«S'il pleut à la Sainte Catherine, la ballerine sera d'humeur chagrine. Vite, une aspirine!»
«Quand vient la Saint-Hugues, la nature nous subjugue.»
♥ Cordial salut du jour et bisous à tous ♥
Salut les amis et merci de votre visite; c'est mercredi et pour ces derniers jours d'avril, le temps fait des frasques et revient au mois de mars avec de la neige qui est descendue assez bas... Le dicton dit vrai: "Si avril commence comme un lion, il finit comme un mouton..." Bref, une journée plus fraîche nous attend et ce n'est pas en manches courtes et petites jupes que nous sortirons ce jour et, avec notre tête des mauvais jours, on va quand-même se rendre au travail avec l'humeur du jour qui selon les personnes sera comme le temps, orageuse et pas au beau fixe même si c'est le milieu de la semaine...
Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 1° et un ciel serein dans la nuit, ce sera pour ce mercredi, embellie et conditions plutôt assez ensoleillées malgré un ciel souvent voilé dès le matin. Développement de cumulus en journée sur les reliefs et quelques averses localement orageuses en fin de journée et soirée. Averses pouvant déborder dans les vallées alpines.
Gelées au sol à l'aube localement puis assez doux en journée.
Températures prévues pour mercredi: minimales 2 à 6°à basse altitude, maximales 16 à 18°. Dans le Jura à 1000 m: -3 à 0°à l'aube puis 11° l'après-midi. En montagne: -2 puis 4°à 2000 m, -5 puis -3°à 3000 m.
Vent faible et variable sur le Plateau et le Léman. En montagne, vent du sud-ouest modéré...
Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview
Pour l'Hexagone, une météo de printemps... le temps se dégrade par endroits, eh oui c'est souvent comme ça en avril, surtout vers la fin... avec pour ce jour: le ciel est bien encombré dans le nord-ouest. Dès le matin des averses se produisent sur le Finistère et les régions proches de la Manche tandis que le vent de sud-ouest se renforce jusqu'à 50 à 60 km/h en rafales. Au fil des heures les nuages s'épaississent, des pluies plus généralisées et régulières s'installent entre la Bretagne et le Nord-Pas-de-Calais en cours d'après-midi, et progressent lentement vers l'intérieur des terres en soirée.
Ailleurs, sur la plupart des régions le temps sera calme et lumineux, sous un ciel alternant entre belles périodes ensoleillées et passages nuageux inoffensifs. Sur les Pyrénées, les Alpes et la Corse des nuages plus menaçants se développent l'après-midi et les averses sont fréquentes avec un risque d'orages sur les Alpes. La limite pluie-neige se situe vers 1800 à 2000 m sur les Alpes et les Pyrénées, 2400 m en Corse.
Les minimales varient de 0 à 4 degrés sur la moitié nord jusqu'au Massif central, de 4 à 9 degrés sur le Sud-ouest, 8 à 13 degrés près de la Méditerranée. Les maximales en légère hausse , elles s'échelonnent de 12 à 14 degrés au bord de la Manche, de 14 à 19 degrés au nord de la Loire jusqu'au nord-est, de 16 à 21 degrés au sud...
Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 27°à 31°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé, voilé et brumeux avec des températures de l'ordre de 26°à 32°; à la Martinique, ensoleillé et nuageux avec des températures de l'ordre de 32°; ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 33°à 41° en Guadeloupe; ensoleillé, brumeux et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°à 32°; Polynésie française, peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 31°; beau temps, peu nuageux avec des températures de 31° aux Marquises; plutôt nuageux à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 6°...
Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:22 et le coucher du soleil se fera à 20:39 et le jour est plus long de 3 minutes...
Valeurs remarquables d'avril en France
TMax: 33.2°C (Cazaux le 30/04/2005)
TMin: -14.0°C (Mont Aigoual le 06/04/1911)
Précip: 182.2 mm (Mont Aigoual le 29/04/2004)
Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les:
Samedi 16 mai à 06h21, coefficient 88, à 18h48, coefficient 93
dimanche 17 mai à 07h13, coefficient 97, à 19h36, coefficient 100
lundi 18 mai à 08h01, coefficient 101, à 20h20, coefficient 102
mardi 19 mai à 08h45, coefficient 101, à 21h01, coefficient 99
mercredi 20 mai à 09h27, coefficient 97, à 21h40, coefficient 93
Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…
En 1970: au Mont-Rigi, le mercure ne dépassait pas 2,2 degrés aux heures les plus douces de l'après-midi.
