«À la Sainte-Colette, les belettes sortent les bicyclettes.»
«Sur ses gerçures, sainte Roseline en douce étale de la vaseline.»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est vendredi et la semaine active se termine ce soir, le temps se remet au beau, les vacances de la dernière vague se termineront et pour les vacanciers ce sera la rentrée... Les ouvriers et les écoliers sont contents et souriants à la veille du week-end... Les jours s'allongent, dans une quinzaine la nuit sera àégalité avec le jour et avec la lumière du jour, on est toujours de meilleure humeur...
Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 0° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce vendredi, belle journée ensoleillée. Rares bancs nuageux accrochés à mi-hauteur les long des reliefs et 2-3 voiles d'altitude en cours de journée. Températures tout juste de saison. Températures prévues pour vendredi: minimales -2 à 0°à basse altitude, maximales 8 à 12° du Plateau au Valais central. Dans le Jura à 1000 m: -5 puis 5°. En montagne: -10 puis 0°à 2000 m, -9 puis -4°à 3000 m. Bise modérée sur le Plateau et le Léman. En montagne, vent de nord-est fort, tempétueux à haute altitude...
Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview
Pour l'Hexagone, une météo de saison... assez perturbée, sans plus... AVEC UNE ALERTE ORANGE POUR 1 DÉPARTEMENT... eh oui c'est encore l'hiver... Avec pour ce jour: Après la dissipation des plaques de grisaille et des bancs de brouillards matinaux, le soleil s'imposera sur la majeure partie du pays. Seuls quelques nuages contrarieront l'ensoleillement au nord de la Seine et près des frontières du Nord.
Sur le Sud-Est, le vent du nord, encore fort le matin, s'essoufflera dans l'après-midi. Sur la Corse, il se maintiendra autour de 100 km/h en rafales.
Le matin, les gelées entre 0 et -4 degrés seront fréquentes à l'intérieur des terres, jusqu'à -5 à -8 dans les vallées de l'Est. Près des côtes, les minimales iront de 0 à 7 degrés. L'après-midi, il fera 8 à 11 degrés vers le Nord-Est et 11 à 15 degrés ailleurs, jusqu'à 16 à 17 degrés sur les régions du Sud...
Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 27°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 27°à 32°; à la Martinique ensoleillé, voilé et variable avec des températures de l'ordre de 31°; ensoleillé et voilé avec des températures de l'ordre de 30°à 32° en Guadeloupe; nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 31°à 32°; Polynésie française peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 29°; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 30° aux Marquises; bancs de brouillard et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -8°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 07:04 et le coucher du soleil se fera à 18:26 et le jour est plus long de 3 minutes...
Valeurs remarquables de mars en France
TMax: 31.0°C (Pau-Uzein le 25/03/1955)
TMin: -22.0°C (Le Puy-Loudes le 01/03/2005)
Précip: 184.6 mm (Solenzara le 01/03/1986)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:
Jeudi 19 mars à 06h09, coefficient 97, à 18h37, coefficient 105
Vendredi 20 mars à 06h59, coefficient 110, à 19h23, coefficient 115
Samedi 21 mars à 07h45, coefficient 118, à 20h07, coefficient 119
Dimanche 22 mars à 08h28, coefficient 118, à 20h48, coefficient 115
Lundi 23 mars à 09h09, coefficient 111, à 21h26, coefficient 105
Mardi 24 mars à 09h47, coefficient 98, à 22h03, coefficient 90
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1971: Le thermomètre de Rochefort n'affichait à l'aube que -19,6°
En 1948: Températures printanières, en effet, les maxima sous abri atteignaient 18°à la Baraque-Michel, 18,1°à Uccle et 21,4°à Rochefort
Les journées mondiales et internationales
Le six mars c’est la Journée Internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants
http://www.journee-mondiale.com/188/journee-internationale-de-la-radio-et-de-la-television-en-faveur-des-enfants.htm
Les Fêtes nationales du Jour
Fête de l'indépendance au Ghana
Le 3 mars, le Ghana fête son indépendance acquise en 1957 vis à vis du Royaume Uni.
Les expressions françaises décortiquées
Quand le vin est tiré, il faut le boire
Il faut aller au bout d'une affaire dans laquelle on s'est engagé
Origine
Pour ceux qui ne le sauraient pas, dans «tirer le vin» le verbe tirer signifie «faire sortir d'un contenant». On tire donc le vin d'un tonneau ou d'un cubitainer, par exemple.
Et, lorsque cette boisson alcoolisée se retrouve dans le verre, qu'en fait-on? Eh bien en général, on ne le verse pas dans le terreau du bonsaï ou dans le décolleté de sa voisine, mais on le boit, tout simplement, action logique qui est venue à l'esprit du propriétaire du verre avant même qu'il le remplisse.
Autrement dit, que peut-on faire d'autre que boire le vin une fois qu'il est tiré?
Notre métaphore proverbiale fait ainsi le parallèle avec l'affaire qui est engagée (le vin est tiré, il est dans le verre) et qu'on ne doit surtout pas abandonner (il faut boire le vin).
