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Channel: Éphémérides et humour
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Éphéméride du trois mai

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«À la Saint-Philippe, c'est la fête du slip pour les tulipes.»

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«Geourgeot, Marquot, Philippot, Crousot et Jeannot sont cinq malins gaichenots (garçonnets) qui cassent souvent nos goubelots (gobelets)»

 

 Cordial salut du jour et bisous à tous 

 

Salut les amis et merci de votre visite; c'est le premier dimanche d'un mois de mai qui commence plutôt mal avec des pluies à ne plus savoir qu'en faire et on pourra dire dans les chaumières que mai 2015 aura fait une entrée fracassante et très mouillée et ce n'est pas aujourd'hui qu'on pourra se rouler sur l'herbe et faire des pique-niques et autres barbecues... Pas de souci, il reste encore pas mal de fin de semaine où il fera peut-être beau dans l'année... et espérons que ce mauvais temps ne sera que passager et que le soleil brillera dans les cœurs...

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Pour la météo d'aujourd'hui, pour la Suisse romande avec 10° et un temps pluvieux dans la nuit, ce sera pour ce dimanche, très nuageux à couvert avec des pluies fréquentes en matinée. Passage à un régime plus instable dans l'après-midi, avec des averses pouvant prendre un caractère orageux, notamment vers les reliefs et possibles à tout moment.
Quelques éclaircies entre les averses, surtout en Valais et à basse altitude. Neige dès 2600 à 2800 mètres d'altitude.
Températures prévues pour dimanche: minimales 11 à 12°à basse altitude, maximales 17 à 19°, jusqu'à 21° en Valais. Dans le Jura à 1000 m: 8°à l'aube puis 14 à 15° l'après-midi. En montagne: 5 puis 9°à 2000 m, -1 puis 0°à 3000 m.
Vent de sud-ouest faible en plaine ce samedi. Ouest modéré en montagne...

Une nouvelle page météo avec symboles et plus du tout de texte... à regarder sous:
http://www.meteosuisse.admin.ch/home.html?tab=overview

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Pour l'Hexagone, une météo de printemps, assez perturbée... ATTENTION, VIGILANCE ORANGE DANS 2 DÉPARTEMENTS... eh oui c'est souvent comme ça en mai, surtout au début...  avec pour ce jour: le temps est couvert et faiblement pluvieux le matin sur le quart Nord-Est du pays. Sur la pointe de Bretagne des éclaircies réapparaissent en cours de matinée. Sur les Pays-de-La-Loire, le Poitou-Charentes, le Massif-Central et Rhône-Alpes le ciel reste couvert mais les pluies sont faibles et plus éparses. Sur le Sud-Ouest et le pourtour Méditerranéen le voile nuageux est dense par endroits mais la matinée est agréable et le temps reste sec.
L'après-midi le temps pluvieux concerne le Nord-pas-De-Calais, la Picardie, la région parisienne, la Bourgogne, le Nord des Alpes et l'Alsace et la Lorraine, alors que le ciel est plus variable avec de rares ondées sur la Bretagne, la Normandie, les Pays-De-La-Loire et le Poitou-Charentes. Sur le Centre, l'Aquitaine, le Limousin et le Massif-Central, la nébulosité est dense et de petites pluies sont attendues çà et là. Sur le Midi-Pyrénées et autour de la Méditerranée l'après-midi est plutôt clémente et douce sous un ciel qui s'ennuage progressivement d'un voile d'altitude de plus en plus dense.
Un vent de Sud-ouest de 50 à 70 km/h souffle sur les côtes bretonnes et près de côtes de la Manche. Sur les crêtes pyrénéennes et le Massif-Central les rafales atteignent 70 km/h.
Les températures minimales sont comprises entre de 9 et 13 degrés au nord, 12 à 15 degrés au Sud et 16 à 18 degrés sur le Pays-Basque. Les maximales varient de 16 à 20 au nord, 20 à 26 au sud...

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Pour l'Outre-mer: à Mayotte ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 28°à 32°; à l'île de la Réunion ce sera ensoleillé et pluvieux avec des températures de l'ordre de 27°à 31°; à la Martinique, ensoleillé, nuageux et pluvieux avec des températures de l'ordre de 32°à 33°; ensoleillé, voilé et nuageux avec des températures de l'ordre de 31°à 38° en Guadeloupe; ensoleillé, brumeux et nuageux en Guyane française avec des températures de l'ordre de 30°à 32°; Polynésie française, nuageux à très nuageux, quelques averses avec des températures de 29°; peu nuageux à nuageux, larges éclaircies avec des températures de 28° aux Marquises; ciel variable à Saint-Pierre et Miquelon avec des températures de 6°... 

 

Bonne journée à tous et que le soleil et la chaleur soient aussi dans vos cœurs... Aujourd'hui le lever du soleil à Lausanne est à 06:16 et le coucher du soleil se fera à 20:44 et le jour est plus long de 3 minutes...