En 1919: des chutes de neige étaient encore observées à Anvers.
Les journées mondiales et internationales
Le vingt-neuf avril c’est la Journée Internationale de la danse
http://www.journee-mondiale.com/149/journee-internationale-de-la-danse.htm
Les expressions françaises décortiquées
Clés en main
Complètement terminé, prêt àêtre utilisé
Origine
Il suffit d'imaginer le garagiste qui remet à l'acheteur la clé de sa voiture flambant neuve fraîchement livrée et préparée pour comprendre le sens de l'expression: la voiture est prête àêtre utilisée et l'heureux acheteur peut partir avec, après avoir toutefois été délesté de quelques milliers d'euros mais, théoriquement, sans rien avoir à dépenser de plus (à part pour un peu d'essence, si jamais il tient vraiment à rouler avec).
Cette expression nous vient du XVIIIe siècle où, semble-t-il, sous la forme les clés à la main, elle a d'abord été utilisée dans le monde du bâtiment pour désigner une construction complètement terminée à un prix forfaitaire.
La chose semblait être difficile à obtenir à l'époque; non pas la construction terminée, mais le prix forfaitaire, car, en l'absence d'un maître d'œuvre, chaque artisan y allait de son devis personnel, évoluant au fil de l'avancement du bâtiment et des difficultés rencontrées.
D'ailleurs, en 1863, Charles Nisard, dans son Curiosités de l'étymologie française, évoque un dialogue entre un individu et un architecte où le premier se plaint des devis du second qui sont toujours largement dépassés; ce dernier se défend en invoquant ceux des artisans qui ne sont pas stables; l'individu évoque alors un concurrent qui est prêt à lui bâtir une maison pour un montant fixe, la cléà la main; l'architecte, craignant de voir le marché lui échapper, propose alors de lui bâtir sa maison pour un montant un peu inférieur, mais également la cléà la main.
Il ne fait donc aucun doute que l'expression indique à la fois une maison finie prête àêtre habitée et pour un montant forfaitaire, sans surprise.
Avec le temps, on a définitivement droit à plusieurs clés et cette locution peut maintenant être employée partout où il est question de mettre à disposition de quelqu'un quelque chose de terminé, directement utilisable et pour un montant fixé, même s'il n'y a pas réellement besoin de clé pour en profiter.
Exemple
«Un deuxième choix important est celui de savoir si vous allez utiliser une plateforme clés en main ou une solution à installer»
Poème Erotique: La Fesse Cachée de Nos Plus Grands Auteurs
«La serveuse» d’Arthur Rimbaud
Difficile de ne pas mentionner Rimbaud dans une liste des grands poètes français! Il y a évidemment le célèbre «Sonnet du trou du cul»écrit avec son ami et amant Paul Verlaine, mais «La serveuse» est peut-être plus représentatif. On découvre ainsi la description charnelle et extasiée d’une serveuse avec laquelle le poète a eu vraisemblablement quelques aventures érotiques et dont les courbes émoustillantes l’ont marqué agréablement…
L’Idole
Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte caline;
C’est le tube où descend la céleste praline:
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos!
Albert Mérat, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine
La serveuse
Verger de la Christine aux relents de cloaque,
Buisson mouillé portant quelques morpions pour baies,
Une motte à feux roux comme la haie
En août d'une femme sans époques.
Mais quelles fesses, voyez-vous !
Fesses magistrales, comtales, princières,
Bonnes à condamner à la dossière
La verge ponceau des récureurs d’égouts.
Mais la langue vive et la bouche
Baveuse et buveuse d'orgeats !
Langue fourrée, langue pineuse d'entrechats
Ou d'entre-fesses ! Et les chibres qu'elle débouche!
Goulot d'amour, sa poitrine fleurie, ô ses seins !
Mammes roussottes ! Son anus rond : mon ergastule.
- Gare, Christine! Si jamais je pars et te décule
Et te brise les colonnades du bassin.