Il sous-entend également que même si on a fait une bêtise en s'engageant dans quelque chose à la légère, on doit assumer son choix jusqu'au terme de l'action.
Si on ne semble pas connaître la date d'apparition de ce proverbe, une chose est sûre, c'est qu'il est ancien, puisqu'on le trouve déjà en 1576 dans «Les mimes, enseignements et proverbes» du poète français Jean-Antoine de Baïf.
Exemple
«Mais enfin, le mal est fait, et ça ne servirait de rien d'en parler davantage. Quand le vin est tiré il faut le boire, et puisque vous avez commis une faute, il s'agit de la réparer.»
La France pittoresque
Paris: plus de 200 squelettes découverts sous un Monoprix
Source: Le Parisien
Plus de 200 squelettes disposés dans des fosses communes ont été mis au jour sous un supermarché Monoprix du boulevard de Sébastopol à Paris (IIe arrondissement). A cet endroit se trouvait le cimetière de l’hôpital de la Trinité.
Voilà une découverte bien étonnante. Plus de 200 squelettes, soigneusement disposés dans des fosses communes, ont été mis au jour sous le supermarché Monoprix Réaumur-Sébastopol (IIe arrondissement) à Paris. Depuis début janvier, les archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) mènent les fouilles sous l’immeuble Félix-Potin, où se trouvait jadis le cimetière de l’hôpital de la Trinité, fondé au XIIe siècle mais détruit à la fin du XVIIIe siècle.
Tous les squelettes découverts sont-ils ceux de personnes mortes de la peste ou décédées à cause d’une famine? Les équipes de l’Inrap s’interrogent car une chose semble certaine: les défunts ont succombé en masse...
Huit fosses communes déjà découvertes
«Dans le cadre du réaménagement du magasin, nous avons décidé de supprimer un promontoire qui se trouvait au deuxième sous-sol, ce qui a déclenché des fouilles préventives», explique Pascal Roy, directeur du magasin. «Nous nous attendions à ce qu’il reste quelques ossements dans la mesure où cela avait été un cimetière mais pas à trouver des fosses communes», ajoute-t-il, très étonné.
Fouille d’un squelette de la grande fosse (salle 5). © Denis Gliksman, Inrap
Au moment de la désaffection du cimetière, les restes des défunts avaient été transférés en partie aux Catacombes de Paris où ils sont toujours. «Mais apparemment, le travail n’a pas été bien fait», note l’archéologue Isabelle Abadie, qui dirige les fouilles. «C’est la première fois qu’un cimetière hospitalier est fouilléà Paris», souligne-t-elle en rappelant qu’on en a déjà trouvéà Marseille et Troyes notamment.
A ce jour, sur la zone de 100 m2 qui fait l’objet de recherches, huit fosses communes ont été découvertes. Sept d’entre elles comptent entre cinq et vingt individus, déposés sur deux à cinq niveaux. La huitième fosse, la plus impressionnante, a permis de découvrir plus de 150 squelettes, disposés sur plusieurs niveaux. «Mais il reste encore une autre couche en dessous», prévient Isabelle Abadie.
Fièvre, peste, famine... le mystère reste entier
Sur un terrain sablonneux, des dizaines de squelettes bien conservés sont alignés les uns contre les autres. Les individus semblent avoir eu les bras croisés et les jambes serrées, laissant penser qu’ils étaient enveloppés dans un drap ou un linceul. «Ce qui est étonnant, c’est que les corps n’ont pas été jetés mais déposés avec soin, de façon organisée. Les individus, hommes, femmes, enfants, ont été placés tête-bêche sans doute pour gagner de la place», montre l’archéologue. Le tout, en une seule fois, sur plusieurs niveaux.
«Cela laisse à penser qu’il y a eu beaucoup de décès d’un coup. Reste à trouver la cause de cette crise de mortalité: épidémie, fièvre, famine... Paris a été frappée par plusieurs épidémies de peste au XIVe, XVe et XVIe siècle. La capitale a aussi été touchée par la variole au XVIIe», rappelle-t-elle.
Les fouilles doivent se terminer avant le 20 mars
Les restes osseux ne présentent pas de lésions permettant d’identifier la cause de ces décès en masse. Des prélèvements ADN sont en cours pour tenter de la déterminer. Ils permettront aussi d’établir d’éventuels liens génétiques entre les individus. Des datations au carbone 14 vont également être réalisées pour comprendre à quand remontent ces fosses communes. Les archéologues ont trouvé quelques morceaux de céramique médiévale et de période plus récente. L’étude anthropologique des squelettes devrait apporter des renseignements sur les individus (âge au décès, sexe...). L’étude des textes et plans anciens de Paris devrait compléter les recherches.
