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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du huit mars

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«À la Saint-Humphroy, au pré les vaches ont froid.»

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«De la Saint-Jean-de-Dieu à la Saint-Grégoire, vents et giboulées font notre désespoir.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est dimanche et la météo est belle et ensoleillée; les derniers vacanciers vont rejoindre leurs pénates en espérant que la route ne soit pas trop encombrée; avec le soleil revenu, malgré les températures frisquettes, l'appel de la promenade se fait sentir, en montagne avec le ski de fond ou les raquettes et en plaine, balade en campagne où l'herbe commence à reverdir... histoire de se refaire une santé et il faut profiter de ce jour car demain c'est travail...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 2° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce dimanche, persistance de conditions très agréables grâce à un temps bien ensoleillé malgré le passage de voiles d'altitude, plus étendus en matinée et sur le nord de la région. Gelées à l'aube puis températures douces en journée en plaine comme en moyenne montagne. Températures prévues pour dimanche: minimales -3 à 1°à basse altitude, maximales 10 à 13°, jusqu'à 14 degrés en Valais central. Dans le Jura à 1000m: -3 puis 12°. En montagne: 3 puis 6°à 2000 m, -2 puis 0°à 3000 m. Tendance à la bise sur le Plateau et le bassin lémanique. Vent de nord-est modéré sur les crêtes du Jura et en haute montagne, régime de brises dans les vallées alpines...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de saison... pas perturbée, sans plus...  eh oui il fait beau mais c'est encore l'hiver... Avec pour ce jour: après la dissipation de quelques brumes ou de nappes de brouillard matinales un peu plus denses des Pays de la Loire au Sud-ouest, la journée restera bien ensoleillée sur la plus grande partie du pays malgré le léger voile nuageux. Le vent de nord restera assez fort le matin sur la Corse avec des rafales de 70 à 90 km/h, mais en atténuation l'après-midi. 
En revanche, des nuages plus nombreux s'annonceront sur la façade atlantique et de la Manche puis s'épaissiront pour donner un peu de crachin sur le Finistère. 
Le matin, de petites gelées persisteront sur l'est avec 0 et -3 degrés mais il fera un peu plus doux sur la façade ouest, entre 1 et 8 degrés. L'après-midi, les températures maximales deviendront très douces voire quasiment printanières avec 14 à 20 degrés en général, mais seulement 11 à 13 sur la façade océane et de la Manche, sous les nuages...

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 28°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, voilé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 26°à 33°; à la Martinique ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31°; ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 30°à 32° en Guadeloupe; nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 28°à 30°; Polynésie française, peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 31°; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 28° aux Marquises; ciel variable à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -2°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 07:02 et le coucher du soleil se fera à 18:27 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables de mars en France 

TMax: 31.0°C (Pau-Uzein le 25/03/1955)
TMin: -22.0°C (Le Puy-Loudes le 01/03/2005)
Précip: 184.6 mm (Solenzara le 01/03/1986)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:

Jeudi 19 mars à 06h09, coefficient 97, à 18h37, coefficient 105
Vendredi 20 mars à 06h59, coefficient 110, à 19h23, coefficient 115
Samedi 21 mars à 07h45, coefficient 118, à 20h07, coefficient 119
Dimanche 22 mars à 08h28, coefficient 118, à 20h48, coefficient 115
Lundi 23 mars à 09h09, coefficient 111, à 21h26, coefficient 105
Mardi 24 mars à 09h47, coefficient 98, à 22h03, coefficient 90

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…  

En 1989: on pouvait observer des aurores boréales sur notre pays.
En 1988: l'épaisseur de la couche de neige dépassait 1 mètre à Botrange
En 1957: la température maximale atteignait 18.7°à Middelkerke

 

Les journées mondiales et internationales

Le huit mars c’est la Journée Mondiale de la Femme
http://www.journee-mondiale.com/192/journee-mondiale-de-la-femme.htm

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Le 8 mars célèbre la journée internationale des femmes

Officialisée par les Nations Unies en 1977, la Journée Internationale des Femmes trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes. Traditionnellement les groupes et associations de militantes préparent des manifestations, pour fêter les victoires et les acquis, faire entendre leurs revendications, afin d’améliorer la situation des femmes.

La Journée internationale des femmes reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. Car tant que l’égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer.

