françaises et anglaises étaient en présence près de Vannes, Clisson suivit l’exemple de plusieurs autres seigneurs et traita avec l’Angleterre », avoue Armand Désiré de La Fontenelle de Vaudoré, historien et conseiller à la cour royale de Poitiers, qui, lui aussi, publie une histoire du fils d’Olivier de Clisson en 1825.
La vengeance d’une veuve
Si cette trahison ne fut jamais vraiment prouvée, elle est arrivée cependant aux oreilles du roi de France Philippe VI, qui « fit, contre le droit des gens et les prérogatives de la chevalerie, arrêter Clisson dans un tournoi et, sans aucune forme de procès, il lui fit trancher la tête », précise La Fontenelle de Vaudoré. Olivier de Clisson est décapité le 2 août 1343, sur la place des Halles à Paris, son corps est pendu au gibet de Montfaucon et sa tête envoyée à Nantes pour être exhibée au-dessus de la porte Sauve-Tout. « Aussitôt que la nouvelle du supplice d’Olivier de Clisson fut parvenue en Bretagne, ses nombreux amis se réunirent et allèrent offrir leurs services à Jeanne de Belleville, sa veuve.Cette femme était douée d’un grand caractère, et au lieu de se livrer à une douleur stérile, le désir de venger un outrage aussi cruel lui inspira une résolution extraordinaire », raconte La Fontenelle de Vaudoré. Le courroux de Jeanne de Belleville s’abat d’abord sur la place forte de Château-Thébaud, commandé par Galois de la Heuse. Ce fidèle de Charles de Blois, qui n’est pas encore au courant de l’exécution d’Olivier de Clisson, accueille sa femme avec tous les honneurs dus à son rang. La place forte est mise à sac par les 400 partisans que Jeanne a rassemblé, composés notamment de plusieurs seigneurs bretons.
La naissance de la lionne des mers...
Dans cette première attaque, la majorité de la garnison est passée par les armes, mais la veuve d’Olivier de Clisson épargne quelques hommes afin de répandre la nouvelle de sa vengeance. « Charles de Blois, instruit de cette aventure, assembla du monde pour reprendre son château, mais la Dame ne l’y attendit pas. Elle se mit en mer avec sa troupe, et vengea la mort de son mari sur beaucoup de marchands français... », précise le moine et historien Dom Lobineau, dans son « Histoire de la Bretagne » publiée en 1707. « Le roi Philippe ayant appris les désordres que commettait ce nouveau pirate, le bannit du Royaume et fit saisir ses biens » en décembre 1343, poursuit l’ecclésiastique.
Jeanne de Belleville, la tigresse bretonne
En effet, Jeanne, qui s’est réfugiée en Angleterre, investit l’argent qui lui reste, et avec l’aide financière du roi anglais Édouard III, fait armer trois bateaux. Pendant plusieurs mois, elle va écumer les mers de la Manche et de l’Atlantique, s’attaquant systématiquement aux navires battant pavillon français. « Une gigantesque entreprise de course [QUI] ruinait ainsi tout un courant du commerce maritime français », précise le médiéviste Jean Favier, en 1980, dans son ouvrage La guerre de Cent Ans. Commandant elle-même sa flotte, Jeanne de Belleville fera subir aux partisans de Charles de Blois et du roi de France de nombreuses pertes, « s’attaquant aux bateaux de guerre français moins forts que les siens et à tous les vaisseaux marchands, elle mettait à mort sans merci tous les Français tombés entre ses mains », publie la Chronique Normande du XIVe siècle... Ainsi naît la légende de Jeanne de Belleville, la lionne des mers...
Entre légende et réalité
« Tigresse bretonne », « lionne sanglante »... Jeanne de Belleville a suscité beaucoup de fantasmes autour de son histoire. Il existe, en effet, peu de documents sur la veuve d’Olivier de Clisson. On trouve bien une trace de sa condamnation par le roi de France, inscrite dans les registres criminels du Parlement de Paris en décembre 1343. Dans ce texte en latin, Jeanne de Belleville, accusée de rébellion, se voit confisquer l’ensemble de ses biens. La mère du futur connétable Olivier de Clisson est mentionnée aussi dans le texte de la trêve signée entre la France et l’Angleterre en 1347 où elle est présentée comme une alliée du roi Édouard III. Jeanne de Belleville apparaît également dans différents manuscrits du Moyen-Âge, comme la Chronique Normande ou la Chronographia Regum Francorum, la chronique des rois de France écrite au XVe siècle.