A présent, une course contre la montre est engagée pour les archéologues: ils doivent avoir terminé les fouilles d’ici au 20 mars, afin de permettre au magasin de mener ses travaux. Les restes osseux seront ensuite étudiés sur un site de l’Inrap. «Ils seront traités avec respect», déclare Jean-Pascal Lanuit, de la Direction régionale des affaires culturelles Ile-de-France. Ensuite, «l’Etat se chargera de trouver un endroit» pour les défunts.
Le Parisien
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Les Auberges françaises au XVIe siècle
D’après «Histoire des français des divers états», de A.-A. Monteil, paru en 1853
Je me suis aperçu que j’avais passé les Pyrénées lorsque je suis entré dans les auberges. Quelles bonnes, quelles excellentes auberges! On y est aussi bien et mieux que chez soi. Quelle différence avec les auberges de l’Espagne, où l’on est obligé de tout porter, excepté l’huile, le vinaigre et le sel. Ici, tous les aubergistes, tous les cabaretiers, tous les taverniers, ont des lettres du roi.
Ici, toutes les maisons où l’on donne à coucher, à manger, portent écrit en gros caractères: Hostellerie, Cabaret, Taverne par la permission du Roi.
Ancienne Salle à manger de l’auberge de l’Aigle d’Or, à Evron (Mayenne).
LES AUBERGES DE VOYAGEURS A PIED: Ici, il y a des auberges où l’on ne loge que les gens à pied. On lit sur la principale porte, en gros caractères: Dinée du voyageur à pied, six sols; couchée du voyageur à pied, huit sols (ordonnance relative aux taux des hôtelleries, 21 mars 1579).
LES AUBERGES DE VOYAGEURS A CHEVAL: Ici, il y a aussi des auberges où l’on ne loge que les gens à cheval. On lit sur la principale porte, en gros caractères:Dinée du voyageur à cheval, douze sols couchée du voyageur à cheval, vingt sols.
Un voyageur à pied voudrait dîner, souper splendidement comme un voyageur à cheval, il ne le pourrait; un voyageur à cheval voudrait dîner, souper sobrement comme un voyageur à pied, il ne le pourrait pas non plus. Les lois françaises empêchent l’un de trop dépenser, l’autre de ne pas dépenser assez.
LES REPUES: Je note que les auberges marquées pour le dîner des voyageurs, où quelquefois l’on est traité assez peu chrétiennement, où l’on est quelquefois exposéà mettre sous sa fourchette du corbeau, du serpent, du cheval, et d’autres viandes de cette espèce, que depuis quelques années le siège de Sancerre a ajouté aux aliments en usage, sont dans les itinéraires nommées repues.
LES GÎTES: Et que les auberges où l’on couche y sont nommées gîtes. J’ai trouvé celles-ci incomparablement meilleures: vastes écuries, vastes remises, vastes salles, grandes tables, grands feux, belle vaisselle d’argent, beaux lits de soie. La magnificence de ces auberges s’annonce même à l’enseigne, pendue sous de beaux grillages dorés. Je pensais et je devais naturellement penser que les troncs pour les pauvres étaient plus pleins dans les gîtes que dans les repues; j’ai appris que c’était le contraire. Peut-être dans la nature humaine, midi est-il une meilleure heure d’aumône que l’heure où l’on se couche, où l’on se lève.
LES AUBERGISTES: On dit que les Français sont les plus polis des hommes; on devrait ajouter que les aubergistes sont les plus polis des Français. Dès que vous entrez dans une auberge, vous êtes accueilli par la gracieuse figure de votre ami. A la vérité, quand vous ne payez pas votre dépense, l’aubergiste vous fait conduire tout droit en prison, ou du moins vous fait saisir votre cheval, mais pourquoi, sans argent, se mettre en voyage? Depuis quelques années les aubergistes sont fort imposés; ils vous le disent. Plusieurs, à cause des services qu’eux ou leurs prédécesseurs ont rendus à l’état, sont francs d’impôts; ils vous le disent encore plus volontiers. Maintenant les aubergistes ne vous désarment plus et, ce qui est bien autrement important, ils ne sont plus maintenant divisés en royalistes et en ligueurs. Vous n’êtes plus obligé quand vous arrivez dans une ville, de réformer vos opinions suivant que l’enseigne où vous allez loger représente Henri III, le duc de Guise, l’écusson de France, la croix de Lorraine.
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Musique sentimentale lactogène pour vaches sensibles?
D’après «Le Journal amusant», paru en 1910
Mars 1910: un chroniqueur du Journal amusant rapporte que les journaux américains nous apportent, sans rougir, l’information suivante selon laquelle une propriétaire d’un important troupeau de vaches de Jersey a remarqué que leur jouer des airs à la mode n’est pas sans incidence sur la production de lait
L’information diffusée était la suivante: «Mme Kowie a, dans le Wisconsin, un important troupeau de vaches de Jersey. Elle a remarqué qu’en leur jouant sur la mandoline, durant qu’elles étaient à l’herbage, des airs à la mode, elle leur faisait un plaisir que beaucoup de bêtes partagent, mais qui avait chez celles-ci l’effet d’augmenter la production du lait. Certains auteurs, particulièrement favorables à la sécrétion, l’ont élevée d’un tiers.»