 

Les expressions françaises décortiquées

Faire flanelle
1. S'abstenir, ne rien consommer ou acheter

2. Ne rien faire, glander

Origine
Cette expression nous vient de l'argot du début du XIXe siècle où flanelle désignait, selon Lorédan Larchey, une personne qui, avec une fille de joie, se contentait de converser, mais ne consommait pas.
L'appellation vient d'un jeu de mot sur flâner, transformé en flanelle. Et comme il n'y avait pas d'acte sexuel, d'autres y ajoutent que la mollesse de la flanelle était comparable à celle du pénis inutilisé.
«Faire flanelle» s'est d'abord appliquéà la personne qui va dans des maisons closes, y boit, y pelote éventuellement les filles, mais sans monter avec une d'entre elles.
Par extension, dans un sens moderne (les maisons closes étant maintenant closes pour de bon), l'expression, désigne aussi toute personne qui se présente, mais ne consomme ou n'achète pas, comme celui qui passe de bar en bar sans rien y boire (ou qui n'achète qu'une consommation, mais squatte sa place des heures durant), ou celui qui, chez un marchand, fait déballer la marchandise mais finit par ne rien acheter.
Elle s'utilise également pour l'impuissant, dont l'instrument reste désespérément aussi mou que de la flanelle.
Enfin, par extension encore, on l'utilise actuellement pour désigner celui qui ne fait rien, qui tient les murs.
Exemple
«(...) j'écris en hâte nous avons des tas de travail, nous avons lui [le peintre Paul Gauguin] et moi l'intention d'aller très souvent faire flanelle dans les bordels pour les étudier.»
«Lorsque l'on va sur ses soixante-dix ans, et que l'on veut honorer une belle, il faut prendre un stimulant, faute de quoi l'on risque, pour parler un peu communément, de faire flanelle.»

 

La France pittoresque

Pâques à une date fixe? Vœu des vacanciers des années 1920!
D’après «Le Petit Journal illustré», paru en 1932

Dans les années 1920, et cependant que les réjouissances de Pâques deviennent peu à peu synonymes de villégiature après la longue réclusion hivernale, certains, à la suite d’un mouvement né en Angleterre, voudraient bien voir une date fixe assignée à la fête chrétienne, pour coïncider chaque année avec les beaux jours...
Ce n’est pas encore-cette année que nous verrons la fête de Pâques stabilisée. La date de Pâques c’est un peu le casse-tête chinois du calendrier, explique Ernest Laut en 1932. Entre le 22 mars au plus tôt et le 25 avril au plus tard, Pâques peut occuper trente-cinq dates différentes. Ainsi l’a voulu le Concile de Nicée, en 325.
Suivant la tradition, la résurrection du Christ se produisit au lendemain de la pleine lune qui suivit l’équinoxe du printemps; le dit Concile décida, en conséquence, que la fête de Pâques serait célébrée chaque année le premier dimanche qui suit la pleine lune équinoxiale, c’est-à-dire la pleine lune qui vient immédiatement après le 21 mars:

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Pour fêter le printemps

Il résulte de là que Pâques ne peut arriver avant le 22 mars ni après le 25 avril. Si, en effet, la pleine lune a lieu le 21 mars, le dimanche suivant le plus rapproché tombera le 22. Si la pleine lune vient le 20 mars, ce ne sera pas la lune équinoxiale: celle-ci ne viendra que le 18 avril; et le dimanche suivant sera au plus tard, le 25 avril. Ces deux dates extrêmes se produisent rarement. C’est ainsi que Pâques a été célébré le 22 mars 1818, et ne le sera plus à cette date qu’en l’an 2285. La fête a été célébrée le 25 avril en 1874; en 1885; en 1943.

Nos aïeux attachaient peu d’importance à ces dates. La semaine sainte était pour eux une période d’exercices religieux, de jeûne et d’abstinence, à laquelle succédait, le dimanche et le lundi de Pâques, une série de réjouissances familiales et de bombances en intimité. Peu leur importait qu’il fît froid ou qu’il plût au dehors. On se distrayait au logis; et l’on ne songeait pas, à une époque où le moindre voyage était une affaire d’Etat, à courir les chemins pour son plaisir.

Or, il n’en est plus de même aujourd’hui. Les vacances de Pâques sont devenues une période de villégiature. Après la longue réclusion de l’hiver, chacun est pris par la fièvre du déplacement et la fringale du grand air. On ne rêve plus que de partir à la recherche des premières sensations printanières. La pratique de la bicyclette d’abord, puis celle de l’automobile ont si bien développé le goût de tourisme, qu’aux vacances de Pâques, même si l’hiver n’a pas dit son dernier mot; un grand nombre de citadins s’en vont aux champs.
Malheureusement, quand Pâques arrive de bonne heure, quand la nature n’a pas encore «dépouillé son manteau de vent, de froidure et de pluie», la fête perd tous ses attraits pour les voyageurs. Mais, par contre, si les vacances pascales tombent dans la seconde quinzaine d’avril, les amateurs de villégiature ont toutes les chances du monde pour bénéficier des premiers beaux jours.