 

Valeurs remarquables de mai en France 

TMax: 41.0°C (Montauban le 26/05/1888)
TMin: -8.6°C (Mont Aigoual le 02/05/1909)
Précip: 276.2 mm (Mont Aigoual le 19/05/1917)

 

Et pour les amis qui aiment la pêche à pied, les prochaines grandes marées, horaire des marées à Saint-Malo, auront lieu les: 

Samedi 16 mai à 06h21, coefficient 88, à 18h48, coefficient 93
dimanche 17 mai à 07h13, coefficient 97, à 19h36, coefficient 100
lundi 18 mai à 08h01, coefficient 101, à 20h20, coefficient 102
mardi 19 mai à 08h45, coefficient 101, à 21h01, coefficient 99
mercredi 20 mai à 09h27, coefficient 97, à 21h40, coefficient 93

 

Historique d'une météo, qu’on a trop souvent tendance à oublier…

En 1990: la température maximale observée sous abri à Middelkerke atteignait 25,4 degrés 

 

Les journées mondiales et internationales

Le trois mai c’est la Journée du soleil
http://www.journee-mondiale.com/50/journee-du-soleil.htm 

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Le trois mai c’est la Journée Mondiale de la liberté de la presse
http://www.journee-mondiale.com/160/journee-mondiale-de-la-liberte-de-la-presse.htm

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Les Fêtes nationales du Jour

Pologne

République Polonaise
Proclamation de la Constitution polonaise du 3 mai 1791 

 

Les expressions françaises décortiquées

De longue haleine
De longue durée, demandant beaucoup de temps (avec une notion d'effort soutenu)

Origine
Aujourd'hui, pour nous tous, et aucun mouton ne me contredira, l'haleine est cet air qu'exhale un individu qui parle ou qui expire par la bouche. Chez quelqu'un avec lequel on discute, on la préfère fraîche et agréable, au lieu de foudroyante pour une mouche qui aurait eu l'imprudence de passer entre les interlocuteurs.
Si l'adjectif longue explique aisément la durée qu'exprime l'expression, il paraît peut-être un peu difficile d'associer à l'effort ce que l'haleine désigne de nos jours.
Mais, encore une fois, il nous faut remonter bien loin dans le temps pour tout comprendre.
Au XIe siècle, l'haleine est d'abord l'air qui sort des poumons puis, par extension, le souffle. Or, on sait que lorsqu'on produit un trop grand effort, on finit par manquer de souffle; ou, pour les athlètes, qu'il leur faut impérativement du souffle pour réussir leurs exploits. C'est donc là qu'on fait le lien entre l'effort et le souffle (ne dit-on pas d'ailleurs aussi «courir à perdre haleine»?).
Si elle a été précédée au XIIIe siècle de à longue haleine («avec force et durée»), c'est au milieu du XVIe siècle chez Ronsard [1] qu'apparaît notre expression avec le sens figuré de «qui demande un effort soutenu». Et l'effort n'étant pas que physique, la locution indique aussi la capacitéà soutenir un effort intellectuel prolongé. D'ailleurs, les Jésuites rédacteurs du Dictionnaire de Trévoux, au mot haleine, se citent en exemple en écrivant «l'entreprise d'un dictionnaire est un ouvrage de longue haleine».
[1] Alors qu'il évoque certaines facilités qu'il prend avec la langue, nécessaires selon lui pour obtenir des rimes bien construites, il écrit ceci: «Certes, telle licence a tousjours esté concedee aux poèmes de longue haleine ou de mediocre vertu, pourveu qu'elle soit rarement usurpée, non à ces rimes vulgaires, orphelines de la vraye humeur poétique.»
Exemple
«En démarrant dans la création du site expressio.fr, je me suis lancé dans une occupation de longue haleine.»
«Le métier d'éleveur est un travail de longue haleine, qui nécessite de nombreux efforts pour des résultats éloignés dans le temps: pour constituer un troupeau, le sélectionner, l'améliorer, il faut de huit à dix ans»

 

Poème Erotique: La Fesse Cachée de Nos Plus Grands Auteurs

Poèmes érotiques (Verlaine et Rimbaud) - Pour Petite Anna

C'est une laide de Boucher

C'est une laide de Boucher,
Sans poudre dans sa chevelure,
Follement blonde et d'une allure
Vénus à tous nous débaucher.

Mais je la crois mienne entre tous,
Cette crinière tant baisée,
Cette cascatelle embrasée
qui m'allume par tous les bouts.

Elle est à moi bien plus encor
Comme une flamboyante enceinte
Aux entours de la porte sainte,
L'alme, la dive toison d'or!

Et qui pourrait dire ce corps
Sinon moi, son chantre et son prêtre,
Et son esclave humble et son maître
qui s’en damnerait sans remords,

Son cher corps rare, harmonieux,
Suave, blanc de lait pur, et rose
Comme un lys sous de pourpres cieux.

Cuisses belles, seins redressants,
Le dos, les reins, le ventre, fête
Par les yeux et les mains en quête
Et pour la bouche et tous les sens.

Mignonne, allons voir si ton lit
A toujours sous le rideau rouge
L'oreiller sorcier qui tant bouge
Et les draps fous. Ô vers ton lit!

 

La France pittoresque

Vandalisme de la statue de Saint-Louis à la collégiale de Poissy (Yvelines)
Source: Le Parisien

La statue du Bon Roi Saint-Louis a été dégradée, dans la nuit de dimanche à lundi à Poissy
C’est ce lundi vers 9 heures que les forces de l’ordre ont été prévenues et ont pu constater les dégâts causés à la statue en terre cuite polychrome se trouvant à l’intérieur de la collégiale de Poissy. «Il semble évident que la statue n’est pas tombée seule», précise une source proche de l’affaire.

