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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du treize mars

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«À la Sainte-Euphrasie, sur ses bourgeons on s'extasie.»

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«An qui produit pas trop de glands, pour la santé n'est pas bon an.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est vendredi, la semaine active se termine pour beaucoup ce soir et tout le monde est content car le beau temps est encore de mise dans la majorité des régions... avec le week-end en point de mire, l'ambiance est sereine dans les usines comme dans les bureaux...comme quoi un rayon de soleil et un peu de chaleur peut changer la face du monde... Les oiseaux gazouillent ou piaillent, la saison des amours s'approche et les habillements ont plus de couleur qu'il y a un mois, le printemps se rapproche... Pour les chanceux de nature, jouez aux jeux de hasards, et peut-être devenez millionnaire...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 0° et un ciel peu nuageux dans la nuit, ce sera pour ce vendredi, bien ensoleillé en matinée, mais dans une atmosphère brumeuse dans les basses couches. Rares grisailles pas totalement exclues ça et là. En cours d'après-midi, arrivée de nuages d'altitude par le sud-ouest, atténuant l'ensoleillement de la fin de journée. Températures de saison. Températures prévues pour vendredi: minimales -2 à 2°, maximales 11 à 14°. Dans le Jura à 1000 m: -12 à -4 puis 6 à 7°. En montagne: -2 puis 0°à 2000 m, -8 puis -7°à 3000 m. Vent du sud-ouest variable et faible sur le Plateau et le bassin lémanique. Sud-ouest faible à modéré en montagne. Régime de brises dans les vallées alpines...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de saison... un peu perturbée et plus frais...  eh oui il fait beau mais c'est encore l'hiver... avec pour ce jour: en matinée le ciel est couvert et le temps pluvieux de la Normandie jusqu'au sud-ouest avec un peu de neige sur les Pyrénées au-dessus de 1000m, alors que sur la Bretagne nuages porteurs d'averses et éclaircies alternent.
Plus à l'est le soleil l'emporte après dissipation des brouillards matinaux. L'après-midi le passage pluvieux progresse vers l'est du pays et persiste sur la Normandie le massif central et l'ouest de Rhône Alpes.
A l'arrière, de la Bretagne jusqu'au Midi-Pyrénées c'est un temps instable avec des averses, plus nombreuses près des côtes. La limite pluie neige s'abaisse progressivement vers 700m en soirée sur les Pyrénées et le Massif Central.
Sur le nord-est, les Alpes et le pourtour méditerranéen le voile nuageux s'épaissit mais le temps reste clément.

Le vent de nord-ouest souffle vers 70/80 km/h en rafales sur les côtes bretonnes, la tramontane souffle à 70/80 km/h localement 90km/h sur le Roussillon.
Les températures minimales varient de 0 à 6 degrés avec de petites gelées sur les Ardennes l'Alsace et la Lorraine, de 7 à 9 degrés sur la façade Atlantique, la vallée de la Garonne et le golfe du Lion. L'après-midi elles s'échelonnent de 8 à 14 degrés, 15 à 18 degrés autour de la Méditerranée et la Corse...

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 27°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, nuageux et pluvieux avec des températures de l'ordre de 28°à 29°; à la Martinique ensoleillé, voilé et variable avec des températures de l'ordre de 31°; ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31° en Guadeloupe; nuageux et pluvieux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°à 32°; Polynésie française, beau temps, peu nuageux avec des températures de 31°;  ciel couvert, averses fréquentes avec des températures de 26° aux Marquises; bancs de brouillard et venteux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de -11°...

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:51 et le coucher du soleil se fera à 18:36 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables de mars en France 

TMax: 31.0°C (Pau-Uzein le 25/03/1955)
TMin: -22.0°C (Le Puy-Loudes le 01/03/2005)
Précip: 184.6 mm (Solenzara le 01/03/1986)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:

Jeudi 19 mars à 06h09, coefficient 97, à 18h37, coefficient 105
Vendredi 20 mars à 06h59, coefficient 110, à 19h23, coefficient 115
Samedi 21 mars à 07h45, coefficient 118, à 20h07, coefficient 119
Dimanche 22 mars à 08h28, coefficient 118, à 20h48, coefficient 115
Lundi 23 mars à 09h09, coefficient 111, à 21h26, coefficient 105
Mardi 24 mars à 09h47, coefficient 98, à 22h03, coefficient 90

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…  

En 2002: En début d'après-midi, on relevait 17,2°à Virton, 6,1°à Bruxelles et 4,2°à Coxyde
En 1962: La température maximale sous abri ne dépassait pas -3,3° au Mont-Rigi.
En 1956: Aux heures les moins froides de la journée la température n'excédait pas 1,7°à Zaventem
En 1951: Des orages accompagnés de fortes bourrasques provoquaient de nombreux dégâts sur notre territoire
En 1925: À l'aube, la température ne dépassait pas -8°à Uccle, -12,8°à Chimay et -15°à Thimister