C’est pourquoi, dès les années 1920, on réclama la stabilisation de la fête de Pâques, c’est-à-dire sa fixation à une date immuable, et éloignée le plus possible des jours froids et maussades de l’hiver. Le mouvement est parti d’Angleterre. Nos voisins, qui sont grands voyageurs, aiment à villégiaturer à Pâques; et ils voulaient pouvoir le faire sans risquer les rhumes et les congestions.
En 1920, un bill avait été déposéà la Chambre des lords à ce sujet. Les évêques anglais s’en mêlèrent, le cardinal de Westminster promit d’intervenir auprès du -pape pour obtenir la réforme. Un concile devait se tenir à Rome en vue de modifier «dans le sens des aspirations modernes le statut de Pâques fixé jadis par le concile de Nicée.

Enfin, la Société des nations fut sollicitée d’intervenir, en tant que plus haute émanation du pouvoir civil et, partant, la voix même des peuples... Or, la stabilisation de la fête de Pâques intéressait également tous les pays de la chrétienté. Une commission spéciale de la S. D. N. - la commission du Calendrier - avait été chargée de s’occuper de la question. Mais la dite commission ne fit pas besogne fructueuse.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Ramponneau, comédien éphémère mais cabaretier hors pair
D’après «Curiosités théâtrales anciennes et modernes, françaises et étrangères» paru en 1859

En 1760, le cabaretier Ramponneau, grisé par l’accueil que lui réserve sa clientèle d’habitués lorsqu’il use de ses «saillies au gros sel», entame une carrière de comédien ne durant que le temps d’une représentation, son retrait prématuré des planches lui valant un procès

Ramponneau était un cabaretier bon vivant de la Courtille, et son nom est encore populaire aujourd’hui. La guinguette de ce joyeux compère, portant pour enseigne la trogne rubiconde du maître, à califourchon sur un tonneau, avait la vogue entre toutes les guinguettes des Porcherons. A côté des bons drilles, qui allaient danser et faire la ripaille au «Tambour-Royal»; à côté des élégants qui s’y faufilaient pour jouir du spectacle, acteurs et auteurs du boulevard y venaient trinquer de concert. C’était là que Dorvigny composait ses Jocrisses; que Taconnet et Constantin, acteurs de Nicolet (et deux originaux aussi, le premier surtout), buvaient leurs vingt bouteilles de compagnie, en faisant des études de types populaires pour leurs rôles.

Il est probable que le fameux Volange, dit Janot, s’y rendit plus d’une fois lui-même. Cette compagnie quotidienne, les faciles succès qu’obtenait Ramponneau au milieu de ses habitués, avec sa bonne physionomie niaise et radieuse, sa belle humeur, ses saillies au gros sel, tout cela finit par lui donner l’ambition et l’espoir de rivaliser avec la gloire de Volange. Il alla donc un jour trouver Gaudon, qui dirigeait, au boulevard du Temple, un petit théâtre en concurrence avec les Variétés amusantes, où trônait celui-ci, et s’engagea, par un traité en règle (27 mars 1760), à jouer dans son spectacle. C’était la fortune pour Gaudon, qui accueillit la proposition avec transport.

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Intérieur du Tambour-Royal, cabaret tenu par Ramponneau. (Source: Bibliothèque nationale de France)

La chose arrangée et quelque argent touché d’avance, Ramponneau, en attendant son début, va donner une représentation d’essai à Versailles. Mais il ne réussit qu’à se faire huer. Il revient l’oreille basse, et, la veille du grand jour, Gaudon reçoit une lettre par laquelle Ramponneau, pris de scrupules religieux, annonce que sa conscience ne lui permet pas de tenir sa promesse. On peut juger des hauts cris jetés par Gaudon, qui avait déjà fait tous ses préparatifs et qui s’attendait à un succès fabuleux. De là sommations, assignations, enfin procès, avec maître Élie de Beaumont pour avocat du directeur, et le facétieux Coqueley de Chaussepierre pour avocat du cabaretier. Tous les journaux, toute la ville, ne parlent plus d’autre chose: on s’en occupe à Versailles; on parie pour et contre. Élie de Beaumont fit de son plaidoyer une apologie de la comédie et des comédiens contre leurs détracteurs; mais, malgré son éloquence, on donna gain de cause aux scrupules de Ramponneau, qui, moyennant la restitution des deux cents livres reçues, put retourner à son cabaret.