Il est probable que la découverte de la vachère américaine va nous donner la clef de nombreux mystères restés jusqu’à ce jour impénétrables, ajoute le chroniqueur. La Semaine, de Genève, exprime déjà ridée que la supériorité du fromage de Gruyère s’explique par le fait que les vaches des Alpes fribourgeoises pâturent au son du Ranz des vaches.
La revue suisse reconnaît d’ailleurs que la musique est idoine à produire certains effets élémentaires; elle fait pleurer les chiens (et les grosses dames sensibles); et de bons auteurs - c’est toujours la revue qui parle - ont été jusqu’à reconnaître à la musique des orgues de Barbarie une action excitante sur les chevaux de bois.
Mais la question de la musique lactogène est autrement intéressante. M. C. Sharp, qui l’a très scientifiquement approfondie, l’a étudiée avec le concours d’un certain nombre de virtuoses et de vaches. Je lui cède la parole. «Les résultats, dit-il, ont été curieux: ainsi, la musique de Bach n’a sur la production du lait qu’un effet tout à fait négligeable. En revanche, l’air J’ai perdu mon Eurydice, chanté de façon déchirante par une grande artiste (élève d’Isnardon) qui m’a prié - par modestie - de taire son nom, plongea le troupeau dans une rêverie profonde.
Les bêtes, affalées sur le sol, balançaient méthodiquement la tête en roulant des yeux humides. L’épreuve de la traite fut décisive: jamais elle n’avait été si abondante et le lait révéla une richesse en matières grasses tout à fait exceptionnelle. L’intermezzo célèbre de Cavalleria rusticana est presque aussi efficace au point de vue laitier que l’air de Gluck susmentionné. Tout de suite après venaient l’Ave Maria de Gounod et J’ai perdu ma Gigolette. La seule loi qu’il soit possible de formuler est celle-ci: la musique sentimentale est plus propice à la sécrétion que la musique de danse.»
A propos de celte dernière musique, on me permettra une observation personnelle: les vachères mélomanes auront soin de ne faire entendre à leurs troupeaux certains rythmes ternaires qu’avec une extrême discrétion; c’est ainsi qu’Esclavage, valse lente de Raoul Bardac, a produit sur trois aimables vaches le plus regrettable effet: entraînées par cette mélodie alliciante (disons «alliciante», c’est distingué), les auditrices encornées se mirent à tourner, tourner encore, tourner toujours... Quand on réussit à les arrêter, leur lait était devenu du beurre.
En revanche, M. Raoul Gunsbourg affirme qu’une vache laitière de Monte-Carlo à laquelle on avait eu l’imprudence d’exécuter, pendant un quart d’heure, des récitatifs de Bruneau, fut tarie, net. Jusqu’à la fin de ses jours l’infortunée Monégasque n’eut plus que des pissenlits... pardon, des pis sans lait.
Un excellent musicographe de Lausanne, M. Edouard Combe, prétend qu’après avoir chanté Mireille à sa cuisinière, pendant qu’elle tournait ses mayonnaises, cette dame du fourneau n’en rata pas une seule, tant la musique provençale a une heureuse influence sur la coagulation de l’huile d’olive; mais cette assertion me semble suspecte et je me demande si, sous prétexte de nous éclairer, l’écrivain suisse n’a pas voulu nous faire prendre l’Helvétie pour des lanternes.
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Six mars 1836: Le grand Davy Crockett est abattu comme un chien à Fort Alamo. Certains prétendent que le héros à la queue de raton laveur se serait rendu avant d'être assassiné sur ordre du général Santa Anna.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
Si vous avez conservé un vague souvenir de John Wayne incarnant Davy Crockett dans le film Alamo, effacez-le vite de votre mémoire. Comme d'habitude, Hollywood a tordu la réalité pour en faire de la guimauve. La véritable fin de David Stern Crockett, ce lointain descendant du huguenot français Monsieur de Croquetagne, est moins héroïque.
Avant d'en venir à l'assaut final de Fort Alamo, un petit cours d'histoire n'est pas inutile. Au début du XIXe siècle, le Texas appartient encore au tout jeune État mexicain. Officiellement, car, sur le terrain, des centaines d'éleveurs et de fermiers américains s'approprient les terres en se fichant des lois mexicaines. "Bien joué!" s'écrie Vladimir Poutine. Ces colons sauvages ne prennent même pas la peine d'apprendre l'espagnol. "Bien joué!" insiste le maître du Kremlin. Bref, devant autant de mauvaises façons, Mexico délègue le général Santa Anna sur place pour faire régner la loi mexicaine au Texas, à la force des armes.