 

Les journées mondiales et internationales

Le treize mars c’est la Journée mondiale de prière pour la Birmanie
http://www.journee-mondiale.com/32/journee-mondiale-de-priere-pour-la-birmanie.htm 

AungSanSuuKyi

 

Le treize mars c’est la Journée mondiale du rein
http://www.journee-mondiale.com/257/journee-mondiale-du-rein.htm

 rein

 

Le treize mars c’est la Journée mondiale contre l'endométriose
http://www.journee-mondiale.com/370/journee-mondiale-contre-l-endometriose.htm

 endometriose

 

Les expressions françaises décortiquées

On boit un coup ou on s'encule?

Utilisé:
- par ceux que de longues tergiversations exaspèrent, en espérant qu'enfin une décision sera prise
- dans une assemblée où l'on s’ennuie ferme

Origine
Oui, je sais, dans le genre trivial, elle assure! Mais elle existe pourtant et elle m'a déjàété demandée par trois personnes ces derniers mois. C'est donc la preuve qu'elle intéresse au moins certains. Et je ne peux décompter ceux qui n'ont pas osé faire la demande...
Voilà une expression très récente (fin du XXe siècle, employée dans la littérature au moins par Alphonse Boudard dans «Chère visiteuse») et quelque peu graveleuse qu'on ne risque pas d'entendre chez les Desgrand-Lacour®.
Elle est en effet caractéristique des milieux populaires où l'audace verbale est considérée comme un effet plaisant, d'autant plus lorsqu'elle est grivoise.
Si la première proposition peut être remplacée par beaucoup d'autres, au gré de la situation, comme «on prend le train» ou «on fait une belote», par exemple, la deuxième est immuable.
C'est en effet, parmi d'autres moins provocantes, une occupation facile à démarrer car ne nécessitant aucun accessoire particulier à partir du moment où au moins deux personnes sont présentes, condition obligatoirement remplie si l'expression est formulée.
Son côté provocateur a aussi tendance à réveiller les endormis, à secouer l'apathie ambiante et à provoquer une réaction qu'on espère efficace (la prise de décision tant attendue ou le lancement de quelque chose signifiant la fin de l'ennui). D'ailleurs, certains diront, puisque la sodomie enchante généralement peu la majorité des intervenants, que c'est un excellent moyen d'accélérer la prise de décision, alors que d'autres sautant sur l'occasion ou d'autres encore sans trop réfléchir aux malencontreuses conséquences de leur réponse, diront «je n'ai pas soif».
Exemple
«"Pendant que l'ordinateur bosse à notre place, on boit une binouze ou on s'encule?" Demande Flo avec la réplique préférée de ses deux collègues. Il connaît déjà la réponse.
- "Oh, moi tu sais, la bière..."»

 

La France pittoresque

Vie quotidienne des prisonniers de la Bastille ou le mythe des cachots insalubres
D’après «Le Monde illustré», paru en 1898

Dans la deuxième édition de Légendes et archives de la Bastille parue en 1898, ouvrage charmant et plein de faits nouveaux, l’historien Frantz Funck-Brentano, érudit bibliothécaire de l’Arsenal, nous révèle des détails vraiment surprenants sur la manière dont les pensionnaires de la célèbre prison d’Etat étaient nourris et soignés

Le gouverneur touchait, pour l’entretien d’un homme de condition inférieure, trois livres par jour; pour l’entretien d’un bourgeois, cinq livres; d’un financier, d’un juge, d’un homme de lettres, dix livres; d’un conseiller au Parlement, quinze livres. Le cardinal de Rohan y faisait une dépense de cent vingt francs par jour. Le prince de Courlande, pendant un séjour de cinq mois à la Bastille, dépensa vingt-deux mille francs.

Aussi lisons-nous avec le plus grand étonnement la description des repas que faisaient les prisonniers. Renneville, de qui le témoignage est d’autant plus important que son livre est un pamphlet contre le régime de la Bastille, parle en ces termes de son premier repas: «Le porte-clefs mit une de mes serviettes sur la table et y plaça mon dîner qui consistait en une soupe aux pois verts, garnie de laitue bien mitonnée et de bonne mine, avec un quartier de volaille dessus; dans une assiette, il y avait une tranche de bœuf succulent avec du jus et une couronne de persil, dans une autre un quartier de godiveau bien garni de ris de veau, de crêtes de coq, d’asperges, de champignons, de truffes, et, dans une autre, une langue de mouton en ragoût, tout cela fort bien apprêté, et, pour le dessert, un biscuit et deux pommes reinettes.