Hélas! En approfondissant les pieux remords de Ramponneau, voici ce qu’on y a trouvé, outre sa crainte bien fondée d’un échec, il avait vendu sa guinguette dans l’intervalle au prix de quinze cents livres, mais à la condition expresse, posée par l’acquéreur, d’y rester pour conserver le chaland. Voilà pourquoi il se sentait pris de scrupules. Du reste, cette affaire ne fit qu’accroître sa vogue et sa célébrité. Voltaire y ajouta encore par son malin plaidoyer en sa faveur. Dès lors, on voit les équipages stationner à sa porte; on retient ses salons huit jours à l’avance; les grandes dames vont aux Porcherons tout exprès pour le contempler et l’entendre, et le Tambour-Royal devient trop petit pour la foule.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Révolte des Maillotins en 1382
D’après «Le Magasin pittoresque», paru en 1845

Au commencement du règne de Charles VI (1380-1422), des mouvements populaires inquiétants pour l’aristocratie eurent lieu en Flandre, en Angleterre et en France
Le foyer révolutionnaire était la puissante et populeuse ville de Gand, dont les habitants s’entendaient avec ceux de Londres et de Paris, et ne voulaient rien moins qu’exterminer «toute noblesse et gentillesse.» L’insurrection parisienne éclata le 1er mars 1382, lorsque le duc d’Anjou eut voulu rétablir par force une taxe sur les denrées.

«Il y eut, dit Juvénal des Ursins, une vieille qui vendoit du cresson aux halles, à laquelle le fermier vint demander l’imposition, laquelle commença à crier. Et à coup vindrent plusieurs sur ledit fermier, et luy firent plusieurs plaies, et après le tuèrent et meurtrirent bien inhumainement. Et tantost par toute la ville le menu peuple s’émeut, prirent armures, et s’armèrent tellement, qu’ils firent une grande commotion et sédition de peuple, et couroient et recouroient, et s’assemblèrent plus de cinq cents... Et pour ce qu’ils étoient mal armés et habillés, ils surent que en l’hostel de la ville avoit des harnois, ils y allèrent, et rompirent les huis oùétoient les choses pour la défense de la ville, prirent les harnois et grande foison de maillets de plomb, et s’en allèrent par la ville, et tous ceux qu’ils trouvoient fermiers des aides, ou qui en étoient soupçonnés, tuoient et mettoient à mort bien cruellement.»

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Les Maillotins sortant de Paris pour recevoir Charles VI

Charles VI, qui était alors à Meaux, n’osa rentrer à Paris et envoya seulement les troupes royales ravager les environs de la ville. Les bourgeois, alors, fermèrent les portes, tendirent les chaînes des rues et exercèrent une surveillance active pour déjouer les projets de ceux qui auraient voulu livrer la capitale au roi. «Et étoient, dit Froissard (livre II, chapitre 151), en la cité de Paris, de riches et puissants hommes armés de pied en cap, la somme de trente mille hommes, aussi bien arréés (équipés) et appareillés de toutes pièces comme nul chevalier pourroit être; et avoient leurs varlets et leurs mainies (serviteurs) armés à l’avenant. Et avoient et portoient maillets de fer et d’acier, périlleux bâtons pour effondrer heaumes et bassinets; et disoient en Paris quand ils se nombroient, que ils étoient bien gens, et se trouvoient par paroisses, tant que pour combattre de eux-mêmes, sans autre aide, le plus grand seigneur du monde. Si appeloit-on ces gens les routiers et les maillets de Paris.»

C’est seulement à partir du XVIe siècle que l’on a appelé Maillotins les Parisiens révoltés en 1382. Le roi et ses oncles, effrayés de ces formidables préparatifs, capitulèrent avec la ville qui consentit à payer un don gratuit de 100 000 livres, à condition que les impôts ne soient pas rétablis.
Les troubles recommencèrent à la fin de la même année; mais lorsque le roi eut triomphé des Flamands à la sanglante journée de Rosebecque (27 novembre 1382), il marcha sur Paris à la tête de son armée victorieuse. Les habitants sortirent et allèrent à sa rencontre au nombre de trente mille hommes bien armés. Cette démonstration jeta l’effroi parmi la noblesse; mais sans chefs, les Parisiens ne surent pas prendre la résolution de se défendre; ils laissèrent pénétrer dans leurs murs le roi qui y entra avec ses troupes par une brèche, comme dans une ville conquise. Les bourgeois furent ensuite désarmés, et l’esprit de révolte fut étouffé dans les supplices.

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Bart (Jean), corsaire s’illustrant durant les guerres de Louis XIV.
D’après «Le Magasin pittoresque», paru en 1848

Le 7 septembre 1845, Dunkerque inaugurait avec des honneurs extraordinaires la statue de l’illustre marin. Ce jour avait été choisi comme anniversaire, en commémoration du fameux triomphe remporté par Jean Bart, le 7 septembre 1676, sur une frégate hollandaise dont les forces étaient au moins triples des siennes...
Lille, Turcoing, Bergues, Saint-Omer, Calais, Gravelines et plusieurs autres villes voisines avaient envoyé des députations pour prendre part à cette fête vraiment nationale; une foule immense se pressait au pied de la statue encore voilée, attendant avec impatience qu’on la découvrît. Le marbre enfin apparut à tous les regards: de longues acclamations saluèrent l’œuvre de l’artiste, où semble revivre ce hardi capitaine, une des gloires de la marine française.