Arthur Rimbaud
La France pittoresque
Premiers pas de l’affiche comme support de communication
D’après «La publicité en France: histoire et jurisprudence», paru en 1879
Si la première mention d’affiches, au sens moderne du terme mais nommées à l’époque cédules, apparaît dans des lettres promulguées par Charles VI en 1407 visant à défendre et réprimer l’usage de placarder, au sein des églises, de convocations d’assemblées, il faut attendre le 13 novembre 1539 pour que, premier à le faire, le roi François Ier s’occupe de faire connaître ses ordonnances au moyen de l’affichage, désirant qu’elles soient «attachées à un tableau, escriptes en parchemin et en grosse lettre»
Du temps de Plaute (IIIe siècle av. J.-C.), les façades des maisons de Rome étaient couvertes d’affiches gigantesques, et on ne craignait pas de placarder des annonces écrites en caractères longs d’une coudée, lors même qu’il ne s’agissait que de réclamations d’objets perdus ou d’avis donnés pour des objets trouvés. Voici la traduction d’une de celles qui ont été trouvées à Pompéi: «Une urne de vin a disparu de la boutique, celui qui la rapportera recevra 65 sesterces; s’il amène le voleur, on lui donnera le double.»
Ernest Breton a recueilli dans son ouvrage Pompeia décrite et dessinée (1855) plusieurs inscriptions que l’on peut regarder comme des affiches; nous citerons seulement cette affiche électorale: «Publium Furium duumvirum virum bonum oro vos faciatis» (Je vous prie de nommer duumvir Publius Furius, honnête homme), et cette autre affiche: «Suavis vinaria sitit, rogo vos valde sitit» (Suavis, la marchande de vin, a soif; je vous demande qu’elle ait excessivement soif)»; sans doute afin qu’elle boive tout son vin.
Quelques historiens ont prétendu, mais sans en donner aucune preuve, que cet usage de l’affiche avait passé dans la Gaule avec le gouvernement des Romains, et qu’il fut suivi par les rois des deux premières dynasties (mérovingienne et carolinfienne). Au Moyen Age il semble avoir été remplacé par le cri à son de trompe ou par la voix du héraut d’armes, quand l’ordonnance était promulguée par un seigneur suzerain, et dans les villes par des crieurs jurés, auxquels cet office avait été concédé.
D’après les usages de la législation romaine, c’était aux magistrats municipaux qu’appartenait le droit de faire crier les ordonnances ou même les événements qui devaient être connus de tous. A la fin du XIIIe siècle, le roi de France et l’évêque de Paris vendirent à la juridiction du Parloir-aux-Bourgeois le criage de Paris. Le prévôt de cette ville avait donc, par ce fait, dans ses attributions, le droit de promulguer les ordonnances royales et celles des cours souveraines. On conserva, durant les premiers siècles du christianisme, l’emploi d’un moyen d’annonce qui rappelle l’album des Romains, et forme en quelque sorte la transition entre lui et l’affichage moderne. On plaçait dans les églises, au pied du grand cierge, des tables pascales, inscrites sur parchemin blanc et qu’on renouvelait tous les ans; ces tableaux indiquaient la date des fêtes mobiles, l’année du pontificat du pape alors vivant, celle du règne du roi, etc.
La voix du crieur a donc ainsi pendant plusieurs siècles remplacé l’ancien album praetoris du magistrat romain, et il faut venir jusqu’à la première moitié du XVIe siècle pour retrouver, avec la promulgation à son de trompe, l’exposition, c’est-à-dire l’affichage de la loi dans les places et carrefours da la ville.
Un des plus anciens titres concernant la publication des lois est un édit de Charlemagne de l’an 803. Il contient plusieurs ordonnances concernant la sûreté publique et l’administration de la justice. Il est adresséà Stephanus, qui occupait sous le titre de comte de Paris, l’importante fonction de premier magistrat de la ville capitale, pour le faire publier dans la ville de Paris et à son audience en la présence de tous les juges ou conseillers.
Le premier document dans lequel il est question des affiches est une lettre du roi Charles VI, du 18 février 1407, dont nous donnons ci-après le contenu, et l’on remarquera que le mot d’affiches n’y est pas encore prononcé; elle y sont désignées sous le nom de cédules:
LETTRES qui défendent de faire des assemblées sans la permission du Roy; et qui défendent notamment à l’Université de Paris d’indiquer et de convoquer des assemblées du peuple
«Charles VI, à Paris, le 18 de février 1407.