«Le porte-clefs voulut me verser du vin. C’était de très bon bourgogne et le pain était excellent. Je le priai de boire, mais il m’affirma que cela ne lui était pas permis. Je lui demandai si je payerais ma nourriture ou si j’en étais redevable au roi. Il me dit que je n’avais qu’à demander ce qui, naturellement, pourrait me faire plaisir, qu’on tâcherait de nie satisfaire et que Sa Majesté payait tout.» 
Le roi désirait que les vendredis et jours de carême ses «hôtes» fissent maigre; mais il ne les traitait pas moins bien pour cela. «J’avais, dit Renneville, six plats et une soupe d’écrevisses admirable. Parmi mon poisson il y avait une vive fort belle, une grande sole et une perche, le tout très bien assaisonné avec trois autres plats.»

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Représentation d’un cachot de la Bastille lors de la libération d’un des prisonniers le 14 juillet 1789, par Houel

A cette époque la pension de Renneville était de dix francs par jour; plus tard, elle fut réduite au taux des prisonniers de la catégorie inférieure. «L’on m’avait, dit-il, beaucoup retranché de mon ordinaire; j’avais cependant une bonne soupe aux croûtes, un morceau de bœuf passable, une langue de mouton en ragoût et deux échaudés pour mon dessert... quelquefois on ajoutait sur ma soupe une aile ou une cuisse de volaille ou, quelquefois, on mettait sur le bord de l’assiette deux petits pâtés.» 
Voilà pour la nourriture: au point de vue de l’habillement, les détenus n’étaient pas moins bien traités. Le roi ne leur donnait pas un uniforme de prison, mais des robes de chambre ouatées ou fourrées de peau de lapin, des culottes de couleur, des vestes doublées de peluche de soie et des habits de fantaisie. Le commissaire de la Bastille faisait prendre mesure aux détenus, s’informant de leurs goûts, des couleurs et de la façon qui leur convenait le mieux.

Une dame Sauvé, enfermée à la Bastille, désirait qu’on lui fît une robe de soie blanche semée de fleurs vertes. La femme du commissaire Rochebrune courut plusieurs jours les magasins de Paris, puis écrivit, désolée: «Nulle faiseuse ne possède cette étoffe; ce qui s’en rapproche le plus est une soie blanche avec des lignes vertes; si la dame Sauvé veut bien s’en contenter, on viendra prendre mesure.» 
«Monsieur le gouverneur, écrit un prisonnier nommé Hugonnet, les chemises que l’on m’a apportées hier ne sont point celles que j’ai demandées, car il me ressouvient d’avoir écrit fines avec manchettes brodées; au lieu que celles qui sont ici sont grosses, d’une très mauvaise toile et avec des manchettes tout au plus propres pour un porte-clefs; c’est pourquoi je vous prie de les renvoyer à M. le commissaire. Pour moi, je n’en veux pas!» 
Enfin notons que la bibliothèque à l’usage des détenus était soigneusement entretenue de livres propres à leur faire oublier leurs soucis. A la date du 27 mars 1773, le lieutenant de police Berryer raye - ceci peut passer pour un comble - du catalogue de la bibliothèque un poème sur la grandeur de Dieu comme étant d’un sujet trop mélancolique pour des prisonniers!

Ouvrages nouveaux - même les encyclopédistes, même Voltaire et Puffendorf -, gazettes, atlas, eau-de-vie, tabac, cartes, jeu d’échecs, clavecin, billard... on s’ingéniait à leur fournir tout cela pour les distraire, ces pauvres martyrs, de la plus odieuse des tyrannies.
Maintenant rappelez-vous la description que Louis Blanc a tracée de la fameuse forteresse: «Des cages de fer rappelant le Plessis-lès-Tours et les tortures du cardinal de la Ballue...! des cachots souterrains, affreux repaires de crapauds, de lézards, de rats monstrueux, d’araignées dont tout l’ameublement consiste en une énorme pierre, recouverte d’un peu de paille, où le prisonnier respire un air empesté, enveloppé des ombres du mystère, condamnéà une ignorance absolue du délit qui lui est intenté et du genre de supplice qui l’attend, il cesse d’appartenir à la terre.»

Un tel tableau fait frissonner - et ce frisson est soigneusement entretenu, depuis, par tous les historiens et tous les chroniqueurs, rappelle l’historien G. Lenotre, pseudonyme de Louis Gosselin (1855-1935). L’académicien Victorien Sardou, dans l’étincelante préface qu’il mit en tête du livre de Funck-Brentano, raconte qu’il visita, avec quelques amis, à la grande exposition de 1889, cette réduction de la Bastille que tout le monde avait pu voir et qui d’ailleurs était bien faite pour en donner l’idée la plus fausse.
«A peine, dit-il, avait-on franchi la porte d’entrée que l’on voyait, dans l’obscurité, un vieillard affublé d’une longue barbe blanche, couché sur la paille humide traditionnelle, agitant ses chaînes et poussant des hou! hou! lamentables. Et le guide des visiteurs disait, non sans émotion: Vous voyez ici l’infortuné Latude, qui est resté dans cette position, les deux bras enchaînés derrière le dos, pendant trente-cinq ans!
«Je complétai ce renseignement en disant sur le même ton: C’est même dans cette attitude qu’il a eu l’adresse de fabriquer l’échelle de cent quatre-vingts pieds de long qui lui a permis de s’évader! L’assistance me regarda avec surprise, le guide avec malveillance, et je m’esquivai.» 
Voilà pourtant comment on écrit l’histoire, déplore Louis Gosselin.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