L’ensemble de ces textes semble confirmer qu’elle est devenue une corsaire à la solde de la couronne britannique, mais peu d’informations précises sur ses forfaits sont données. Pourtant, « il semble certain qu’elle mena une guerre efficace et que ses victoires furent assez nombreuses pour faire parler d’elle », explique le romancier breton Robert de la Croix. Pirate sanguinaire à la tête de sa flotte noire, trois bateaux dont les coques avaient été peintes en noir et qui arboraient des voiles rouge sang, Jeanne de Belleville s’embarquait toujours avec ses fils, à qui elle avait fait jurer de venger la mémoire de leur père. Pendant plus de dix ans, elle aurait écumé la Manche et les rivages de l’Atlantique... C’est en tout cas ce que raconte sa légende, qui s’étoffe au fil des siècles.
Une héroïne romantique
Évoquée à travers l’histoire de son fils Olivier de Clisson, Jeanne de Belleville devient un véritable personnage de fiction à partir du XIXe siècle, à travers un écrit d’Émile Péhant, un poète breton ami de Victor Hugo, qui fait de Jeanne de Belleville une héroïne romantique en 1868. À partir de cette date, les romanciers s’emparent de l’histoire de cette femme, devenue corsaire par amour. En réalité, la période de son activité effective en tant que corsaire se serait limitée à quelques mois seulement, juste après l’exécution de son mari.
Jeanne de Belleville vit ensuite à la cour d’Angleterre où son fils Olivier, le futur connétable, est élevé avec le fils du comte de Montfort. En 1353, elle épouse l’un des lieutenants du roi d’Angleterre, Gautier de Bentley, et finit sa vie à Hennebont, à la cour d’une autre Jeanne, Jeanne de Flandre, la veuve de Jean de Montfort ; c’est là, qu’elle s’éteint en 1359.
Gautier Demouveaux, Le Télégramme
Proverbe: Loger le diable dans sa bourse
N’y loger rien, avoir la bourse vide
C’est une expression qui s’explique par d’autres phrases proverbiales que voici : Il est plus facile de chasser le diable avec la croix de quelques pistoles qu’avec de l’eau bénite. — Le pire des diables est celui qui danse dans la poche quand il n’y a pas une pièce marquée du signe de la croix pour l’en chasser. Ce dernier proverbe existe chez les Anglais comme chez nous. Il paraît avoir beaucoup plu à Walter Scott, qui l’a employé plusieurs fois, notamment dans Ivanhoé, ch. VII, et dans Woodstock, ch. III.
Les Languedociens disent : Ma bousso ës dë pêou d’aou diablë, la croux li po pas ista (Ma bourse est de peau du diable, la croix ne peut y rester ou s’y loger). Ici croix est mis pour argent : les deux mots ont eu autrefois cette acception synonymique dans les langues de l’Europe chrétienne.
Ces phrases, d’une originalité remarquable, indiquent assez clairement la raison de notre expression proverbiale, introduite à une époque où les monnaies étaient frappées à l’effigie de la croix, signe très redouté du diable, comme chacun sait, ce qui donna lieu d’imaginer que si le diable se glissait dans une bourse, il fallait nécessairement qu’il n’y eut ni croix ni pile, c’est-à-dire point d’argent — l’expression ni croix ni pile venant de ce que les monnaies du temps de saint Louis et de plusieurs de ses successeurs portaient sur une face la marque de la croix, et sur l’autre deux piles ou piliers.
Cette origine était assez facile à découvrir, et il y a lieu de s’étonner qu’elle soit restée inconnue à nombre de commentateurs avant le XIXe siècle. Ils l’ont remplacée par d’autres qu’il est inutile de citer puisqu’elles sont fausses. Il en est une pourtant qui mérite d’être rapportée comme curieuse, sinon comme vraie. Elle appartient à un auteur espagnol qui l’a dérivée du conte suivant : « Vers la fin du onzième siècle, dit-il, deux frères maures, établis en Espagne et très versés dans les sciences occultes, forcèrent par leurs sortilèges le diable à leur bâtir un château et à les combler de richesses. Le diable mit pour condition que les deux frères n’en jouiraient qu’autant qu’ils vivraient ensemble en bonne intelligence.