«Charles, par la grâce de Dieu, Roy de France, au Prevost de Paris, ou à son lieutenant, salut. Comme à quelque personne que ce soit, de quelconque autorité ou prééminence qu’elle use en nostre royaume, soit nostre aimé fils ne autre, exceptéà nous seulement qui sommes souverain seigneur en nostre dit royaume, ne laise ne apparteigne faire convocacion ne assemblée de peuple en ycelui nostre royaume, sans noz licence, exprès commandement, et ceux qui feraient le contraire en cherroient envers nous un crime de lèse-magesté; et pour obvier aux inconvénients qui de ce se pourroient ensuir, avons fait crier, prorlamer et fait deffendre publiquement. en nostre ville de Paris, et en plusieurs autres lieux de nostre dit royaume, sur moult grans peines, que aucun en presumast y faire aucune convocacions ne assemblées de peuple sans noz licence et commandemens dessusdiz, si comme nest assez notoire à tous; neantmoins si comme de nouvel est vesnu à nostre congnoissance, aucuns suppos de nostre aînée fille l’Université de l’Estude de Paris, ou autres meuz de leur volonté, soubz umbre de certaines couleurs ont mis et attachié ou fait mettre et attachier en plusieurs églises de nostre dicte ville de Paris et ailleurs, certaines CEDULES pour induire, inciter et esmouvoir le peuple d’icelle et de ce assembler en certain lieu et à certain brief jour, en intencion et propos, comme nous avons entendu et sentons par usaiges semblables, presumpcions et conjectures, de dire et proposer entre autres choses audit peuple, plusieurs paroles grandement préjudiciables et dommaigables à nous, à nostredit royaume et à nos subgiez et bien publique d’icellui, qui est chose de très mauvais exemple, et s’en pourroit ensuir de très grans dommaiges et inconvéniens, se à ce n’estoit par nous pourvu de hatif remede.
«Nous qui toute nostre entente et consideracion mettons comme raison est et faire le devons, à gouverner et maintenir nozdiz subgiez de nostre dit royaume en bonne paix et tranquilité, voulons et desirons prévenir et obvier aux choses dessusdictes, afin qu’aucune matière de discorde nesourde entre eulx, par grande et neuve deliberacion de nostre Conseil, nous mandons, commettons et enjoignons estroictement, que incontinent sans aucun delay, vous deffendez et faites crier publiquement en nostre dicte ville de Paris, en tous les lieux où l’on a accoutumez à faire criz, et par ces présentes deffendons à tous nos subgiez generalement de quelque estat et auctorité qu’ils soient, sur peine de corps et de biens, que aucuns d’eulx ne aille à ladicte convocacion ou assemblée ne assemblées.
«Et pour ce que nagaires ladicte Université a fait faire certaine predication en l’église de Saint-Martin-des-Champs, contre nostre dicte deffense... et grand lésion de nostre seigneurie, et pourrait plus estre se teles assemblées s’accoutumaient faire, vous rendons et commettons, se metier est, que de ces choses vous nous informez bien et diligement, et tous ceux que par vostre informacion en trouverez estre coupables, punissez les ainsy que au cas appartiendra.
«Toutefois nostre entencion n’est pas que se aucuns de ladicte Université voilent preschier la parole de Dieu, ainsi que ilz ont accoutumé de faire ès églises de nostre ville de Paris, et non autrement; et aultre vous mandons et commandons par ces mesmes presentes, que vous faciez et faicte deffense à tous les gens d’église d’icelle notre ville de Paris, que ils ne souffrent faire telles assemblées ou convocacions en leurs dictes églises , sur certaines grans peines, et de mêmes leurs deffendons par ces présentes;
«Et avecque ce, vous mandons et commandons que se pour le temps avenir aucuns de ladicte université voulaient faire ou s’efforçaient de vouloir faire telles assemblées ou convocacions, que incontinent vous faciez armer tous noz officiers et les sergens de nostre ville de Paris, et prendre ou faire faire prendre tous ceulx que vous en saviez entre coulpables, et les pugnir tellement que ce feust exemple à tous autres pour le temps avenir.»
Ce n’est qu’à partir du XVIe siècle que les ordonnances royales et avis publics furent affichés dans les rues. François Ier fut le premier roi qui s’occupa de faire connaître ses ordonnances au moyen de l’affichage. Voici l’extrait de cette ordonnance du roi François Ier sur la police de la ville de Paris, pour icelle tenir nette:
«Nous voulons que ces présentes ordonnances soient publiées tous les moys de l’an, par tous les quarrefours de cette ville de Paris, et faulxbourgs d’icelle, à son de trompe et cry public. Et néantmoins qu’elles soient attachées à un tableau, escriptes en parchemin et en grosse lettre, en tous les seize quartiers de la dicte ville de Paris et esdictz faulxbourgs, et lieux les plus éminens et apparens d’iceulx, afin qu’elles soient congneues et entendues par un chacun. Et qu’il ne soit loysible oster lesdictz tableaulx, sur peine de punition corporelle, dont les dictz commissaires auront la charge, chacun en son quartier.