L’Orme de Vernou planté par Sully et Palais de Pépin le Bref
D’après «Pages oubliées. Légendes et traditions», paru en 1909

«Les promeneurs vont au-delà de l’histoire chercher de la fantaisie dans les broderies des légendes», écrit Gaston Bonnery au début du XXe siècle, qui évoque avec émotion quelques «figures» de Vernou (Indre-et-Loire), non seulement son orme, que l’on affirme avoir été planté par l’illustre Sully, ministre du roi Henri IV, mais encore le «Palais de Pépin de Bref»
Les arbres remplissent un rôle dans notre vie, tantôt historique, tantôt légendaire. On aime les vieux arbres feuillus, auxquels les habitants originaires d’un pays donnent parfois un nom comme à de bons géants; nos ancêtres non évangélisés, leur rendaient un culte ainsi qu’à une divinité. On conserve encore sur notre sol une coutume, vestige des superstitions gauloises, de demander des étrennes au jour de l’an avec l’antique formule: «au gui l’an neuf». On sait que le gui est une plante parasite du chêne, qu’il est toujours vert et qu’il est pour nos pays un symbole de joie et d’immortalité.

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L’orme de Sully

Les arbres historiques deviennent de plus en plus rares, quelques vétérans superbes aux proportions phénoménales et dont l’énorme tronc se profile sous le parasol gigantesque de leur feuillage ombreux, demeurent encore debout, victorieux des événements et des siècles. C’est le chêne de la Vierge en forêt de Château-la-Vallière; le chêne-pommier sous les hautes futaies de Champ-Chevrier, où résonnent les bruyants hallalis annonçant que les bêtes fauves sont aux abois; les cèdres qui ornent de leurs longues chevelures de vert émeraude la terrasse de Rochecottes et la cour de l’ancien archevêché; le marronnier planté par François Ier au château de Loches, ainsi que quelques autres plusieurs fois séculaires dont les restes ont été oubliés par la hache du bûcheron. La longévité de nos arbres ne remonte pas au-delà du VIIe siècle, le vingt-et-unième canon du Concile de Nantes en 658, ayant enjoint aux évoques de faire abattre et brûler les arbres que le peuple révérait encore.

C’est à l’ombre de ces monuments de verdure que selon les vieilles traditions, Saint-Louis avait faim et soif de la justice. Là, qu’il inspira une crainte salutaire des châtiments temporels et spirituels encourus par ceux qui outrageaient la Divinité. De son temps, en effet, proférer un blasphème, comme faire un faux serment, inspiraient une horreur générale. Nous sommes loin de ces époques héroïques où l’on se signait au seul nom de Dieu. Les rois et les grands personnages avaient une certaine façon de tenir des discours où le saint nom de Dieu se trouvait toujours mêlé.
A citer ce quatrain de Brantôme en ses nombreux écrits naïfs et piquants:

Quand la Pâque – Dieu décéda (Louis XI).
Par le jour Dieu lui succéda (Charles VIII).
Le diable m’emporte s’en tint près (Louis XII).
Foi de gentilhomme vint après (François Ier).

C’était encore à l’abri protecteur de l’ombrage des arbres que les coupables étaient livrés à la justice, et les innocents rendus à la liberté. Par ce moyen le mal était changé en bien et le faux en vrai. De là que s’est perpétué jusqu’à nos jours cette expression: «Clameur de Haro», cri de justice qui faisait suspendre tout acte commencé. A notre époque la justice humaine réprime, c’est fort bien; mais prévenir ou réparer ce serait mieux. Jadis la prophétesse Debora ne jugeait-elle pas le peuple juif sous un palmier qui portail son nom. Sur la montagne d’Ephraïm, les enfants d’Israël montaient vers elle, pour faire juger leurs différends.

Il est à Vernou, sur les rives riantes de la Loire, un orme, coq du village, dont la sève se dessèche et montre un tronc noirci par de longs sillons entr’ouverts. Un corset de fer soutient sa lige noueuse, chaque cinquantaine détache une nouvelle branche préparant lentement sa décrépitude; les béquilles de fer qui servent d’appui à son front de verdure se courbant péniblement en voûte, n’empêcheront pas la nature de décomposer ce que l’homme a cherchéà sauvegarder. On sait que Sully avait proposé au roi Henri IV d’obliger les particuliers à mettre des ormes le long des chemins pour les orner. C’est une tradition locale que cet orme a été planté par Sully, Baron de Rosny, ami et ministre de Henri IV, seigneur de Béthune, qui fut créé duc par son illustre maître, en souvenir de sa collaboration à l’Edit de Nantes.