«L’un des deux voulant s’approprier le trésor à lui seul, fit périr l’autre en renversant sur lui le château, et il prit ses dispositions pour se retirer dans un pays étranger. Il entassa tout son or dans un grand coffre qu’il ferma très exactement. Mais le diable, qui à son insu s’était caché dans le coffre, y pratiqua un trou par lequel toutes les pièces d’or s’échappèrent dans le chemin. Arrivé au lieu de sa destination, le Maure, en ouvrant son coffre, fut bien étonné de n’y trouver que le diable au lieu des espèces métalliques qu’il y avait mises. Ces espèces en tombant sur la route s’étaient converties en pierres rondes de diverses grandeurs que les naturalistes nomment pierres lenticulaires, et que le peuple, en Espagne, nomme monnaie du diable — moneda del diablo. — Les Italiens nomment aussi ces pièces : moneta del diavolo.»
Article copié sur "La France pittoresque"
Proverbe: Année de noisettes, année de mariages
On dit aussi : année de noisettes, année d’enfants. Le fruit que la noisette renferme sous une double enveloppe a été regardé comme l’image de l’enfant dans le sein de sa mère, et l’on a conclu de cette similitude que les années abondantes en noisettes doivent l’être aussi en mariages ou en enfants.
C’est de ce préjugé fort ancien, et non, comme on pourrait le croire, des rendez-vous donnés sous la coudrette ou la coudraie, qu’est né le dicton usité parmi les gens de la campagne et rappelé par Monteil dans la phrase suivante de son Histoire des Français des divers états (XVIe siècle): «Vous savez que c’est l’année des noisettes ; tout le monde se marie : sans plus tarder, mademoiselle, marions-nous.»
Il faut attribuer à la même cause l’usage antique de répandre des noix aux cérémonies nuptiales ; usage qui n’avait pas pour but de marquer, ainsi qu’on l’a prétendu, que l’époux renonçait aux amusements futiles et ne songeait plus qu’aux graves devoirs de son nouvel état, mais d’exprimer un vœu pour la fécondité de l’épouse ; car la noix présentait le même symbole que la noisette. C’est ce que dit formellement Pline le Naturaliste (liv. XV, ch. XXIV). Festus affirme également que les noix étaient jetées, pendant les noces, en signe de bon présage pour la mariée: Ut novae nuptae intranti domum novi mariti auspicium fiat secundum et solistimum. (V° Nuces.)
Cela avait lieu au Moyen Age, comme dans l’Antiquité. De plus, on déposait alors auprès du lit nuptial une corbeille remplie de noisettes qu’on avait fait bénir par un prêtre : il est resté quelque chose d’un tel usage dans ce qui se pratique aux noces villageoises, où l’on place sur la table, en face des mariés, des plats de dragées, lesquelles ne sont, comme on sait, que des noisettes ou des amandes dont l’enveloppe a été remplacée par une couche de sucre glacé. C’est d’après une analogie du même genre qu’à l’occasion du baptême des enfants on distribue des boîtes de dragées aux amis et on jette quelquefois des poignées de dragées à la foule des curieux. Il est évident que ces dragées marquent, dans le mariage, un souhait pour qu’il soit fécond, et, dans le baptême, un heureux accomplissement de ce souhait.
Dans le Moyen Age on jetait plus souvent du blé que des noix ou des noisettes, pendant les noces. Le Romancero du Cid, dans sa romance intitulée Des divertissements qui eurent lieu aux noces du Cid, parle d’une excessive quantité de blé qu’on y répandit. Voici de quelle manière naïve il décrit la chose : « Tant il en est jeté par les fenêtres et les grilles, que le roi en porte sur son bonnet qui est large des bords une grande poignée. La modeste Chimène en reçoit mille grains dans sa gorgerette, et le roi les retire à mesure. »
Au XIXe siècle avait encore cours dans certaines contrées la coutume de répandre des noix, des noisettes, des amandes, des fruits à noyaux et des grains pendant la cérémonie du mariage, comme emblèmes de la fécondité qui doit en résulter notamment : ainsi en était-il souvent en Russie, en Valachie historique, ou encore dans quelques villages de Corse.
Article copié sur "La France pittoresque"
16 janvier 1936: Albert Fish grille sur la chaise électrique, coupable d'avoir dévoré des enfants. Tueur en série et cannibale, ce père de famille est encore voyeur, fétichiste, pédophile, coprophage et adore les douches d'urine.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
L'Amérique est la patrie des tueurs en série. La mode actuelle est de pénétrer dans une école ou un collège, armé comme Rambo, pour descendre des gamins. Très primaire. En comparaison de ces assassins, Albert Fish est un esthète, doublé d'un écolo adepte du recyclage. Lui, les gamins, il les tue, mais pour les manger. Ils sont tellement nombreux et faciles à faire... Ce péché de gourmandise le mènera, malheureusement, à griller sur la chaise électrique, le 16 janvier 1936. Après son arrestation, Fish prétend avoir dévoré au moins un gamin dans chaque État des États-Unis, ce qui lui vaut les charmants surnoms de "Vampire de Brooklyn", "Ogre de Wisteria" ou encore "Moon Maniac". Il affirme parvenir à manger un enfant en neuf jours. Un régime hyperprotéiné qui plairait au docteur Dukan...