«Et si, enjoignons àà nostre dict prevost de Paris ou son dict lieutenant criminel, de faire entretenir et garder entièrement le contenu en ces présentes, et ce qui en dépend. Et que diligemment il face toutes contrainctes à ce nécessaires sur les peines dessus dictes. Nonobstant oppositions ou appellations quelconques et sans preiudice d’icelles, dont nous avons retenu la cognoissance à vous et à nostre conseil privativement, à tous autres comme dessus.
«Si donnons en mandement par ces dictes presentes, nostre prevost de Paris ou ses lieutenants, que noz presentes lettres ilz facent lire, publier et enregistrer, et les facent garder, observer, accomplir et entretenir inviolablement de poinct en poinct, selon leur forme et teneur, sans y contrevenir en aucune manière, car tel est nostre plaisir.
«Donnéà Paris, au mois de novembre, l’an de grâce mil cinq cens trente-neuf, et de nostre règne le vingt-cinqiesme.»
Le droit de faire publier et de faire afficher n’appartenait, en chaque ville, qu’au juge qui a la juridiction ordinaire et de territoire. Le prévôt de Paris avait seul ce droit. C’est par ce motif que la seule juridiction du Châtelet de Paris avait des registres qu’on appelait Bannières, c’est-à-dire, des registres des publications, et un greffier chargé de les garder et en délivrer des expéditions. Cette dénomination provenait de ce que l’on appelait Bannum ou Ban, soit la publication elle-même, soit l’étendue du territoire ou de la juridiction dans laquelle ce magistrat avait le droit de faire ces proclamations ou criées.
C’est dans ces registres que l’on trouve les procès-verbaux des publications de guerre et de paix, les édits et ordonnances royales, les arrêts du Parlement sur les matières générales, qui devaient servir de règlement; les convocations des États, les publications pour les adjudications de fermes ou domaines du pays, et généralement tout ce qui était sujet àêtre publié ou affiché.
Toutes les fois que l’on a entrepris de troubler le prévôt de Paris dans cette possession, il y a été maintenu, ainsi qu’il résulte de quelques-unes des lettres patentes de Charles VI, du 6 avril 1407, adressées au prévôt de Paris, pour faire le procès à ceux qui avaient affiché des placards rapportés ci-dessus; et de l’ordonnance du prévôt de Paris, du 9 décembre 1417, sur la requête des prévôts des marchands et échevins; de l’ordonnance du prévôt de Paris, du 15 avril 1472, et de cette autre «portant une sanction de luy dénoncer les gens qui avaient affiché des libelles contre le Roy, les princes et les principaux officiers de la couronne, à peine contre ceux qui seraient trouvez en avoir eu connaissance, d’estre traitez comme complices.»
Article copié sur "La France pittoresque"
Pleins feux sur le monastère de Brou à Bourg-en-Bresse (Ain)
Source: France 3 Rhône-Alpes
Le monastère de Brou (Bourg-en-Bresse) avait étéélu Monument préféré des Français en 2014. Un événement se prépare: la façade de l’église sera mise en lumière en mai. Un spectacle lumineux intitulé Couleurs d’Amour pour sublimer l’architecture des lieux et rendre hommage à une histoire d’amour de cinq siècles
Lorsque le monastère royal de Brou (Bourg-en-Bresse) a remporté le titre de «Monument préféré des Français», une hausse du nombre de visiteurs a été enregistrée. Aujourd’hui, la ville de Bourg-en-Bresse veut aller plus loin et rendre le site encore plus attrayant en proposant un jeu de lumières sur la façade de l’église.
Une illumination architecturale inédite et intitulée «Couleurs d’Amour». Un spectacle imaginé par Gilbert Coudène, qui met en scène l’histoire d’amour romanesque de Marguerite d’Autriche et de Philibert le Beau. A voir du 9 au 21 mai prochain (21h30, 22h et 22h30).
Mise en lumière de l’église du monastère royal de Brou (Bourg-en-Bresse)
Marguerite d’Autriche, veuve inconsolable du duc de Savoie, avait fait ériger au début du 16e siècle ce joyau du gothique flamboyant pour abriter trois somptueux tombeaux: ceux de Philibert le Beau, de sa mère et le sien. La construction du monastère et de l’église a duré plus de 25 ans: de 1506 à 1532.