Pour répondre au péril, les colons américains s'organisent en milices texanes placées sous le commandement de Sam Houston. Celui-ci charge un pionnier du Kentucky rendu célèbre par son habiletéà jouer du couteau, James Bowie, de détruire la mission fortifiée d'Alamo avant l'arrivée de l'armée de Santa Anna. Le véritable Bowie (incarné par Richard Widmark dans le film) est un esclavagiste de la pire espèce. Arrivéà Alamo, il tarde tant à démanteler le fort que l'armée mexicaine l'y prend au piège. À la tête d'une petite troupe, il n'est pas de taille à résister à l'ennemi, innombrable. Heureusement, il reçoit du renfort d'hommes courageux. C'est d'abord le colonel Travis, qui prend le commandement du fort. Puis, le 8 février 1836, c'est au tour de Davy Crockett de débarquer à la tête de 65 volontaires venus des États américains, les Tennessee Boys. "Davy, Davy, l'homme qui n'a jamais peur!" chantonne Annie Cordy en tête de la colonne. Tu parles: le trappeur de 49 ans ne vient pas se jeter dans la gueule du loup gratuitement. Venant de subir une raclée aux élections du Congrès des États-Unis, il espère se refaire une nouvelle virginité en courant au secours de Fort Alamo.
Pas de quartier… Le 23 février, l'armée mexicaine assiège Fort Alamo. À l'intérieur: 189 patriotes ou insurgés, selon le camp où l'on se situe. À l'extérieur: quelque 1 500 soldats mexicains accompagnés de 5 000 paysans vaguement armés. Après onze jours d'escarmouches, le 6 mars 1836 à l'aube, le général Santa Anna donne l'ordre de l'assaut final avec une consigne absolue: ne faire aucun prisonnier. Il ne doit y avoir aucun survivant. De leur côté, les Texans, qui ne sont pas des fillettes, font savoir qu'ils se battront jusqu'à la mort. Tout le monde est bien d'accord. La partie peut commencer. Santa Anna divise ses forces en quatre pour attaquer le fort par ses quatre faces simultanément. Il prend soin de disposer 500 cavaliers derrière ses troupes pour empêcher toute fuite des assiégés, mais aussi de ses propres paysans-soldats. Vers 5 heures, le signal de l'attaque est donné dans le plus grand silence. Trois sentinelles texanes disposées à l'extérieur du fort sont égorgées. Ce n'est qu'arrivés à portée de mousquets que les assaillants passent à l'attaque, criant de tous leurs poumons "Viva Santa Anna!" Les trompettes jouent le célèbre air Degüello. En espagnol, le mot signifie "J'égorge", à prendre dans le sens de "Pas de quartier". Réveillés en sursaut, les assiégés gagnent leurs postes en haut des murailles tandis que les femmes et les enfants sont poussés dans la sacristie de l'église. Le colonel Travis s'écrie: "Courage, les gars, les Mexicains nous attaquent et nous les enverrons en enfer! On ne se rend pas, les gars!" Crockett est chargé de la défense du mur sud.
Dans un premier temps, le bordel règne dans les colonnes mexicaines, les jeunes recrues de l'arrière déchargent leurs flingues à l'aveugle, touchant leurs compagnons placés en tête. De leur côté, les Texans remplissent leurs 21 canons avec toute la ferraille qu'ils trouvent sur place pour arroser la troupe ennemie. Malgré tout, les assaillants finissent par atteindre le pied du mur. Les défenseurs doivent se pencher en avant pour pouvoir les atteindre, s'exposant ainsi au feu ennemi. Le colonel Travis est l'un des premiers à tomber, une balle dans la tête. Le colonel Crockett se bat comme un lion. La queue de son bonnet voltige dans tous les sens. C'est encore un sacré gaillard à l'œil de lynx. Il abat au moins cinq ennemis et rate de peu Santa Anna qui s'était approché trop près. Il encourage ses boys en lançant des plaisanteries dont il a le secret.
Corps à corps… Malgré la vaillance des défenseurs, les Mexicains finissent par dresser plusieurs échelles contre le mur. Les premiers à se présenter au sommet du mur sont tués net ou bien repoussés dans le vide. Par deux fois, les assaillants sont refoulés. Finalement, tous les Mexicains se regroupent devant le mur nord. À leur tête, le général Juan Amador est le premier à sauter dans la cour. Il parvient à ouvrir la poterne à ses soldats qui envahissent le fort. Les Texans sont contraints de se replier dans les bâtiments et la chapelle, dont les murs avaient été préalablement percés de meurtrières pour permettre le tir. Crockett et ses hommes prennent place devant l'église, derrière un mur bas. Ils déchargent une fois leurs armes qu'ils ne peuvent pas recharger, car cela les obligerait à se mettre debout (à l'époque, la poudre est versée dans le canon du fusil). Aussi Davy et les siens font-ils tournoyer leurs fusils comme des clubs de golf et s'aident de leur couteau. Mais cette scène de corps à corps est-elle bien réelle ou simplement brodée ultérieurement? En tout cas, assaillants et défenseurs se livrent un terrible combat durant quatre heures. Pour chaque pièce conquise, les assaillants laissent de nombreux morts.