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La statue de saint Louis à la collégiale de Poissy

Aucune revendication n’a été laissée. «S’agit-il d’un acte de malveillance, ou d’un geste dirigé contre l’église, nul ne saurait le dire pour l’instant», précise la même source. Depuis la tentative d’attentat déjouée à Villejuif (Val-de-Marne), les pouvoirs publics ont pris des mesures. Les forces de l’ordre ont renforcé leurs surveillances des lieux de culte depuis jeudi dernier.

Le Parisien

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Pontivy, dans le Morbihan, un jour au patrimoine mondial de l’Unesco?
Source: Ouest France

C’est en tout cas l’idée défendue par l’office de tourisme de Pontivy communauté et des élus de Pontivy, qui sollicitent le soutien de la Région
Pontivy classé au patrimoine mondial de l’Unesco? C’est le doux rêve que caressent des élus et responsables de l’office de tourisme de la communauté de communes.
Pontivy, où Napoléon et Ier et Napoléon III ont laissé un héritage conséquent - la ville s’appela Napoléonville de 1804 à 1814 et de 1852 à 1870 -, est adhérente de la fédération européenne des cités napoléoniennes, regroupant 55 villes. «On travaille depuis deux ans pour obtenir un label d’itinéraire culturel européen destination Napoléon, comme celui qui a été attribué aux chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle ou encore à un itinéraire autour de la thématique de l’olive», explique Gwénola De Araujo, directrice de l’office de tourisme de Pontivy communauté.

Un label tremplin
Ce label devrait, sauf surprise, être attribuéà Pontivy par l’union européenne le 29 avril et permettre un développement touristique autour du patrimoine napoléonien de la ville, qu’il s’agisse de l’architecture pontivyenne ou du canal de Nantes à Brest, dont la construction a été ordonnée par Napoléon en 1 811.

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Pontivy et son canal

Mais Gwénola De Araujo vise plus haut. Selon elle, l’obtention du label d’itinéraire culturel européen pourrait s’avérer un bon tremplin pour faire ensuite labéliser le canal et le patrimoine napoléonien de Pontivy par l’Unesco.
Des démarches qui peuvent durer dix ans
Reste que ce projet ne peut pas être seulement porté par Pontivy communauté. « C’est beaucoup de contrainte, des démarches qui peuvent durer dix ans. Il nous faut l’appui de la région. » Un appui qui pourrait être obtenu dans le cadre d’une collaboration avec la Région, décidée dernièrement, pour faire l’inventaire du patrimoine de Pontivy.
Ouest France

Article copié sur "La France pittoresque"

 

1er mai 1899: La Jamais contente franchit les 100km/h et établit un nouveau record de vitesse
D’après «A travers le monde», paru en 1899 et «Histoire de l’automobile», paru en 1907

Printemps 1899, le 1er mai - le 29 avril selon certains -, Camille Jenatzy franchit sur la route d’Achères (Yvelines) et à bord d’une automobile la barre symbolique des 100 kilomètres à l’heure, établissant un nouveau record de vitesse dans cette «célérite» aiguë caractérisant la fin du XIXe siècle: il s’agit d’un véhicule électrique surpassant alors les voitures à pétrole, pesant plus d’une tonne et capable de développer 100 chevaux.

On a pu voir à l’Exposition internationale des automobiles qui vient de se tenir dans le Jardin des Tuileries une voiture de forme particulière, très basse sur roues, pointue à l’avant et à l’arrière, rappelant la silhouette d’une torpille ou d’un torpilleur. Cette voiture, baptisée «La Jamais contente», nom qu’elle porte fièrement inscrit sur sa caisse, détient, pour le moment, le record du kilomètre. Elle a, en effet, parcouru récemment le kilomètre en 34 secondes, ce qui équivaut à du 105 kilomètres 852 mètres à l’heure.
Cette voiture, essentiellement voiture de course, est l’œuvre de Camille Jenatzy, l’ingénieur bien connu de la Compagnie internationale des Transports automobiles et le créateur du fameux 16 000, le premier fiacre public ayant circulé dans Paris. «La Jamais contente» est à propulsion électrique et tous les détails de sa construction visent exclusivement l’obtention de la plus grande vitesse possible.

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Jenatzy sur sa voiture électrique La Jamais contente

Elle semble bien, d’ailleurs, avoir satisfait un problème que son constructeur s’était posé, puisqu’elle a battu le record du kilomètre que détenait, avant elle, la voiture également électrique du comte de Chasseloup-Laubat, laquelle avait fait du 92 kilomètres à l’heure; tandis que le record des voitures à pétrole était de 62 kilomètres à l’heure.
Jenatzy, qu’empêchait de dormir le record établi par Chasseloup-Lauvat, avait lancé un défi à l’éminent ingénieur: le 17 janvier 1899, il se mettait en ligne au parc d’Achères, et battait les temps de Chasseloup. Mais celui-ci prenait immédiatement après sa revanche, avec une voiture électrique Jeantaud 36 chevaux et établissait le record du monde, à une allure moyenne de 70 kilomètres à l’heure. Ce n’était pas fini: le 27 janvier, Jenatzy atteignait le 80 de moyenne.

En avait-on fini? Non, car Jeantaud établit le «torpilleur» avec lequelle Chasseloup-Laubat fit du 94; Jenatzy reprit l’avantage avec sa «Jamais contente». Ces épreuves, nées d’une crise de «célérite» aiguë, selon le mode à la mode de l’époque, étaient d’un attrait purement théorique, et n’influençaient pas l’avenir de la locomotion, si ce n’est, cependant, au point de vue de perfectionnement des pneus soumis à ce qui était considéré comme d’effroyables contraintes: le dépassement des 100 kilomètres à l’heure.

