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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du vingt-huit avril

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«Intempéries à la Sainte-Valérie, beuverie à la distillerie et câlinerie à l'infirmerie.» 

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«À la Sainte-Valérie, la charrue sous le poirier, la Toussaint venue quitte la charrue.»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est mardi et pour ces derniers jours d'avril, le temps fait des frasques et revient au mois de mars avec de la neige qui descendrait vers 1200 mètres... Bref, une journée plus fraîche nous attend et ce n'est pas en manches courtes que nous sortirons ce jour... avec notre tête des mauvais jours on va quand-même se rendre au travail avec l'humeur du jour qui selon les personnes sera comme le temps, orageuse et pas au beau fixe...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 6° et  un temps pluvieux dans la nuit, ce sera pour ce mardi, encore très nuageux en début de matinée et dernières ondées çà et là, notamment du Chablais à la Gruyère. Flocons dès 1100 à 1500m du Jura au Valais. Sinon, accalmie et passage à un temps sec rapidement par l'ouest en matinée. Développement d'éclaircies parfois assez belles en journée et ciel se dégageant en soirée. Dans les Préalpes, temps restant plus nuageux avec quelques averses persistant jusque dans l'après-midi. Frais et limite des flocons vers 1100 à 1300m.
Températures prévues pour ce mardi: minimales 7 à 8°à basse altitude, maximales 12 à 14°. Dans le Jura à 1000 m: 2°à l'aube puis 7° l'après-midi. En montagne: -2°à 2000 m, -8°à 3000 m.
Petite tendance à la bise en cours de journée mardi sur le Plateau et le Léman. En montagne, vent modéré tournant au nord-ouest, fort à haute altitude...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de printemps... le temps est plus calme, eh oui c'est souvent comme ça en avril...  avec pour ce jour: de nombreux nuages persisteront encore sur la Corse, ainsi que sur les régions allant de l'Alsace de la Franche-Comté au nord des Alpes, jusqu'au Massif central et aux Pyrénées. Ces nuages s'accompagneront encore de quelques pluies résiduelles en matinée, essentiellement sur le relief, parfois quelques petites chutes de neige vers 1300 m, avant de se désagréger et laisser place à des éclaircies l'après-midi.
Ailleurs, après un début de journée frais sous un ciel dégagé, des nuages se développeront en matinée et pourront donner quelques ondées, notamment près de la Manche, puis sur le quart nord-est l'après-midi. Des averses plus marquées seront également possibles sur les Alpes du Sud. Sinon les éclaircies s'imposeront assez généreusement sur le reste du pays. C'est près de la Méditerranée que le temps sera le plus ensoleillé, mais avec un mistral et une tramontane soufflant fort, jusqu'à 80 à 90 km/h localement 100 à 110 km/h vers les Bouches du Rhône. 
Les températures minimales s'abaisseront entre 1 et 7 degrés sur la moitié nord, avec de petites gelées vers Champagne-Ardenne, elles iront de 4 à 10 degrés au sud, 9 à 12 degrés au bord de la Méditerranée, 10 à 14 en Corse. Les maximales iront de 11 à 16 degrés sur la moitié nord, 14 à 17 au sud, 17 à 22 près de la Grande Bleue...

 

Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 27°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, voilé et bruineux avec des températures de l'ordre de 26°à 31°; à la Martinique nuageux avec des températures de l'ordre de 32°; ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 34°à 40° en Guadeloupe; ensoleillé, brumeux et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 31°à 33°; Polynésie française, ciel clair, très beau temps avec des températures de 31°; ciel clair, très beau temps avec des températures de 31° aux Marquises; plutôt nuageux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 5°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:24 et le coucher du soleil se fera à 20:38 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables d'avril en France 

TMax: 33.2°C (Cazaux le 30/04/2005)
TMin: -14.0°C (Mont Aigoual le 06/04/1911)
Précip: 182.2 mm (Mont Aigoual le 29/04/2004)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les: 

Samedi 16 mai à 06h21, coefficient 88, à 18h48, coefficient 93
dimanche 17 mai à 07h13, coefficient 97, à 19h36, coefficient 100
lundi 18 mai à 08h01, coefficient 101, à 20h20, coefficient 102
mardi 19 mai à 08h45, coefficient 101, à 21h01, coefficient 99
mercredi 20 mai à 09h27, coefficient 97, à 21h40, coefficient 93

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1993: Il faisait chaud sur tout le pays et sur le plateau des hautes Fagnes, on relevait 24,2°.
En 1985: La température maximale observée sous abri n'atteignait que -0,8°à Botrange et il tombait 12 centimètres de neige Saint-Hubert.  