Souffrant d'une crise de dysenterie qui le laisse sans force, le colonel Bowie est alité depuis plusieurs jours. Quand l'ennemi se présente, il a encore la force de vider ses pistolets et de brandir les fameux couteaux qui portent toujours son nom. Il finit par succomber sous le nombre des assaillants. Finalement, les onze derniers combattants réfugiés dans l'église sont tués à leur tour. Seuls les femmes et les enfants, enfermés dans la sacristie, sont épargnés. Quant au véritable sort de Crockett, il reste incertain. Certains témoins le décrivent abattu durant un assaut mexicain, d'autres le donnent parmi un groupe de cinq à sept Texans faits prisonniers par le général Castrillon malgré les ordres de Santa Anna de ne pas faire de quartier. Il faudrait donc croire que Crockett s'est rendu! Il aurait mangé la consigne de se battre jusqu'à la mort...
Sourire… Selon cette version des faits, Davy Crockett est debout, sa poire à poudre dans une main et un long couteau ensanglanté dans l'autre. Entouré par les cadavres des soldats mexicains qu'il a abattus, il se rend à Castrillon qui l'amène, ainsi que d'autres Texans survivants, à Santa Anna. "Monsieur, j'ai ici six prisonniers que j'ai pris vivants; que dois-je en faire?" Le général lance un regard féroce à son officier avant de lui répondre: "Ne vous ai-je pas dit auparavant quoi faire d'eux? Pourquoi me les avez-vous amenés?" Sur-le-champ, les officiers mexicains saisissent leurs épées pour les plonger dans le sein des malheureux prisonniers. Avant de pouvoir bondir, Crockett est embroché par une douzaine de lames, "un sourire de mépris sur les lèvres", comme l'écrira un témoin. Il ne sera jamais sénateur des États-Unis, mais gagne une réputation éternelle.
© Le Point.fr - Publié le 06/03/2012 à 00:01 - Modifié le 06/03/2014 à 00:00
Six mars 1940: Après avoir abattu 505 soldats soviétiques, le sniper Simo Häyhä est neutralisé. Avec ce score stupéfiant réalisé en 90 jours, le sniper finlandais détient le record du monde, pas près d'être battu.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
Comme chaque jour depuis bientôt trois mois, Simo s'éloigne de ses camarades de combat pour faire sa petite guerre personnelle. Contraire absolu de Rambo, ce militaire finlandais est minuscule, timide, incapable de faire du mal à une mouche. Et pourtant, cet homme a tué davantage d'ennemis que Stallone en une quantité de films pour débiles psychopathes. C'est le roi des snipers. L'empereur! Avec 505 victimes à son compteur! Aucun sniper ukrainien de la police antiémeute du Berpout n'est près de le rattraper... Simo marche à travers les bois en direction de la ligne de front. Revêtu d'une cape blanche, il est absolument invisible sur la neige. Il achève sa manœuvre d'approche en rampant pour ne pas se faire repérer par les tireurs d'élite adverses. Enfin, il a trouvé l'endroit idéal lui permettant d'avoir une vue sur l'ennemi. Avec des gestes délicats, il édifie un muret de neige pour se planquer derrière. Il creuse aussi un petit trou pour disparaître complètement. Maniaque, il tasse la neige autour de lui de façon à ce qu'elle ne s'envole pas lorsqu'il tirera. Combien de snipers se sont fait repérer et tuer à cause du minuscule nuage blanc entraîné par le souffle de la balle?
Simo vérifie une dernière fois son arme, qu'il aime comme un cinquième membre d'acier et de poudre. C'est un Mosin-Nagant M28, doté d'une simple mire en acier. Dans la mesure du possible, il n'utilise pas de lunette de visée, ce qui l'obligerait à davantage relever la tête et à trahir ainsi sa présence. Sans compter qu'avec un froid pouvant descendre jusqu'à - 40 ° elle pourrait se couvrir de buée. Mais, surtout, l'optique d'une lunette peut réfléchir un rayon de soleil vers l'ennemi. Une fois installéà son aise, le petit homme attend. Il fixe l'autre côté de la rivière où l'armée rouge a pris position. Une brume légère flotte au-dessus de l'eau. Rien ne bouge. Mais Simo sait qu'ils sont là. Il n'a plus qu'à faire preuve de patience. Bientôt, une silhouette apparaîtra. Il n'aura plus qu'à la viser, à appuyer sur la détente et à inscrire une victime de plus à son tableau de chasse.
"Mort blanche"… La matinée passe lentement, quelques flocons de neige flottent dans l'air froid. Un mouvement en face! Simo place une boulette de neige dans sa bouche pour refroidir son souffle et supprimer ainsi toute buée qui pourrait, encore une fois, le trahir. Il épaule son fusil, vise l'ombre humaine et tire. Celle-ci disparaît. Et de 505. Son visage n'esquisse même pas un sourire. Il effectue son job, calmement. Placidement. Il n'a aucun état d'âme. Ce sont les Russes qui ont attaqué la petite Finlande. Ils n'avaient pas à venir. Ils sont peut-être quatre fois plus nombreux, mais ils ne passeront pas. Foi de Finlandais! Soudain, un bruit. Simo lève doucement la tête pour se renseigner.