Si les expériences d’Achères furent précieuses pour le constructeur d’appareils électriques, on se convainc non sans peine que la société Michelin, qui fabriquait dès cette époque les pneus supportant les vitesses correspondant aux records successifs, en tira également de riches enseignements. Le pneumatique, considéréà son début comme un accessoire dangereux et complexe de l’automobile, était devenu peu à peu l’adjuvant nécessaire à la bonne marche du véhicule. Il fut, à dater de cette époque, le «doping» indispensable de toute voiture de course, de tout véhicule de tourisme.
On le connaissait, on l’appréciait même avec ses insupportables défauts. Le temps était loin, de Paris-Bordeaux 1895 où Levassor demandait à Michelin ce qu’il mettait dans ses tubes, «du coton, du liège ou du foin». Ce à quoi Levassor ne croyait pas, ce que tout d’abord il appelait «folie», se réalisait cependant peu à peu, et seul peut-être eut alors, pendant la période de tous premiers essais, l’intuition de l’avenir réservé aux bandages gonflés d’air, Armand Peugeot qui, dès 1897, émerveillé de la douceur du roulement, s’écriait en caressant de la main un gros pneumatique: «Comme mon moteur va être bien là-dessus!»

«La Jamais contente»était très puissante. Les moteurs au nombre de deux et d’une puissance totale de 50 kilowatts, soit environ 55 chevaux effectifs, étaient susceptibles d’un effort momentané pouvant atteindre 100 chevaux. Leur poids était de 250 kilogrammes. Chacun de ces moteurs commandait directement une des roues arrière. La batterie d’accumulateurs donnant l’énergie électrique pesait 650 kilogrammes. Tous les autres organes de la voiture pesaient 200 kilogrammes environ au total, ce qui portait à 1100 kilogrammes le poids de la voiture en ordre de marche.
Afin d’arriver à cette énorme puissance spécifique, il avait fallu naturellement avoir des pièces et des organes extra-légers: c’est dire que l’aluminium entrait pour une large part dans la voiture Jenatzy. La carrosserie notamment était entièrement constituée par ce métal, ou du moins par un de ses dérivés, le partinium. Pour présenter le moins possible de résistance à l’air, la caisse affectait la forme toute spéciale de torpille. Ce facteur était le plus important, car au-delà de la vitesse de 65 kilomètres à l’heure, la résistance de l’air absorbe un travail bien supérieur à celui qui est nécessaire pour la translation du véhicule.
Grâce à cet ensemble de dispositions spéciales, on estimait «La Jamais contente» capable de dépasser l’énorme vitesse qu’elle avait déjà obtenue dans son célèbre record. Ce jour-là, en effet, la route d’Achères sur laquelle elle courait, était loin d’être en bon état, la pluie des jours précédents l’ayant détrempée, et on avait observé une diminution de vitesse due au roulement des pneus sur une boue collante.

On notait que la vitesse maximale d’un tel véhicule ne pouvait pas être tenue longtemps, les accumulateurs, pour un effort pareil, se déchargeant vite; mais à la vitesse de 80 à 90 kilomètres à l’heure, Jenatzy avait pu rouler pendant 45 minutes sans décharger sa batterie d’accumulateurs. Il pouvait, de même, rouler à une vitesse beaucoup plus modérée et faire, au besoin, de son torpilleur une voiture de promenade, le confort étant certes quelque peu limité, toute la place ayant été réservée aux divers organes de propulsion.

Article copié sur "La France pittoresque"

 

Le Saut du Sabot dans le Tarn, siège d’une sinistre légende
D’après «Mosaïque du Midi», paru en 1840

Sur les bords du Tarn, aux environs d’Albi, à l’endroit appelé le Saut du Sabot et où la rivière se trouve resserrée entre deux énormes barrières de rocher, les villageois et villageoises du XIXe siècle pleuraient encore en écoutant le récit de la mort du berger Saho: il allait voir sa mie qui bientôt accepta le mariage. Mais dans l’ombre, un certain Guillaume, guidé par la jalousie, ne l’entend pas ainsi et décide de mettre à profit le dangereux passage tombant à pic sur le cours d’eau...
Sur les rives ombragées de la Garonne, sur les bords de la Durance, l’habitant des campagnes transmet à ses enfants les chants de ses aïeux. Sous le ciel méridional, comme sous le ciel de la Grèce, plusieurs poètes inconnus ont célébré le dévouement et les malheurs de l’amour. Sur les rivages de l’Hellespont, de nombreuses générations se sont raconté d’âge en âge la gracieuse et touchante histoire de Léandre et de Héro. Sur les bords du Tarn, à l’endroit où cette rivière se trouve resserrée entre deux énormes barrières de rocher - appelé aujourd’hui Saut de Sabo, de Sabot ou du Sabot -, on se souvenait jadis du tragique récit de la mort du berger Saho.

Voyez-vous ce village caché comme un nid de tourterelle au milieu des arbres touffus qui le couvrent de leur ombrage? Là vivait autrefois une jeune bergère qui portait le nom d’Indie. Elle était la fleur du hameau; elle avait à peine seize ans lorsque tous les bergers des environs la demandèrent en mariage à sa vieille mère. Mais les joues d’lndie devenaient rouges comme la cerise printanière, toutes les fois qu’elle entendait les doux propos d’amour.
- Je ne veux point quitter ma mère, disait-elle, ma vieille mère qui n’a d’autre soutien que moi.
Quelques années s’écoulèrent, et lorsque le joli mois de mai revenait avec les beaux jours et les fleurs, tous les bergers allaient, la nuit, planter devant la petite maison d’Indie un jeune arbrisseau qu’ils couvraient de rubans et de guirlandes. lndie avait déjà vingt ans, lorsque revenant du village où elle avait communié, le saint jour de Pâques, elle rencontra un berger qui habitait le hameau voisin.