 

Les journées mondiales et internationales

Le vingt-huit avril c’est la Journée Mondiale sur la sécurité et la santé au travail
http://www.journee-mondiale.com/145/journee-mondiale-sur-la-securite-et-la-sante-au-travail.htm

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Les expressions françaises décortiquées

Une partie fine / partie carrée / partouse
Réunion de plusieurs personnes pour y partager des plaisirs sexuels

Origine
Je précise tout d'abord qu'il y a longtemps, aucune de ces formes, même la dernière, n'avait de caractère sexuel. Et qu'au XVIIe siècle et plus tard, une partie était simplement une réunion de plusieurs personnes dans le but de passer ensemble un moment agréable et de s'amuser; on parlait ainsi des «parties de chasse» ou «parties de campagne».
Le classique «et plus si affinités» s'étant apparemment vérifié, il n'en reste plus, dans nos locutions, qu'une réunion aux buts bien cernés.
Commençons par la plus fine des trois parties. Ici, le qualificatif fin s'oppose à ordinaire et désigne ce qu'il y a de meilleur.
En 1846, dans son Dictionnaire d'amour, Joachim Duflot donne la définition suivante pour ce type de partie: «Promenade de deux amants en tête-à-tête, loin des indiscrets, des curieux et des jaloux. La partie fine n'existe qu'entre gens qui ont intérêt à se cacher». Tout est dit. Si l'histoire entre ces deux êtres se terminait probablement au lit, à l'époque il ne s'agissait que d'une simple promenade, éventuellement adultérine.
Avec le temps, la balade est devenue crapuleuse et la notion de sexe indissociable de l'expression.
Ce qui se passe dans une partie carrée a aussi changé avec les ans. Le terme carré ne vient pas de la forme de l'emplacement où se réunissent les participants, mais du nombre de personnes, à savoir quatre, généralement deux couples.
Ces gens se réunissaient en tout bien tout honneur, dans le seul but de deviser gaiement, se sustenter de conserve ou se promener de concert. C'est au cours du XVIIIe siècle que l'activité a commencéà se réduire aux galipettes.
Enfin, la partouse (qui s'écrit aussi partouze) est une orgie avec un nombre de participants supérieur à deux pour la valeur basse, et illimité, pour la valeur haute, si ce n'est par le volume de l'endroit où elle a lieu.
Mais il faut savoir qu'au tout début du XXe siècle, la partouse était simplement une partie de cartes, pas forcément de strip poker. Et selon Gaston Esnault, c'est à partir de 1919 qu'elle évoque une partie à deux seulement, puis en 1924, qu'on passe à un nombre supérieur, partie généralement réservée aux mondains, et avec une connotation de voyeurisme accepté et même souhaité.
Exemples
«L'asticot est prié de ne pas confondre le plat de spaghettis avec une partie fine.»
«Et j'y trouve ma femme en partie carrée.
- Votre femme en partie carrée? Ah! Ah! Ah! Cela est trop drôle. Et avec qui donc, s'il vous plaît?
- Oui, cela est fort plaisant: avec la vôtre...»
«Ils s'étaient retrouvés par hasard, au seuil de leur majorité, dans une partouse d'étudiants fort arrosée et non moins enfumée, à laquelle ils avaient probablement été invités de part et d'autre par erreur.»

 

Poème Erotique: La Fesse Cachée de Nos Plus Grands Auteurs

«Aimons, foutons, ce sont plaisirs» de Jean de La Fontaine

Sans doute le plus étudié des poètes sur nos bancs d’école, La Fontaine est célèbre pour ses fables et leurs morales destinées à nous aider dans nos quotidiens parsemés des pièges de la vie… Voici donc une nouvelle morale sur les plaisirs de l’amour, à méditer.

Aimons, foutons, ce sont plaisirs

Aimons, foutons, ce sont plaisirs
Qu’il ne faut pas que l’on sépare;
La jouissance et les désirs
Sont ce que l’âme a de plus rare.
D’un vit, d’un con et de deux cœurs,
Naît un accord plein de douceurs,
Que les dévots blâment sans cause.
Amarillis, pensez-y bien:
Aimer sans foutre est peu de chose
Foutre sans aimer ce n’est rien.


Sœur Jeanne

Sœur Jeanne ayant fait un poupon,
Jeûnait, vivait en sainte fille;
Etait toujours en oraison;
Et toujours ses sœurs à la grille.
Un jour donc l'abbesse leur dit:
Vivez comme sœur Jeanne vit, 
Fuyez le monde et sa séquelle.
Toutes reprirent à l'instant:
Nous serons aussi sage qu'elle,
Quand nous en auront fait autant.

 

La France pittoresque

Le brigand Cartouche s’invite chez la marquise de Bauffremont
D’après «Souvenirs de la marquise de Créquy», paru en 1834

Publiés pour la première fois en 1834, les Souvenirs de madame de Créquy, en grande partie rédigés par Maurice Cousin, comte de Courchamps, à partir de quelques éléments manuscrits laissés par cette femme de lettres, mentionnent une savoureuse anecdote relative à Cartouche, lorsqu’au milieu d’une nuit le célèbre et redouté voleur s’introduisit chez la marquise de Bauffremont
Hélène de Courtenay, marquise de Bauffremont, était la dernière de cette maison qui descendait du roi Louis VI le Gros (qui régna au XIIe siècle) et de la reine Adélaïde de Savoie. Elle avait épousé, en 1712, Louis de Bauffremont, marquis et comte de Listenais, chevalier de la Toison-d’Or. Et voici la raison des bons procédés du célèbre Cartouche envers elle.