Boum, une explosion nucléaire secoue son crâne. Puis le silence. Simo vient d'être la victime, à son tour, d'un sniper russe. L'arroseur arrosé. Son corps gît dans la neige, la tête à moitié arrachée par une balle explosive qui est rentrée par une joue et est ressortie en lui emportant la mâchoire. Par miracle, il vit encore. Des soldats finlandais postés à proximité ont vu la scène. Ils se précipitent en prenant, néanmoins, toutes les précautions pour ne pas se faire dégommer à leur tour. Ils tirent le corps de leur héros de la détente jusqu'à un endroit sûr, puis le font transporter à l'hôpital. Il lui manque la moitié du visage, mais il respire toujours. Les chirurgiens du front le recousent tant bien que mal. Il reprend conscience une semaine plus tard, le 13 mars, le jour où la Finlande et la Russie enterrent la hache de guerre. La carrière du plus grand sniper de tous les temps, Simo Häyhä, est terminée à tout jamais. Les Russes ont enfin réussi à faire taire la "Mort blanche" (Belaya Smert), surnom qu'ils lui donnaient. En récompense, le caporal Häyhä est promu sous-lieutenant.
Icône… Simo Häyhä n'est qu'un petit bonhomme qui naît en 1905 ou en 1906, on ne sait pas trop, dans la région finlandaise de Carélie, devenue russe aujourd'hui. À 20 ans, il effectue une année de service militaire, puis revient dans son village où il intègre la garde civile. Il poursuit une vie modeste, paysan et chasseur. Fin novembre 1939, par crainte de voir la Finlande basculer dans le camp d'Hitler, Moscou décide d'envahir une partie du territoire de son minuscule voisin pour mettre à l'abri Leningrad (Saint-Pétersbourg), proche de la frontière. Les Russes croient faire une bouchée des Finlandais. Une erreur qu'ils vont payer très cher. Dans le désert glacé du Grand Nord, les Finnois se battent comme des ours, résistant à l'ogre soviétique à un contre quatre. Mobiliséà l'âge de 34 ans, Sima Häyhä rejoint son unité sur la rivière Kollaa, où, entre autres faits d'arme, 32 soldats finlandais tiennent tête à 4000 troufions soviétiques.
Simo se met au travail. Avec la régularité d'une horloge suisse, il abat ses cinq ennemis par jour. Durant les premières semaines, les Soviétiques n'y prennent pas garde. Puis la rumeur filtre que la plupart des morts qu'ils enregistrent sont dus à un seul homme, un tireur de génie. Dans un premier temps, les officiers russes chargent des contre-snipers de le repérer, puis de l'abattre. Mais les uns après les autres, ils reviennent avec une balle dans la tête. Alors, un bataillon de soldats est carrément envoyéà la recherche de Simo. Non seulement on ne le trouve pas, mais de nombreux hommes sont abattus. Des tirs d'artillerie se révèlent tout autant vains. Ainsi qu'un bombardement aérien. À chaque fois, le minuscule finlandais s'en tire indemne, sinon, une fois, un accroc dans sa veste. Jusqu'au 6 mars 1940 où un sniper soviétique parvient enfin à le dégommer.
Simo va mettre plusieurs années à récupérer de sa blessure. Il devient une sorte d'icône qu'on vient voir du monde entier. Quand on pose la question sur ce qu'il pense du nombre de ses victimes, il répond, imperturbable, qu'il a fait ce qu'on lui avait demandé de faire, du mieux qu'il pouvait. S'il est crédité officiellement, en tant que tireur d'élite, de 505 victimes, il faut lui en rajouter deux cents abattues au fusil mitrailleur. Soit un total de 705 morts. Qui dit mieux? Simo Häyhä meurt le 1er avril 2002, à 96 ans. Ils étaient nombreux, là-haut, à l'attendre...
© Le Point.fr - Publié le 06/03/2013 à 00:01 - Modifié le 06/03/2014 à 11:16
Pour l’éphéméride du six mars c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/03/06/29370342.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie en prenant de l'âge ferait bien de se faire prescrire du Viagra pour ne plus pisser sur ses chaussettes ou ses pantoufles...
Ben pour la zique de ce vendredi… on va s’écouter le groupe U2 dans le meilleur de leurs œuvres de 1980 à 1990… Ça risque de décoiffer car il y a du rythme… alors écoutons religieusement… Je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=0I_pHyQ56go
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et hivernal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Au cours d'un dîner-débat, le ministre des Finances est interrogé par un étudiant:
- Monsieur le ministre, comment pourrais-je me lancer dans la politique?
- D'où vient votre argent de poche? Questionne le ministre.
- Heu... C'est mon père qui me l'envoie.