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Saut du Sabot (Tarn) vers 1840

Ce berger avait nom Saho. Il était beau comme un ange du paradis, et son troupeau prospérait, parce que Dieu veillait sur lui pour récompenser la piété du berger. Toutes les jeunes filles en âge d’être mariées s’asseyaient, le soir, sur leurs portes, pour voir passer Saho quand il ramenait son troupeau du pâturage. Mais Saho baissait modestement les yeux et récitait ses oraisons. Cependant, il aimait la belle lndie de l’amour le plus tendre.

- Indie, lui dit-il, en revenant du village, le saint jour de Pâques, lndie, vous avez communié aujourd’hui, et je suis sûr quo vous aimez bien le bon Dieu.
- Et vous aussi, Saho, répondit la bergère.
- Longtemps j’ai cru qu’il ne fallait aimer que le bon Dieu et ma mère, répondit Saho; mais plus souvent je vous vois, plus je sens que mon cœur s’ouvre à un autre amour. Quand vous passez près de moi, je n’ose pas vous regarder, je tremble, et puis je pleure lorsque vous vous éloignez. Demain je viendrai voir votre mère, je lui dirai si elle veut nous marier ensemble.
- Nous marier! fit lndie en rougissant.
- Si vous ne m’aimez pas encore, lndie, vous m’aimerez plus tard.

lndie et Saho se séparèrent à l’instant; ils avaient aperçu quelques villageois au détour du sentier. A quelque temps de là, des pleurs se firent entendre dans la maison d’Indie; la jeune bergère avait perdu sa mère, et longtemps elle fut inconsolable. Saho ne quittait plus le village; il craignait qu’il n’arrivât quelque malheur à celle qu’il appelait déjà sa fiancée.
Mais le curé du village blâma ces assiduités, et Saho revint dans son hameau, de l’autre côté de la rivière. lndie éprouva bientôt le besoin de revoir son berger bien-aimé; elle dépérissait, la pauvre colombe, depuis qu’elle n’entendait plus la musette de Saho. Par une belle soirée d’été, la bergère s’assit sur un des rochers qui s’élèvent aux bords du Tarn, et chanta la ballade des trois jeunes filles à marier:

«Sur le bord de la rivière, sur le bord fleuri, il y a trois jeunes filles, filles à marier. Celle qui est la plus jeune ne fait que pleurer. Pourquoi pleurer, fillette, pourquoi tant soupirer? Si je pleure, pauvrette, j’en ai bien raison; les glands de ma ceinture dans l’onde sont tombés. Que donnerez-vous, brunette, à celui qui ira les chercher? Je lui donnerai une rose avec un doux baiser.
«Alors le galant tire ses chausses et se lance dans l’eau; dans l’onde le galant s’est enfoncé. La dernière vague a fait flotter les glands; tenez, tenez, brunette, voici vos glands dorés.»
Puis lndie ajouta: «Quand j’étais petite, je gardais les agneaux; parmi les fleurs de la prairie je ne pensais pas aux amours. Maintenant que je suis grande, je garde les moutons; je les fais paître sur l’herbette, dans ces champs si doux. Un jour, je les ai conduits à l’onde de ce petit ruisseau; là j’ai trouvé sur la prairie trois chevaliers gracieux.
«L’un me dit: adieu, Indie; l’autre: adieu, amour; l’autre me pousse dans le ruisseau comme un pêcheur jette sa ligne. Il y avait peu d’eau, je ne me suis point mouillée; au pied du beau pommier je me suis assise. Pommier divin, qui charme, tu as de bien belles fleurs, mais tu n’en as pas autant que mon cœur a d’amours.»

Saho tressaillit d’amour et de joie entendant les douces paroles d’Indie. La rivière n’était pas large à cet endroit, et il sauta d’un bord à l’autre avec la légèreté d’un jeune chevreau. Le lendemain, il franchit aussi la rivière; la bergère et le berger ne pouvaient plus passer un jour sans se voir.
- Indie, ma douce amie, dit un jour Saho, marions-nous ensemble; nous n’aurons plus qu’un seul troupeau; nous cultiverons ensemble nos petits champs, lorsque nos en fans seront en âge de garder nos moutons.
- La volonté de Dieu soit faite, répondit Indie, et vos vœux accomplis, berger Saho.
Quelques jours après, le bruit courut dans le village que l’heureux Saho était à la veille d’épouser Indie. Tous les voisins se réjouirent, car le berger et la bergère étaient purs et innocents, comme au jour de leur baptême, et tout le monde les aimait. Un seul berger détestait Saho: ce berger s’appelait Guillaume. Il était laid à faire peur à toutes les filles, et cependant il avait osé tenir propos d’amour à Indie. Mais la bergère s’était moquée de lui.
Guillaume dissimula ses projets de vengeance; il s’aperçut que le rocher formait une pente rapide jusqu’au bord de la rivière. Pendant le jour, il sema de petits cailloux ronds sur cette surface unie, et il se dit en riant aux éclats, comme un démon: «Ce soir, galant Saho, tu ne verras pas Indie, ta douce amie; tu tomberas dans le gouffre, et demain j’annoncerai ta mort à l’orgueilleuse bergère.»