Madame de Bauffremont était rentrée chez elle à deux heures du matin; et quand ses femmes l’eurent déshabillée, elle ne manqua pas de les renvoyer pour écrire et pour veiller tout à son aise au coin de son feu. Elle écrivait un journal qu’on n’a pas retrouvé dans ses papiers, et c’est grand dommage! Car elle était sans pareille en fait d’intelligence. Elle avait toujours remarqué mille choses auxquelles on n’avait pas pris garde, et qu’on s’étonnait de n’avoir pas observées comme elle. Malheur à tous ceux qui parlaient en sa présence avec l’intention de surprendre leur auditoire ou de lui dissimuler quelque chose!

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Masque mortuaire de Cartouche

Fontenelle disait toujours que c’était la femme aux aperçus lumineux dont il est question dans les Mille et un Jours. Tant il y a que, pendant cette nuit, elle entendit premièrement un bruit étouffé dans sa cheminée, et qu’elle aperçut bientôt après dans un nuage de suie, des nids d’hirondelle et des plâtras qui dégringolèrent pêle-mêle avec un homme armé jusqu’aux dents. Comme il avait fait rouler la bûche avec les tisons jusqu’au milieu de la chambre, la première chose qu’il fit, ce fut de prendre les tenailles et de replacer méthodiquement tous les tisons dans la cheminée; il repoussa du pied quelques charbons enflammés, sans les écraser sur le tapis, et puis il se retourna du côté de la Marquise, à laquelle il fit la révérence:

- Madame, oserais-je vous demander à qui j’ai l’honneur de parler?
- Monsieur, je suis Mme de Bauffremont, mais comme je ne vous connais pas du tout, comme vous n’avez pas la physionomie d’un voleur, et que vous avez les procédés les plus soigneux pour mon mobilier, je ne saurais deviner pourquoi vous arrivez dans ma chambre au milieu de la nuit et par la cheminée?
- Madame, je n’avais pas l’intention d’entrer dans votre appartement... Auriez-vous la bonté de m’accompagner jusqu’à la porte de votre hôtel? ajouta-t-il en tirant un pistolet de sa ceinture et en prenant une bougie allumée.

- Mais, Monsieur...
- Madame, ayez la complaisance de vous dépêcher, poursuivit-il en armant son pistolet. Nous allons descendre ensemble, et vous ordonnerez au suisse de tirer le cordon.
- Parlez plus bas, Monsieur, parlez plus bas! Le marquis de Bauffremont pourrait vous entendre, reprit cette malheureuse femme en tremblant d"effroi!
- Mettez votre mantelet, Madame, et ne restez pas en peignoir; il fait un froid extraordinaire!

Enfin tout s’arrangea suivant le programme, et Mme de Bauffremont en demeura si troublée, qu’elle fut obligée de s’asseoir un moment dans la loge du suisse, aussitôt que ce diable d’homme eut passé la porte de la maison. Alors elle entendit qu’on frappait à la fenêtre de la porte qui donnait sur la rue. - « M. le suisse, j’ai fait celte nuit une ou deux lieues sur les toits, parce que j’étais pourchassé par les mouchards. N’allez pas dire à votre maître que ce soit une affaire de galanterie, ni que je sois l’amant de Madame de Bauffremont: vous auriez affaire à Cartouche, et, du reste, on aura de mes nouvelles après-demain matin, par la petite poste. »
Mme de Bauffremont remonta chez elle et fut réveiller son mari, qui lui soutint que c’était un cauchemar et qu’elle avait fait un mauvais rêve; mais elle reçut, deux ou trois jours après, une lettre d’excuses et de remerciements tout à fait respectueuse et très bien tournée, dans laquelle était inclus un sauf-conduit pour Mme de Bauffremont, avec unacte d’autorisation pour en délivrer à sa famille. La lettre avait été précédée par une petite boîte qui renfermait un beau diamant sans monture; et la pierre fut estimée, chez Mme Lempereur, à deux mille écus, que le marquis de Bauffremont fit déposer pour les malades de l’Hôtel-Dieu, entre les mains du trésorier de Notre-Dame. On voit que dans cette affaire-là tout le monde se conduisit en perfection. 

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Le Petit Prince au cinéma: une nouvelle bande-annonce pleine de magie
Source: FranceSoir.fr

Une nouvelle bande-annonce du Petit Prince a été publiée lundi 20. Le film adapté de l’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry sortira le 29 juillet prochain. Le réalisateur a pris le parti d’imbriquer l’histoire du livre dans une autre.
C’est l’une des plus belles histoires jamais écrites, une histoire universelle qui va être adaptée en dessin animé. Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry sortira sur les écrans le 29 juillet prochain. Il sera auparavant présenté hors-compétition au Festival de Cannes (13-24 mai). En attendant, une nouvelle bande-annonce pleine de magie a été dévoilée lundi 20.
Adapter Le Petit Prince, l’œuvre littéraire la plus diffusée au monde après la Bible, est un pari ambitieux et risqué. Mais l’originalité que révèle la bande-annonce laisse présager le meilleur. Le réalisateur Mark Osborne (coréalisateur de Kung Fu Panda) a pris le parti d’imbriquer l’histoire du Petit Prince dans une autre. Celle d’une petite fille enfermée dans un monde d’adulte, dont chaque instant est régenté par un calendrier précis édicté par sa mère (Florence Foresti, dans la version française). 