Le statuaire a représenté Jean Bart au plus fort du combat, à l’instant de l’abordage: l’épée d’une main, le pistolet, de l’autre, déjà l’intrépide corsaire enjambe un des canons du bord ennemi; il avance sans peur, la poitrine offerte à tous les coups, et, dédaignant le danger, il tourne la tête du côté des siens pour les animer du geste et du regard. C’est une noble image, digne de celui qu’elle représente, digne aussi de la cité patriotique qui l’avait commandée au ciseau de l’artiste. La vie entière de Jean Bart, tout son courage, tous ses hauts faits sont réunis en quelque sorte dans cette attitude héroïque de la statue, et ce marbre, animé par l’inspiration du talent, parle au cœur, en même temps qu’aux yeux.

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Statue de Jean Bart

«C’est ainsi, disait le comte Roger, alors député de Dunkerque, et qui fut l’orateur naturel de cette inauguration, c’est ainsi que les hommes illustres doivent être honorés et produits au peuple. Sous la gloire populaire il se cache toujours une leçon profonde et un grand enseignement. Vous tous qui m’écoutez, vous vous assemblez ici pour saluer cette image, pour couronner cette puissante personnification du génie maritime; gardez la mémoire des émotions de ce jour; et si la paix dont vous jouissez était jamais troublée, si les heures de danger revenaient pour la France, on vous verrait, j’en atteste les souvenirs du passé, fidèles à vous-mêmes, montrer ce courage qui pousse aux grandes actions, ce dévouement qui les inspire, cette énergie qui les accomplit!...»

Personne n’en doute; à l’heure du danger, la France n’aura pas besoin de faire appel au courage de ses marins. Dunkerque, Cherbourg, Saint-Malo, se vantent justement de n’avoir pas été les moins utiles à la défense nationale, et il faut interroger les Anglais pour savoir quelle terrible guerre nos corsaires ont faite depuis deux siècles aux ennemis de la France. Le corsaire, comme on sait, reçoit une lettre de marque signée du ministre; il arme lui-même son vaisseau pour la course, il combat en volontaire, à ses risques et périls; mais il n’en est pas moins au service de l’État et soumis au code maritime.

Aussi ne peut-il être confondu avec le pirate. De toutes les nations qui ont une marine, nulle plus que la nôtre ne fut redevable à ses corsaires. Raynal a consigné dans son Histoire philosophique, les services immenses que la course a rendus à la France pendant toutes les guerres de Louis XIV, et Vauban, qui personnifie en quelque sorte le génie de la défense, a écrit tout un mémoire pour démontrer la nécessité et l’avantage des armements de corsaire: «Il faut, dit-il, de toute manière faciliter la course tant que durera la guerre.»
Les noms de Jean Bart et de Du Guay-Trouin, rendus illustres par tant d’exploits audacieux et tant de prises faites sur l’ennemi, disent assez de quel puissant secours les corsaires ont été pour notre marine régulière sous le règne de Louis XIV. Eux seuls suffirent à balancer tous les avantages remportés par les flottes alliées; après le grand événement de la Hougue, ils surent défendre victorieusement les côtes françaises et faire douter l’ennemi de l’avantage douteux qu’ils venaient d’obtenir contre nous. Jean Bart, pour ne parler que de lui, fils d’un pêcheur, ne montait encore qu’un petit bâtiment, tandis que, par les soins de Louis XIV, la France comptait 198 vaisseaux de guerre; mais les défaites arrivèrent, les amiraux se firent battre tandis que le fils du pêcheur se signalait par des courses de plus en plus brillantes.

Un jour il se trouva le premier marin du royaume; on le mena à Versailles, et quoiqu’on eût dit de lui qu’il n’était bon que sur son navire, Louis XIV ne le nomma pas moins chef d’escadre. On connaît la belle réponse de Jean Bart: «Sire, vous avez bien fait», et il le prouva. Au lieu d’un seul navire, il en eut sept ou huit sous ses ordres; devenu plus prudent sans rien perdre de son audace ni de son bonheur, il fit toujours la guerre en volontaire, mais avec d’autant plus de succès que ses forces disaient plus augmentées. En 1691, il brûla plus de 80 vaisseaux ennemis et revint avec 1 500 000 francs de prises; en 1692, il prit seize navires marchands aux Hollandais; en 1693, il répara la défaite de la Hougue, en détruisant ou capturant 87 navires ou vaisseaux des alliés.