France 3 Rhône-Alpes
Article copié sur "La France pittoresque"
Le beurre du Poitou-Charentes veut conquérir le marché chinois
Source: France 3 Poitou-Charentes
La fin des quotas laitiers sera-t-elle une bonne ou une mauvaise affaire? Certaines coopératives y voient l’opportunité de développer leurs capacités d’exportation, notamment sur le marché chinois. Exemple avec le beurre Charentes-Poitou.....
Le beurre d’Échiré existe depuis 1894 et connaît son succès grâce à une technique de barattage traditionnelle dans un tonneau en bois. Classé en AOP (Appellation d’Origine Protégée), il est l’un des fleurons des produits laitiers transformés en Poitou-Charentes.
Avec la fin des quotas laitiers prévus au 1er avril prochain, la filière lait régionale souhaite répondre à une demande du marché chinois qui ne produit pas suffisamment de beurre pour assurer ses besoins.
Avec 30 000 tonnes de beurre AOP produites par an, la filière picto-charentaise croit en ses chances, comme l’ont constaté Anne-Marie Baillargé et Romek Gasiorowski.
Bernard Dussol, France 3 Poitou-Charentes
Article copié sur "La France pittoresque"
Vingt-neuf avril 1720: Les Parisiens massacrent plusieurs dizaines de policiers accusés de rapts d'enfants. Ces enfants, mais aussi femmes et vagabonds sont arrêtés arbitrairement pour être expédiés dans la colonie du Mississippi.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.
La colère parisienne couve depuis plusieurs semaines, voire depuis plusieurs mois, avant d'éclater le lundi 29 avril 1720. Des centaines d'artisans, de portefaix, de domestiques, de commerçants se rassemblent aux carrefours armés de bûches, pavés, bâtons, outils et épées en guise d'armes. Le gibier devient chasseur. La chasse aux archers du guet et aux exempts de l'armée est ouverte. Dès que l'un d'eux est attrapé, il est massacré. Tiens ce pavé dans la gueule, tiens ce bâton dans les côtes! À la fin du jour, une dizaine de représentants de la loi font déjà la queue devant saint Pierre, et plusieurs centaines ont été blessés par la foule en colère. À la Sorbonne, Cohn-Bendit jubile... La rue Saint-Antoine et le pont Notre-Dame ont connu les plus sanglantes échauffourées. De Lisle, greffier au Parlement de Paris, donne l'explication de la colère populaire: "La populace s'était soulevée dans différents quartiers de la ville contre un grand nombre d'archers ou gens préposés pour prendre les vagabonds et gens sans aveu pour les conduire à Mississipi (orthographe du XVIIIe siècle, NDLR) parce que sous ce prétexte ils arrêtaient depuis quelques jours toutes sortes de personnes sans distinction, hommes, femmes, filles, garçons, et de tous âges, pour les y faire conduire aussi pour peupler le pays."
Voici le fond de l'affaire, la raison de l'ire parisienne: la Compagnie des Indes (ou encore Compagnie de Mississipi) appartenant au financier John Law a besoin de centaines, de milliers de colons. Or, l'appel au volontariat ne donne pas grand-chose. La Compagnie a beau soudoyer les journalistes de son temps pour publier des articles vantant la vie de colon, le rêve américain ne prend pas. Un autre témoin du temps, Mathieu Marais, écrit: "Il semble que l'on veuille faire sortir tous les Français de leur pays pour aller là. On ne s'y prend pas mal pour faire de la France un pays sauvage et en dégoûter les Français." S'il n'y a pas de volontaires, il y a toujours la possibilité de déporter les pauvres bougres croupissant dans les prisons! Ils ne sont pas suffisamment nombreux? Pas grave, c'est tellement facile de remplir les prisons. Bien avant Sarko, on connaissait déjà la recette pour traquer les indésirables.