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Cette enfant qui ne connaît que le travail va faire la connaissance de son voisin, un vieil aviateur (André Dussolier). C’est ce personnage qui prend la place de l’auteur. Le Petit Prince est en effet écrit à la première personne, comme si Antoine de Saint-Exupéry, lui-même aviateur, avait vraiment rencontré l’enfant au cours d’un voyage.
En faisant découvrir le Petit Prince à la Petite Fille, le vieil homme lui ouvre les portes d’un nouveau monde. Un voyage qui se traduit sur le plan visuel pour le spectateur. Deux techniques sont utilisées: l’animation 3D pour le monde "réel" de la Petite Fille et du vieux pilote, et la stop-motion (animation image par image), qui donne un côté plus "artisanal" au monde du Petit Prince.
Les personnages que rencontre le Petit Prince dans l’œuvre, le Renard (Vincent Cassel), la Rose (Marion Cotillard), le Serpent (Guillaume Gallienne), le Vaniteux (Laurent Lafitte), le Businessman (Vincent Lindon), seront donc bien présents.

FranceSoir.fr

 

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François Ier, pouvoir et image: exposition à la Bibliothèque nationale de France du 24 mars au 21 juin 2015
Source: Bibliothèque nationale de France

«1515: Marignan!» Cette formule célèbre des anciens livres d’histoire garde tout son pouvoir d’évocation. François Ier avait 20 ans. À peine couronné roi, il remportait la plus éclatante victoire française des guerres d’Italie. À l’occasion du cinquième centenaire de cet événement, la BnF revient à la source des représentations de ce souverain, aussi important pour l’histoire de son institution qu’il l’est pour l’Histoire de France. La grande exposition qu’elle lui consacre montre comment sa légende s’est construite de son vivant.
Monarque emblématique du XVIe siècle français, François Ier évoque surtout, dans la mémoire collective, les figures du chef de guerre victorieux et du prince mécène qui favorisa la Renaissance française des arts et des lettres. L’exposition met en lumière des images royales replacées dans leur contexte de création. Des images répondant à une logique propre au XVIe siècle souvent bien éloignée de celle qui, beaucoup plus tard, a suscité l’imagerie d’Épinal, aujourd’hui dominante. Plus de deux cents pièces sont présentées, issues pour la plupart des collections de la BnF: livres manuscrits et imprimés, estampes, peintures, monnaies et médailles...

Le visiteur pourra découvrir le manuscrit enluminé de la Description des Douze Césars avec leurs figures, Trésor national récemment acquis par la BnF. Mais aussi la spectaculaire armure prêtée par le musée de l’Armée et présentée pour la première fois en pied, permettant d’apprécier la haute stature du souverain, qui a marqué ses contemporains. Autres pièces majeures, les trois grands portraits de François Ier prêtés par le musée du Louvre, peints par Jean Clouet, Jos van Cleve et le Titien, illustrent une représentation royale en transformation. Quant à l’enluminure de François Ier en déité polymorphe, issue des collections de la BnF, elle témoigne de l’utilisation de l’allégorie mythologique omniprésente à la Renaissance.

Du guerrier au poète
L’exposition s’ouvre sur l’éducation et la jeunesse de François d’Angoulême, «roi à venir», puis s’intéresse aux représentations du roi chevalier et guerrier qu’il a été du début à la fin de son règne. On découvre ainsi que les images du triomphateur de Marignan se multiplient des années après la bataille, au moment où François Ier revient en France après avoir été emprisonnéà Madrid par Charles Quint, dans ce qui s’appellerait aujourd’hui une stratégie de communication visant à restaurer la perception du pouvoir monarchique.

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François Ier

L’exposition décline ensuite d’autres images royales: depuis le « roi très chrétien », « fils aîné de l’Église », jusqu’au poète et mécène, en passant par le souverain administrateur de son royaume. Le règne voit ainsi le développement du « teston », monnaie qui porte l’effigie du roi, sans doute le seul portrait de François Ier qu’ont pu contempler la plupart de ses sujets. Les représentations non figuratives du roi abondent également, notamment dans le décor des châteaux construits pour ce roi bâtisseur, de grandes lettres F couronnées, ou encore des salamandres, son emblème.
La figure du roi protecteur des Lettres fait l’objet d’un traitement particulier car les livres de François Ier forment le noyau des collections de l’actuelle BnF: volumes offerts en hommage mais aussi traités savants commandés et reliés à ses armes pour la nouvelle Bibliothèque royale installée au palais de Fontainebleau. L’ordonnance de Montpellier du 28 décembre 1537, où François Ier demande aux imprimeurs du royaume de présenter leurs publications aux bibliothécaires du roi, est aussi la matrice du dépôt légal moderne.