Quelques instants après le coucher du soleil, le berger Saho aperçut une quenouille plantée sur le rocher de la rive opposée; c’était le signal si désiré du rendez-vous. Il voulut s’élancer pour franchir la rivière, mais les petits cailloux roulèrent sous ses pieds; il ne put garder l’équilibre, et après avoir chancelé pendant quelques instants, il tomba dans l’abîme en criant: «Indie, je meurs, Indie, adieu pour toujours.»
La bergère entendit ce cri de désespoir qui la glaça de terreur. Elle courut au bord de la rivière, mais elle ne vit rien dans le gouffre. Le chapeau de Saho restait seul sur la rive opposée. Deux jours après on trouva le cadavre de Saho au-dessous du pont d’Albi. On le porta au village où il fut enseveli près du tombeau de la mère d’Indie.
La pauvre bergère ne pleura pas longtemps son fiancé. Elle s’endormit du sommeil du juste, et toutes les jeunes filles du village portèrent le deuil. Guillaume fut maudit; on le chassa du pays, et l’endroit où le fiancé d’Indie avait trouvé la mort fut appelé le Saut du Sabot, où l’on construisit un pont peu avant 1840.

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Trois mai 1320: Les Pastoureaux débarquent à Paris pour décider le roi à massacrer les juifs à Toulouse. Entraînés par deux clercs illuminés, 10 000 gueux venus du Mont-Saint-Michel s'abattent sur le Sud, faute de pouvoir aller à Jérusalem.
Par Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos à la une du Point.

Le 3 mai 1320, les Parisiens assistent à l'envahissement de leur ville par une armée de gueux. Ils sont peut-être dix mille, se faisant appeler Pastoureaux, les bergers. Leur long cortège remonte les rues étroites et fangeuses jusqu'à la prison du Châtelet. En tête des manifestants, Mélenchon hurle des slogans hostiles aux élus parisiens... Ces envahisseurs ont l'humeur belliqueuse. Certains agitent des bâtons. D'autres brandissent des faux. Pour s'encourager, ils chantent des psaumes et incitent les Parisiens à les rejoindre, lesquels préfèrent se terrer chez eux. Les commerçants ferment précipitamment leurs échoppes.

Les Parisiens s'interrogent. Qui sont ces envahisseurs d'apparence aussi misérable? Ceux-ci leur disent vouloir se croiser, mais qu'ils ont fait un crochet par Paris pour rallier à leur cause le roi, mais aussi faire libérer quelques-uns des leurs emprisonnés au Châtelet. Par la force, au besoin. Le prévôt de Paris descend à leur rencontre pour parlementer. Mais autant inciter des frelons asiatiques à faire demi-tour avec des courbettes. Le malheureux prévôt est aussitôt piétinéà mort sur les marches du Châtelet. Les Pastoureaux s'engouffrent alors dans la sombre forteresse pour extirper leurs compagnons de leurs geôles. Pendant ce temps, les autorités se ressaisissent. Des troupes sont envoyées à la rencontre des envahisseurs, qui préfèrent battre en retraite sur le pré Saint-Germain, le fameux pré aux Clercs. Les deux troupes se font face, les injures fusent. Mais la bataille n'a pas lieu, car finalement, les Pastoureaux se retirent, prenant la route de l'Aquitaine. Faute d'avoir convaincu le roi de partir en croisade, ils décident d'aller faire un nettoyage ethnique dans le sud du pays. Faute de merles mahométans, ils se contenteront des grives israélites. Marine Le Pen leur fait distribuer des cartes d'électeur...

La menace du pape… Cette deuxième croisade des Pastoureaux (la première ayant eu lieu en 1251) démarre au Mont-Saint-Michel. De jeunes paysans venus en pèlerinage du nord de la France sont convaincus par un moine bénédictin apostat et un prêtre banni de l'Église de partir combattre les infidèles en terre sainte. Par un prompt renfort, cette troupe dépenaillée devient une armée comptant plusieurs milliers de miséreux: bergers, paysans abandonnant leurs terres, jeunes gens, voleurs, vagabonds, des filles aussi. Pour indiquer leur volonté de se croiser, ils tracent des croix sur leurs sarraus. La troupe marche sur Paris pour convaincre le roi de France de prendre la tête de la croisade. Au départ de Normandie, ils ont encore bonne réputation. La population leur offre de la nourriture. Mais beaucoup de malandrins se sont glissés parmi eux pour piller les fermes rencontrées. Après dix jours de marche, la troupe arrive donc à Paris. Mais Philippe V n'a aucune envie de se croiser en terre sainte. Il a déjà suffisamment de boulot en France pour récupérer les provinces perdues. Alors, partir chez les mahométans pour revenir en pièces détachées comme son arrière-grand-père saint Louis, pas question...

Même le pape les menace d'excommunication! Quelle misère! Chassée de Paris, la troupe emprunte la nationale 20... Direction Toulouse. En cours de chemin, la bande de croisés se transforme en bande de voleurs. Les Pastoureaux terrorisent, pillent, violent et massacrent tout sur leur passage. Les juifs en priorité, mais très vite tout le monde y passe. Les églises et les abbayes sont saccagées. Personne ne peut les arrêter. Telle une nuée de sauterelles affamées, les prétendus croisés s'abattent sur les villes de Saintes et d'Angoulême, qu'ils mettent à sac. Le Périgord, le Quercy et la Lomagne reçoivent leur visite. Ils sont désormais plus de 40 000. Le 25 juin, ils débarquent à Albi et, surtout, à Toulouse, où les juifs se réfugient dans le château narbonnais. Mais les Pastoureaux les délogent pour massacrer tous ceux qui refusent de recevoir le baptême. Ça défoule. Au total: 115 morts.