A l’ombre de cet orme, combien de mortels sont nés, combien sont descendus dans la tombe, que de serments d’amours buissonnières, que d’échos du fracas de la guerre ou d’étincelles de liberté? Les habitants paraissent éprouver pour ce vieil arbre un sentiment tout particulier; car, si sa longévité intéresse comme celle d’un être vivant, il évoque aussi un souvenir de réconciliation entre catholiques et protestants. Les promeneurs vont au-delà de l’histoire chercher de la fantaisie dans les broderies des légendes. Aujourd’hui, que tout est prose en comparaison de la poésie du passé, un tramway à vapeur conduit de Tours à Vouvray, d’où l’on gagne à pied Vernou, mais la promenade est fort belle et l’on est dédommagé amplement de la fatigue.

Autrefois le territoire était couvert de bois et la forêt de Brimars s’étendait sur la Brenne. Au XVIe siècle encore, les moyens de communication n’étaient pas faciles, témoin l’extrait d’une lettre d’Henri IV à son ministre. Le roi de France n’avait qu’une coche; or, quand Marie de Médicis s’en servait, Henri était obligé de rester au logis. «Je ne pourray, écrivait-il à Sully, aller vous trouver, ma femme ayant pris ma coche.» Et quant à Sully, il n’allait au Louvre qu’en housse, c’est-à-dire à cheval. Il trottait après le roi. Parler de l’orme de Sully, c’est évoquer une des pages les plus vivifiantes de notre histoire nationale. Au courage et à la grandeur d’âme, le ministre habile entre tous, joignait autant de science et d’éloquence que le comportait le siècle où il vivait.

L’émigration des ouvriers agricoles vers les grandes villes ne se faisait pas encore sentir d’une manière aussi douloureuse que de nos jours; aussi Sully protégeait-il l’agriculture. Il aimait à répéter ces paroles: «Labourage et pastourage, sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vrayes mines et trésors du Pérou.» Il s’endormit comme un ouvrier robuste, à la fin de sa tâche. A Nogent-le-Rotrou s’élève le tombeau de Sully, construit par Rachel de Cochefilet sa veuve. De ce ministre, qui eut la fortune de bien servir la France, et de laisser un nom respecté, la part qu’il a faite aux pauvres de sa fortune, est la seule qui soit arrivée à sa vraie destination.

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La Brenne coulant à Vernou-sur-Brenne

Pour en revenir à l’arbre qui est l’objet de ce récit, cet orme de Vernou a remplacé un chêne qui au Moyen Age prêtait son ombrage à certaines réjouissances publiques au lendemain des pompes religieuses de Pâques. Un vieux chroniqueur se plaît à nous en raconter un de ces usages. Dans les fêles populaires du Moyen Age, on remarque un mélange de gravité et de plaisanterie. Ces réjouissances mi-religieuses, mi-profanes ne pouvaient être innocentes que grâce à la naïveté de nos pères.
«Chaque année, à celte époque, dit-il, autour de l’arbre s’assemblaient les femmes mariées depuis la Pâque précédente, puis M. le Curé, revestu de son surpely, étole et bonnet carré, venait saluer la société. Les jeunes femmes exécutaient autour de lui, un branle ou danse en rond, en chantant une mélopée naïve comme «Attendez-moi sous l’orme», chanson qui réveille un vieil usage remontant au temps même des patriarches. Ensuite, la dernière mariée de l’année, allait saluer le Pasteur du troupeau et luy donnait un baiser, puis M. le Curé, saluait les autres et donnait à son tour le baiser à celle des femmes qu’il voulait, et il était obligé de lui donner un denier argent.»

Cette scène originale se terminait par un léger goûter auquel prenaient part le clergé, et la jeunesse du pays; bourgeois et hommes de guerre, matrones et gentes bachelettes revêtues de leurs plus beaux atours se confondaient dans une même gaieté. Il n’y a que le malheur qui rend soupçonneux et défiant. Non loin de I’orme, près du portail de l’église, on voyait naguère une large pierre avec quelques degrés dite le Perron. Cette pierre servait à monter à cheval et à descendre. Au Moyen Age, en effet, on mettait une semblable pierre servant de montoir, près des édifices publics, châteaux et maisons particulières. Si les vieux nobles dissimulaient le culte orgueilleux de leur naissance, leurs femmes en faisaient aisément parade par vanité. C’était une coutume que les gens d’une certaine noblesse fissent usage d’une mule, alors que les femmes voyageaient dans des charrettes avec bonne paille fraîche, et que les chambrières suivaient àâne, accompagnées des gens de bagages marchant pédestrement.