Des dizaines de milliers de SDF… Copain comme cochon avec Philippe d'Orléans, régent de France, John Law obtient la publication de l'ordonnance royale du 10 mars 1720 prescrivant l'arrestation de tous les pauvres hères de la capitale sans domicile fixe. Ils sont des dizaines de milliers dans ce cas! À l'époque, les SDF grouillent dans la ville. Les archers du guet ne savent plus où donner de la tête. Mais cela ne suffit pas. Le 28 mars, une nouvelle ordonnance menace les domestiques, les gens sans aveu et les artisans qui agiotent rue Quincampoix d'être expédiés, eux aussi, en Louisiane et dans le Mississippi s'ils continuent à spéculer en bas du domicile de Law. Il faut dire qu'une spéculation effrénée se déroule dans la rue où les esprits enfiévrés par l'espoir d'un gain d'argent achètent et vendent les actions de la Compagnie des Indes. En une journée, des domestiques deviennent bien plus riches que leur maître, tandis que d'autres spéculateurs sont ruinés. Pour stimuler l'ardeur des archers et exempts, la Compagnie des Indes offre une pistole par personne livrée outre leur solde quotidienne de vingt sols. Inutile de dire que les arrestations se multiplient. Et tant qu'à faire, autant attraper des gosses pour ménager sa peine. D'où la colère des Parisiens.
À la date du 14 août 1719, dans le Journal de la régence, Jean Buvat écrit: "On tira des hôpitaux de Bicêtre et de la Salpêtrière cinq cents jeunes gens des deux sexes pour les embarquer à la Rochelle et les transporter au Mississipi. Les filles étaient dans des charrettes et les garçons allaient à pied, avec une escorte de trente-deux archers." Ce sont les charters de l'époque, sauf qu'en ce temps-là la France exportait ses propres ressortissants... En septembre, Buvat note encore: "On apprit aussi de La Rochelle que les cent cinquante filles qu'on y avait envoyées de Paris pour être transportées au Mississipi s'étaient jetées comme des furies sur les archers, leur arrachant les cheveux, les mordant et leur donnant des coups de poing, ce qui avait obligé les archers de tirer leurs fusils sur ces pauvres créatures, dont six avaient été tuées et douze blessées; ce qui avait intimidé les autres de telle sorte qu'elles se laissèrent embarquer." Les prostituées, très nombreuses à cette époque, constituent également un gibier très recherché. Jean Buvat indique encore que les autorités parisiennes ont offert la possibilitéà 180 filles ramassées sur le pavé de Paris de se choisir un époux parmi les hommes de la prison du même prieuré. "Après laquelle cérémonie, on les fit partir liés d'une petite chaîne deux à deux, le mari avec la femme, suivis de trois charrettes chargées de leurs hardes, et pour les soulager de temps en temps, ou pour voiturer ceux ou celles qui se trouveraient malades en chemin, escortés par vingt archers, pour les conduire à La Rochelle et de làêtre transportés au Mississipi, dans l'espérance d'une meilleure fortune."
Arrestations arbitraires… On comprend que ces arrestations arbitraires et les déportations de masse révoltèrent le bon peuple de Paris. "Personne n'osait sortir pour ses affaires ou pour gagner sa vie, même les gens de métier et les domestiques dont plusieurs avaient été arrêtés, n'étant pas en sûreté hors de chez soi", ajoute Buvat.
Le mardi 30 avril, les émeutes reprennent. Des archers sont pris à partie rue du Roi-de-Sicile. L'un est tué et les autres blessés. Le procureur général du roi se rend dare-dare au Parlement pour expliquer aux magistrats que les archers et les exempts ont reçu l'ordre "d'arrêter les vagabonds et gens sans aveu, dont le nombre augmentait tous les jours dans la capitale". Il admet aussi que des arrestations arbitraires ont pu être faites. Du coup, un projet d'ordonnance royale est rédigéà la hâte pour permettre aux personnes victimes d'une arrestation arbitraire d'être entendues dans leur prison par un commissaire ou officier de police, tous les jours à midi. Et c'est le garde des Sceaux, en personne, qui statuera sur le bien-fondé de la plainte. L'ordonnance prévoit aussi une réorganisation des conditions d'arrestation par les archers. Le lieutenant de police demande enfin aux corps des artisans et des marchands de Paris de lui fournir la liste exacte des "enfants, des garçons de boutique et des apprentis" afin d'éviter toute erreur lors des arrestations à venir. Ces décisions font revenir le calme dans Paris. Mais cela ne fait que déplacer le problème, car les archers et les exempts se mettent alors àécumer les campagnes ceinturant la capitale pour continuer à alimenter les colonies. Le 15 juin, une nouvelle ordonnance "portant défense d'arrêter et d'inquiéter les habitants de la campagne et gens de profession" est publiée. L'histoire de France est un éternel recommencement...