Siège… Une partie de la troupe prend alors le chemin de l'Espagne pour y poursuivre ses tueries, tandis qu'une autre remonte la Garonne. Quelque cinq cents juifs habitant les rives du fleuve s'enferment dans la tour du château de Verdun-sur-Garonne. Ils sont bientôt assiégés. Pour se défendre, ils balancent tout ce qu'ils trouvent par les ouvertures. N'ayant plus rien à jeter, ils saisissent leurs propres enfants, prétend Guillaume de Nangis (ou plutôt celui qui poursuit ses chroniques). Laissons-le achever cette belle histoire: "Néanmoins, le siège ne cessa pas, car les Pastoureaux mirent le feu à l'une des portes de la tour et incommodèrent beaucoup par la fumée et les flammes les juifs assiégés. Ceux-ci, voyant qu'ils ne pouvaient s'échapper et aimant mieux se donner eux-mêmes la mort que d'être tués par des hommes non circoncis, chargèrent un des leurs, qui paraissait le plus fort d'entre eux, de les égorger avec son épée; il y consentit et en tua sur-le-champ près de cinq cents. Descendant de la tour avec un petit nombre d'hommes encore vivants et les enfants des juifs, qu'il avait épargnés, il obtint une entrevue avec les Pastoureaux et leur déclara ce qu'il venait de faire, demandant àêtre baptisé avec les enfants. Les Pastoureaux lui dirent: Coupable d'un si grand crime sur ta propre nation, tu veux ainsi éviter la mort! Aussitôt, ils lui dépecèrent les membres et le tuèrent, mais ils épargnèrent les enfants, qu'ils firent baptiser catholiques et fidèles." Seul le grand rabbin de France Gilles Bernheim échappe à la tuerie en prétendant être l'auteur du Bon Petit Catholique pour les nuls.

Leur nettoyage ethnique achevé, l'armée de gueux prend la route de Carcassonne, multipliant les meurtres de juifs dans chaque cité traversée. Sur ordre du roi de France, le sénéchal du pays ordonne aux bons chrétiens de protéger les juifs contre cette bande de barbares, mais "beaucoup de chrétiens, contents de voir périr les juifs, refusaient d'obéir à cet ordre, disant qu'il n'était pas juste de prendre le parti des juifs, infidèles et jusqu'alors ennemis de la foi chrétienne, contre des fidèles et catholiques, ce que, voyant, le sénéchal défendit sous peine capitale qu'au moins personne ne prêtât secours aux Pastoureaux", poursuit le continuateur de Guillaume de Nangis. Finalement, l'armée royale, placée sous le commandement d'Aymeric de Cros, attend les Pastoureaux devant Carcassonne pour les hacher menu. Les survivants sont traqués et impitoyablement pendus. À l'automne 1320, les Pastoureaux ont tous rejoint le paradis ou l'enfer.

3 mai 1320. Les Pastoureaux débarquent à Paris pour convaincre le roi de massacrer les juifs à Toulouse.
© Le Point.fr - Publié le 03/05/2012 à 00:22 - Modifié le 03/05/2014 à 00:01

 

Pour l’éphéméride du trois mai c’est ICI
http://mickeywerlen.canalblog.com/archives/2014/05/03/29787926.html

 

Dicton du jour de Charlie Hebdo

Ben pour le dicton de Charlie hebdo de ce jour, le Charlie toujours plein d'humour change pour une fois de slip et, pour ne pas se tromper, met le jaune devant et le marron derrière...  

 

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Ben pour la zique de ce ce dimanche… on va continuer d’écouter un autre concert encore plus ancien du groupe Led Zeppelin en direct du Royal Albert Hall en 1970… c’est du tout bon avec du rythme et peut-être beaucoup de souvenirs de jeunesse pour certains… Des bons airs, histoire de bien passer cette matinée de repos avec sérénité… Je vous souhaite une bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=edPEBB6VjRQ

 

Et en avant pour les blagounettes du jour, un bouquet divers et printanier, des courtes mais bonnes, des longues mais connes, des connues et des moins connues; quoi, des blagues à deux balles ou à quatre sous...

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Darwin Awards 2

Les Darwin Awards sont des récompenses humoristiques décernées aux personnes mortes ou ont été stérilisées à la suite d'un comportement particulièrement stupide de leur part, et sont ainsi remerciées (le plus souvent à titre posthume) pour avoir, de cette façon, contribuéà l'amélioration globale du patrimoine génétique humain.

08 Décembre 2014, Allemagne, Coblence
Dans la nuit du 25 novembre une joyeuse bande d'amis décident de "braquer" un distributeur de cigarettes. Comment s'y prendre? Facile ... Introduire du gaz propulseur dans le distributeur et allumer. A la suite de l'explosion, deux s'en sortent indemne, les débris en blessent un troisième au bras et le dernier est gravement touchéà la tête... Les médecins ont constaté la mort cérébrale de ce dernier quelques jours plus tard...