Il est encore à Vernou une ruine qui présente un caractère antique connu sous le nom de «Palais de Pépin le Bref». C’est un pan de mur en pierres régulières de petit appareil sans chaînes, de briques, mais unies par un ciment plus dur que les pierres elles-mêmes. Les arcades en plein cintre ont leurs voussoirs formés de briques accolées, séparés par des claveaux. L’obscurité qui enveloppe parfois les premiers temps de notre histoire monumentale, n’est pas si impénétrable qu’on ne puisse la forcer, pourtant il est nécessaire de marcher prudemment, de recueillir avec soin les moindres renseignements, d’interpréter les textes sans jamais les prendre à la lettre. Aussi que d’images historiques surgissent en face de ces pierres noircies par le temps.

Les uns ont voulu voir les restes d’un monument du maire du palais de Neustrie. Pépin le Bref, en effet, après sa conquête de l’Aquitaine sur Hunald, aurait établi en ce lieu une résidence à l’un de ses gouverneurs. Suzerain de l’Aquitaine, Pépin le Bref acquit de plus un titre de reconnaissance de la part de la chrétienté, en donnant la Pentapole italienne qu’il venait de conquérir sur les Lombards au Saint-Siège, donation qui créa la puissance temporelle des papes, et que Charlemagne, son fils, confirma, mais qu’une main sacrilège a osé ravir.
D’autres ont voulu voir les débris de la basilique de Vernadum fondée par saint Perpet au Ve siècle. Ne faudrait-il pas y voir les ruines d’un château ayant appartenu aux archevêques de Tours, qui étaient barons de Vernou, maison seigneuriale incendiée par les troupes d’Hugues d’Amboise à son retour de la croisade entreprise par Godefroy de Bouillon.

Article copié sur "La France pittoresque"

Treize mars 1925: Le roi des arnaqueurs, Victor Lustig, vend la tour Eiffel à un ferrailleur! Victor Lustig parvient à berner son acheteur en se faisant passer pour un fonctionnaire chargé de vendre la Dame de fer.

Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Victor Lustig est sur des charbons ardents. Il lui faut quitter Paris, au plus vite. Qui n'en ferait pas autant à sa place? Ce Tchécoslovaque de 35 ans vient de réaliser le coup du siècle en vendant la tour Eiffel à un gogo. Ses poches sont littéralement bourrées de liasses de billets de banque. Il n'a pas de temps à perdre, il doit disparaître de la circulation avant d'être démasqué. La police doit certainement être à ses trousses. Direction: Vienne…

La vente de la Dame de fer est une escroquerie mythique décrite dans plusieurs films. Cependant, de nombreux points restent obscurs, comme celui de la date exacte de la vente. Ce dont on est certain, en tout cas, c'est du nom du pigeon ferré par Lustig: André Poisson. Il s'agit d'un riche ferrailleur de la région parisienne. Comment croire que la tour Eiffel puisse être vendue! Ne faut-il pas être le dernier des idiots? C'est aussi gros que Rachida croyant pouvoir être maire de Paris, ou alors que Hollande prétendant inverser la courbe du chômage...

Né en 1890 dans une famille très bourgeoise, Victor Lustig n'est pas à son coup d'essai dans l'arnaque. À son actif: trucages de jeux, tuyaux pour courses de chevaux, fausse monnaie... Sa victime favorite est le milliardaire en croisière. Il a l'idée de vendre la tour Eiffel alors qu'il séjourne dans le Paris des Années folles pour y claquer le pognon de ses précédentes escroqueries. Quand il finit par se retrouver à sec, il se met en chasse d'un nouveau gogo. Qu'inventer, cette fois? Attirer Depardieu dans le "trou du cul du monde" de la Belgique, en lui faisant croire qu'il y paiera moins d'impôts? C'est déjà fait... C'est en lisant le journal que l'idée de sa prochaine arnaque prend forme. Il paraît que la tour Eiffel pose un gros souci d'entretien à l'État. Fleuron de l'Exposition universelle de 1889, elle aurait dûêtre démontée en 1909, mais elle est toujours debout à cause de son utilité dans le domaine militaire. Affichant 36 ans, la Dame de fer a grand besoin d'être rénovée, repeinte. L'article mentionne que l'État se bat les flancs pour trouver les fonds nécessaires. L'idée jaillit instantanément: trouver un ferrailleur à qui vendre la tour Eiffel!