© Le Point.fr - Publié le 29/04/2012 à 00:00 - Modifié le 29/04/2014 à 00:00
Pour l’éphéméride du vingt-neuf avril c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/04/29/29759248.html
Dicton du jour de Charlie Hebdo
Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie vocalise... Ma foi, quand on veut voir le loup et qu'on l'a vu, il faut hurler de contentement; chienne de vie...
Ben pour la zique de ce milieu de semaine… on va s’écouter un petit concert assez sympa dix ans après… ou: Ten Years After-full concert… c’est du tout bon avec du rythme et peut-être quelques souvenirs de jeunesse pour certains… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée de grisaille et de pluie avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!
https://www.youtube.com/watch?v=vOkbhdYaFjw&
Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...
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Carole, une jeune fille blonde de la ville, a épousé John, un producteur laitier.
Un matin, en allant traire ses vaches, John dit à Carole :
- L'homme de l'insémination va venir pour inséminer une de nos vaches aujourd'hui. J'ai placé un clou dans l'étable au-dessus de la crèche de la vache à inséminer. Tu lui montreras où est la vache quand il arrivera ici, OK? »
Ainsi donc, l'agriculteur part pour les champs.
Après un certain temps, l'homme pour l’insémination arrive et frappe à la porte d'entrée.
Carole l'emmène jusqu'à l'étable. Ils marchent le long de la ligne des vaches, et quand elle voit le clou, elle lui dit:
- Voilà ! C'est cette vache »
Terriblement impressionné par ce qu'il pensait être juste une blonde naïve, l'homme lui demande :
- Dites-moi Madame, comment savez-vous que c'est elle, la vache à inséminer ?
- C'est simple, c'est parce qu’un clou est au-dessus de sa place, explique Carole très confiante.
Ensuite, l'homme demande :
Pourquoi un clou? Et elle répond tranquillement :
- Je suppose que c’est pour accrocher votre pantalon.
Le jour de ses quarante ans, un gynécologue est emmené par ses amis pour une soirée entre mecs. Ses copains l’emmènent dans un cabaret Place Pigalle.
Tout de suite après qu'ils se soient installés, une strip-teaseuse commence à se déshabiller sous son nez.... En un rien de temps, elle lui montre sa grande 'ouverture d'esprit'...
Le gynéco soupire:
- Mince alors, quand je pense que j'ai accepté de venir ici pour me changer les idées...
Un paysan est dans un troquet en train de boire au beau milieu de la journée.
Un gars le voit et lui demande:
– Hé! Pourquoi tu es là en train de te saouler par une belle journée comme aujourd’hui?
– Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Qu’est-ce qui t’arrive de si grave?
– Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l’étable en train de traire ma vache. A la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
– Ça n’a pas l’air si grave que ça…
– Ouais, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Qu’est-ce qui s’est passé d’autre?
Le paysan continue:
– Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
– Et puis?
– Ben, je me suis rassis et j’ai recommencéà la traire. Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
– Encore?
– Ben oui… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Alors, qu’est-ce que t’as fait?
– J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence. Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
– Et ça a marché?
– Ben, je me suis rassis et j’ai recommencéà la traire. Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois. »
– Houai, ça n’allait pas bien!
– Non monsieur. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
Le gars s’interroge de plus en plus:
– Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite?
– Ben là, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence.
Comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
– Et alors…?!?!
– Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l’étable… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
Une étude récente a démontré qu'un golfeur assidu marche environ 900 milles par année.
Une autre étude a découvert qu'un golfeur assidu boit, en moyenne, 22 gallons de bière chaque année.
On peut donc conclure, sans risque de se tromper, qu'un golfeur assidu fait 41 milles au gallon
Une femme à son mari:
- Chéri tu m'offres quoi pour mon anniversaire?
- Tu vois la Ferrari rouge là-bas?
La femme tout excitée:
- Oui!!
- Eh bien je t'ai acheté un pull de la même couleur.
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C'est mercredii... le réveille-matin n'est jamais en retard pour nous foutre en pétard le matin venu avec un réveil en sursaut... Après quelques respirations on évite encore le piège de se cogner le petit orteil au pied du lit ou de la table, on a les yeux bien ouverts et on ne se cogne pas à la porte, en passant on écoute la radio et les informations du jour, on essaie de boire son café trop chaud et c'est le grand départ pour la route qui mène au travail durant encore trois jours... Vivement vendredi pour le prochain week-end... En ces jours de printemps perturbés et mouillés, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leurs appartements car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...