29 Octobre 2014, France, Clermont-Ferrand
On dit souvent "la maturité vient avec l'âge", et il y a des execptions a la règle... A Clermont-Ferrand, notre candidat de 57 ans a participéà un concours de "shooters". Le but: ingurgiter le plus de petits cocktails d'alcool possible, des alcools servis dans des verres de 5 ou 10cl, vodka, rhum ou whisky tout y passe. L'homme a battu le précédent record en buvant 56 verres à la chaîne!!! Sauf que la soirée a viré au tragique, l'homme est tombé dans un coma éthylique. Pris en charge par le Samu, il est finalement décédé le lendemain à l'hôpital.

20 Octobre 2014, Inde, Aizawl
On ne le dit jamais assez le sport est dangereux pour la santé! Un jeune footballeur de 23 ans, exprimant sa joie alors qu'il venait d'égaliser, s'est lancé dans une série de sauts périlleux. Mais le malheureux est mal retombé, se brisant la moelle épinière...

21 Septembre 2014, Etats-Unis, West Milford
Son envie de réaliser un cliché inoubliable lui a été fatale. Darsh Patel, un Américain de 22 ans, est mort, en septembre dans la réserve Apshawa, à West Milford (New Jersey, Etats-Unis), tué par un ours qu'il venait de photographier. Comme le raconte le New York Post, il était en train de faire une randonnée avec quatre amis quand ils ont croisé l'animal. La police a publié, mardi 25 novembre, les dernières photos prises par la victime, qui est devenue le premier homme tué par un ours dans le New Jersey. Alors que l'animal, un mâle de 150 kilos, se trouvait à une trentaine de mètres du groupe, les jeunes gens ont un réflexe aujourd'hui répandu: ils ont sorti leurs téléphones pour immortaliser la scène. Le plantigrade repère alors les photographes amateurs et se dirige tranquillement vers eux, mais ils continuent à prendre des photos. Darsh Patel aura l'occasion d'en prendre cinq. Pas plus. Des traces de morsure sur le téléphone Alors que l'ours se trouve à moins de 6 mètres du groupe de randonneurs, ces derniers se décident enfin à fuir. L'ours se met à courir. La chasse commence et les randonneurs se séparent. Quatre d'entre eux se regroupent rapidement, et constatent que Darsh Patel manque à l'appel. Après deux heures de recherche, ils finissent par découvrir le corps, l'ours toujours à ses côtés. Alertée, la police a fini par abattre l'animal. Après autopsie, des lambeaux de chair humaine et des bouts de vêtements de Darsh Patel ont été retrouvés dans l'estomac de la bête. En revanche, si des marques de morsure ont été découvertes sur le téléphone retrouvéà proximité du corps, l'ours n'a pas avalé l'appareil qui a coûté la vie au malheureux randonneur.

28 Aout 2014, France, Saint-Fons
Une jeune femme aurait voulu rejoindre son petit ami, mais sans que sa famille ne l'apprenne. Cette dernière habitait au 9e étage, et pour ne pas se faire surprendre, elle aurait tenté de descendre à l'aide d'une corde faite de draps noués et de foulards. Dans certain cas, se prendre pour Spider-man peut s'avérer mortel...

14 Aout 2014, Angleterre
Rongé par la honte, un Britannique de 50 ans n'a pas souhaité consulter un médecin. L'homme s'est tordu de douleur chez lui durant cinq jours. La raison? Notre candidat s'était coincé un vibromasseur dans le rectum. Une situation qui l'a finalement conduit à se confier à un ami. Ce dernier a aussitôt prévenu les secours mais le malheureux n'aura pas survécu longtemps... L'homme, a été admis à l'hôpital en soins intensifs. L'opération a duré plusieurs heures afin de lui retirer l'objet de l'anus. Celui-ci a pu être dégagé, mais les dégats étaient tels que le patient est décédé un mois plus tard des suites d'une perforation dans l'intestin et d'une septicémie. Ce n'est pas le vibormasseur qui a tué notre homme, mais bel et bien sa honte. Entre la vie et la dignité il faut choisir.

02 Aout 2014, Mexique, Mexico
Otero Aguilar, 21 ans, était un jeune homme très actif sur les réseaux sociaux. Comme beaucoup, il se prenait en photo (selfie) devant des voitures de sport, des bouteilles d’alcool ou en charmantes compagnies pour les publier. Otero poussa le jeu jusqu’au bout puisqu’il décida de se prendre en photo avec un calibre 45. En posant l’arme contre sa tempe, il pressa le bouton… pas celui de son téléphone mais celui de l’arme à feu.

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C'est dimanche... le réveille-matin fait la grasse matinée encore ce matin, tout comme nous braves mortels avec cette météo plus que pourrie pour ce jour; pas de pique-nique, pas de barbecue pour ce week-end... Autrement dit, c'est un dimanche ordinaire sans balade campagne, sauf s'il faut sortir les parapluies pour les aérer... ce sera journée télé ou visite d'exposition ou de musée ou enfin avec philosophie de laisser tomber la pluie en lisant un bon livre... En ces jours de printemps très perturbés et parfois mouillés, une pensée particulière va aux sans-abris qui souffrent du manque de toit; à ceux qui sont expulsables de leurs appartements car la trêve hivernale est terminée; à celles et ceux qui souffrent autant de la maladie que d'autres choses et à ceux qui pansent les plaies dues aux divers maux que l'adversité afflige à chacun... Prenez soin de vous et je vous souhaite une bonne journée, en vous disant à la revoyure...

 

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