Un prince de la Renaissance
Au travers des œuvres très diverses qui ponctuent le parcours de l’exposition, voulues par le prince, souhaitées par son entourage ou imposées par les circonstances, se dessine ainsi une image complexe de François Ier: d’abord représenté comme un souverain dans la lignée traditionnelle des rois de France, il est peu à peu saisi dans sa singularité d’individu royal, puis comme un monarque de la Renaissance se mettant en scène dans une définition nouvelle du pouvoir, plus personnelle.

Renseignements pratiques
Adresse et transports - site François-Mitterrand Plan d’accès au site François-Mitterrand:

http://www.bnf.fr/documents/acces_site_mitterrand.pdf

Ouverture: Du mardi au samedi de 10h à 19h. Dimanche de 13h à 19h. Fermé les jours fériés

Bibliothèque nationale de France

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Un champagne vieux de 170 ans, le plus ancien jamais dégusté
Source: France Télévisions

Des bouteilles avaient été retrouvées dans l’épave d’un navire dans la mer Baltique en 2010. Leur contenu a été goûté et analysé par des scientifiques qui l’ont trouvé très bien préservé.
«On a vraiment été surpris de constater que le champagne que nous avons testéétait parfaitement préservé, que ce soit du point de vue de la composition chimique que de l’arôme.» Philippe Jeandet est professeur de biochimie alimentaire à la faculté des sciences de l’université de Reims. Il a eu le privilège de savourer les bouteilles de champagne les plus anciennes jamais goûtées et analysées. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature (en anglais).
Ces bouteilles de champagne français vieilles de 170 ans ont été retrouvées dans l’épave d’un navire, dans la mer Baltique, en 2010. La cargaison de 168 bouteilles, qui comprenait du Veuve Clicquot-Ponsardin, du Heidsieck et du Juglar selon les bouchons, a été découverte par 50 mètres de fond.

Goût de tabac et de cuir
Le breuvage a été minutieusement analysé pour éclairer les méthodes de fabrication et les goûts des amateurs de ce vin prestigieux au milieu du XIXe siècle. «Pour nos analyses, on a eu deux millilitres et j’ai dégusté 100 microlitres, soit deux gouttes, déposées sur ma main avec une seringue, que j’ai humées et goûtées», explique Philippe Jeandet. «C’était un très beau vin, c’était impressionnant. J’ai gardé l’arôme longtemps dans la bouche. Il avait un goût de tabac et de cuir», a ajouté le chimiste.
 

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Citant des œnologues professionnels qui ont pu déguster davantage d’échantillons de ce champagne après qu’il eut respiré, le chercheur Jeandet l’a qualifié de «très jeune, ayant beaucoup de fraîcheur, une note florale ou fruitée».

Trois fois plus sucré que les demi-secs actuels
Contrairement à ce qui était attendu, il n’y a pas de grandes différences dans les profils chimiques de ces très vieux champagnes par rapport à ceux d’aujourd’hui, concluent ces experts. En revanche, il était beaucoup plus sucré. Le champagne analysé contenait 150 grammes de sucre par litre, soit trois fois ce que l’on trouve dans une bouteille de Coca-Cola.

De nos jours, les champagnes demi-secs contiennent environ 50 grammes de sucre par litre. Mais les plus consommés sont les bruts et les ultra-secs, sans aucun sucre ajouté. Le chercheur relève que ce sont les Anglais et les Américains qui ont donné le ton pour des champagnes plus bruts dès la première moitié du XIXe siècle.
France Télévisions 

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Vingt-huit avril 1912: L'anarchiste Jules Bonnot est abattu après avoir tenu tête à 20 000 assaillants. Après un siège de plusieurs heures, le gangster finit par être abattu dans un garage de Choisy-le-Roi.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

À l'aube du 28 avril 1912, Jules Bonnot se réveille dans le garage de son pote Joseph Dubois, à Choisy-le-Roi. Il a passé une sale nuit, ses flingues à portée de main. L'anar est aux abois. Mais faut-il vraiment le qualifier d'anarchiste? Depuis cinq ans, le bonhomme multiplie les attaques à main armée surtout pour se faire du pognon. Lui, anar? Et pourquoi pas Manuel Valls communiste? Quoi qu'il en soit, cette nuit-là Bonnot n'a dormi que d'un oeil, sachant que toutes les polices de France sont sur ses traces depuis qu'il a abattu le numéro deux de la Sûreté nationale, trois jours plus tôt, à Ivry. Mais bon Dieu, cet imbécile de Louis Jouin l'avait bien cherchéà vouloir le ceinturer au lieu de l'abattre directement.
À 35 ans, Jules Bonnot s'en est donnéà cœur joie dans le gangstérisme, surtout au cours des derniers mois. Le 21 décembre 1911, avec ses complices Garnier et Callemin, il effectuait une grande première: le braquage d'une banque en voiture automobile, et c'était lui qui était au volant! Il n'avait donc pas choisi n'importe quelle bagnole, mais une Delaunay-Belleville verte et noire de 12 CV. Un engin de luxe. La suite n'a été qu'une folle randonnée parsemée de braquages et de morts.