Discrétion… Le Tchécoslovaque choisit d'incarner un haut fonctionnaire du ministère des Postes et Télégraphes, chargé par le président Doumergue en personne de vendre la tour Eiffel. Il envoie une invitation "officielle", à l'en-tête de la Ville de Paris, aux cinq ferrailleurs les plus nantis de la région pour les inviter à déjeuner au prestigieux hôtel Crillon. Dans ce repaire de milliardaires, de diplomates et d'hommes politiques, les ferrailleurs sont mis en confiance. Avec son allure aristocratique et son langage châtié, Victor Lustig crée immédiatement la confiance. Aucun doute n'effleure ses convives quant à son personnage. Avec un art consommé de la flatterie, il leur explique les avoir choisis pour le sérieux de leur réputation. Les cinq ferrailleurs sont aux anges. Quand il les sent bien à point, Lustig leur annonce la bonne nouvelle: ils ont le privilège d'avoir été choisis pour acheter la ferraille de la tour Eiffel, sur le point d'être démontée. Devant leur stupeur, il leur sert l'argument du coût d'entretien trop élevé pour l'État - tous les journaux en parlent! - et précise que si la vente n'a pas été officiellement annoncée, c'est simplement pour éviter les mouvements de protestation inutiles. Bien entendu, "la France" compte sur leur discrétion pour ne pas répandre ce secret d'État. Après le dessert, Lustig les invite à monter à bord d'une limousine pour visiter la "Dame de fer".

L'incroyable escroc court-circuite la longue file de visiteurs attendant de monter sur la tour Eiffel en brandissant une fausse carte ministérielle au guichet. L'instant est crucial. Une bouffée d'adrénaline l'inonde. Mais ça marche. L'employé lui fait signe de passer avec sa petite troupe de ferrailleurs. Lustig les emmène se rendre compte par eux-mêmes combien la tour Eiffel est en mauvaise santé et que la France est forcément obligée de s'en séparer, c'est inévitable. La visite achevée, Victor Lustig indique aux ferrailleurs qu'ils doivent lui faire savoir au plus vite leur intention ou non d'être candidats à l'achat des 7000 tonnes de ferraille.

Hameçon… Fin psychologue, l'escroc a flairé, dès le déjeuner du Crillon, qui sera son pigeon. Ou plutôt son poisson, puisqu'il s'appelle... André Poisson. C'est le seul à n'avoir pas l'air d'être très sûr de lui, à avoir les mains moites, et à manifester un besoin de reconnaissance. Quel coup de pub ce serait pour lui d'être l'homme qui a acheté la tour Eiffel, doit-il se dire. Effectivement, c'est lui qui rappelle l'escroc. Le Poisson a mordu à l'hameçon. Lustig lui propose un second rendez-vous, en tête à tête. Le ferrailleur se montre hésitant, sa femme est réticente, c'est un gros investissement, tout semble si secret, il ne sait plus sur quel pied danser. L'aigrefin comprend qu'il va falloir lui sortir le grand jeu. Pas question qu'une bonne femme lui fasse rater l'affaire. Il prend le ton de la confidence pour expliquer à Poisson qu'il n'est, lui-même, qu'un pauvre fonctionnaire pas bien riche et qu'en les arrosant un peu, lui et ses collègues, il leur sera très facile de le placer tout en haut de la liste des acheteurs. Sachant combien la corruption est courante dans l'administration, le ferrailleur est désormais convaincu qu'il peut emporter le marché du siècle. Il rêve déjà de voir son nom en une de tous les quotidiens. Pour cela, il n'a qu'à remettre à celui qu'il prend pour le représentant du ministère une grosse somme en liquide et à s'engager à faire un virement bancaire, pour lequel, bien sûr, Lustig fournira une facture. L'affaire est conclue, Poisson paie, l'escroc empoche.

Quand, quelques jours plus tard, en l'absence de toute nouvelle, Poisson se rend compte qu'il est victime d'une escroquerie, Lustig est déjàà Vienne. Il a sauté dans un train gare de l'Est sitôt l'affaire conclue. L'imbécile de Poisson n'ose même pas porter plainte tant il se sent ridicule. Imaginez, lui, le riche ferrailleur, son nom étalé dans toute la presse pour s'être fait avoir comme un bleu alors qu'il rêvait de gloire, pas question! Constatant qu'il ne fait l'objet d'aucune poursuite, que l'affaire n'a pas étéébruitée, Victor Lustig caresse l'idée de vendre la tour Eiffel une seconde fois. Le mois suivant, le voilà de nouveau à Paris, avec un complice. Mais cette fois, le ferrailleur à qui il a affaire est moins crédule, il se méfie et alerte la police. Avant que les flics ne lui mettent la main dessus, Lustig a le temps de s'enfuir aux États-Unis, où il se recycle dans la vente de machines à imprimer des faux billets de banque. On dit qu'il en aurait vendu une à Al Capone. Mais quand il comprend qui est son client, il s'empresse de lui dire qu'il n'arrive malheureusement pas à obtenir la machine promise et qu'en homme honnête il vient lui rendre son fric. La vérité, c'est qu'il n'avait pas le choix, c'était rendre l'argent ou finir en steak haché. Lustig finit par se faire arrêter en 1934 et meurt en prison en 1947.