Et jusqu’à la paix de Ryswick, sa fortune ne se démentit pas un instant; chacune de ses croisières fut signalée par de nouveaux exploits, et c’est par centaines qu’il comptait ses prises de chaque année. Cent ans plus tard, lorsqu’une nouvelle coalition vint menacer la France, le souvenir de Jean Bart et des autres capitaines qui avaient partagé sa gloire de corsaire devait électriser toutes nos populations maritimes. Aussitôt la guerre déclarée, les ports s’empressèrent d’armer pour la course.

L’Assemblée législative, cependant, hésitait à délivrer des lettres de marque; au nom de l’humanité elle demanda à toutes les nations européennes d’abolir cet usage de la course; Hambourg et les villes anséatiques accédèrent seules à cette demande; l’Angleterre, la Russie, l’Espagne, toutes les puissances enfin refusèrent d’y adhérer. Or la France n’était pas la plus intéressée à la suppression de la course, dont elle avait généreusement voulu prendre initiative.

Dès la fin de 1797, la dette de la marine anglaise était déjà de 6 093 414 livres sterling, soit 150 millions de francs. Que l’on calcule, d’après cette proportion ce que durent coûter encore à la marine anglaise les dix-huit autres années de guerre, jusqu’en 1815, et l’on trouvera que nos corsaires ont aussi bien vengé les désastres d’Aboukir et de Trafalgar qu’autrefois Jean Bart celui de la Hougue. Nous donnons ces chiffres afin de donner comparativement ce que la France a pu devoir à ses corsaires sous le règne de Louis XIV, pour lequel les chiffres précis nous manquent.

Il est certain que dès lors les coureurs causaient infiniment plus de mal que nos flottes aux marins ennemis; et Jean Bart aurait pu conseiller à Louis XIV ce qu’un de ses plus dignes successeurs, Robert Surcouf (voir article sur notre site), le corsaire de Saint-Malo, conseillait un jour à Napoléon: «Sire, à votre place je brûlerais tous mes vaisseaux de ligne, je ne livrerais jamais de combat aux flottes et aux escadres britanniques; mais je lancerais sur toutes les mers une multitude de frégates et de légers qui auraient bientôt anéanti le commerce de notre rivale et la mettraient ainsi à notre discrétion.»

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Huit mars 1910: Canular à Montmartre: l'âne Aliboron s'improvise peintre impressionniste. Pour se moquer des Impressionnistes, l'écrivain Roland Dorgelès fait exposer le tableau d'un âne au salon des Indépendants.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Le 8 mars 1910, le soleil se lève sur Montmartre d'une humeur farceuse. À l'époque, la Butte ne parle pas encore japonais, anglais, chinois ou russe. Guère de touristes. C'est encore un village de province que les artistes désargentés ont colonisé, car on y vit pour pas cher. Les voyous, les fameux Apaches, y fréquentent les cabarets, comme le Lapin agile. Ce jour-là, le jeune critique d'art Roland Dorgelès, âgé de 24 ans, est bien décidéà se foutre de la gueule de ses amis peintres impressionnistes dont il apprécie peu les oeuvres. Il en veut surtout au poète Guillaume (Apollinaire), qui lui reproche souvent de "n'aimer que la peinture de singe".

Grand amateur de canulars, Dorgelès s'est mis en tête de faire exposer au Salon des Indépendants un tableau peint secrètement par un âne. Sur la petite terrasse du cabaret Le Lapin agile, tenu par le père Frédé, il attend ses deux complices, le critique-écrivain André Warnod et l'illustrateur Jules Depaquit. Il a prévenu le père Frédé qu'il aura besoin de son âne Aliboron - Lolo pour les intimes - pour une blague. Le cabaretier l'utilise habituellement pour tirer une petite charrette chargée de poisson qu'il vend dans les rues de Montmartre pour mettre du beurre dans ses épinards.

Carottes et tabac… Les trois larrons commencent par déjeuner de bonne humeur. Vers 15 heures, ils accueillent l'huissier Me Brionne, convoqué pour officialiser la plaisanterie. Le père Frédé va chercher Lolo dans son cagibi avant de fixer un pinceau à l'extrémité de sa queue. Dorgelès pose sur une chaise, à portée de queue de l'artiste, une toile où deux couleurs ont déjàété apposées pour représenter un ciel et un sol. La technique de peinture est directement inspirée de celle de Monet: le pinceau est trempé dans un pot de peinture tandis que le père Frédé tend à son âne soit des carottes, soit des feuilles de tabac pour stimuler sa verve créatrice, en l'occurrence les mouvements de sa queue. "Vous remarquerez, maître, que l'âne peint tout seul!" s'exclame Frédé. "Je note", répond l'huissier. Bientôt, le peintre fatigue. La queue baisse, la toile est achevée. C'est un chef-d'oeuvre. Il faut maintenant lui donner un titre. Les propositions fusent. Finalement, Dorgelès se prononce: "C'est une marine. On l'appellera Et le soleil se coucha sur l'Adriatique." Maître Brionne s'enquiert du nom de l'artiste. Ce sera Joachim-Raphaël Boronali (anagramme d'Aliboron).