Voilà comment Bonnot se trouve, ce dimanche matin, blesséà la main, planqué chez son dernier ami resté fidèle, Joseph Dubois. S'il sympathise avec l'anarchisme, ce dernier n'a jamais voulu, pour autant, participer aux attaques de la bande. Il bricole dans le garage qu'il s'est construit sur un terrain donné par un sympathisant à la cause, Fromentin, surnommé le "milliardaire anarchiste". C'est une bâtisse de plâtre et de mâchefer flanquée d'un petit escalier de bois menant à deux chambres sous les toits. Ce qu'il ne sait pas, Bonnot, c'est que le pharmacien de Choisy à qui il a acheté des pansements pour soigner sa main blessée l'a reconnu et dénoncéà la police. Celle-ci a donc passé discrètement le quartier au peigne fin et a fini par apprendre qu'on avait vu un inconnu s'introduire chez Dubois sans que le chien aboie. À 7 h 30, le chef de la Sûreté, Guichard, accompagné de son adjoint et de deux secrétaires, se présente devant le garage.

"À l'assassin!"… Derrière eux, quatorze inspecteurs de la Sûreté, venus en voiture, se planquent. Guichard empoigne son pistolet avant de pousser doucement la porte du garage. Il aperçoit alors Dubois s'apprêtant à enfourcher une moto. Un des agents qui l'accompagnent tire sans attendre sur l'anarchiste, mais son arme s'enraye. Dubois gueule: "À l'assassin!" Il saisit un pistolet. Sa balle atteint l'agent au bras. Une fusillade s'engage, le chef de la Sûreté la fait cesser pour donner l'ordre au garagiste de sortir les mains en l'air. Blesséà l'épaule et au poignet, celui-ci recule sans répondre. Un agent, se sentant en légitime défense, lui tire une balle dans la carotide. Dubois tombe, mort, les bras en croix.

Craignant la venue de ses complices, les flics dégagent du garage. C'est alors qu'ils aperçoivent un homme se tenant sur le palier de l'escalier extérieur. C'est Bonnot. Celui-ci ouvre immédiatement le feu, touchant au ventre l'inspecteur Augêne, qui s'écroule. Des collègues parviennent à le traîner jusqu'à un débit de vin voisin. Pendant ce temps, la foule ne cesse de grandir autour du garage, attirée par la fusillade. Depuis sa position dominante, l'anarchiste arrose tous azimuts, ne s'interrompant que pour recharger son arme. C'est du grand Merah avant l'heure.

Guichard comprend que la partie ne va pas être facile, mais, au moins, il n'aura pas le Raid ou le GIGN dans les pattes pour lui saboter son siège. Il charge un de ses hommes d'aller au café voisin pour téléphoner à la préfecture afin de demander du renfort. En attendant, un pompier qui passait par là prête main-forte aux flics. Entre fonctionnaires... Il dégote huit fusils et des cartouches qu'il distribue à des soldats en permission attirés par le remue-ménage. On ne refuse pas une proposition de s'entraîner. Les voilà donc qui s'allongent sur le sol pour commencer à tirer, transformant la baraque en gruyère. Les renforts débarquent enfin. D'abord une compagnie de la garde républicaine en voiture, puis des agents de réserve, des inspecteurs, des gendarmes. Plus on est de fous, plus on s'amuse.

Testament politique… Entre les forces de l'ordre et les voisins venus aider, il y aurait quelque 500 hommes armés arrosant le garage d'un déluge de balles. C'est Fort Alamo. Bonnot seul contre tous. Mais l'anarchiste ne désarme pas. De temps à autre, on aperçoit son bras sortir par la porte ou une fenêtre pour tirer quelques balles. Vers 10 heures, le gangster tient toujours tête. Un "cinématophiste" présent sur place filme l'arrivée de nouveaux renforts, et même d'une mitrailleuse lourde. Voici encore le chef de cabinet du ministre de l'Intérieur et d'autres notables. La foule, elle aussi, gonfle. Il y aurait désormais 20 000 curieux pour assister à la curée contre le monstre. Vers 10 h 45, l'assiégé ne répond plus aux tirs. Certains pensent qu'il s'est suicidé. Mais non, Bonnot est en train d'écrire son testament politique.

Pour déloger Bonnot, le préfet Lépine, jamais à court d'inventions, ordonne de dynamiter la maison. Un gendarme avance avec une voiturette bourrée d'explosifs, se protégeant derrière un matelas. La protection improvisée, que même Charlie Chaplin n'aurait pas osé imaginer, tombe, obligeant le gendarme à rebrousser chemin. Deux camionneurs, Puche et Meunier, proposent alors de faire reculer vers leur garage leur charrette remplie de foin, attelée à un cheval. Le lieutenant Fontan de la garde républicaine se planque derrière avec des bâtons de dynamite. Quand la carriole atteint le mur du garage, le chien de Dubois se jette sur le lieutenant pour le mordre. Il faut l'abattre d'une balle. Fontan dépose une cartouche reliée à un cordon Bickford, il allume la mèche avant de se retirer derrière la charrette. Mais pas d'explosion. Il faut recommencer. Cette fois, le coup part, mais l'explosion est trop faible pour ouvrir une brèche dans le mur. Le cheval blanc atteléà la carriole se tord de rire. La troisième tentative est la bonne: la moitié du mur s'effondre, tandis qu'un incendie embrase la maison.