13 mars 1925. Le roi des arnaqueurs, Victor Lustig, vend la tour Eiffel à un ferrailleur !
© Le Point.fr - Publié le 13/03/2012 à 00:01 - Modifié le 12/03/2014 à 15:00

 

 

Pour l’éphéméride du treize mars c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/03/13/29421827.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie de service, nostalgique de l'époque de papa Schultz s'est reconverti en berger allemand ou mieux en chien-loup...

 

dicton0313

 

Ben pour la zique de ce vendredi… on va s’écouter le groupe Dire Straits, les Sultans du swing, dans le meilleur de leurs œuvres… Alors écoutons avec attention… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=8h2M4eQygBs

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et hivernal, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Un homme blond avait des problèmes d’éjaculation précoce décide d’aller consulter son médecin.
Il demande au médecin ce qu’il pourrait faire pour guérir son problème. Le médecin lui dit:
– Quand vous sentez que vous êtes prêt àéjaculer, essayez de vous faire sursauter. Ça marche à chaque fois !
Le même jour, l’homme va au magasin et s’achète un pistolet à blanc.
Tout excité d’essayer cette suggestion, il court à la maison.
Arrivé chez lui, il trouve sa femme nue dans le lit qui l’attendait…  Il lui saute dessus et ils se retrouvent dans un passionné 69.
Quelques moments plus tard, l’homme sent soudainement l’envie d’éjaculer. Il sort le pistolet et tire un coup en l’air.
Le lendemain, l’homme retourne chez le médecin. Celui-ci lui demande :
– Comment ça s’est passé ? L’homme lui répond :
– Bof… Quand j’ai tiré un coup de pistolet, ma femme m’a pété au visage, a mordu mon pénis, et mon voisin est sorti du placard avec les bras en l’air.

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Dans la France profonde du siècle dernier, le curé croise sur un chemin une gamine qui conduit une vache au bout d'une corde :
- B'jour. Où tu vas comme ça ?
- Je mène la vache au taureau.
- Bigre... et ton père ne peut pas faire ça lui-même ?
- Ah non, il faut absolument que ce soit un taureau, sinon ça ne marche pas.

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Alors qu’il fait déjà nuit un motocycliste tombe en panne en pleine campagne bretonne. Il aperçoit les lumières d’une ferme. Il s’y rend, et demande si on pourrait l’héberger pour la nuit.
- Dame, fait le paysan, c’est pas ben grand ici. On n’a que deux chambres. La nôtre, à la Marie et moi, avec le lit, et celle de ma sœur Germaine, avec un autre lit. Je ne vois qu’une solution: que vous dormiez à côté de ma sœur. Elle est déjà au lit, mais tenez-vous bien, mon gars !
- Monsieur, je vous le garantis….
Bien entendu le motocycliste, au cours de la nuit, tente à plusieurs reprises des travaux d’approche, mais sa compagne de lit reste de marbre.
Le lendemain matin le fermier lui demande:
- Alors, vous avez bien dormi mon brave?
- Euh… oui. Mais dites donc, votre sœur, elle est plutôt froide!
- Ça pour sûr à c't'heure!…On l’enterre cet après-midi…

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Perles médicales

*La feuille de soins est àépingler sur le malade 

*Les testicules étant atteints, une amputation des deux premières phalanges fut envisagée. 

*Le malade est décédé sous l'action efficace des médicaments. 

*Mortellement mort, l'homme devait décéder peu après son arrivée. 

*La victime eut la chance de ne pas mourir avant d'arriver à l'hôpital où elle devait succomber à ses blessures. 

*Pour le traitement informatique des formulaires, votre sexe ne doit pas dépasser de la colonne. 

*Au guichet, le patient a attendu une heure tout seul en file indienne. 

*À cause de la période des fêtes, nos services seront fermés du 1er janvier au 31 décembre. 

*Elle a présenté les certificats de baptême de ses six enfants, tous produits par le curé. 

*Le patient décida enfin d'ouvrir un œil pour nous écouter… 

*Depuis qu'on a dit à mon mari de prendre de la courtisane, il va beaucoup mieux! 

*Le Ministère se réserve le droit de décider quelles maladies sont bonnes pour le malade. 

*N'empruntez pas la queue des hommes pour patienter.

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120

 

C'est vendredi... le réveille-matin fait son boulot pour la dernière fois de la semaine avant de se mettre en pause pour deux jours, mais encore pour cette matinée, c'est: sitôt levé, sitôt en pétard et en stress, petit déjeuner pris sur le pouce, la course pour aller au boulot avec tous les aléas des transports publics ou de la circulation... C'est marrant que sitôt qu'on parle de week-end les sourires reviennent pour éclairer les visages des travailleurs et c'est ce soir qu'on y sera... Malgré le redoux, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du froid, à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...

 

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