Quelques jours plus tard, le tableau est exposé au Salon des Indépendants de 1910, ouvert librement à tous les peintres désireux d'exposer. Pour peaufiner son canular, Dorgelès distribue un texte, "Le manifeste de l'excessivisme". Un collectionneur particulièrement séduit par l'œuvre en propose 400 francs, lesquels seront reversés à l'orphelinat des Arts. Il est temps pour Roland Dorgelès de révéler sa mystification avec une incommensurable délectation. Il fournit le constat d'huissier et les photos au quotidien Le Matin, qui révèle la supercherie dans un article intitulé Un âne chef d'école. Les rieurs se précipitent en masse pour admirer l'œuvre de Lolo, qui choisit sagement d'arrêter la peinture au sommet de sa carrière... 

8 mars 1910. Canular à Montmartre : l'âne Aliboron s'improvise peintre impressionniste.
© Le Point.fr - Publié le 08/03/2012 à 00:00 - Modifié le 08/03/2014 à 00:01

 

Pour l’éphéméride du huit mars c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/03/08/29385439.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo 

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service, pour la Journée internationale de la femme, sort toute l'harmonie avec tous ses instruments à vents...

 

dicton0308

 

Ben pour la zique de ce dimanche… on va s’écouter le groupe Maroon dans le meilleur de leurs prestations… Je ne les connais ni d’Eve ni d’adam mais ça risque de chauffer car il y a du rythme… alors écoutons religieusement… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=n1TfxjM-Tsg

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et hivernal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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BIERE ou FEMME!?
- Une bière est toujours humide, une femme non. Un point pour la bière!
- Une bière est horrible quand elle est chaude. Un point pour la femme.
- Pour une bière tu payes les taxes. Un point pour la femme!
- Si tu prends une deuxième bière la première ne sera pas fâchée. Un point pour la bière!
- Tu peux toujours être sûr que tu es le premier à ouvrir une bière. Un point pour la bière!
- Tu sais exactement combien coûte une bière. Un point pour la bière!
- La bière n'a pas de mère. Un point pour la bière!
- A un moment donné, la bière te saoule... la femme aussi. Aucun point attribué!
Alors le score est de 5 à 2. La bière a gagné.
Si t'es un mec, transmets juste ce message, si c'est une femme qui est en train de lire en s'énervant sache que la bière ne s'énerve pas. UN POINT POUR LA BIERE!!!!

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Les perles du bac 2013; l'orthographe n'a pas été modifié.

Histoire

«Jacques Chirac était premier sinistre lors de l'enterrement des idées de de Gaulle.»

«Jacques Chirac dit que les français ne veulent plus de la collectivisation, ça veut dire qu'ils en ont assez de vivre en collectivité les uns sur les autres.»

«Charles de la Gaulle a été Président de la République.»

«2000: instauration de la quinquenade»

Philosophie

«Le langage ne se limite pas à la parole. Si on prend l'exemple du Gangnam Style, c’est une dance qui est très connue dans le monde mais dont personne ne comprend les paroles.»

«S'il n'y avait pas de lois, les gens seraient libres de conduire en état de sobriété.»

«Lorsque les Schtroumphs disent 'je te schtroumph', cela signifie t-il: je t'aime/te déteste...? Ainsi nous interprétons selon le contexte. De même dans Pingu, bien que pas répertorié, cette animation est mondialement interpréter.»

«Moralité et politique ne font pas toujours bon ménage (ex: DSK).»

«Parfois, il est vrai que l'on se sert du langage comme un outil pour arriver à ses fins: ici, j'essaie désespérément d'utiliser le langage pour vous prouver que je mérite une bonne note.»

«Je devrai ici citer une référence mais je n'en ai que deux pour tout le devoir, alors je la garde pour plus loin.»

«Le travail n'est pas toujours révélateur d'un potentiel: par exemple, certains élèves de ma classe n'ont rien fait pendant l'année et ils auront quand même leur bac.»

«Le langage peut être un outil même si les gens parlent pour faire du vent: ça fait courant d'air.»

«Bernardo, le copain de Zorro, ne parlait pas: il devait donc utiliser un autre langage pour se faire comprendre.»

«La politique n’a rien à faire en philosophie. Tout le monde sait bien que Descartes était membre du Parti Socialiste, et pourtant il a écrit de très bons livres.»