Loin de se cantonner à la gastronomie infantile, Fish pratique aussi le voyeurisme, le fétichisme, le sadisme et le masochisme, la prostitution, la pédophilie, l'ondinisme (le bonheur de se faire pisser dessus!), la coprophilie, la coprophagie et, bien sûr, le meurtre. Fish fréquente les bordels, où il se fait fouetter par les prostituées. Ne le croyez pas sans conscience, car, après s'être livréà ses péchés mignons, il lui faut se faire punir. La façon qu'il préfère, c'est de planter des aiguilles à coudre à proximité de ses organes génitaux. Sur les radios prises après son arrestation, les médecins comptent pas moins de 27 aiguilles enkystées dans ses chairs.
"Je l'ai cuisinée"… Lors de son procès, Fish est jugé pour seize meurtres, quoiqu'il en revendique une centaine. Son avocat prétend que le véritable nombre pourrait être encore quatre fois plus élevé. On ne prête qu'aux riches... Le crime qui le conduit sur la chaise électrique est le meurtre d'une fillette de 10 ans nommée Grace Budd, en 1928. Lui en a 58. Fish prétexte une fête chez sa soeur pour convaincre les parents de la petite Grace de la lui confier. En fait, il l'entraîne dans une maison abandonnée pour lui faire sa fête...
Dans une lettre qu'il enverra à la mère de l'enfant bien plus tard, depuis sa cellule, il décrira les événements épouvantables de ce jour-là: "Je lui ai demandé de rester à l'extérieur. Elle a cueilli des fleurs. Je suis montéà l'étage et ai enlevé mes vêtements. Si je ne le faisais pas, je savais que le sang allait les tacher. Quand tout a été prêt, je l'ai appelée par la fenêtre. Puis je me suis caché dans le placard, jusqu'à ce qu'elle entre dans la chambre. Lorsqu'elle m'a vu nu, elle s'est mise à pleurer et a essayé de fuir par l'escalier. Je l'ai attrapée, elle a dit qu'elle se plaindrait à sa maman. D'abord, je l'ai déshabillée. Comme elle donnait des coups de pied, mordait et griffait, je l'ai étranglée, puis découpée en petits morceaux afin que je puisse emmener la viande dans mes chambres. Je l'ai cuisinée et mangée. Ses petites fesses étaient tendres après avoir été rôties. Ça m'a pris neuf jours de la manger en entier. Je ne l'ai pas baisée, même si je l'ai regretté. Elle est morte vierge." Dutroux est un bienfaiteur de l'humanité en comparaison de Fish. On imagine l'état de la mère à la lecture de cette lettre. Et Grace n'est pas la seule à connaître ce calvaire. Fish s'en est pris à de nombreux enfants.
Ultime grillade… Ces petites séances roboratives n'empêchent pas Albert Fish d'avoir une vie de famille. Il se marie quatre fois, est le père attentionné de plusieurs enfants, qu'il aime, même s'il ne peut résister à l'envie de jouer à des jeux sadomasos avec eux. À plusieurs reprises, il est arrêté pour tentatives d'escroquerie ou encore pour des envois de lettres obscènes. Mais, à chaque fois, il est relâché, car personne ne se méfie de ce petit homme à l'allure quelconque. Après le meurtre de la petite Grace, il finit par être arrêté et condamnéà la chaise électrique. Ses troubles psychologiques manifestes ne lui épargnent pas cette ultime grillade. Il se borne à déclarer qu'elle sera le "tressaillement suprême" de sa vie. Il est gâté, puisqu'il faut deux décharges pour l'achever.
À droite: Albert Fish, tueur en série. © Wikimedia / Flickr / CC
© Le Point.fr - Publié le 16/01/2012 à 00:04 - Modifié le 16/01/2015 à 00:05
Pour l’éphéméride du seize janvier c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/01/16/28960199.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service nous fait comprendre qu'il y a beaucoup de patrons qui ne se prénomment pas nécessairement Marcel qui nous harcèlent même si on a pas de marcel comme maillot de corps... car souvent ils nous font suer...