"À mort, Bonnot!"… D'enthousiasme, la foule, forte maintenant de 30 000 curieux, se précipite en hurlant: "À mort! À mort! On tient Bonnot! À mort, Bonnot!" Les forces de l'ordre ont beaucoup de mal à la retenir. Durant vingt minutes, les pompiers arrosent la maison pour éteindre l'incendie. Mais de Bonnot, aucun signe de vie. Est-il mort? Prépare-t-il un piège? Guichard, Lépine et une douzaine d'agents se rapprochent de la maison protégée par la charrette tirée par le cheval, qui commence à trouver la plaisanterie saumâtre. Les assaillants se jettent à plat ventre pour pénétrer par le trou béant dans le mur. Ils butent sur le cadavre de Dubois. Pendant ce temps, le lieutenant Fontan, suivi de policiers, escalade avec précaution l'escalier extérieur. Tous s'engouffrent dans la première chambre. Vide. Il y en a une deuxième. Fontan saisit un matelas pour se protéger, il pousse la porte et tire quatre balles au jugé. Dans la pièce, Bonnot, gravement blessé par l'explosion, s'est caché entre deux matelas. Dunlopillo aurait-il sponsorisé l'assaut? L'anarchiste tire une première balle sur le lieutenant, qu'il rate, puis une deuxième dans sa propre tête, pour en finir. En même temps, les inspecteurs qui se précipitent lui logent onze balles dans le corps. L'anarchiste mourant jette "Tas de V..."

Agonisant, Bonnot est transporté au bas de l'escalier, où la foule ayant échappéà tout contrôle se jette sur lui pour l'écharper. Les forces de l'ordre parviennent à déposer le moribond dans une voiture qui l'emporte à l'hôpital de l'Hôtel-Dieu de Paris. Durant le trajet, Bonnot, ensanglanté, jette encore quelques injures, avant de rendre l'âme lorsque l'automobile franchit le pont Notre-Dame. Dans les décombres du garage, on découvre le testament de Bonnot, constitué d'une quinzaine de feuillets couverts d'une écriture serrée tracée au crayon. Le bandit anarchiste y crache sa haine de la société et des "exploiteurs qui font travailler les pauvres diables". Il y fait également quelques confidences. Larmoyantes: "Depuis la mort de ma mère, je n'ai plus rencontré une seule affection..." Arrogantes: "Je suis un homme célèbre, la renommée claironne mon nom aux quatre coins du globe et la publicité faite autour de mon humble personne doit rendre jaloux tous ceux qui se donnent tant de peine à faire parler d'eux et qui n'y parviennent." Revendicatrices: "Il me faut vivre ma vie. J'ai le droit de vivre, et puisque votre société imbécile et criminelle prétend me l'interdire, eh bien, tant pis pour elle, tant pis pour vous tous."

La foule, se fichant des dernières pensées du criminel, envahit le garage pour récupérer un souvenir. Des dames, dit-on, auraient trempé leur mouchoir dans le sang de Bonnot. Qui est le sauvage dans cette histoire?
Les deux derniers membres de la bande, Garnier et Valet, seront à leur tour assiégés le 14 mai dans un pavillon de Nogent-sur-Marne. Eux également mèneront une défense acharnée.

Jules Bonnot tué par la police.
Jules Bonnot tué par la police. © DR


© Le Point.fr - Publié le 28/04/2012 à 00:00 - Modifié le 28/04/2014 à 00:01

 

Pour l’éphéméride du vingt-huit avril c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/04/28/29751438.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie ne se laisse pas abattre ni par la météo ni par la malbouffe présentée dans certains fast-food; il lui faut du bon, du pur, du vrai, un vrai disciple de Jean-Pierre Koffe; et puis s'il n'y a pas de salami, il se contentera de rosette de Lyon...   

 

dicton0428

 

Ben pour la zique de ce mardi… on va s’écouter une heure de musique jamaïcaine pleine de soleil avec One hour of Reggae Roots songs… c’est du tout bon avec du rythme et peut-être quelques souvenirs de vacances pour certains… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée de grisaille et de pluie avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=qGizyia26GM

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Un type va voir le psychiatre:
- Docteur, j'ai un problème.
Ma femme se prend pour moi. Le médecin lui répond:
- Bon, alors envoyez-la-moi.
Le type répond:
- Mais, docteur, je suis là!

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C'est un grand-père qui emmène son petit fils à la pêche. Mais toutes les 5 minutes:
- Papy, papy, j'ai tout emmêlé la ligne.

Au bout d'un moment, le papy en a marre, et ne pense qu'a se débarrasser du gamin. Il prend un bâton, fait un trou étroit dans le sol, et dit a son petit fils:
- Tiens, je vais te montrer un jeu. Prend un ver de terre, et essaie de le glisser dans le trou. Si tu y arrives, je te donne 10 euros.

Évidemment, le ver se tortille sans arrêt, et c'est pas demain la veille que le petit aura réussi à le rentrer dans le trou... Pendant ce temps, le grand-père, enfin tranquille, se remet à la pêche.