Les culottés
«L’ensemble de ce paragraphe peut sembler incompréhensible, mais en cherchant bien, il y a des choses qui méritent une bonne note.»

«Ce texte est très intéressant, mais il ne m’intéresse pas.»

«Je ne répondrai pas à aux questions suivantes car elles ne sont pas au programme et elles sont trop compliquées.»

«Cette question est tellement facile que je n’ai pas pris le temps de recopier la réponse (j’ai fait le calcul dans ma tête).»

Géographie

«Q: Citez deux villes mondiales.
R: Mexique et Chine»

«On voit que l'Union Européenne occupe une place centrale dans les échangismes internationaux.»

«L'Afrique du sud a été crée en 1815 par Nelson Mandela.»

«En Afrique du sud, il y a plusieurs peuples qui ne parlent pas la même langue: c'est la bio-diversité.»

«L'afrique du sud poursuit son développement autour de ses grandes villes: johannesbourg, Dublin ou encore le cap.»

«Sur le schéma, l'UE est celui qui a le plus gros rond. Les autres pays ont des ronds moins gros. Et aussi plein de flèches partent un peu partout. L'UE a aussi le plus grand score. Donc c'est que c'est plutôt bien.»

Economie et environnement

«Le commerce mondial, c’est comme un immense super-marché AUCHAN, mais avec la climatisation et avec des prix beaucoup moins chers.»

«L’enjeu principal concernant la gestion durable d’un territoire est le respect des animaux, et en particulier des marmottes, qui sont de petits animaux fragiles mais très amusants.»

«La concurrence est un phénomène naturel entre les hommes. C’est pourquoi il existe des femmes plutôt jolies et des femmes plutôt moches. C’est pareil dans l’économie avec la concurrence entre les entreprises.»

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Cru 2012: perles du BAC

Des perles historiques:

«Une fois mort, Kennedy ne pouvait plus y faire grand-chose.»on en connait d'autres?

«La guerre froide laisse encore des frissons aujourd’hui.»encore un coup de réchauffement climatique?

Des perles géolocalisées...

«Au Japon, le manque de place oblige les autorités à construire des aéroports sous-marins.» les suisses ont bien une marine)

«Les gens vont vers le sud parce qu’il y a de belles femmes» j'en perds le Nord!

«Les pays pauvres se sont quasiment tous rassemblés en Afrique. Il aurait plutôt dû se rapprocher des États-Unis, comme l’ont fait le Mexique et le Canada». cela s'appelle la tectonique des blagues

Les philosophes:

«Pour être heureux, l’homme doit aller en Laponie car là-bas, la nature est encore intacte et ses désirs ne sont donc pas influencés par les autres (pour Épicure, l’homme doit tendre vers l’aponie = la paix du corps et vers l’ataraxie = la paix de l’esprit.» on est proche de l'agonie

«La meilleure façon de juger de l’utilité d’un travail se mesure aux résultats. Ainsi je pourrai juger de l’utilité de mes professeurs en fonction des résultats que j’obtiendrai au baccalauréat.» Et pan...

«Descartes avec le cogito, soit le «je pence donc je suis» nous montre que si je pence être utile je le suis.» on n'est jamais aussi bien servi que... par soi même!

Sciences de la vie et de la terre, économiques et sociales:

«Les végétaux fixent l’oxygène sur leur feuille grâce aux globules verts.» A quand les transfusions chloroplastiques?

«L’inégalité du recul des élèves est aidé mais malgré cette aide pour réussir l’inégalité au vu des autres voyant des élèves aidés est-elle perçue? ou injuste?» Je peux revenir en 2ème semaine?

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A New York, un désespéré se tient en équilibre, prêt à sauter, au bord d'une fenêtre du 87èmeétage d'un gratte-ciel. Plusieurs personnes, dans la pièce, lui lancent diverses adjurations.
- Pensez à votre femme et à vos enfants, dit une dame.
- Songez à votre salut éternel, dit un pasteur.
- Si vous sautez, quand même, dit une secrétaire, vous pourriez m'éviter une course inutile? En passant devant le 54ème, soyez aimable de leur lancer cette lettre.

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118

 

C'est dimanche... le réveille-matin est encore en congé pour ce jour et il nous fout la paix... Pour ce matin de ce jour de repos, on flâne un bon moment au lit puis, profitant du beau temps, ce sera pour beaucoup la promenade dominicale, au bord de l'eau ou en campagne et pour les amoureux de la neige, la glisse en luge ou à skis ou la randonnée en raquettes, mais il faudra aussi bien profiter du soleil et de ses bienfaits, mais attention à lui, il attaque par le bas et peut être dangereux... Malgré le redoux, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...

 

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