- Alors, rassurez-vous. Dès l'instant où vous dépensez de l'argent qui n'est pas à vous, vous êtes dans la politique…
Perles du bac 2014
01. Je dois reconnaître que la pornographie en tant qu’œuvre concrète a radicalement changé ma perception des choses.
02. Dans une première partie, nous verrons les avantages. Dans une deuxième partie, nous verrons les désinconvénients.
03. Pour vivre dans la joie et l’allée graisse, il faut faire des sacrifices.
04. On vit pour être heureux, mais des gens voudraient qu’on soit pas heureux (Etat, parents, professeurs, SNCF…)
05. «Il en faut peu pour être heureux», comme le chantaient les 7 nains de Blanche-Neige.
06. Et si je n’ai pas tout donné avant, la troisième partie comprendra mes pensées sur ce sujet.
07. Vivre heureux c’est parfois simple: un bon canapé, une bière, un match. Bref, rien à faire.
08. Se connaître soi-même nécessite une bonne connaissance de soi.
09. On peut comparer Descartes à un philosophe.
10. Pourtant, pour être heureux, certains font des actes très méchants: violer, tuer, massacrer, torturer, découper, écorcher… Mais il n’est pas nécessaire toujours d’en arriver là.
11. Les chinois étaient comme les nazis: ils ont juste génocidé moins de gens.
12. Un monde multipolaire est un monde où il fait très froid.
13. Mao Zedong a envoyé un ultime atome à ses opposants.
14. On peut observer ce phénomène dans des pays scandinaves, comme l’Allemagne.
15. L’Europe politique, c’est comme l’hiver dans Game Of Thrones: on t’en parle mais on la voit jamais arriver.
16. Au fil des années, la méfiance des européens fait qu’il sont devenus antisceptiques.
17. En conclusion, l’Europe politique n’a rien à voir avec ce que tout le monde imaginait en 1948: comme sur les brochures, il fallait sans doute bien lire les petites lignes en bas!
18. L’Europe reste très liée aux USA, vu qu’il ne sont séparés que par une étendue d’eau.
19. Mao réprima les rebelles en envoyant son armée, composée majoritairement de samouraïs.
20. Un français a dit un jour: « Laissez dormir la Chine, car si la Chine se réveille, après elle sera pas contente. »
21. La population chinoise mourrait de faim, surtout dans les grandes villes: Shanghai, King Kong ou encore Pékin.
22. On dit que la Chine est une République Populaire car elle est très connue dans le monde entier.
23. On peut presque comparer la Chine à la France, sauf au niveau de la taille, de sa puissance financière, du nombre d’habitants et de la langue.
24. La Chine a commencé en 1949. Avant, elle n’avait pas fait grand-chose.
25. Si on découpait les mots à la hache et qu’on comptait les morceaux, on s’apercevrait que le nombre de syllabes est à peu près égal.
26. Cette rencontre va être décisive, car sans vouloir vous spoiler la fin du roman, Fabrice ne va pas rester dans cette prison.
27. Depuis la fenêtre de la salle d’examen, je vois des oiseaux et des nuages dans le ciel. Mais je vois surtout ma maison. Et ça me rend nostalgique rien que de penser que j’y étais encore ce matin.
28. Ce poème comprend beaucoup de comparaisons et d’amphores.
29. Dans le poème, le dialogue entre le brin d’herbe et la tombe montre clairement que nous n’habitons pas le même univers.
30. Comment s’exprime le sentiment amoureux dans les trois textes du corpus? De façon très impénétrable.
31. Devant de tels vers, on ressent une émotion comprise entre le néant intégral et l’incompréhension.
32. Victor Hugo est un écrivain et un poète du 19ème siècle. On lui doit notamment Notre Dame de Paris ou encore Les Minables.
33. Lorsque je lis un poème, j’entends les cigales qui chantent.
34. Amis lecteurs, les thèmes abordés par les poètes ne sont pas toujours sérieux et graves: ils sont parfois chiants aussi!
35. L’émotion que l’on ressent à la lecture d’un texte poétique est la satisfaction de savoir comprendre des œuvres que les autres ne comprennent pas.
Les patates
Le cuisinier de l'Elysée rentre une tonne de pommes de terre mais doit les trier.
Ne trouvant personne pour le faire à sa place, il demande à un gamin, en le payant, de les trier.
Le gamin accepte et se met au travail.
Il range les petites à gauche et les grosses à droite.
Au bout de 20 minutes, le gamin dit:
- A droite, l'UMP et à gauche, le FN»
Hollande l'entend et lui demande:
- Pourquoi jamais le PS? Et le gamin lui répond:
- Je n'ai pas encore trouvé de pourrie
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C'est vendredi... le réveille-matin qui ne fait jamais grève, fait son devoir de bourreau, celui de nous faire sortir du plumard et c'est énervant... Bon, on continue la routine journalière mais ce matin, pour le parcours routier, il faudra bien faire attention car il risque d'avoir du verglas et les éternels bouchons du matin et peut-être du soir aujourd'hui... Le travailleur a de nouveau le sourire et met du cœur à l'ouvrage pour les dernières heures de labeur... Malgré le redoux, en ces jours de pluie et de neige, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...