Au bout d'un moment, le petit-fils revient vers lui:
- Ça y est, j'ai fini.

Le grand-père:
- Hein?
- Ben oui, comme le ver y bougeait tout le temps, je l'ai aspergé de laque, et j'ai pu l'enfiler dans le trou.

- Ah! ben oui, c'est bien mon petit...

Et le lendemain matin, le grand-père de tenir sa promesse:
- Tiens, voilà tes 10 euros, et voilà 10 euros de la part de ta grand-mère....

 GAL_070118-001826

Ça y est, le premier vol spatial européen habité est en route. À bord de la navette Hermès ont embarqué deux cochons et un spationaute belge. (note du blagueur:
Il a fallu choisir un belge car les français n'auraient pas permis que le spationaute soit allemand et les allemands n'auraient pas voulu d'un français. Et les allemands comme les français étaient d'accord pour refuser que le spationaute soit anglais...
à moins bien sûr que ce ne soit John Major [mais il s'était désisté])
Pendant le vol, la conversation suivante a lieu entre la base terrestre et la navette:
- Allô Allô ici le contrôle terrestre pour le cochon N°1.
Cochon N°1 est-ce que vous m'entendez?
- Allô Allô ici le cochon N°1.
Je vous reçois fort et clair.
- Cochon N°1, est-ce que tout fonctionne correctement?
- Tout est sous contrôle.
Le vol se déroule parfaitement.
- Très bien.
Pouvez-vous nous confirmer vos instructions?
- Oui contrôle terrestre:
Dès lors que nous serons en orbite, j'enclenche le bouton carré, et je relâche le bouton rond.
- Très bien cochon N°1.
Cochon N°2 me recevez-vous?
- Je vous reçois 5/5.
- Comment se déroule le vol de votre côté cochon N°2?
- Tout va bien.
Aucun problème. - Cochon N°2, pouvez-vous nous répéter vos instructions?
- Oui.
Lors de l'atterrissage au retour sur terre, je tire le levier rouge et je pousse le levier bleu. - Très bien cochon N°2.
Spationaute belge, me recevez-vous?
- Ici le spationaute.
Je vous entends très bien.
- Comment se déroule le vol?
- Le vol est très agréable. Aucun problème à signaler.
- Spationaute, pouvez-vous répéter vos instructions?
- Oui contrôle terrestre. Je dois nourrir les cochons deux fois par jour, et SURTOUT, SURTOUT, je ne dois toucher à rien…

 GAL_070119-001624

C'est un petit garçon de 8 ans qui va voir sa maman. Il lui annonce, tout fièrement:
- Maman, maman! J'ai pratiqué mes calculs de maths à l'école et j'ai mesuré quelque chose!
- Ah oui, et quoi?
- Eh bien, ma bite est longue de 7 centimètres et elle a la grosseur d'un crayon-marqueur!'
- C'est bien, mon ti-pitte!

Le lendemain, le petit garçon fait part des dimensions de sa queue à sa mère:
- Maman, maman! Ma bite est longue de 8 centimètres et elle a la grosseur de ton tube de mascara!'
- Euh... oui, c'est bien, mon ti-gars...

Le lendemain, le petit garçon fait encore part de ses dimensions à sa mère:
- Oh, maman, maman! Ma queue est longue de 10 centimètres et elle a la grosseur d'un stylo!!!
- MON DIEU! Vite! On va aller voir le médecin!!!

Rendu au cabinet du médecin, ce dernier l'examine, et demande à la mère:
- Madame, pouvez-vous me laisser seul avec votre fiston, un instant...?'
- Euh, bien sûr...
La mère ayant quitté le local, le médecin s'approche du petit garçon et lui dit:
- Eh, un conseil: tu fais un mouvement de va-et-vient; tu ne la roules pas comme de la plasticine!’

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La gardienne de l'immeuble frappe à la porte d'un de ses locataires.
- Bonjour, monsieur Guillot. Tenez, voici une lettre pour vous. C'est de votre femme, qui est en vacances à Audierne, avec vos enfants.
Sans illusion, l'homme répond:
- Je n'ai pas mes lunettes sous la main. Vous qui l'avez déjà sûrement lue, cette lettre, dites-moi: comment va-t-elle, ma femme?

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- Mon fils, raconte une dame à une amie, a toujours eu le goût de se mettre en danger.
D'abord, il a passé trois ans de sa vie àétudier les scorpions, dans le Sahara.
Puis, comme il voulait se dépasser, il est devenu cascadeur.
Et, maintenant, il est prof dans un collège de Seine-Saint-Denis.

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C'est mardi... le réveille-matin en remet une couche avec le grand plaisir, celui de nous foutre en rogne le matin venu avec un réveil en sursaut... Après quelques respirations on évite encore le piège de se cogner le petit orteil au pied du lit ou de la table, on a les yeux bien ouverts et on ne se cogne pas à la porte, en passant on écoute la radio et les informations, on essaie de boire son café trop chaud et c'est le grand départ pour la route  qui mène au travail durant cinq jours... Vivement vendredi pour le prochain week-end... En ces jours de printemps perturbés et mouillés, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leurs appartements car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...

 

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