Ben pour la zique de ce vendredi… pourqoi ne pas s’écouter le groupe The Police – en concert en1983… Allez les amis, faites-vous plaisir, car c’est du bon… avec des excellents souvenirs musicaux car on ne les entend pas tous les jours… je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=OdHmOuADZjo
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et automnal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Un Breton, un Parisien et un Alsacien prennent un coup ensemble dans un bar.
Lorsqu'ils commencent àêtre "échauffés", ils se vantent de leurs exploits sexuels.
Le Parisien raisonnable dit:
- Hier soir, j'ai fait l'amour à ma femme trois fois. Et ce matin, elle m'a fait du café et m'a dit que j'étais le meilleur amant du pays.
L’Alsacien toujours aussi vantard réplique:
- Moi, hier soir, j'ai fait l'amour à ma femme six fois. Ce matin, elle m'a servi le déjeuner au lit, me disant que c'était la meilleure partie de jambes en l'air de sa vie.
Le Breton ne parle pas. Les deux autres lui demandent:
- Et toi, combien de fois tu lui as fait l'amour à ta femme hier?
Le Breton répond:
- Une fois.
Les deux autres éclatent de rire et demandent:
- Et qu'est-ce qu'elle t'a dit ce matin?
et le Breton de répondre répondre:
- T'arrête pas...
Léon se lève à 4h00 du matin et va aller traire sa vache Marguerite. Il prend le botte à cul (espèce de tabouret, à un pied), son seau, s'installe et commence à traire sa vache. Quand tout à coup la queue de sa vache vint le frapper en plein visage. Il perdit l'équilibre, tomba en arrière, renversa le seau et par la même occasion le lait qu'il contenait. Léon se redressa lentement, se tourna vers sa vache et lui dit:
- Marguerite, je ne suis pas de bonne humeur aujourd'hui, hier soir la Germaine n'a pas voulu et j'ai mal dormi, alors je te préviens que ça va mal finir si tu recommences.
Et, il reprit son botte à cul, son seau et recommença à traire sa vache. Rebelotte, à nouveau la queue en plein visage, les quatre fers en l'air, le seau et son contenu par terre. Le paysan se redresse et lui dit d'un ton sec:
- Marguerite la plaisanterie a assez duré, je te préviens si tu as le malheur de recommencer, je te cloue la queue au plafond.
Et là ce qui devait arriver arriva pour la troisième fois. Le paysan excédé pris un escabeau, un clou, un marteau, se plaça derrière la vache, pris la queue de l'animal, leva la queue vers le plafond, là, ces bretelles lâches, son pantalon tombe, sa femme qui rentre…Elle n'a jamais voulu croire l'histoire.
Dans un garage au moment de payer.
- Mince alors, et dire que je n'ai pas d'argent sur moi… Si vous étiez plus jeune, je vous aurai bien proposé… de vous payer en nature, si vous voyez ce que je veux dire. (elle lui fait un clin d'œil engageant).
- Eh là, c'est que je suis loin d'être un vieux croûton! Non mais, je vais vous montrer qui est vieux, moi. Allez hop, enlevez-moi votre robe et couchez-vous sur la table de mon bureau!
La fille rigole, retire sa robe et regarde ensuite le garagiste retirer sa comb… Incroyable. Le gars est monté comme un âne!!!
- Oh mon Dieu!, pense-t-elle. Non seulement je vais avoir une réparation pour pas cher, mais en plus je vais me faire ramoner jusqu'à la moelle!
Au moment où elle est en train de rêver au marteau-pilon qui va bientôt la laminer, elle remarque que son étalon est en train de placer des rondelles à la base de son instrument.
- Hé, qu'est-ce que vous faites?!, lui demande la fille
- Ben, répond l'homme, tu ne pensais tout de même pas que pour 100 Euros tu allais avoir droit à TOUT ça?
Ce matin j'étais assis sur un banc à côté d'un clochard. Il me dit:
- La semaine passée, je possédais encore tout!
Un cuisinier faisait mon manger, ma chambre était nettoyée, mes vêtements étaient lavés et j'avais un toit au-dessus de ma tête."
Je lui demande: « Que s'est-il passé? Drogue? Femme? Jeux? »
- Non, non... Je suis sorti de prison!
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C'est vendredi... et pour beaucoup le réveille-matin fait son œuvre de bourreau pour la dernière fois de la semaine en nous poussant au bas du plumard... et, après le petit déjeuner et le parcours du combattant, ce sera le stress de la dernière journée de travail avec au bout le week-end mérité... Pour s'occuper du ménage, de la lessive et du reste... on troque le travail de la semaine pour celui du week-end... En ces jours de froidure, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...